Maxence Chambon

Professeur
Droit public.

Centre Droit, Éthique et Procédures
Responsable de la formation :
  • Maxence Chambon, Fanny Tarlet, Ugo Assouad, Sandrine Barbier, Aurelien Camus [et alii], Les biens publics à l’étranger, Dalloz et Lefebvre-Dalloz, 2024, Thèmes & commentaires ( Actes ), 238 p.      

    La diplomatie internationale se manifeste parfois dans des domaines inattendus, tel que celui de la propriété publique qui fait l'objet du présent ouvrage. Les possessions des États, et à travers eux de leurs collectivités et de leurs entreprises publiques, en dehors de leurs territoires nationaux sont en ce sens un enjeu central de la conduite des relations internationales. Qu'elles les encouragent ou qu'elles les freinent, elles sont à tout le moins un instrument redoutable de l'exercice comme de la concurrence entre les souverainetés nationales. En ce sens, c'est le lien puissant entre souveraineté, territorialité et puissance publique qui est l'objet de cette étude collective, nourrie par les rencontres inédites d'universitaires de renom, spécialistes du droit administratif des biens et du droit international public, et de praticiens du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.

    Maxence Chambon, Pierre-Marie Raynal (dir.), L'identité de l'État dans la globalisation, CY Cergy Paris Université et ISIPRINT, 2022, LEJEP, 240 p.  

    Par-delà la dimension économique qui en constitue le ressort principal, la globalisation est un processus de « décloisonnement » du monde. Fruit d'une croyance en les vertus de la libération et de la multiplication des échanges, elle procède d'une doctrine dont l'horizon est l'avènement d'un « monde sans frontières ». Présentée comme favorisant la fusion croissante des sociétés et comme tendant, ce faisant, à une forme de paix perpé­tuelle, la globalisation apparaît comme une « notion acritique », un phénomène aussi inéluctable que bienfaisant. Ce processus n'est toutefois pas axiologiquement neutre. Privilégiant une appréhension économique de l'homme et du monde, la globalisation rivalise avec la traditionnelle conception politique du pouvoir et de régulation des rapports sociaux dont l'État est l'instrument. Plus fondamentalement, la promotion d'un espace unique couvrant uniformément le globe entre en contradiction avec la représentation alvéolaire en vertu de laquelle il avait été pensé jusqu'alors, ainsi qu'avec l'unité en fonction de laquelle ce découpage était réalisé. Ordre juridique situé procédant de l'expression d'un pouvoir déterminé s'exprimant au sein d'une sphère géographique précisément délimitée, l'État apparaît, par sa structure même, comme une entrave à la réalisation du programme de la glo­balisation. Une relation dialectique s'instaure alors entre l'État et la globalisation en ce que leur confrontation éprouve et façonne leur substance respective. Loin de faire table rase, la globalisation se plaque sur un monde fortement étatisé qui la marque en retour de son empreinte. La fluidification qu'elle promeut ne peut affluer que par le canal étatique qui en devient l'un des éléments constitutifs. Réciproquement, elle ébranle si profondément l'État qu'elle en interroge l'identité même. La globalisation invite ainsi à déterminer ce qui constitue cette identité, le noyau dur - à supposer qu'il existe - de cette forme d'institutionnalisation du pouvoir. Or, à travers l'État, la globalisation induit et accompagne une vaste reconfiguration du pouvoir. En provoquant, en premier lieu, l'effacement de l'État (1), elle participe à la dis­sipation du pouvoir. Elle en affaiblit le caractère perceptible et, par conséquent, la faculté de le domestiquer que la centralité étatique autorise. Ne provoquant toutefois pas la disparition du pouvoir, la globalisation induisant la migration d'un certain nombre d'attributs traditionnellement étatiques vers des plans et en ferveur d'autorités eux-mêmes globaux entraîne la dissimulation du pouvoir par sa dispersion (Il). Ce mouvement trouve néanmoins, en troisième lieu, sa limite dans la persistance d'une conception politique et univoque du pouvoir dont la survi­vance de l'État est le témoignage (Ill). C'est précisément l'ambiguïté d'une période caractérisée à la fois par la déchéance et par la résistance des montages traditionnels du politique et du droit aux prises avec un modèle postmoderne concurrent que le présent ouvrage a pour objet de questionner.

    Maxence Chambon, Véronique Coq, Hugo Devillers (dir.), Le paradigme de la croissance en droit public, LexisNexis, 2022, 329 p.  

    La croissance est aujourd’hui la principale variable à l’aune de laquelle se mesure la richesse de nos sociétés. Dans cette optique, des dispositifs normatifs variés, nationaux ou européens, entendent redonner du souffle aux économies occidentales qui peinent à se remettre de la « crise de la croissance », encore récemment amplifiée par les crises environnementale, sanitaire et géopolitique. Pourtant, cette notion, pour importante qu’elle soit, ne saurait prendre en considération l’ensemble des facteurs qui font la vie sociale, politique et juridique. Ce contexte favorise la remise en cause progressive du dogme croissanciel longtemps incontesté. Plus précisément, face aux critiques récurrentes dont la croissance fait l’objet, les acteurs publics comme la doctrine invitent à adopter deux attitudes difficilement conciliables. La première consiste à poursuivre le modèle croissanciel en intégrant de nouveaux critères de développement. En ce sens, c’est la croissance « verte », « durable » ou « éthique » qui est recherchée. Plus radicale, la seconde s’oriente vers la fin du paradigme croissanciel. Si ce climat intellectuel mouvementé nourrit bien des interrogations, les juristes français ne s’étaient jamais encore vraiment penchés sur la question. Cet ouvrage inédit portant sur Le paradigme de la croissance en droit public vise à en identifier les causes et les effets, à évaluer les possibilités de son dépassement et à tracer quelques perspectives d’avenir.

    Maxence Chambon, Laetitia Janicot, Jean-Charles Rotoullié, Bernard Stirn, Maximin de Fontmichel, Regards croisés sur la procédure administrative contentieuse et procédure civile: actes du colloque du 7 décembre 2018, Tribunal administratif de Paris, LEJEP et Lextenso, 2019, Collection LEJEP, 133 p. 

    Maxence Chambon, Le conflit de lois dans l'espace et le droit administratif, mare & martin, 2015, Bibliothèque des thèses ( Droit public ), 669 p. 

  • Maxence Chambon, « La désuétude de la sanction », in LEJEP, CY Cergy Université (dir.), Les sanctions administratives, 2023 

    Maxence Chambon, « Pour une adaptation de la méthode conflictuelle à la matière administrative », in Editions Panthéon Assas (dir.), L’INTERNATIONALISATION DU DROIT ADMINISTRATIF, 2018 

    Maxence Chambon, « Les fichiers, nouvel instrument de police administrative ? », in Nathalie Deffains, Benoît Plessix (dir.), Fichiers informatiques et sécurité publique, Presses universitaires de Nancy-Éd. universitaires de Lorraine, 2013, pp. 91 

  • Maxence Chambon, Mehdi Lahouazi, « COVID 19, contrat public international et clause attributive de juridiction », La Semaine Juridique. Administrations et collectivités territoriales, Éditions du Juris-classeur - LexisNexis , 2023, n°36, p. 53 

    Maxence Chambon, « Assaut d'amabilités au Palais-Royal », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2023, n°10, p. 499 

    Maxence Chambon, Philippe Cossalter, « La Villa Médicis, domaine public de l'État », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2021, n°05, p. 893 

    Maxence Chambon, Mehdi Lahouazi, « Un régime administratif d'ordre public », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2021, n°30, p. 1716 

    Maxence Chambon, « L’esquisse d’un droit administratif international »: note sous CAA Paris, 23 janvier 2020, n° 19PA01312, Droit administratif, Éditions techniques - Éditions du Juris-classeur - LexisNexis , 2020, n°89, p. 41 

    Maxence Chambon, « Les collectivités territoriales, acteurs de la globalisation du droit administratif ? », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2019, n°06, p. 994 

    Maxence Chambon, « La compliance dans le secteur public à la lumière de l’Agence Française Anticorruption », Revue internationale de la compliance et de l’éthique des affaires - International Review of Compliance and Business Ethics, LexisNexis , 2018, n°2, p. 12 

    Maxence Chambon, « L'arbitrabilité des litiges a tonalité fiscale », Revue européenne et internationale de droit fiscal, Bruylant (Bruxelles, Belgique) , 2017 

    Maxence Chambon, M. Dupuy, Stephane Pierre-Caps, « L’État de droit », Civitas Europa, Institut de recherches sur l'évolution de la Nation et de l'État IRENEE (Université de Lorraine), 2016 

    Maxence Chambon, « L’espace et le territoire : le droit public à l’épreuve de l’extranéité », Civitas Europa, Institut de recherches sur l'évolution de la Nation et de l'État IRENEE (Université de Lorraine), 2016, p. 151 

    Maxence Chambon, « Renoncer à une guerre picrocholine : retour sur la controverse jurisprudentielle relative au recours par les personnes publiques à l’arbitrage international », Droit administratif, Éditions techniques - Éditions du Juris-classeur - LexisNexis , 2016, p. 151 

    Maxence Chambon, Mélanie Dubuy, Stephane Pierre-Caps, « Avant-propos », Civitas Europa, Institut de recherches sur l'évolution de la Nation et de l'État IRENEE (Université de Lorraine), 2016, n°37, pp. 7-8 

    Maxence Chambon, « La compétence du juge allemand pour trancher un litige opposant deux collectivités publiques françaises. Retour sur CE, 5 juillet 2013, n° 348050 », Civitas Europa, Institut de recherches sur l'évolution de la Nation et de l'État IRENEE (Université de Lorraine), 2015, p. 151 

    Maxence Chambon, « De la guerre froide à la coexistence pacifique : les nouveaux rapports entre arbitrage et droit de l’Union européenne », RTDCiv. Revue trimestrielle de droit civil, Dalloz , 2015, p. 843 

    Maxence Chambon, « La compétence du juge allemand pour trancher un litige opposant deux collectivités publiques françaises »: Retour sur CE, 5 juillet 2013, n˚ 348050, mentionné T., Civitas Europa, Institut de recherches sur l'évolution de la Nation et de l'État IRENEE (Université de Lorraine), 2015, n°34 

    Maxence Chambon, « L’arbitrage international en Droit Administratif, où l’impossible conciliation de deux phénomènes antagonistes », Civitas Europa, Institut de recherches sur l'évolution de la Nation et de l'État IRENEE (Université de Lorraine), 2013, n°31 

  • Maxence Chambon, Jérémy Bousquet, Philippe Coleman, Fanny Grabias, Table ronde n° 1 : Unité/diversité des sanctions, 2023 

    Maxence Chambon, Jérémy Bousquet, Philippe Coleman, Romélien Colavitti, Table ronde n° 2 : Succès/Recul des sanctions, 2023 

  • Maxence Chambon, « Le fonctionnement de l’entreprise à l’ère de la RSE », prévue le 07 mars 2025  

    Colloque organisé par l'ICREJ, Université de Caen Normandie sous la direction scientifique de Aïda Bennini, MCF en droit privé et sciences criminelles à l’Université de Caen Normandie et Solène Ringler, MCF HDR en droit privé à l’Université d’Angers

    Maxence Chambon, « Le droit constitutionnel des Anciens », le 19 décembre 2024  

    Colloque organisé par Pierre-Marie Raynal, avec le soutien du Centre de Philosophie Juridique et Politique.

    Maxence Chambon, « La conjuration du risque. Quand gouverner, c'est prédire », le 17 octobre 2024  

    Colloque organisé par l'ISJPS (CERAP), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et le CDEP, Université d’Artois.

    Maxence Chambon, « La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) au prisme du droit constitutionnel », le 08 octobre 2024  

    Colloque organisé par le Centre de Recherches Droit Dauphine (CR2D) et l’Association française de droit constitutionnel - AFDC

    Maxence Chambon, « Variations actuelles autour de la solidarité territoriale », le 19 septembre 2024  

    Colloque organisé par le CREDESPO, Université de Bourgogne sous la direction de Aurore Granero en collaboration avec le GRALE

    Maxence Chambon, « Les fonctionnaires et les libertés », le 11 juin 2024  

    Colloque organisé par le C.PJ.P. Sous la direction scientifique de Maxence Chambon, Professeur en droit public, Université d'Artois Gesa Dannenberg, Maître de conférences, CY Paris Cergy Université.

    Maxence Chambon, « Arbitrage et droit de l'Union européenne », le 29 mars 2024  

    Colloque organisé par le CERCRID (UMR 5137), la Faculté de Droit de Saint-Etienne et le Centre de Recherches en Droit Public (EA 381) de l'Université Paris Nanterre sous la direction scientifique de Mathieu Combet, MCF en droit privé à la Faculté de Droit de Saint-Étienne (CERCRID - UMR CNRS 5137) et Mehdi Lahouazi, Pr. de droit public à l’Université de Paris Nanterre, CRDP (EA 381)

    Maxence Chambon, « La proportionnalité et le droit : entre attentes et réalités », le 15 mars 2024  

    Colloque international de la jeune recherche organisé par le LEJEP, CY Cergy Paris Université sous la direction de Martin Quesnel, CY LEJEP

    Maxence Chambon, « Les sanctions administratives », le 15 décembre 2023  

    Journée d'étude organisée par le LEJEP, CY Cergy Université

    Maxence Chambon, « Contrat international, arbitrage, médiation et RSE : vers un principe général de RSE », le 30 novembre 2023  

    Colloque organisé par la faculté de droit, Université de Franche-Comté sous la direction de Filali Osman, Professeur de droit privé, CRJFC

    Maxence Chambon, « Vigilance et diligence en droit public », le 13 octobre 2023  

    3ème Journée d'étude organisée par l'Équipe de recherche en Droit Public (L'ERDP) du Centre de recherche droits et perspectives du droit, Université de Lille sous la direction de Charlotte Beaucillon et Carole Gallo, Professeures à l'Université de Lille

    Maxence Chambon, « Les actes administratifs unilatéraux », le 03 juillet 2023  

    Summer school de droit administratif organisée par la faculté de droit, Université de Lorraine sous la direction de Laurent Seurot, Pr. de droit public, Univ. de Lorraine: Fanny Grabias, MCF en droit public, Univ. de Lorraine et Amélie Chevrier, Responsable administrative du site d’Épinal de la Faculté de droit, sciences économiques et gestion de Nancy

    Maxence Chambon, « Les biens publics à l'étranger », le 24 novembre 2022  

    Colloque organisé par le CREAM, Université de Montpellier.

    Maxence Chambon, « La bonne administration de la justice », le 07 avril 2022  

    Colloque des jeunes chercheurs de l'Université de Cergy-Paris organisé par Marie-France Benard, Julie Esquenazi et Cassandre Serrano

    Maxence Chambon, « Le paradigme de la croissance en droit public », le 31 janvier 2022  

    Colloque organisé par Véronique Coq (MCF 02, Université Sorbonne Paris Nord), Maxence Chambon (MCF 02, Université de Cergy) et Hugo Devillers (MCF 02, Université Sorbonne Paris Nord)

    Maxence Chambon, « L’arbitrage en droit public », le 21 octobre 2021  

    Colloque organisé par le LEJEP - Laboratoire d'études juridiques et politiques

    Maxence Chambon, Clémentine Mazille, « La circulation des jugements étrangers de droit public », Semaine européenne de la coopération et action administratives transfrontalières, Bayonne, le 31 mai 2021 

    Maxence Chambon, « Le Conseil d’Etat et les libertés aujourd’hui : exemples choisis », le 03 mars 2021  

    3e webinaire alternatif du cycle "Les états d'urgence : le rôle du Conseil d'Etat dans la protection des libertés", co-organisé par Paul Cassia, Stéphanie Hennette-Vauchez, Olga Mamoudy et Serge Slama.

    Maxence Chambon, « L'identité de l'État dans la globalisation », le 06 février 2020  

    Colloque organisé par le LEJEP et le CPJP sous la responsabilité scientifique de Maxence Chambon et Pierre-Marie Raynal.

    Maxence Chambon, « La culture de la compliance dans le secteur public », le 21 novembre 2019  

    Organisé par la Chaire droit éthique des affaires sous le parrainage de Monsieur Alain Richard, Sénateur du Val d’Oise, ancien Ministre de la Défense

    Maxence Chambon, « Le juge administratif et la médiation », le 18 mars 2019  

    Conférence d'actualité organisée par le LEJEP, Université de Cergy-Pontoise, et le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise

    Maxence Chambon, « Une logique de compliance dans l’action publique », Le futur du droit administratif, Paris, le 01 novembre 2019 

    Maxence Chambon, « Regards croisés sur la procédure administrative contentieuse et la procédure civile », le 07 décembre 2018 

    Maxence Chambon, « L’internationalisation du droit administratif », le 24 mai 2018 

    Maxence Chambon, « La circulation des automobilistes en Europe », le 20 septembre 2017  

    Organisé par le Centre de droit européen de l'université Paris II panthéon-Assas

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Simon Berthon, Les marques des personnes publiques, thèse soutenue en 2024 à Université Clermont Auvergne 2021 sous la direction de Sébastien Hourson présidée par Charles-André Dubreuil, membres du jury : Fanny Tarlet (Rapp.), Émilie Barbin (Rapp.)  

    Exploitée par les collectivités territoriales, les musées nationaux, les universités, l'État… la marque publique est omniprésente. Les personnes publiques sont, en effet, nombreuses à enregistrer un signe distinctif auprès de l'Institut national de la propriété industrielle afin de valoriser leurs activités, protéger leurs dénominations ou améliorer leur identification. Pourtant, et paradoxalement, la marque publique ne fait l'objet d'aucune reconnaissance juridique. Elle s'assimile, pour le législateur et le juge, à une marque classique, c'est-à-dire enregistrée par une personne physique ou morale de droit privé. En cela, elle doit répondre à la logique économique du droit des marques et aux lettres du Code de la propriété intellectuelle. Ce rapprochement hâtif entre la marque publique et la marque classique pose de réelles difficultés. Parce qu'elle est enregistrée par une personne publique et qu'elle ne s'intègre pas systématiquement dans des politiques de valorisation économique, la marque publique dérogerait à l'acception classique de la marque. De même, au regard des intérêts, valeurs et messages qu'elle porte, elle ne serait pas suffisamment protégée par le régime du droit des marques. Émerge, alors, un sentiment d'incohérence entre la marque publique et le cadre juridique qui lui est imposé. La présente étude propose ainsi de déterminer, dans la mesure du possible, les outils, mécanismes et notions juridiques susceptibles de s'accorder avec la marque publique. En respectant cette démarche, il sera possible d'esquisser les premiers traits d'une représentation juridique adaptée aux spécificités de la marque publique.