Guylène Nicolas, Marion Viglione, L'accès à l’interruption volontaire de grossesse en Europe, 2023
L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est un acte médical visant à mettre fin à une grossesse en expulsant l’embryon ou le fœtus hors de la cavité utérine. En Europe, il n’existe pas de droit à l’avortement au titre de la Convention Européenne des Droits de l’Homme cependant, presque tous les pays européens ont légalisé la pratique de l’IVG jusqu’à 12 ou 14 semaines d’aménorrhée en moyenne sur demande de la mère. Néanmoins, les Européennes rencontrent de grandes difficultés et disparités dans l’accès à l’IVG selon les pays, même dans ceux où l’IVG est légale sans conditions sur demande de la patiente. Le but de cette étude est de montrer en quoi l’Europe, à travers les exemples de la France, l’Irlande, la Pologne, l’Espagne, l’Italie, le Portugal, l’Allemagne, est un lieu de disparités dans l’effectivité d’accès à l’IVG pour les femmes en âge de procréer de nos jours. Cette étude se base sur une revue historique et législative de la bibliographie. Les principaux résultats de cette étude démontrent que malgré des législations en faveur de l’IVG pour la majorité des pays européens, la construction des textes législatifs est très différente d’un pays à l’autre qui montrent finalement de nombreuses variations juridiques dans l’accès à l’IVG. De plus, de nombreux facteurs, autres que législatifs, entrent en jeu au sein de ces pays, ajoutent des obstacles supplémentaires aux femmes entraînant une inégalité d’effectivité d’accès à l’IVG.
Guylène Nicolas, Anne-Claire Réglier (dir.), Mort et droit de la santé: les limites de la volonté, LEH édition et LEH édition, 2018, 314 p.
Associer mort et droit de la santé peut sembler déroutant. Pourtant, les années 2015 et 2016 ont été marquées par des évolutions législatives et jurisprudentielles majeures qui traduisent l’appréhension de la fin de la vie par le droit de la santé. La loi n° 2016-87 du 2 février 2016 a d’ailleurs renforcé l’obligation des médecins de prendre en compte la volonté du malade, ce qui a conduit les auteurs à analyser plus largement les limites juridiques du respect de la volonté de chacun à l’épreuve de la mort. La volonté est ainsi retenue comme notion centrale dans la rencontre entre la mort et le droit de la santé. Le juriste connaît mieux le consentement que la volonté. Le consentement est déterminant dans la relation de soins mais cette dernière implique souvent le corps affaibli, souffrant et diminué d’une personne qui n’est plus en mesure d’indiquer ce qu’elle souhaite. Par conséquent, à défaut de consentement, c’est la volonté du patient qui devra être recherchée. La volonté exprimée du vivant perdure après la mort dans les obligations laissées aux descendants de respecter la mémoire du défunt et ses choix. Aussi l’ouvrage se partage-t-il entre la volonté du vivant et celle du de cujus. La volonté du vivant face à la mort peut concerner sa propre mort ou bien celle de tiers. La volonté du de cujus s’exprime, quant à elle, à l’épreuve de l’usage de son cadavre et de l’intérêt des tiers
Guylène Nicolas, Vincent Vioujas (dir.), La modernisation du système de santé: un an d'application de la loi du 26 janvier 2016, LEH édition et LEH édition, 2018, 265 p.
La loi du 26 janvier 2016 ambitionne de moderniser le système de santé français pour lui permettre de relever les nombreux défis auxquels il est confronté. Riche de plus de 200 articles, elle comporte des dispositions relatives à la prévention, à l’organisation des soins ambulatoires et hospitaliers, aux agences sanitaires nationales ou encore aux droits des usagers. Un an après la promulgation de la loi, ce numéro des Cahiers de droit de la santé étend évaluer l’impact de cette réforme ambitieuse et des nouveaux dispositifs mis en œuvre pour tenter d’anticiper les changements futurs. À la lueur des textes réglementaires publiés dans l’intervalle, universitaires et praticiens étudient son apport modernisateur s’agissant à la fois des acteurs et des usagers du système de santé, tout en identifiant les faiblesses et les perspectives d’évolution. De ces différentes analyses se dégage en définitive la conviction que la modernisation du système de santé est loin d’être achevée…
Guylène Nicolas, Emmanuel Aubin, Philippe Bernaz, Michel Chauvière, Sébastien Defix [et alii], Le droit de l'aide et de l'action sociales à la croisée des chemins, Éditions Cujas, 2018, Collection Actes & études, 193 p.
Guylène Nicolas, Jean-Luc Albert, Harold Astre, Jean-François Boudet, Gérard de Daran [et alii], Établissements de santé et moyens financiers: la satisfaction de l'intérêt général à la mesure de son coût, LEH édition et LEH édition, 2018
Un besoin d’intérêt général est un besoin potentiellement de tous, dont la satis faction nous importe tous. Il implique la globalité de ceux qu’il concerne. Si en matière d’intérêt général, le principe d’égalité est prééminent, il n’empêche que les prestations d’intérêt général ont un coût et il convient d’être en mesure pour chacun d’y faire face finan cièrement. Si la puissance publique est résolue à intervenir pour prendre en charge l’essentiel des coûts, comment faire si elle-même y affronte des difficultés financières ? En somme, quel est le coût de la démocratie ? Il est particulièrement intéressant d’examiner de ce point de vue le secteur de la santé. Nous y trouvons un besoin d’intérêt général de tout premier rang mais aussi des coûts considérables, qui dépassent non seulement les personnes privées, mais aussi à de nombreux égards, les personnes publiques. Les établissements de santé posent résolument le problème de la définition même de l’intérêt général comme devant faire l’objet de prestations bénéficiant à tous également. Pour affronter la question des coûts, peut-il y avoir une hiérarchie des soins et donc une hiérarchie des bénéficiaires ? Une question à plusieurs faces se pose : à l’égard des établissements de santé, l’intérêt général n’est-il satisfait qu’à la mesure de son coût ? C’est ici l’essence même de la notion d’intérêt général qui est en cause. Nous devons dans un premier temps établir les limites financières de la dynamique de l’intérêt général en matière de santé. Il conviendra ainsi de commencer par prendre la mesure des coûts des missions des établissements de santé puis de leurs moyens financiers. Comment parvenir à ce que ceux-ci correspondent à celles-là ? Dans un second temps, nous procèderons à l’analyse de l’encadrement financier des établissements. Les tutelles administratives et les contrôles juridictionnels doivent contribuer à la rigueur de la gestion des établissements de santé confrontés au problème essentiel de leurs moyens financiers. Les établissements de santé, au regard de leurs missions, sont au coeur de la satisfaction de l’intérêt général qui n’est pas uniquement un intérêt sanitaire. Les questions sont multiples : sociales, techniques, éthiques, démographiques, sécuritaires… et évidemment économiques. La contrainte financière ne cesse de peser et interroge sur la capacité des établissements de santé à être en mesure de satisfaire leurs exigences d’intérêt général. Face à l’accroissement des dépenses de santé et à un contexte général de crise, la maîtrise des dépenses est une condition même de l’effectivité de la satisfaction de l’intérêt général. Les établissements de santé ont recherché une nouvelle cohérence à travers un train de réformes, y compris sur le terrain financier. La mesure financière influe sur les exigences de performance et de qualité. Pour l’intérêt général, le coût constitue un défi permanent. Où en est-on de ce défi ? Comment se nouent les liens entre établissements de santé, finances et intérêt général ?
Guylène Nicolas, Jean-Philippe Agresti, Éric Gasparini, Séverine Hupfer, Thanh Tu Le [et alii], La rencontre du droit français et de la pharmacopée orientale, LEH édition et LEH édition, 2018
C’est à la rencontre du droit français et de la médecine et de la pharmacopée orientale, à travers l’exemple vietnamien, qu’est consacré ce numéro. La « pharmacopée traditionnelle sino-indochinoise » a été juridiquement définie dès l’époque coloniale et la médecine traditionnelle était alors tolérée. À l’indépendance, la médecine locale est devenue la médecine nationale du pays et s’est affirmée à côté de la médecine occidentale dont elle s’est efforcé d’utiliser les méthodes, depuis les expérimentations jusqu’au système de formation et, d’une moindre mesure, pour l’encadrement. Depuis l’entrée de la République socialiste du Vietnam à l’OMS et à l’OPCI se pose avec acuité la question de la brevetabilité. La protection intellectuelle des médicaments traditionnels ne peut pas être considérée comme absolument satisfaisante. Même la réussite de l’artémisine traduit surtout un véritable autocontournement du droit des brevets. L’adaptation de la médecine et de la pharmacopée d’origine non-occidentale aux réalités d’un droit contemporain, élaboré quant à lui dans un univers occidental, suppose certainement un effort des Etats demandeurs, mais il appelle aussi à une réflexion critique sur les solutions juridiques actuelles, notamment pour ce qui a trait au droit de la propriété intellectuelle, qui peuvent et doivent évoluer
Guylène Nicolas, Sophie Gambardella, Estelle Brosset (dir.), La santé connectée et son droit : approches de droit européen et de droit français, Presses universitaires d'Aix-Marseille PUAM, 2017, Collection de droit de la santé, 247 p.
Guylène Nicolas (dir.), Le droit de la santé en Nouvelle-Calédonie, Presses Universitaires de Nouvelle-Caledonie, 2017, Collection LARJE - Laboratoire de recherches juridique et économique, 370 p.
Guylène Nicolas, Fernando Mussa Abujamra Aith, Philippe Henri Louis Amiel, Julien Ancelin, Olivier Andriollo [et alii], Mélanges en l'honneur de Michel Bélanger: modernité du droit de la santé, Les Etudes Hospitalières éditions et Les Etudes Hospitalières éditions, 2017, Mélanges
Guylène Nicolas, Geneviève Casile-Hugues, Jean-Paul Céré, Émilie Delaire, Amandine Gilardeau [et alii], Santé et prison: actes du colloque d'Ajaccio des 20 et 21 avril 2015, LEH édition et LEH édition, 2017
Le droit à la santé en milieu carcéral a subi une évolution notable initiée par la loi du 18 janvier 1994 qui a eu pour effet de modifier profondément l'organisation des soins en prison. Sous l'influence des prescriptions européennes et internationales, la France comme la plupart des états membres de l'Union européenne, s'est dotée d'une loi pénitentiaire le 24 novembre 2009, plus propice à assurer les droits des personnes incarcérées afin d'aligner les droits du malade détenu sur ceux de la personne libre. La personne privée uniquement de sa liberté doit pouvoir exercer un certain nombre de droits dont le droit à la santé figurant parmi les droits fondamentaux des personnes détenues. Néanmoins, cette évolution est encore inachevée, le droit à la santé est toujours à la recherche de lui-même. La concentration au sein de la population carcérale de personnes précarisées sur le plan sanitaire, l'influence négative de la détention sur la santé, les impératifs de sécurité et les moyens budgétaires, matériels et humains des services de santé, rendent insuffisants l'application d’un droit à la santé permettant de fournir aux détenus des soins appropriés à leur besoin. C'est en cela qu'un certain nombre de questions restent posées : quelle signification peut avoir la reconnaissance d'un droit à la santé au sein de l'institution carcérale ? Comment réfléchir sur les rapports entre le contenu des droits des détenus et les moyens institutionnels ou procéduraux permettant d'en garantir le respect ? La situation de dépendance dans laquelle est placé le détenu exige-t-elle de lui conférer des droits supplémentaires ? Quelles règles, quelles pratiques sont aujourd'hui en vigueur dans les prisons en considérant la situation d'usager et de citoyen du détenu ? Comment s'articule dans la pratique médicale l'impératif de soins dans les contraintes carcérales au regard des exigences de la Convention européenne des droits de l'homme ? Dans le souhait de poser les grandes lignes d'une réflexion fondamentale sur le droit à la santé de la personne détenue, après vingt ans d'application de la loi du 18 janvier 1994, dans une approche interdisciplinaire au confluent des interrogations de la société civile, avocats, magistrats, médecins, responsables de l'institution pénitentiaire et universitaires sont invités à croiser leurs regards et à confronter leurs points de vue
Guylène Nicolas, Jacques Battin, Michel Bélanger, Florent Blanco, Laurent Bloch [et alii], Mélanges en l'honneur de Jean-Marie Clément: enseignement, hôpital, médecine, les Études hospitalières, 2016, Mélanges
Guylène Nicolas, Céline Castets-Renard (dir.), Le patrimoine naturel et culturel de la Nouvelle-Calédonie, L'Harmattan, 2015, Droit du patrimoine culturel et naturel, 523 p.
Guylène Nicolas, Caroline Berland-Benhaïm, Yvon Berland, Hervé Maurey, Urbain Ngampio, Les déserts médicaux, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2015
Un spectre hante le monde rural, les banlieues de nos grandes villes et bien d’autres parties de la France : les déserts médicaux. Le phénomène est à la base d’une spirale destructrice pour le système de santé, puis qu’une officine de pharmacie sur dix est située dans une commune avec un seul prescripteur. La question doit être préalablement éclairée par les données statistiques. Et l’examen de la démographie médicale par le président Yvon Berland est très éclairant. La France ne manque pas de médecins : elle a le plus souvent cherché à endiguer leur croissance et elle a une densité médicale supérieure à celle de la plupart de ses voisins. Le problème doit être posé en termes de santé publique, en considérant l’évolution possible du paysage médical, qui pourrait résulter des délégations, transferts et coopérations des professionnels de santé. Il renvoie ainsi à un arrière-plan juridique. Il nécessite un éclaircissement relativement aux possibilités offertes aux agences régionales de santé et aux collectivités locales. Et il soulève la délicate question de la liberté d’installation, dont jouissent les praticiens privés, attachés au caractère libéral de la médecine. Ce numéro se termine avec la présentation d’un autre modèle, celui de l’Angleterre qui offre l’exemple d’un pays où l’équilibre de l’offre de soin est lié à une implication importante des pouvoirs publics dont le National Health Service est le centre. La planification qu’il établit permet de définir le nombre des médecins spécialistes et généralistes qui seront formés chaque année, mais également de conditionner l’offre de soins elle-même tant par la gestion hospitalière que par les trusts regroupant les médecins généralistes. La gestion des déserts médicaux anglais relève de l'action locale de la NHS, qui salarie la majorité des médecins, et de la redéfinition des soins de santé primaires confiés aux infirmières
Guylène Nicolas (dir.), Corps et patrimoine, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2014, 571 p.
Corps et patrimoine est le troisième volume des cahiers de droit de la santé sur le corps. Face aux évolutions scientifiques constantes et aux modifications sociales qu’elles génèrent, les standards du droit positif français sont dépassés et il faut faire œuvre créatrice pour moderniser celui-ci. Cet ouvrage collectif propose d’utiliser les mécanismes complexes de la patrimonialisation pour les appliquer à la relation juridique liant l’individu à son corps mais aussi à l’emprise du groupe social (familial, tribal ou national) sur le corps d’un de ses membres. Le patrimoine est, en effet, une notion polysémique qui offre des exemples divers de la propriété, de la transmission, de l’héritage et de la responsabilité. Du patrimoine de la nation au patrimoine de l’humanité, en passant par le patrimoine du Code civil, les patrimoines sont divers. Matériel, immatériel, culturel ou naturel, les normes encadrent un patrimoine qui évolue avec le temps mais qui correspond toujours à une mise en valeur et une préservation en vue de la transmission. Il en est de même du corps : héritage génétique transmis à la descendance, il est également support d’expression culturelle ou personnelle, il est marqué et transformé pour séduire ou pour vendre une performance sportive, une heure de plaisir, une image sulfureuse… ! Il est conservé pour être sanctifié ou exposé. Philosophe, anthropologues, économiste, médecin, historien se sont joints aux juristes pour couvrir l’ensemble des perceptions du corps et de ses usages sous l’angle de la patrimonialisation. Après quatre introductions complémentaires pour comprendre la notion de patrimonialisation du corps humain, l’ouvrage se partage en sept thèmes déclinant le mécanisme : le capital corporel, la valorisation du corps, le corps objet d’expression artistique, le corps dans la sexualité, le corps mort (sanctification, conservation, exposition et rite), le corps objet de transmission et le corps comme patrimoine de l’humanité. À la diversité des disciplines s’ajoute une comparaison géographique, cet ouvrage se veut aussi un pont entre Europe et Pacifique, non seulement par les auteurs associés mais surtout par les thèmes traités sous ces deux angles afin que la diversité culturelle permette de dépasser le carcan juridique occidental pour engendrer l’innovation
Guylène Nicolas (dir.), L'impact des nouvelles conceptions de la famille et de la médecine reproductive sur le droit de la procréation, Les Etudes hospitalières éditions, 2014, Mémoires numériques de la BNDS (en ligne)
"Dans une société toujours plus marquée par des considérations individualistes, tenant son inspiration de la conception anglo-saxonne du droit à l’épanouissement personnel, la liberté de procréer s’inscrit progressivement comme une valeur fondamentale. Attachée aux notions de liberté personnelle et de respect de la vie privée, la liberté de procréer s’exprime désormais à travers des revendications pour un droit à l’enfant, qui trouverait sa légitimité dans la reconnaissance d’un droit à la famille. L’éclatement du modèle familial traditionnel et les nombreuses possibilités offertes par la technique médicale pour assouvir son désir d’enfant, font ainsi se mêler droit des personnes et droit de la bioéthique, pour se retrouver autour d’un même fondement ; celui de la volonté individuelle. Le droit de la procréation doit alors composer avec d’une part, ces revendications individualistes, et d’autre part, la nécessité de maintenir un ensemble de règles cohérent, nécessaire à la vie en collectivité. Dans un contexte de perpétuel questionnement autour de l’assistance médicale à la procréation et de la famille, ce travail tente d’ouvrir la réflexion sur les bouleversements que pourrait provoquer un changement radical de la philosophie du droit de la procréation, qui oscille aujourd’hui entre le maintien d’une conception biologique française et la possibilité d’un usage de la médecine à des fins sociétales."
Guylène Nicolas, Caroline Berland-Benhaïm, Jacques Chiaroni, Nathalie Dernis, Amanda Dubuis [et alii], Le don du sang, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2014
Le sang a été et est encore à l’origine d’évolutions juridiques majeures en matière de prise en charge des conséquences de drames sanitaires de grande ampleur. Il est un élément déclencheur de ce que le Conseil d’État a qualifié de phénomène de socialisation du risque, processus conduisant à la prise en charge par la société des préjudices individuels subis par chacun. Dans ce cadre, la transfusion sanguine a pris toute sa part, et l’Établissement français du sang, créé le 1er janvier 2000, a assumé ce lourd héritage en indemnisant comme il se devait les victimes de contaminations par le virus de l’hépatique C post-transfusionnelle jusqu’à ce que le législateur décide de confier cette mission, à compter du 1er juin 2010, à l’Office national des accidents médicaux et des affections iatrogènes créé en 2002 et bras armé d’un mécanisme collectif d’indemnisation. Le sang est aussi au centre des questionnements juridiques relatifs à la responsabilité individuelle du prescripteur passant outre un refus de soin. Ceci illustre à nouveau le rôle et la place du sang au cœur du débat permanent entre liberté individuelle et impératif de santé ; entre la liberté du patient et la responsabilité juridique et morale du médecin. L’ensemble de ces questionnements ont été débattus par les juristes spécialistes de ces thématiques à l’occasion du colloque sur le sang du 12 au 14 octobre 2011 et dont les synthèses sont présentées dans le numéro 16 des Cahiers de droit de la santé
Guylène Nicolas, Jean-François Abeille, Dominique Aicardi-Chevé, Carole Aigouy, Hervé Arbousset [et alii], Les catastrophes sanitaires: actes du XIIe Colloque du CDSA (UMR 7268 ADES), Aix en Provence, 15-16 novembre 2012, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2014
À l’heure où les scandales sanitaires se partagent la une des medias avec l’annulation de la mise en examen de Martine Aubry dans le cadre de l’amiante, la mise en cause de la responsabilité pénale de l’ANSM dans le cadre des affaires de pilules de troisième génération ou encore un réquisitoire sévère dans l’affaire des prothèses PIP, le thème « Les catastrophes sanitaires, modèle repensé et controversé de la gestion du risque » apparaît au sein d’une actualité brûlante. Ce thème réunit les caractères d’un enjeu crucial pour la poursuite et l’évolution de nos sociétés confrontées au risque sanitaire lié tant à l’environnement (OGM, amiante…), à l’alimentation (vache folle), à l’industrie pharmaceutique (médiator, isoméride, affaire du sang contaminé, hormone de croissance, affaire PIP) ou encore aux nouvelles technologies (téléphonie mobile, antennes relais) dans des hypothèses où l’éventuelle négligence de l’homme entraînerait sur le long terme un « préjudice de masse » lié à la santé humaine. Cette problématique, qui pose déjà la question de la définition même des catastrophes sanitaires, permet à l’ensemble de la communauté des juristes, des politiques, des scientifiques, des industriels liés à la santé de réfléchir aux évolutions des différentes branches du droit mais aussi à l’évolution de la politique de santé. En effet, analyser les catastrophes sanitaires au sein du panorama de la santé, c’est analyser l’impact que ces affaires ont pu avoir sur la responsabilité, l’indemnisation ou encore la prévention pour créer un modèle par ticulier de gestion du risque sanitaire et ce, dans une appréhension nationale mais aussi européenne et internationale. Cette prise de conscience est la condition sine qua non d’une gestion raisonnée du risque sanitaire reposant tout en nuance sur le principe de précaution
Guylène Nicolas, Estelle Brosset, Christian Byk, Jean-Christophe Careghi, Geneviève Casile-Hugues [et alii], Le secret médical: actes du XIe Colloque du Centre de droit de la santé d'Aix Marseille (UMR 7268 AEDES), Aix-en-Provence, 30 novembre 2011, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2013
Le secret renvoie à des facettes diverses et variées dans le vaste univers du droit. Cette notion extraordinairement polymorphe accuse l'antérité historique du secret médical qui est (un peu trop facilement) rattaché à l'éthique hippocratique. Celui-ci s'est développé dans le sillage du secret de la confession et a donné naissance au secret professionnel, qui permet, par la protection de la confidentialité, la confiance nécessaire du particulier envers le professionnel auquel il s'adresse. C'est au secret médical que le CDSA a consacré son onzième colloque annuel. On ne s'étonnera pas d'un tel sujet. Le secret est au coeur de l'éthique médical et rien de ce qui est médical n'est étranger au Centre de droit de la santé d'Aix-Marseille du professeur Antoine Leca. Les développements de droit interne et de droit(s) européen(s) dans ce quinzième numéro attestent la vitalité scientifique du petit groupe de juristes, qui se trouven aujourd'hui dans l'UMR 7268, au sein de l'université enfin réunifiée d'Aix-Marseille
Guylène Nicolas, Annagrazia Altavilla, Karine Chetrit-Atlan (dir.), La nouvelle loi bioéthique 2004, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2012, 194 p.
La loi du 6 août 2004 s'oriente donc véritablement vers un recentrage des missions de contrôle sanitaire de l'État avec une plus grande cohésion que par le passé. Après une période de cinq ans de création d'agences dans tous les secteurs où se développaient les risques, l'heure est à présent à une rationalisation du système mis en place. L'heure est aussi, comme nous l'avons vu au sein de la loi du 4 mars 2002, à l'élargissement de la participation directe de la société civile concernée par la sécurité sanitaire. Il semble que l'on puisse conclure en disant que le dialogue parlementaire sur l'éthique biomédicale évolue : contrairement à 1994, il est moins philosophique et éthique et devient plus technique et administratif. La manipulation des gènes, des cellules a fait sa place dans les esprits et le discours est maintenant celui de la rationalisation de son encadrement. Sommes nous déjà engagés sur la voie de la banalisation des manipulations génétiques ?
Guylène Nicolas, Olivier Tholozan, Antoine Leca (dir.), De jure corporis ou La réification du corps humain, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2011, 183 p.
Quel est le statut juridique du corps humain ? Le corps humain est-il propriété de l’État ? La réification du corps du sportif entraîne-t-elle une « marchandisation » ? Comment l’avancée du droit des mères à dis poser de leur corps conduit-elle à une réification des ventres ? Pourquoi le droit est-il déterminant de l’avenir génésique de l’humanité ? Autant de questions auxquelles les collaborateurs de cet ouvrage s’efforcent de trouver des réponses. La définition de la notion de « réification juridique » en droit civil démontre que la polémique porte moins sur le ravalement de l’humain au rang de chose que sur la re-détermination des relations entre sujet et objet de droit. La réification juridique du corps est obsédante dans le débat doctrinal actuel. Le refus de faire du corps humain un objet du commerce juridique est une solution récente et loin d’être absolue. La « sanctuarisation » de l’humain dans le Code pénal de 1994 permet désormais de mieux protéger l’intégrité de la personne physique
Guylène Nicolas, Joël Colonna (dir.), L'intégration des personnes handicapées, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2011, 188 p.
« Nous sommes 5 000 000 de personnes dépendantes […] plus de 5 000 000 de laissés pour compte qui sont fatigués de vivre au rabais et qui veulent savoir quelle est leur véritable place et leur vraie valeur » écrivait, en 2002, l’écrivain tétraplégique Marcel Nuss. Comme en réponse à ce cri adressé au Premier ministre, il fut décidé de réformer en profondeur la politique du handicap. Ainsi fut adoptée la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Définissant pour la première fois la notion de handicap en droit français, cette loi entend répondre de façon globale aux aspirations des personnes handicapées. Elle initie à la fois une approche individualisée du handicap (définition du projet de vie et prestation de compensations au titre de la solidarité nationale sur les plans personnel, professionnel et scolaire), et une appro che collective (mise en place des maisons départementales de personnes handicapées et de la commission des droits des personnes handicapées). D’autres textes renforceront cette loi : ainsi, la loi du 31 janvier 2007 relative à l’accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé ainsi que la convention AEREAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) du 6 juillet 2006, permettent aux personnes handicapées d’accéder à une vraie vie sociale en n’étant plus privées de l’accès au crédit. Par ailleurs, un arsenal de sanctions a été mis en place pour obliger les employeurs à respecter leur obligation d’insertion des travailleurs handicapés et de non-discrimination. La question de l’intégration des personnes handicapées est internationale. Quelle est la définition du handicap donnée par le droit commu nautaire ? Quels sont les droits reconnus par la CJCE et les autres pays membres de l’Union européenne ?
Guylène Nicolas (dir.), Les éléments et produits du corps humain, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2011, 250 p.
Le corps humain a été de tout temps exploité mais les interdits religieux l’ont longtemps préservé d’un dépeçage à l’usage d’autrui. Ce n’est plus le cas et le XXIe siècle, comme le XXe, s’illustre par la possibilité de plus en plus vaste d’user des éléments et produits du corps humain. Le don de sang de cordon prélevé et stocké à visée thérapeutique, les tests génétiques en vente sur Internet, l’embryon objet de recherche et de don, la location d’utérus… les exemples se multiplient des potentialités qu’offre l’exploitation des ressources humaines. En France, comme dans la plupart des pays, le législateur est intervenu pour réguler ces utilisations et éviter d’éventuels dérapages jugés contraires à la dignité humaine. Mais, si le don d’organes comme la recherche embryonnaire ou les tests génétiques sont encadrés, les éléments et produits du corps humain n’ont pas reçu de véritable statut. On s’interroge alors sur la réalité d’un corps hors du commerce tant l’exploitation des brevets issus des découvertes de la recherche génétique le rend fructueux. Ces douzièmes Cahiers de droit de la santé du sud-est tentent d’apporter une analyse de l’usage des éléments et produits du corps humain et d’en dessiner le statut juridique au vu des problématiques qu’engendrent les législations applicables et leurs interprétations jurisprudentielles. La réflexion, menée dans un premier temps en droit français, vient s’éclairer de la position des droits étrangers. Ces derniers permettent de révéler les principes universels qui s’esquissent en la matière mais aussi la diversité d’approche du phénomène
Guylène Nicolas, Bertrand Mathieu, Jean-Philippe Feldman, Marie-Angèle Hermitte, La Constitution face au défi de la bioéthique, Les études hospitalières et Les études hospitalières, 2011
Les actes de ce colloque tenu au palais du Luxembourg, le jeudi 3 avril 2008, sous le patronage de M. le sénateur Claude Huriet, s’inscrivent dans le sillage ouvert par l’initiative de M. Nicolas Sarkozy, président de la République, de « compléter le préambule de la Constitution pour répondre au défi de la bioéthique ». Qu’est-ce qui, de la bioéthique, pourrait s’inscrire au frontispice de la Constitution ? Pour les juristes, il y avait deux hypothèses de travail, clairement exprimées par le Pr Bertrand Mathieu, qui a été membre du Comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République (dit comité Balladur) : soit on pose des principes généraux, soit on réglemente certaines pratiques. C’est là un débat ancien sur l’écriture de la Constitution… ouvert en 1789 et jamais refermé depuis. Pour les uns, la Constitution ne saurait entrer dans les détails, pour d’autres le « pouvoir constituant » doit livrer aux juges – dont on se méfie – des références juridiques adéquates et précises. Les intervenants à cette Journée ont renouvelé la problématique et tracé des perspectives qui pourraient éclairer les pouvoirs publics, à commencer par la ratification par la République française de la Convention européenne sur les droits de l’homme et la biomédecine (ouverte à la signature à Oviedo le 4 avril 1997). Une telle solution pourrait être juridiquement efficace, puisque, depuis 1975, le Conseil constitutionnel a développé un contrôle de conventionnalité qui lui permet de vérifier la conformité des lois à nos engagements internationaux
Guylène Nicolas, Louis Favoreu, Joseph Pini, Noëlle Lenoir, Bertrand Mathieu [et alii], LE DROIT CONSTITUTIONNEL DU COMMENCEMENT DE LA VIE,, 2000, 505 p.
LES AVANCEES TECHNOLOGIQUES DE LA FIN DU SIECLE ONT REVOLUTIONNE L'APPREHENSION QUE L'HOMME A DE LUI-MEME : ELLES LUI DONNENT DESORMAIS LE POUVOIR DE MODIFIER SON MODE DE REPRODUCTION ET DE MANIPULER SA PROPRE ESSENCE. EN FRANCE, LE LEGISLATEUR EST INTERVENU EN 1994 POUR ENCADRER L'ASSISTANCE MEDICALE A LA PROCREATION. DANS UNE DECISION DU 27 JUILLET 1994, LA CONSTITUTIONNALITE DE CES LOIS A ETE RECONNUE PAR LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL. CEPENDANT, IL S'EST SUBORDONNE AU POUVOIR D'APPRECIATION DU LEGISLATEUR, NE VEILLANT QU'AU RESPECT DU PRINCIPE DE SAUVEGARDE DE LA DIGNITE DE LA PERSONNE HUMAINE. OR, LES CHOIX LEGISLATIFS EFFECTUES INDUISENT UNE EVOLUTION DE LA CONCEPTION ACTUELLE DES DROITS FONDAMENTAUX. DE NOUVEAUX DROITS SONT REVENDIQUES TEL QUE LE DROIT DE PROCREER, ALORS QUE D'AUTRES SEMBLENT DE PLUS EN PLUS RELATIVISES, COMME LE DROIT DE NAITRE. CET OUVRAGE SE PROPOSE AINSI D'ETUDIER, D'ABORD, LE DROIT DE DONNER LA VIE, REVENDIQUE PAR LES "PROCREATEURS". LA SOCIETE FRANCAISE SEMBLE BRIDER L'ACCES A L'ASSISTANCE MEDICALE A LA PROCREATION AFIN D'ASSURER UNE CERTAINE CONCEPTION DE LA FAMILLE ET DE LA VIE FAMILIALE NORMALE. DE PLUS, LES MANIPULATIONS DU MATERIEL GENETIQUE CONDUISENT A RELANCER LE DEBAT DE LA QUALIFICATION DES DROITS QUE L'HOMME DETIENT SUR SON CORPS. ENSUITE, LES DROITS DU "PROCREE" DOIVENT ETRE OBSERVES. LE DROIT DE NAITRE EST DEVENU UN DROIT LIMITE. OBJET D'UN ARBITRAGE AVEC LE DROIT DE LA MERE SUR SON CORPS, IL EST AUSSI SOUMIS A UNE EXIGENCE DE NORMALITE. LA VALEUR ACCORDEE AU COMMENCEMENT DE LA VIE HUMAINE INCITE A UNE REFLEXION SUR LES BENEFICIAIRESDES DROITS FONDAMENTAUX A TRAVERS LA DEFINITION DE LA PERSONNE HUMAINE. LA CONCLUSION DE CE TRAVAIL FAIT APPARAITRE LA NECESSITE CRUCIALE DE DEPASSER LE PLAN LEGISLATIF POUR FAIRE INTERVENIR LE CONSTITUANT AFIN DE PLACER LA PROTECTION DE LA PERSONNE HUMAINE AU SOMMET DE LA HIERARCHIE DES NORMES ET D'ACCORDER UN VERITABLE STATUT CONSTITUTIONNEL AU CORPS HUMAIN, QU'IL SOIT CONSTITUE OU EN DEVENIR.
Guylène Nicolas, Tradition démocratique et droits de l'homme à l'Est de l'Europe, 1995
Guylène Nicolas, Éloïse Gennet, Philippe Pédrot, Stéphanie Fayolle, Lisa Manganaro, « Table ronde n°5 : L'approche One Health », Revue Juridique du Bonheur, Observatoire International du Bonheur (OIB) , 2024, n°6
Guylène Nicolas, Guillaume Rousset, Antoine Leca, Vincent Vioujas, « La généralisation du tiers payant : heurs et malheurs d’une réforme incertaine », Les cahiers de droit de la santé, Les Études hospitalières édition (LEH Édition) , 2017, n°24, p. 268
Guylène Nicolas, Leonhard Julie, « Les plantes médicales de Nouvelle Calédonie : pour ou contre une inscription à la pharmacopée »: in NICOLAS G. (dir.), Le Droit de la santé en Nouvelle Calédonie. De la médecine traditionnelle à la bioéthique, Cahiers du Laboratoire de recherches juridique et économique, Presses universitaires de Nouvelle-Calédonie (PUNC) , 2017
Guylène Nicolas, « Note sous la décision du Conseil constitutionnel, n°2010-2 QPC du 11 juin 2010, Le Conseil constitutionnel se prononce sur le principe de solidarité nationale envers les personnes handicapées. », Revue française de droit constitutionnel, Presses universitaires de France (Puf) , 2010, n°84, p. 811
Guylène Nicolas, « L'Agence de la biomédecine : un nouveau modèle de sécurité sanitaire ? », Les petites affiches, Lextenso , 2005, n°35, pp. 15-24
Guylène Nicolas, « Recherche sur le statut du corps humain : les principes de la domanialité publique pourraient-ils être appliqués au corps humain ? », Les Cahiers de droit de la santé du Sud-Est, Presses universitaires d'Aix-Marseille (PUAM) , 2004, n°2
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Caractère de gravité des accidents médicaux, des affections iatrogène et des infections nosocomiales », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 496
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Dispositions réglementaires des parties I, II et III du code de la santé publique », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 497
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Protection complémentaire. Santé. Appréciation des ressources. Logement à titre gratuit », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 498
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Consultation médicale. Actes distincts », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 498
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Soins. Prise en charge. Assurance maladie », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 499
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Frais de transport. Prise en charge. Affection de longue durée », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 499
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Stérilisation. Autorisation. Juge des tutelles. Incapables majeurs », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 500
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Commission nationale de l'informatique et des libertés. Surveillance épidémiologique. Malades. Sida », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 500
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Réseaux de santé. Droit des malades. Loi du 4 mars 2002 », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 500
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Sorties de courte durée. Patients hospitalisés. Absence de consentement », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°03, p. 501
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Couverture maladie universelle complémentaire. Effet de seuil », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 158
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Couverture maladie universelle complémentaire. Prise en charge des frais d'optique et auditifs », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 159
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Visite à domicile du médecin. Fixation des critères », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 160
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Majoration de maintien à domicile. Extension », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 160
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Visite à domicile du médecin. Modalités de remboursement », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 160
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Evaluation des revenus permettant de bénéficier de la protection complémentaire en matière de santé », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 161
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Double cotation », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 161
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Rémunération de la visite pré-anesthésique », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 161
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Produits antirétroviraux. Majoration de 15 % des prix des produits pharmaceutiques fournis pas l'hôpital », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°01, p. 162
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Actualité juridique de droit social (les actions et prestations sociales des personnes malades) », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2003, n°3
Guylène Nicolas, « Conformité à la Constitution de la loi allongeant le délai légal d'interruption volontaire de grossesse », Recueil Dalloz, Dalloz , 2002, n°24, p. 1948
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Droits. Malades. Usagers. Démocratie sanitaire. Responsabilité médicale. Aléa thérapeutique. Risques sanitaires », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2002, n°02, p. 351
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Demandes d'indemnisation consécutives à des maladies professionnelles dues à la contamination par l'amiante », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2002, n°02, p. 357
Guylène Nicolas, « Note sous la décision du Conseil constitutionnel, n°2001-446 DC du 27 juin 2001, IVG II. »: Sommaires commentés de droit constitutionnel jurisprudentiel, Recueil Dalloz, Dalloz , 2002, n°24
Guylène Nicolas, Philippe Pédrot, « Actualité juridique de droit social (les actions et prestations sociales des personnes malades). », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2002, n°2
Guylène Nicolas, « Note sous la décision du Conseil constitutionnel, n°2001-446 DC du 27 juin 2001, IVG II, », Revue française de droit constitutionnel, Presses universitaires de France (Puf) , 2001, n°47
Guylène Nicolas, Richard Ghevontian, André Roux, Eva Bruce, Sophie de Cacqueray, « Les circonscriptions électorales », Paris : Economica, Aix-en-Provence : Presses Universitaires d'Aix-Marseille et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1997, pp. 382-396
Ghevontian Richard, Roux André, Bruce Eva, Cacqueray Sophie de, Nicolas Guylène, Sciortino-Bayart Stéphan. Les circonscriptions électorales. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 12-1996, 1997. L'école, la religion et la Constitution - Constitution et élections. pp. 382-396.
Guylène Nicolas, Francis Delpérée, Eva Bruce, Sophie de Cacqueray, « Le contentieux électoral », Paris : Economica, Aix-en-Provence : Presses Universitaires d'Aix-Marseille et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1997, pp. 397-415
Delpérée Francis, Bruce Eva, Cacqueray Sophie de, Nicolas Guylène, Sciortino-Bayart Stéphan. Le contentieux électoral. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 12-1996, 1997. L'école, la religion et la Constitution - Constitution et élections. pp. 397-415.
Guylène Nicolas, Massimo Luciani, Eva Bruce, Sophie de Cacqueray, « Cours constitutionnelles et systèmes électoraux », Paris : Economica, Aix-en-Provence : Presses Universitaires d'Aix-Marseille et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1997, pp. 416-438
Luciani Massimo, Bruce Eva, Cacqueray Sophie de, Nicolas Guylène, Sciortino-Bayart Stéphan. Cours constitutionnelles et systèmes électoraux. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 12-1996, 1997. L'école, la religion et la Constitution - Constitution et élections. pp. 416-438.
Guylène Nicolas, Jorge Miranda, Eva Bruce, Sophie de Cacqueray, « Les candidatures dans les élections politiques », Paris : Economica, Aix-en-Provence : Presses Universitaires d'Aix-Marseille et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1997, pp. 439-484
Miranda Jorge, Bruce Eva, Cacqueray Sophie de, Nicolas Guylène, Sciortino-Bayart Stéphan. Les candidatures dans les élections politiques. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 12-1996, 1997. L'école, la religion et la Constitution - Constitution et élections. pp. 439-484.
Guylène Nicolas, « Conseils citoyens, une contribution à une démocratie épanouie ? », le 03 avril 2025
Colloque organisé conjointement par l'Université de Paris-Nanterre, l'Université de Potsdam, l'Université Franco-Allemande et Aix-Marseille Université
Guylène Nicolas, « Relire la justice constitutionnelle à travers l'œuvre du doyen Favoreu ? », le 05 décembre 2024
Colloque organisé par l'IE2IA, Université de Pau et Pays de l'Adour, l'ILF, le DICE, faculté de droit, Aix-Marseille Université ; l'EMRJ, Université de Corse sous la responsabilité scientifique de Caterina Severino, Xavier Magnon et Wanda Mastor
Guylène Nicolas, « L’autonomie politique et financière des collectivités ultramarines », le 14 novembre 2024
Colloque organisé sous la direction de Jocelyn Bénéteau et Carine David, Aix-Marseille Université.
Guylène Nicolas, « Droit au bonheur et au développement durable », le 25 septembre 2024
Université d’automne organisée par l'Institut Louis Favoreu, Ecole doctorale, Aix-Marseille Université
Guylène Nicolas, « Le droit face à l'intelligence artificielle », le 07 juin 2024
Colloque organisé par la faculté de droit - Aix-Marseille Université dans le cadre des "Rencontres Juridiques de Marseille"
Guylène Nicolas, Fabien Milanovic, Aurélie Mahalatchimy, Baptiste Moutaud, Cecile Vermot [et alii], « Organoids in action: an interdisciplinary approach in social sciences (Organact) », le 29 janvier 2024
Guylène Nicolas, « La mort choisie », le 06 décembre 2023
Colloque organisé par les étudiants du Master 2 Droit, conseil et expertise en matière de santé, Faculté de droit, Aix-Marseille Université sous la direction scientifique de Madame Guylène Nicolas
Guylène Nicolas, « La mort saisie par le droit constitutionnel », le 22 novembre 2023
7e Université d’automne de l'Institut Louis Favoreu
Guylène Nicolas, « One Health en droit international et européen », le 15 novembre 2023
Workshop organisé par le CERIC sous la responsabilité scientifique d'Éloïse Gennet, Chaire de Professeur Junior, Aix-Marseille Université et d'Habib Badjinri Touré, Post-doctorant, Aix-Marseille Université, le CERIC
Guylène Nicolas, « Handicap et sexualité », le 25 octobre 2023
Guylène Nicolas, « Les droits des usagers », le 24 octobre 2023
Conférence organisée dans le cadre du cycle Sociétés, cultures et politiques - Transmission, citoyenneté et engagement, Université de Guyane, sous la responsabilité de Florence Faberon, Professeur de droit public
Guylène Nicolas, « Les recrutements dans les métiers sanitaires et sociaux », le 23 octobre 2023
Conférence organisée par l'Université de Guyane dans le cadre du cycle "Sociétés, cultures et politiques - Transmission, citoyenneté et engagement"
Guylène Nicolas, « Naître ou ne pas naître, de l’Antiquité au XXIe siècle », le 06 septembre 2023
Séminaire organisé par l'IHD Edmond Meynial (UR-UM 206) et l'Ecole de droit de la santé, Université de Montpellier sous la direction scientifique de Lucile Lambert-Garrel, Pascal Vielfaure et François Vialla
Guylène Nicolas, « L'expertise internationale dans les domaines de la santé et de l'environnement », le 28 juin 2023
Organisée par le Centre d'études et de recherches internationales et communautaires (UMR 7318 DICE CERIC) et le Centre de Droit de la Santé (UMR 7268 ADES) sous la direction de Aurélie Mahalatchimy et Sophie Gambardella, chargées de recherche CNRS au CERIC (UMR DICE) et Guylène Nicolas, MCF au Centre de droit de la santé - Faculté de droit et de science politique, Université d'Aix-Marseille
Guylène Nicolas, Éloïse Gennet, « Le cadre juridique des essais cliniques au prisme des vulnérabilités », Séminaire « Essais cliniques » du Groupe de Travail « 3M Maladies Rares, Mutation, Méditerranée », Marseille, le 13 avril 2023
Guylène Nicolas, « Handicap et droit », le 24 février 2023
Organisé par le collectif Immuninate to Engage dans le cadre de sa nouvelle campagne consacrée à la lutte contre les discriminations visant les personnes handicapées, Faculté de droit, AMU
Guylène Nicolas, « Droit et protection de la santé », le 07 février 2023
Trois conférences organisées dans le cadre du cycle Sociétés, cultures et politiques Transmission, citoyenneté et engagement, Université de la Guyane
Guylène Nicolas, « La natalité comme enjeu stratégique de politique de santé publique », le 15 décembre 2022
Organisé par Xin Chen et Bénédicte Bevière-Boyer, sous l’égide du Centre sino-européen (CSE), de l’Université de médecine et des sciences de la santé de Shanghai, de l’Institut de recherche en santé (HIRI), de la Faculté de Overseas de l’Université Jiao Tong de Shanghai et du Centre de recherches juridiques en droit privé et en droit de la santé de l’Université Paris 8
Guylène Nicolas, « Quand l'homosexualité était une pathologie », le 28 septembre 2022
Rentrée solennelle des masters de droit de la santé de la Faculté de droit et de science politique, Aix-Marseille Université
Guylène Nicolas, « Genre, algorithmes et droit », le 01 juillet 2022
Journée organisée sous la direction scientifique de Sophie Sereno, MCF, CDS, Aix-Marseille Université et Emmanuelle Bonifay, MCF, LDPSC, Aix-Marseille Université.
Guylène Nicolas, « Droit, violences et rapports Femmes/Hommes », le 05 mai 2022
Organisé sous la direction scientifique de Geneviève Casile–Hugues, Isabelle Régner
Guylène Nicolas, « Entre éthique et droit : la protection de la santé des femmes », le 16 décembre 2021
Organisé par les étudiants du Master 2 Droit, conseil et expertise en santé de la Faculté de Droit et l’AADSAM, Aix-Marseille Université sous la direction de Madame Guylène Nicolas
Guylène Nicolas, « [Annulé] Les enjeux actuels de l’expertise internationale dans les domaines de la santé et de l’environnement », le 07 juillet 2021
Organisé par le CERIC, à l’initiative de l’Association Internationale Droit Ethique et Science, avec le soutien de la Commission nationale française pour l’UNESCO et du Centre de Droit de la Santé (UMR7268 ADES)
Guylène Nicolas, Aurélie Mahalatchimy, Perron Martine, « Présentation du projet de recherche Transhumansime: de nouveaux droits Partie 2 », Conférence « Transhumansime: de nouveaux droits » Partie 2, Aix-en-Provence, le 27 mai 2021
Organisé par le CERIC (UMR DICE) et le CDSA (UMR ADES) sous le patronage de la Commission nationale française pour l'UNESCO et avec le soutien de l'Académie d'Aix-Marseille et de la MGEN
Guylène Nicolas, Aurélie Mahalatchimy, « Les droits fondamentaux comme frontières de la médecine améliorative de l'humain », Colloque webinaire, "Le transhumanisme à l'ère de la médecine améliorative", Virtual, le 11 mai 2021
Guylène Nicolas, « Le transhumanisme à l'ère de la médecine améliorative », le 10 mai 2021
Organisé dans le cadre de la 7ème rencontre du droit et de la justice de l'Ambassade de France en Chine sous la responsabilité scientifique de A. Cayol, Wang Wei et B. Bévière-Boyer
Guylène Nicolas, « Agriculture et alimentation durables », le 09 avril 2021
Colloque virtuel organisé par l'Institut de droit de l'environnement et du développement durable de la Faculté de droit et de science politique d'Aix-Marseille Université en partenariat avec le Fonds épicurien Provence
Guylène Nicolas, Aurélie Mahalatchimy, Martine Perron, « OBSERVATIONS SUR LA COMMUNICATION, LES RELATIONS INTERPERSONNELLES ET LES INTERACTIONS DANS LES CLASSES AUTOUR DE LA THEMATIQUE TRANSHUMANISME ET DROIT », Conférence « Transhumansime :de nouveaux droits » Partie 1, Aix-en-Provence, le 25 mars 2021
Conférence en ligne organisée par Aurélie MAHALATCHIMY, Chargée de recherche CNRS, et Guylène NICOLAS, Maître de conférences à l’AMU, en coordination avec la Commission Nationale Française pour l’UNESCO.
Guylène Nicolas, « Soins et prise en charge sanitaire », le 27 mai 2020
Conférence organisée dans le cadre du cycle "Sociétés, cultures et politiques", débats en visioconférences de l’Université de Guyane, sous la responsabilité scientifique de Florence Faberon, Professeur de droit public, Université de Guyane - MINEA.
Guylène Nicolas, « Regards croisés sur les données de Santé », le 24 octobre 2019
Organisé par la Faculté de droit d’Aix Marseille Université, l’ADES et le CDSA
Guylène Nicolas, « Innovation & Healthcare – New challenges for Europe », le 25 septembre 2019
7th EAHL Conference under the auspices of the Secretary General of the Council of Europe, Mr Thorbjorn Jagland
Guylène Nicolas, « L’intérêt de l’enfant : mythe ou réalité ? », le 04 décembre 2017
Colloque inter-laboratoires, Centre de Droit Economique et Laboratoire de Droit Privé et de Sciences Criminelles organisé sous la direction d’Anne-Claire Réglier et de Caroline Siffrein-Blanc
Guylène Nicolas, « La reconnaissance juridique des proches aidants en droit comparé franco-suisse », le 16 juin 2017
Guylène Nicolas, « Le droit de l'aide et de l'action sociales à la croisée des chemins : dynamiques et perspectives », le 18 mai 2017
Organisé par le Centre Miche de l’Hospital de l’École de droit de l'Université Clermont Auvergne avec la participation du comité d'éthique du conseil départemental du Puy-de-Dôme
Guylène Nicolas, « Bioéthique et Droits fondamentaux : les droits de procréation », le 08 mars 2017
Organisé par l’Institut-Louis FAVOREU, GERJC, UMR DICE 7318 Aix-Marseille Univ., la Faculté de Médecine, ADES, 7268, Aix-Marseille Univ. et le Centre Européen d'Etudes et de Recherche Droit & Santé, UMR 5815 / SFR ASMES, Université de Montpellier.
Guylène Nicolas, « La santé connectée et son droit », le 25 novembre 2016
Co-organisé par le CERIC et le CDSA (Centre de droit de la santé) sous la responsabilité d'Estelle Brosset, Professeur AMU, de Guylène Nicolas, Maître de conférences, AMU et Sophie Gambardella, Ingénieur de recherche A*Midex.
Guylène Nicolas, « L'accès au dossier hospitalier par le patient et sa famille : les cas particuliers (patients mineurs, majeurs protégés, patients décédés) », Le dossier médical à l'hôpital : définition, composition, accès par les soignants, le patient et sa famille, Marseille (La Timone), le 01 septembre 2009
Guylène Nicolas, « Les associations et l'élaboration des normes juridiques : l'exemple du droit de la santé », Les associations et l'élaboration des normes juridiques : l'exemple du droit de la santé, Aix-en-Provence, le 01 novembre 2008
Guylène Nicolas, « Protection embryonnaire et euthanasie : recherche sur la spécificité anglo-saxonne de la protection de la vie », Protection embryonnaire et euthanasie : recherche sur la spécificité anglo-saxonne de la protection de la vie, Aix-en-Provence, le 01 avril 2008
Guylène Nicolas, « Protection de la vie et dignité : comparaison entre le droit français et le droit anglo-saxon », Bioéthique et dignité, IV Conférence de la Société internationale de Bioéthique clinique, III séminaire Franco-Japonais de bioéthique, Aix-en-Provence, le 01 septembre 2007
Guylène Nicolas, « La protection de l'embryon », La protection de l'embryon, Tübingen Germany (DE), le 01 mai 2007
Guylène Nicolas, « Le secret médical devant le juge administratif », Le secret médical devant le juge administratif, Aix-en-Provence, le 01 décembre 2006
Guylène Nicolas, « L'encadrement de la recherche scientifique : faut-il réviser la constitution ? », L'encadrement de la recherche scientifique : faut-il réviser la constitution ?, Marseille, le 01 novembre 2004
Guylène Nicolas, « Essai d'identification juridique du handicap », Essai d'identification juridique du handicap, Montpellier, le 01 novembre 2003
Guylène Nicolas, « La notion de risque épidémique devant le juge administratif : un glissement du fondement de la responsabilité de l'État », La notion de risque épidémique devant le juge administratif : un glissement du fondement de la responsabilité de l'État, Aix-en-Provence, le 01 novembre 2002
Guylène Nicolas, « L'altération des capacités mentales et le juge administratif », L'altération des capacités mentales et le juge administratif, Aix-en-Provence, le 07 juin 2009
Guylène Nicolas, Eva Bruce, Valérie Bernaud, Sophie de Cacqueray, Marthe Fatin-Rouge Stefanini, « Index », le 01 janvier 1997
Bruce Eva, Bernaud Valérie, Cacqueray Sophie de, Fatin-Rouge Stefanini Marthe, Gay Laurence, Jacquelot Fanny, Lecucq Olivier, Nicolas Guylène, Sciortino-Bayart Stéphan. Index. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 12-1996, 1997. L'école, la religion et la Constitution - Constitution et élections. pp. 871-890.
Guylène Nicolas, Claire Misi, Marine Migliore, Antoine Chevallier, Véronique Andrieu, « Thérapie génique germinale et transhumanisme: entre amélioration de la qualité de vie et eugénisme », le 30 novembre -0001