Benoît Plessix, Yves Gaudemet (dir.), L'enseignement du droit aujourd'hui, LGDJ, 2024, 361 p.
Cet ouvrage reprend les contributions prononcées en 2022 à l'occasion d’un colloque organisé par l'Université Paris-Panthéon-Assas et l'Institut de France (Académie des sciences morales et politiques, Académie des inscriptions et belles lettres, France mémoire). Le projet initial était de saisir l'occasion du cinq centièmes anniversaires de la naissance de Jacques Cujas (1522-1590) pour revenir sur la révolution pédagogique impliquée par l'humanisme juridique. Il s'est transformé pour devenir une réflexion plus générale sur l'enseignement du droit aujourd’hui. Cinq siècles après Cujas, où en est-on de l'évolution de l'enseignement du droit, en France, au XXIe siècle ? Les contributions présentées tentent de répondre à cette question. Leurs auteurs font part de leurs points de vue, de leurs connaissances et de leurs expériences. À cette fin, ils s'interrogent, soit sur le contenu des enseignements délivrés, soit sur la manière dont ils sont enseignés, soit sur les lieux où ils sont dispensés. Autant de réflexions qui, mises en miroir avec l'héritage de Cujas, apportent leur contribution au problème, largement débattu en France comme à l'étranger, chez les juristes comme dans d'autres sciences sociales, de l'enseignement du droit.
Benoît Plessix, Marion Ubaud-Bergeron, Fanny Grabias, Droit administratif général, 3e éd., LexisNexis, 2024, Objectif droit ( TD ), 1827 p.
"Dans un pays comme la France, de tradition étatiste, le droit administratif est couramment présenté comme une discipline autonome du droit privé, organisé à partir d'une institution singulière (l'Administration), structuré par un juge spécial (le Conseil d'Etat notamment) et fondé sur des valeurs propres (l'intérêt général, le service public, le respect de la légalité). Mais comme toute discipline de droit public, il n'en cherche pas moins à résoudre la question plus que jamais fondamentale du rapport entre le pouvoir et l'individu, entre l'ordre et la liberté, entre les besoins de tous et les droits de chacun. C'est pourquoi l'objet de cet ouvrage est d'apporter une connaissance suffisamment approfondie de la matière pour comprendre à la fois son fonctionnement et son esprit. Pour cela, le lecteur y trouvera une présentation des notions fondamentales et des règles principales de la matière, telles qu'elles sont enseignées à partir de la deuxième année de licence. Grâce à l'apport de plusieurs niveaux de lecture, cet ouvrage permettra aussi au lecteur d'approfondir ses connaissances en l'éclairant sur la provenance, le contexte et l'application des règles du droit administratif français".
Benoît Plessix, Samy Benzina, Gustavo Zagrebelski, Ariane Vidal-Naquet, Michel Troper [et alii], La doctrine et le Conseil constitutionnel, Lefebvre Dalloz et Dalloz, 2024, Thèmes et commentaires ( Actes ), 439 p.
Le Conseil constitutionnel a toujours été scruté par des professeurs de droit. Au gré des mutations de l'institution et de ses pouvoirs, leur relation a néanmoins évolué en profondeur depuis soixante-cinq ans. Le recul historique permet désormais d'en restituer la complexité et les ambivalences sur la longue durée. Ont été réunis, dans cette perspective, des professeurs et des praticiens issus de traditions doctrinales et de pays divers, afin qu'ils examinent sous un jour nouveau les individus, les générations, les méthodes et les échanges intellectuels qui ont contribué à tisser ce lien singulier et changeant. Ainsi se dessine, au fil de ces pages, un tableau original, propre à renouveler la réflexion sur la manière française d'étudier et de rendre la justice constitutionnelle, ainsi plus généralement que sur la contribution respective des professeurs et des juges à la formation de la culture constitutionnelle française.
Benoît Plessix, Le droit public, Presses Universitaires de France et Cairn, 2022, Que sais-je ? ( Droit ), 126 p.
Depuis le droit romain, le droit se décompose en deux ensembles : le droit privé et le droit public. On parle de summa divisio juris, selon la formule latine consacrée. En France, les juristes sont donc soit « privatistes », soit « publicistes ». Mais pourquoi le droit constitutionnel est-il une branche du droit public, mais pas le droit civil ? Et si droit privé et droit public n'étaient au fond que des qualifications scientifiques à vocation didactique ? Benoît Plessix rappelle à tout le moins que le droit public n'est pas une donnée naturelle et immuable, mais une construction intellectuelle culturellement située, en l'occurrence dans la tradition juridique occidentale, où le droit privé lui préexistait. Il retrace les conditions et les concepts juridiques propres (le pouvoir, la souveraineté, l'État, etc.) qui ont permis au droit public d'être l'« Autre » du droit privé.
Benoît Plessix, Fabrice Picod (dir.), Le juge, la loi et l'Europe: les trente ans de l'arrêt Nicolo, Bruylant, 2022, Collection droit de l'Union européenne ( Colloques ), 221 p.
Après avoir refusé, pendant près de vingt ans, d’examiner la compatibilité d’une loi interne avec un traité, le Conseil d’État français a pris la décision historique, dans un arrêt Nicolo rendu le 20 octobre 1989, d’examiner une disposition législative au regard d’un article du traité instituant la Communauté économique européenne. Tout en ayant écarté le grief d’inconventionnalité et rejeté le recours, le Conseil d’État a ouvert une voie attendue par de nombreux juristes qui consistait indirectement, à l’appui d’un recours pour excès de pouvoir contre un acte administratif ou un recours mettant en cause la responsabilité d’une personne publique, à permettre l’examen d’un texte de loi dont l’incompatibilité avec une convention internationale avait été soulevée. C’est l’article 55 de la Constitution française qui a servi de fondement à un tel contrôle. Bien que le juge administratif ne fût pas insensible aux exigences énoncées par la Cour de justice dès 1964 dans son arrêt Costa contre ENEL, il n’a pas restreint son examen au regard des dispositions des seules normes issues du droit communautaire, devenu droit de l’Union européenne. La Convention européenne des droits de l’homme puis d’autres accords internationaux multilatéraux et bilatéraux servirent de fondement à ce type de contrôle de conventionnalité. Alors que l’article 55 de la Constitution fait expressément référence aux « traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés », d’autres sources de droit international et européen, telles que des règlements, des décisions ou des directives adoptés par des institutions de l’Union européenne, des principes généraux du droit consacrés par la Cour de justice de l’Union européenne servirent de fondements à l’examen de dispositions législatives. S’agissant de la coutume internationale et des principes généraux de droit international, le Conseil d’État observera qu’aucune disposition constitutionnelle ne l’habilite à la faire primer sur la loi interne, ce qui témoigne de l’importance des fondements constitutionnels et ce qui pose une nouvelle fois la question de la spécificité du droit de l’Union européenne qui a fait l’objet à partir de 1992 du titre XV de la Constitution. Plus de trente ans après le prononcé de l’arrêt Nicolo, il convenait d’établir un bilan de cette jurisprudence et de s’interroger sur sa pérennité en sollicitant des conseillers d’État qui en sont à l’origine et des professeurs d’université qui en furent les témoins privilégiés.
Benoît Plessix, Christophe Pierucci, Olivier Beaud, Grégoire Bigot, Olivia Bui-Xuan [et alii], Les impensés du droit administratif: hommage à Jacques Caillosse, LGDJ-Lextenso éditions, 2022, Droit et Société ( Recherches et travaux ), 207 p.
La pensée de Jacques Caillosse traverse l'ensemble du droit administratif et participe d'un nouveau régime de connaissance sur le droit. Franchissant les frontières disciplinaires, ses écrits ont imposé une analyse critique des mutations du droit administratif, dont ils dévoilent la recomposition progressive en un « droit de l'action publique ». Pour rendre hommage à Jacques Caillosse et lui témoigner leur attachement, les auteurs de cet ouvrage se sont réunis autour d'un thème qui résonne avec son oeuvre, afin de « penser avec » lui et « faire » du droit administratif autrement. Les impensés du droit administratif servent ainsi de cadre à cette réflexion partagée. Adopter une perception critique du droit, dialoguer avec d'autres disciplines, comme y incitent ses écrits, met en évidence l'existence de « territoires » restés impensés et permet de les faire entrer dans le champ de la réflexion sur le droit administratif. Des impensés qui habitent la science du droit administratif et reflètent l'identité même de la discipline, expression d'approches naturalisées par le droit savant, d'habitudes de pensée et d'idées structurant la réflexion sur le droit administratif qui conduisent à délaisser certaines questions. Des impensés qui se rencontrent aussi dans la production du droit administratif : révélés par les silences de certains textes ou par le jeu d'interactions liées à la mise en oeuvre des règles de droit, ils donnent à voir les limites de l'« imaginaire public »
Benoît Plessix, Droit administratif général, 4e éd., LexisNexis, 2022, Manuel, 1787 p.
"Dans un pays comme la France, de tradition étatiste, le droit administratif est couramment présenté comme une discipline autonome du droit privé, organisé à partir d'une institution singulière (l'Administration), structuré par un juge spécial (le Conseil d'Etat notamment) et fondé sur des valeurs propres (l'intérêt général, le service public, le respect de la légalité). Mais comme toute discipline de droit public, il n'en cherche pas moins à résoudre la question plus que jamais fondamentale du rapport entre le pouvoir et l'individu, entre l'ordre et la liberté, entre les besoins de tous et les droits de chacun. C'est pourquoi l'objet de cet ouvrage est d'apporter une connaissance suffisamment approfondie de la matière pour comprendre à la fois son fonctionnement et son esprit. Pour cela, le lecteur y trouvera une présentation des notions fondamentales et des règles principales de la matière, telles qu'elles sont enseignées à partir de la deuxième année de licence. Grâce à l'apport de plusieurs niveaux de lecture, cet ouvrage permettra aussi au lecteur d'approfondir ses connaissances en l'éclairant sur la provenance, le contexte et l'application des règles du droit administratif français.
Benoît Plessix, Paul de Lapeyrière, La Collectivité européenne d’Alsace, 2022
Benoît Plessix, Fanny Grabias, Marion Ubaud-Bergeron, Droit administratif général, 2e éd., LexisNexis, 2021, Objectif droit ( TD ), 256 p.
Cet ouvrage couvre la matière dite de "droit administratif général" correspondant au programme de droit administratif traditionnellement enseigné dans les facultés de droit aux étudiants de deuxième année de licence. L'ouvrage propose une présentation de cette matière dans l'esprit de clarté et de pédagogie propre aux travaux dirigés : vingt thèmes offrent des exercices d'application (dissertations, commentaires, études de cas), accompagnés de leur corrigé intégral ainsi que de quelques documents et suggestions de lecture. Les auteurs insistent sur ce que l'on attend d'un étudiant en droit : la maîtrise des connaissances fondamentales ; la connaissance des grands arrêts du droit administratif ; la maîtrise du raisonnement juridique ; et le soin apporté au respect des usages formels en vigueur chez les juristes, notamment en matière de plan et de rédaction.
Benoît Plessix, Benjamin Defoort, Benjamin Lavergne, Florent Blanco, Camille Broyelle [et alii], Juger de la légalité administrative: quel(s) juge(s) pour quelle(s) légalité(s), LexisNexis, 2021, 335 p.
Lorsque l'on évoque le "juge de la légalité", c'est à la figure du juge administratif français de l'excès de pouvoir que l'on songe de prime abord. Cette assimilation mérite d'être questionnée et mise en perspective. C'est aussi, plus largement, la diversité des juges amenés à vérifier la "validité" des normes administratives, l'hétérogénéité de celles soumises à un tel contrôle, et la disparité des modalités d'exercice de celui-ci, qu'il importe de mettre en lumière, en s'émancipant d'une vision restrictivement axée sur le "contentieux de l'annulation" de Laferrière. Car la spécificité de la mission du juge de la légalité tend à s'obscurcir à mesure qu'évolue l'office du juge de l'excès de pouvoir pour se rapprocher de - voire se fondre dans - celui du plein contentieux. On pourrait penser que l'opération intellectuelle consistant à juger de la légalité de quelque chose fait appel à des modalités de contrôle qui diffèrent de la seule appréciation d'un fait en termes de licéité, comme dans un contentieux de la responsabilité. Juger de la légalité administrative c'est, d'abord et avant tout, juger les normes administratives dans leurs rapports à d'autres normes. Faire de cette opération le propre du jugement de la légalité conduit à renouveler le regard porté classiquement sur cette question. C'est ce à quoi s'attachent les contributions réunies dans cet ouvrage, qui explorent et réinterrogent les différents aspects de ce que signifie juger de la légalité.
Benoît Plessix (dir.), Hommage à René Chapus, 1924-2017, Éditions Panthéon-Assas, 2020, Hors collection, 182 p.
"Cet ouvrage rassemble les actes de deux journées d'études organisées en hommage à René Chapus (1924-2017). La première a été organisée par le Centre de recherche en droit administratif (CRDA) de l'université Paris II Panthéon-Assas en janvier 2018 et regroupe les interventions d'universitaires et de praticiens ayant connu René Chapus. La seconde réunit les contributions des auteurs du "Printemps de la jeune recherche 2018", manifestation organisée chaque année par l'Association française pour la recherche en droit administratif (AFDA) et offrant à des doctorants et de jeunes docteurs l'occasion de travailler sur l'oeuvre d'un grand administrativiste. La réunion de toutes ces contributions dans un seul et même volume permet de donner une image fidèle de la personnalité et de l'apport scientifique de René Chapus, éminent représentant de la doctrine universitaire française de la seconde moitié du XXe siècle, considéré comme un des meilleurs spécialistes du droit administratif. René Chapus (1924-2017) était professeur émérite de l'université Paris II Panthéon-Assas, spécialisé en droit administratif."
Benoît Plessix, Droit administratif général, 3e éd., LexisNexis, 2020, Manuel, 1741 p.
Benoît Plessix, Gabriel Martin, La médiation en droit administratif, 2020
Les présents travaux de recherche portent sur la procédure de médiation en droit administratif. Introduit aux articles L. 213-1 et suivants du code de justice administrative en 2016, ce mode alternatif de règlement des différends n’a pas encore fait l’objet d’une étude doctrinale approfondie. Le mémoire a donc pour ambition de défricher le sujet. Il envisage la médiation sur un plan théorique – la médiation est une procédure non seulement de déjuridictionnalisation, mais également de déjuridicisation d’un litige – tout en proposant une interprétation des premières jurisprudences rendues en la matière. La fonction de médiateur, très singulière, est également étudiée dans le cadre de la seconde partie.
Benoît Plessix, Ilyes Kameche, Les enquêtes administratives, 2020
Ce mémoire vise à étudier le régime juridique de l'enquête administrative en France, en éclairant ses lacunes initiales et les avancées qui l’ont progressivement structuré. Longtemps dépourvu de garanties procédurales suffisantes, notamment en matière de droits de la défense, le régime de l'enquête administrative est resté en retrait de l’intérêt du juge administratif, peinant à s'imposer comme un véritable cadre protecteur pour les justiciables. Cependant, grâce aux apports de la jurisprudence, et en particulier de l’arrêt du Conseil d’Etat Société Alternative Leaders France en date du 15 mai 2013, l’enquête administrative a gagné en rigueur, affirmant la nécessité d’un encadrement plus strict des procédures, et reconnaissant des principes essentiels tels que le contradictoire et la loyauté procédurale, même pour les enquêtes préalables. Par ailleurs, la montée en puissance des sanctions administratives a favorisé cette structuration, permettant de mieux définir les contours de ce régime et d’établir un équilibre entre les pouvoirs de l’administration et la protection des droits des individus concernés. De plus, le contrôle juridictionnel des sanctions administratives s’est intensifié, assurant un cadre de garanties accru pour les justiciables. Si des avancées notables ont été réalisées, le régime de l’enquête administrative reste toutefois marqué par certaines incertitudes. Le régime juridique des enquêtes administratives, bien que renforcé, nécessite encore des ajustements pour atteindre une cohérence totale et une protection complète des droits des individus. Tel est l’objet d’étude du présent mémoire.
Benoît Plessix, Lucas Tregou-Delvescovo, La notion d’organisme de droit public, 2020
Le droit de l’Union européenne possède un vocabulaire particulier. Aussi, les personnes soumises aux règles relatives aux marchés et concessions sont-elles désignées comme des « pouvoirs adjudicateurs ». Parmi ces derniers la directive 2014/24/UE définit l’organisme de droit public comme tout organisme créé pour satisfaire spécifiquement des besoins d’intérêt général ayant un caractère autre qu’industriel ou commercial ; doté de la personnalité juridique; et soit financé majoritairement par l’État, les autorités régionales ou locales ou par d’autres organismes de droit public, soit sa gestion est soumise à un contrôle de ces autorités ou organismes, soit son organe d’administration, de direction ou de surveillance est composé de membres dont plus de la moitié sont désignés par l’État, les autorités régionales ou locales ou d’autres organismes de droit public. Cette définition, très riche, présente au moins trois intérêts. Tout d’abord, le mémoire se propose de préciser les contours de cette notion en droit de l’Union européenne par l’analyse des travaux préparatoires des directives et de la jurisprudence de la Cour de justice. Ensuite, le mémoire examine comment la nécessaire transposition des directives n’a pas empêché que cette notion d’organisme de droit public s’impose difficilement à raison de concurrence opérée par la notion de personne publique. Enfin, de récents travaux voient dans la notion d’organisme de droit public un outil pour une redéfinition du critère organique du droit administratif. Le mémoire interroge donc la pertinence d’une telle entreprise, laquelle se révèle largement limitée.
Benoît Plessix, Lucie Cluzel-Métayer, Pascal Combeau, Anne-Laure Girard, Pascale Idoux [et alii], Le droit administratif au défi du numérique: [actes du 12e Colloque annuel de l'AFDA, 13-15 juin 2018, Bordeaux], Dalloz, 2019, Thèmes et commentaires, 233 p.
Benoît Plessix, Pierre Bonin, Didier Truchet (dir.), Hommage à Jean-Jacques Bienvenu (1948-2017), Société pour l'histoire des facultés de droit et de la culture juridique, 2019, 265 p.
Benoît Plessix, Louis Bahougne, Jacques Caillosse, Jean-Yves Chérot, Lucie Cluzel-Métayer [et alii], Les méthodes en droit administratif: colloque organisé les 7, 8 et 9 juin 2017 par l'Association française pour la recherche en droit administratif et par l'Institut de droit public et de la science politique de l'Université de Rennes 1, Dalloz, 2018, Thèmes et commentaires
Benoît Plessix, Louis Bahougne, Jacques Caillosse, Jean-Yves Chérot, Lucie Cluzel-Métayer [et alii], Les méthodes en droit administratif: [actes du 11e Colloque annuel de l'Association française pour la recherche en droit administratif, AFDA, les 7, 8 et 9 juin 2017, Rennes 1], AFDA et Dalloz, 2018, Thèmes & commentaires, 276 p.
Benoît Plessix, Droit administratif général, 2e éd., LexisNexis, 2018, Manuel, 1647 p.
Benoît Plessix, Droit administratif général, LexisNexis, 2016, Manuel, 1504 p.
Benoît Plessix, Olivier Descamps, Denis Mazeaud, Alain Ghozi, Cécile Pérès, Hommage à Eugène Gaudemet: [actes de la "Journée en hommage à Eugène Gaudemet",19 décembre 2013], Dalloz, 2015, Thèmes et commentaires, 94 p.
Benoît Plessix, Nathalie Deffains (dir.), Fichiers informatiques et sécurité publique, Presses universitaires de Nancy et Éditions universitaires de Lorraine, 2013, Collection Droit, politique, société, 241 p.
Benoît Plessix, Marion Ubaud-Bergeron, Nathalie Deffains, Droit administratif général: travaux dirigés, LexisNexis, 2013, Objectif droit ( TD ), 192 p.
Benoît Plessix, Rodolphe Dareste, Dominique Foussard, La justice administrative en France ou Traité du contentieux de l'administration: praticien, historien et théoricien du droit, Éd. la Mémoire du droit, 2012, Collection de la Faculté Jean Monnet, 688 p.
Benoît Plessix, Jean-Jacques Bienvenu, Jacques Petit (dir.), La constitution administrative de la France, Dalloz, 2012, Thèmes et commentaires, 395 p.
Benoît Plessix, Léon Aucoc, La juridiction administrative et les préjugés, Dalloz, 2012, Tiré à part, 27 p.
Benoît Plessix, L'utilisation du droit civil dans l'élaboration du droit administratif, Éd. Panthéon-Assas, 2003, Droit public, 878 p.
Benoît Plessix, Le Droit des contrats administratifs dans les oeuvres de la doctrine publiciste au XIX ème siècle, l'auteur, 1996
Benoît Plessix, La Théorie des droits réels administratifs à l'épreuve du temps, l'auteur, 1995
Benoît Plessix, préface à Jean-Hugues Barbé, Nouvelles recherches sur la condition juridique des établissements publics, LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2024, Thèses, 439 p.
L’étude du développement des établissements publics depuis l’Ancien Régime jusqu’à nos jours a révélé leur dépendance à l’exercice d’une réserve d’autorité qui explique leur résistance aux mouvements de libéralisation et de décentralisation qu’ont connu d’autres établissements à partir de la seconde moitié du XIXe siècle. Cette réserve d’autorité existe indépendamment de toute formulation positive et donne à l’autorité politique le pouvoir de décider librement de leur direction ainsi que de la manière dont ils doivent être administrés. Depuis cette perspective, les établissements publics se définissent comme des établissements dont l’administration est soumise à un contrôle prudentiel ayant pour but de garantir la préservation des intérêts de la communauté politique. La forme de l’établissement public ne provient donc pas d’une catégorie générale que l’autorité politique concrétiserait et à laquelle correspondrait l’application d’un régime fixe de droit public, mais elle est une expression de la puissance publique. Aussi, tout établissement, peu importe la nature de son statut, qu’il soit de droit public ou de droit privé, est susceptible de devenir établissement public. Cette perspective offre un angle de vue différent pour la compréhension des problèmes contemporains concernant cette forme juridique, tel que celui de sa pertinence pour la gestion d’une entreprise, et éloigne les craintes de crise ou de déclin la concernant.
Benoît Plessix, préface à Benjamin Blaquière, La théorie de l'accessoire en droit administratif, LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2022, Bibliothèque de droit public, 520 p.
"Commune à toutes les branches du droit, la théorie de l'accessoire est une règle juridique selon laquelle « l'accessoire suit le principal ». Son utilisation en droit administratif, après n'avoir longtemps été qu'implicite, est aujourd'hui de plus en plus assumée, tant par la doctrine que par le juge, pour justifier soit l'extension d'une qualification juridique, soit l'autorisation d'adjoindre l'accessoire au principal. Cette immixtion dans le discours juridique ne s'est cependant pas accompagnée d'un réel effort de conceptualisation, ce qui n'est pas sans poser quelques difficultés. Cette étude, susceptible d'intéresser tant le chercheur que le praticien, vise en premier lieu à rationaliser l'application de cette règle, en déterminant les situations dans lesquelles elle peut jouer, mais aussi en délimitant strictement le champ de ses effets. Plus largement, elle vise également à en interroger la légitimité, ainsi qu'à en cerner les limites. Plusieurs points saillants ressortent de cette recherche. En droit administratif, la théorie de l'accessoire trouve à s'appliquer principalement dans trois domaines : les immeubles, les activités et les contrats. En matière contractuelle néanmoins, son utilisation se montre particulièrement singulière. Dans tous les cas, elle se distingue très clairement de l'indissociabilité, avec laquelle elle est bien souvent confondue, ainsi que de la logique consistant à offrir une tolérance en présence d'un accessoire secondaire ou marginal. Sa fonction principale, enfin, est d'accommoder le champ d'application des règles auxquelles elle s'applique par rapport aux fins qui ont justifié leur édiction ; constituant en cela une règle d'interprétation des normes foncièrement pragmatique"
Benoît Plessix, préface à Pierre Blanquet, Le sous-contrat: étude de droit administratif, Dalloz, 2022, Nouvelle bibliothèque de thèses, 610 p.
Les administrativistes ont, pendant longtemps, délaissé l'étude du sous-contrat. Sujet de recherche en droit privé, le sous-contrat a pu sembler étranger au droit administratif, alors pourtant qu'existent la sous-traitance dans les marchés publics, les subdélégations de service public ou les sous-occupations du domaine public. Ce temps est révolu et le présent travail s'inscrit dans ce mouvement qui, depuis quelques années maintenant, entend étudier de manière approfondie le sous-contrat en droit administratif. Le postulat sur lequel cette thèse repose est celui de la transversalité de la notion de contrat, et donc de la notion de sous-contrat, ces notions renvoyant à des catégories juridiques qui dépassent la classique summa divisio entre le droit public et le droit privé. Alors que la doctrine privatiste a tendance à enfermer son analyse dans des systèmes de groupes, une étude de droit administratif offre une approche différente grâce à laquelle les limites de la catégorie apparaissent plus clairement. En ce sens, cette étude propose une définition précise de l'instrument articulée autour de deux liens, l'un matériel, l'autre fonctionnel, qui expliquent la relation entre le sous-contrat et le premier contrat. Un régime général est ensuite associé à cette définition afin d'organiser cette union entre les deux contrats. En outre, un jeu d'influences réciproques se dessine, dans lequel droit administratif et sous-contrat se questionnent mutuellement. D'un côté, inséré dans l'activité administrative, le régime général du sous-contrat est adapté aux nécessités de l'Administration. D'un autre côté, le prisme sous-contractuel donne à voir certains principes du droit des contrats administratifs, à l'image du principe de l'exécution personnelle, de l'effet relatif, du critère organique, ou encore de la distinction des deux ordres de responsabilité, sous un angle différent et oblige l'administrativiste à élargir son champ de vision. L'idée que le droit public, comparé au droit privé, puisse servir à mieux saisir l'instrument contractuel en général peut troubler. Pourtant, c'est bien l'étude de l'appréhension par le droit administratif de cette catégorie transversale du sous-contrat qui permet de mieux le connaître.
Benoît Plessix, préface à Louis Feilhes, Ackiel Boudinar-Zabaleta, Gaëlle Hardy, Édouard Coulon, Pauline Dupont [et alii], Un droit "administratif" européen: regards croisés des droits administratifs français et de l'Union européenne, Bruylant et Strada lex Europe, 2022, Collection droit administratif, 220 p.
Benoît Plessix, préface à Basile Mérand, Les fonctions du consentement des administrés en droit administratif français, L'Harmattan, 2020, Logiques juridiques, 701 p.
La 4ème de couv. indique : "Contrairement à une idée assez répandue, la notion de consentement n'est pas le monopole du droit privé. Le droit administratif français lui fait également une large place, y compris dan sles domaines régaliens. En plus des contrats, on le rencontre encore, notamment, en droit hospitalier, en droit fiscal, dans le domaine des biens, des libertés publiques, des collectivités locales ou enfin de manière très fréquente dans les procédures administratives, contentieuses et non contentieuses. L'analyse des textes, de la jurisprudence et du discours doctrinal révèle, l'omniprésence du consentement des administrés dans un droit pourtant imprégné d'unilatéralité. Ce consentement remplit trois fonctions principales. Il peut tout d'abord constituer par sa présence ou, au contraire, son absence, un élément de définition d'un certain nombre de notions. Il permet ensuite l'exercice de multiples libertés par les administrés, notamment dans le domaine des droits de la personnalité. Mais, il assure enfin une fonction de légitimation de l'action administrative. La prise en compte par l'administration du consentement des administrés ne joue donc pas nécessairement en leur faveur mais pourrait plutôt se révéler un moyen supplémentaire au service de l'appareil d'Etat. Un ouvrage clair sur une question oubliée du droit administratif, le consentement."
Benoît Plessix, préface à Fanny Grabias, La tolérance administrative, Dalloz, 2018, Nouvelle Bibliothèque de Thèses, 634 p.
Au point de départ de (la) recherche, il y avait l'arrêt Oneryildiz de la Cour européenne des droits de l'homme de 2002, ayant admis que la tolérance par l'administration turque d'une construction irrégulière sur un terrain public ne faisait pas obstacle à la reconnaissance au profit de son bénéficiaire d'un droit au respect de son bien. L'objet de la thèse de Madame Fanny Grabias était donc initialement de bâtir les éléments constitutifs d'un statut juridique de ceux qui bénécient d'une tolérance de l'Administration, pour les protéger le jour où celle- ci décide d'y mettre fin, brutalement, soudainement. Mais elle s'est très vite rendu compte que la notion même de tolérance administrative n'était pas juridiquement définie, ce qui était une lacune théorique et une cause de confusion pratique, de sorte qu'il fallait d'abord essayer de la distinguer de notions voisines mais pourtant distinctes (dérogation, inertie, carence, etc.). C'est pourquoi il lui a paru indispensable de consacrer une première partie de ses développements à la définition même de la notion de tolérance administrative Ë...Đā. Mais, fidèle à ses, engagements initiaux Ë...Đā Madame Fanny Grabias n'a jamais délaissé son ambition prospective initiale et a maintenu son projet de jeter aussi les bases d'un régime un minimum protecteur des bénéficiaires de tolérances administratives. Ce besoin d'une plus grande protection juridique que Madame Fanny Grabias défend dans la seconde partie de sa thèse s'inscrit pleinement dans la trame même du droit administratif contemporain qui, au nom de la sécurité juridique et, plus précisément de l'idée de confiance légitime, et en vertu d'un mouvement de subjectivisation, n'admet plus que des administrés puissent ne bénéficier d'aucune garantie juridique, et puissent être ainsi à la merci d'un revirement soudain de position de l'Administration, qui décide brutalement de faire cesser ce qu'elle avait pourtant paru accepter depuis parfois très longtemps
Benoît Plessix, préface à Pierre Delvolvé, Gweltaz Éveillard, Jean-François Giacuzzo, Les controverses en droit administratif: [actes du colloque organisé à l'occasion des 10 ans de l'Association française pour la recherche en droit administratif, les 15, 16 et 17 juin 2016, àl'Université d'Auvergne-Clermont-Ferrand], Dalloz, 2017, Thèmes & commentaires, 239 p.
Benoît Plessix, préface à Véronique Coq, Nouvelles recherches sur les fonctions de l'intérêt général dans la jurisprudence administrative, l'Harmattan et Impr. Corlet, 2015, 659 p.
Benoît Plessix, préface à Maxence Chambon, Le conflit de lois dans l'espace et le droit administratif, mare & martin, 2015, Bibliothèque des thèses ( Droit public ), 669 p.
Benoît Plessix, « Journée d’étude en souvenir du Doyen Christiane Plessix-Buisset », prévue le 14 février 2025
Le Parlement de Bretagne accueillera le vendredi 14 février 2025, de 9h30 à 16h00, une journée en souvenir de Christiane Plessix-Buisset.
Benoît Plessix, « Antagonismes politiques, religieux et culturels - Arts, patrimoines et droit », le 31 janvier 2025
Conférence organisée par Dogma - l'Institut pour l’étude des disciplines dogmatiques et l’histoire générale des formes, Université Paris Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « Transition écologique et système de santé », le 09 décembre 2024
Journée organisée par Benoît Apollis, Maître de conférences, CERSA, Université Paris-Panthéon-Assas, Sara Brimo, Professeure junior HDR, CRDA, Université Paris-Panthéon-Assas et Jean-Baptiste Guyonnet, Maître de conférences, CRDA, Université Paris-Panthéon-Assas.
Benoît Plessix, « La conjuration du risque. Quand gouverner, c'est prédire », le 17 octobre 2024
Colloque organisé par l'ISJPS (CERAP), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et le CDEP, Université d’Artois.
Benoît Plessix, « Droit privé administratif », le 11 octobre 2024
Colloque organisé sous la direction d'Anne Jacquemet-Gauché, Pr de droit public, CMH UR 4232-UCA et Ioannis Michalis, Pr de droit public, Themis-UM EA 4333-Le Mans Université.
Benoît Plessix, « Qu'est-ce qu'un administrativiste ? », le 20 septembre 2024
Séminaire organisé dans le cadre des "Rencontres Chez Michoud", discussions grenobloises sur les transformations du droit administratif par le CRJA et le CESICE, Université Grenoble-Alpes
Benoît Plessix, « Les 70 ans de l’arrêt Barel », le 24 juin 2024
Conférence organisée par le Conseil d'Etat
Benoît Plessix, « La police administrative », le 06 juin 2024
Colloque annuel de l’Association française pour la recherche en droit administratif, organisé par le CERDACFF, Université Côte d’Azur.
Benoît Plessix, « A propos du contrôle financier de l'administration », le 05 avril 2024
Colloque organisé par le CRDA et l'Institut Cujas, Université Paris-Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « Droit public et politique », le 21 mars 2024
Colloque organisé par le CMH, Université Clermont Auvergne sous la direction scientifique de Élise Fraysse, Pr de droit public à l'Université Clermont Auvergne
Benoît Plessix, « Dialogue des juges autour du droit à l'environnement sain des générations futures et autres peuples », le 07 février 2024
Conférence d'actualité organisée par le CRDA, avec l’assistance de l’Institut Cujas, Université Paris Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « 70ème anniversaire des tribunaux administratifs », le 15 décembre 2023
Colloque organisé par la Section du rapport et des études du Conseil d’Etat.
Benoît Plessix, « Une « doctrine économique » des juges français ? », le 23 novembre 2023
Colloque organisé par le Master 2 droit public de l'économie (Université Paris-Panthéon-Assas), le Master "Contrats et marchés publics" (Université de Montpellier), le Centre de recherches en droit administratif (Université Paris-Panthéon-Assas) et l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Benoît Plessix, « Couitéas : regards croisés sur une jurisprudence centenaire », le 10 novembre 2023
Table ronde organisée par l'IRENEE, Faculté de droit, Université de Lorraine
Benoît Plessix, « Pollution de l'air et responsabilité de l'État », le 03 octobre 2023
Conférence d'actualité organisée par la Chaire Observatoire Santé et Environnement – Analyse Juridique et InterdisciplinaiRe (OSE-AJIR) rattachée au CRDA
Benoît Plessix, « Pesticides et droit public », le 16 mai 2023
Organisé par la Chaire « Observatoire Santé et Environnement - Analyse Juridique et InterdisciplinaiRe (OSE AJIR) » rattachée au Centre de Recherches en Droit Administratif (CRDA), Université Paris Panthéon-Assas avec l'assistance de l'Institut Cujas sous la direction de Sara Brimo, professeur junior HDR à l’Université Paris-Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « La doctrine et le Conseil constitutionnel », le 11 mai 2023
Colloque organisé par l'Institut de recherche Carré de Malberg - IRCM, Université de Strasbourg et l'Institut de droit public - IDP, Université de Poitiers sous la responsabilité scientifique de Samy Benzina, Professeur à l’université de Poitiers et Julien Jeanneney, Professeur à l’université de Strasbourg.
Benoît Plessix, « Autour de l'arrêt Blanco - 1873-2023 », le 08 février 2023
Organisé par le CRJ Pothier, Université d'Orléans, le Conseil d’Etat, l’IUF, le CMH et l’UPEC
Benoît Plessix, « Autour de l'ouvrage de Benoît Plessix, "Le droit public" », le 30 novembre 2022
Séminaire général de l’École Doctorale Georges-Vedel - ED7, Université Paris-Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « Cinq cents ans d'enseignement du droit », le 21 novembre 2022
Colloque organisé par l'université Paris-Panthéon-Assas, en partenariat avec l'Académie des Sciences morales et politiques, l'Académie des Inscriptions et Belles lettres et France Mémoire, service de l'Institut de France, avec l'assistance matérielle et financière de l'Institut Cujas, Fédération des centres de recherche en droit public de l'université Paris-Panthéon-Assas, et de l'Institut d'Histoire du droit Jean Gaudemet.
Benoît Plessix, « Grandes questions de droit économique », le 21 octobre 2022
Séminaire du Master 2 Droit public de l'économie, avec l'assistance du Centre de Recherches en Droit administratif - CRDA, Université Paris Panthéon-Assas, sous la direction des Professeurs François Blanc et Stéphane Braconnier, Directeurs du Master 2 Droit public de l’économie, et du Pr.Benoît Plessix, Directeur du CRDA
Benoît Plessix, « Avec Cormenin. Pérégrinations », le 19 mai 2022
Organisé par L'Institut d'Histoire du Droit (IHD) sous la direction scientifique de Adrien Lauba et Damien Salles
Benoît Plessix, « Droit administratif allemand », le 01 avril 2022
Table ronde organisée autour de l'ouvrage d'Anne Jacquemet-Gauché, sous la responsabilité scientifique de Pascale Gonod (SERDEAUT) et Benoit Plessix (CRDA).
Benoît Plessix, « La doctrine publiciste et le tournant des années soixante-dix », le 18 novembre 2021
Colloque organisé par l'IRDEIC et l'IMH, sous la direction scientifique de Wanda Mastor, Pr. de droit public, Toulouse Capitole, IRDEIC et Jean-Gabriel Sorbara, Pr. de droit public, Toulouse Capitole, (IMH)
Benoît Plessix, « Le principe de légalité en droit comparé », le 15 septembre 2021
Colloque organisé en partenariat avec l'Institut Universitaire de France et la Deutsche Universität für Verwaltungswissenschaften Speyer, sous la direction d'Anne Jacquemet-Gauché, Pr de droit public, CMH-UCA et Ulrich Stelkens, DUV-Speyer
Benoît Plessix, « Les dix ans du contentieux indemnitaire DALO », le 09 juin 2021
Journée organisée conjointement par l'ISJPS, l'IRJS (SERDEAUT) de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ainsi que le CRDA de l’Université Paris 2 Panthéon-Assas, la présente journée d’étude a pour objet de mieux cerner ce contentieux original.
Benoît Plessix, « Le temps en droit administratif », le 03 juin 2021
Colloque annuel de l’Association Française pour la recherche en Droit Administratif.
Benoît Plessix, « Un droit "administratif" européen : regards croisés des droits administratifs français et de l’Union européenne », le 20 mai 2021
Colloque organisé par le Centre de droit européen et le Centre de recherches en droit administratif, sous la direction de Louis Feilhes
Benoît Plessix, « Des institutions et des normes », le 19 mai 2021
Organisé par Le Centre d’études constitutionnelles et politiques (CECP), Université Paris II Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « Centenaire de l'arrêt Bac d'Eloka », le 22 janvier 2021
Organisé par l’IMH, Université Toulouse 1 Capitole
Benoît Plessix, « Les nouveaux visages de l’administration », le 11 décembre 2020
Journée d’études de l’Association Française pour la recherche en Droit Administratif (AFDA).
Benoît Plessix, « Obliger l’Etat ? », le 10 mars 2020
Organisé par le Master 2 Droit public approfondi de l'Université Paris 2 Panthéon-Assas
Benoît Plessix, « L'identité de l'État dans la globalisation », le 06 février 2020
Colloque organisé par le LEJEP et le CPJP sous la responsabilité scientifique de Maxence Chambon et Pierre-Marie Raynal.
Benoît Plessix, « Le juge judiciaire, juge des autorités de régulation », le 23 janvier 2020
Organisé sous la direction scientifique des Professeurs Loïc Cadiet, IRJS, Paris 1 et Thomas Perroud, CERSA, Paris 2
Benoît Plessix, « Dommages de guerre et responsabilité de l'État », le 16 décembre 2019
Colloque organisé dans le cadre du Centenaire 1914-1918 par le Comité d'histoire du Conseil d'État et de la juridiction administrative, l'IHD EA 2515, Paris Descartes, le CESICE (Université Grenoble Alpes) et l'OMIJ (Université de Limoges).
Benoît Plessix, « La maîtrise d’ouvrage publique », le 03 décembre 2019
Journée d’études de l’Association française pour la recherche en droit administratif (AFDA)
Benoît Plessix, « Le référé », le 29 novembre 2019
Organisé par les sections du contentieux et du rapport et des études du Conseil d’Etat en partenariat avec l’ordre des avocats au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation, dans le cadre des « Entretiens du contentieux »
Benoît Plessix, « Le dictionnaire en droit administratif », le 11 octobre 2019
Colloque organisé par l'Institut Léon Duguit, Université de Bordeaux.
Benoît Plessix, « Hommage à Prosper Weil », le 03 octobre 2019
Organisée par le Centre de Recherches en Droit Administratif (CRDA) et l'Institut des Hautes Études Internationales (IHEI)
Benoît Plessix, « Les impensés du droit administratif », le 27 mai 2019
Benoît Plessix, « Cohérence et actes administratifs », le 21 mars 2019
Organisé par l’IDP, Université de Poitiers sous la direction de Monsieur François Brenet et Madame Anne-Laure Girard, professeurs de droit public
Benoît Plessix, « La nature du recours dans le procès de régulation », le 31 janvier 2019
Cycle organisé sous la direction scientifique des professeurs Thomas Perroud (CERSA, Paris 2) et Loïc Cadiet (IRJS, Paris 1)
Benoît Plessix, « Hommage à Jean-Jacques Bienvenu », le 25 janvier 2019
Benoît Plessix, « Justice administrative et Constitution de 1958 », le 10 janvier 2019
Colloque organisé dans le cadre des Journées décentralisées 2018 de l’Association française de droit constitutionnel (AFDC) portant sur le thème : Justice(s) et Constitution.
Benoît Plessix, « Droit et Libertés », le 06 juillet 2018
Journée d'études organisée par la Faculté de Droit, Sc. éco et Gestion, Institut de Recherches sur l’Évolution de la Nation Et de l’État (IRENEE), l’Institut François Geny (IFG), et l’Ecole doctorale SJPEG
Benoît Plessix, « Le droit administratif au défi du numérique », le 14 juin 2018
Benoît Plessix, « Le contrôle de la régulation des secteurs ferroviaires, de l’énergie et des communications électroniques par la Cour d’appel de Paris », le 04 avril 2018
Cycle organisé sous la direction scientifique de Thomas Perroud, CERSA, Paris II Panthéon Assas et Loïc Cadiet, IRJS, Paris 1 Panthéon Sorbonne
Benoît Plessix, « Personne humaine et Personnalité juridique », le 08 janvier 2018
Benoît Plessix, « Droit administratif général. Autour de l'ouvrage de Benoît Plessix », le 06 décembre 2017
Organisé par l’Institut Michel Villey
Benoît Plessix, « Le(s) rôle(s) des tiers dans la procédure administrative contentieuse », le 22 septembre 2017
Organisé par l’Institut de Droit Public et de Science Politique, (IDPSP), EA 4640
Benoît Plessix, « La prise de position provoquée en droit administratif », le 27 avril 2017
Benoît Plessix, « Le droit administratif et les élections », le 20 janvier 2017
Journée d’études de l’Association Française de Droit Administratif organisée par le CRJ
Benoît Plessix, « L'arbitrage des personnes publiques », le 09 décembre 2016
A l'initiative de la revue du droit public (RDP) dirigée par le professeur Yves Gaudemet, le Centre de recherches en droit administratif (CRDA) de l'Université Panthéon-Assas (Paris II), dirigé par le professeur Benoît Plessix.
Benoît Plessix, « Les litiges entre personnes publiques », le 17 novembre 2016
Colloque sous la direction de Ch-André DUBREUIL, Pr de droit public, Anne JACQUEMET-GAUCHE, Pr de droit public
et Caroline LANTERO, MCF en droit public
Benoît Plessix, « La systématisation du droit administratif (2) », le 14 novembre 2016
Ateliers de droit administratif en France et à l’étranger
Benoît Plessix, « Anselme Batbie », le 14 octobre 2016
Demi-journée d'études du CRDA
Benoît Plessix, « Colloque AFDA, La responsabilité administrative », le 06 juin 2012