9 h 30 : Enjeux
Sous la présidence de Cécile Chainais, professeur de droit public, université Paris-Panthéon-Assas
Frédéric Audren, directeur de recherche, CNRS-Ecole de droit de Science po, Définition de la culture juridique.
Anne-Sophie Chambost, professeur d'histoire du droit, Sciences-po Lyon, Construction historique de la culture juridique.
François-Guy Trébulle, professeur de droit privé, doyen honoraire de l'Ecole de droit de la Sorbonne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Enseignement du droit et culture juridique.
Charles Vautrot-Schwarz, professeur de droit public, doyen de la faculté Jean Monnet Droit-Economie-Gestion, université Paris-Saclay, Une culture commune à toutes les disciplines juridiques ?
14 h : Contenus
Sous la présidence d'Emmanuelle Chevreau, professeur d'histoire du droit, université Paris-Panthéon-Assas
Pierre Egéa, professeur de droit public, université Toulouse-Capitole, La nécessité du droit.
Carlos-Miguel Herrera, professeur de droit public, université de Cergy, Le goût de la normativité.
François Saint-Bonnet, professeur d'histoire du droit, université Paris-Panthéon-Assas, L'attachement des juristes aux équilibres.
16 h : Table-ronde, la culture juridique existe-t-elle ?
Avec la participation de :
Jean-Louis Halpérin, professeur d'histoire du droit, Ecole normale supérieure, co-auteur (avec Frédéric Audren) de La culture juridique française, XIXe-XXe siècles, CNRS Editions, 2nde éd., Biblis, 2022,
Thierry Revet, professeur de droit privé, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, co-directeur (avec François-Xavier Lucas) du Précis de culture juridique, LGDJ, CRFPA, 8e éd. 2024,
Didier Truchet, professeur émérite de droit public, université Paris-Panthéon-Assas, président d'honneur de la Société pour l'histoire des Facultés de droit et de la culture juridique.
Inscription demandée, à l'adresse rhfd@univ-droit.fr
La culture juridique (re)devient un élément d'identité de l'enseignement du droit et donc des établissements qui le dispensent : elle équilibre en quelque sorte la tendance à une spécialisation croissante. Les épreuves de culture juridique générale se multiplient. Pour autant, l'idée d'une culture partagée par tous les juristes ne fait pas l'unanimité, voire celle d'une communauté des juristes. C'est à sonder de telles catégorisations ou leur refus que s'attachent les débats organisés autour de la notion.