Gilles J. Guglielmi, Julien Martin (dir.), La mission préfectorale: entre tradition et transformation, Éditions Panthéon-Assas, 2025, Pensée contemporaine, 414 p.
Créés par la loi du 28 pluviôse an VIII, les préfets se sont durablement installés dans le paysage institutionnel français. Manifestation et symbole d’un État fort et présent sur l’ensemble du territoire, ils ont servi de modèle à de nombreux pays, bien après la fin du Premier Empire. Une fois passé le processus de déconcentration, lui-même consécutif à la décentralisation de 1982 qui avait écorné leurs compétences, les travaux de réflexion et de synthèse sont devenus rares. Or, une réforme majeure de la haute fonction publique a créé en 2021 le corps des administrateurs de l’État et mis en extinction les corps des préfets et des sous-préfets. L’existence même des sous-préfectures a été mise en cause. L’année suivante, la Cour des comptes a pointé les insuffisances des contrôles de légalité et budgétaire.Le temps était donc venu de se pencher sur une institution qui semble disparaître, alors même que ses missions subsistent. À travers une approche historique et comparée, cet ouvrage réunit les meilleurs spécialistes, en France et à l’étranger, pour interroger les systèmes d’administration territoriale des États.
Gilles J. Guglielmi, Philippe Cossalter (dir.), Propriété, souveraineté, mondialisation, Éditions Panthéon-Assas, 2024, Pensée contemporaine, 248 p.
La puissance de l'Etat s'exerce sur un territoire qui constitue l'assise et les limites de sa souveraineté. Sur ce territoire, le droit de propriété des particuliers s'exerce de manière absolue, dans la limite des atteintes éventuelles à l'ordre public. Cette vision, fondée sur la distinction entre l'imperium et le dominium, est celle du droit public français, de nombreux droits fondamentaux et celle, dominante, en droit international public. La distinction stricte entre l'exercice de la souveraineté et le droit de propriété n'est pourtant ni générale ni absolue. La question n'est pas nouvelle : elle irrigue l'histoire du droit et le droit comparé, notamment par l'exemple anglais. Elle est aujourd'hui renouvelée par la mondialisation. Le droit de propriété, sur les biens immobiliers comme mobiliers, matériels ou immatériels, devient ainsi un enjeu stratégique que nous avons tenté de dévoiler dans les actes de ce colloque.
Gilles J. Guglielmi, Manel Benzerafa-Alilat, Danièle Lamarque, Gérald Orange, Véronique Achmet [et alii], Encyclopédie du management public, Institut de la gestion publique et du développement économique et OpenEdition, 2023, Gestion publique, 736 p.
Le management public s’est affirmé comme une discipline académique à part entière, au confluent de courants venus du droit, de l’économie, de la gestion, des sciences politiques ou de la sociologie, et au croisement des pratiques des acteurs publics. Cette Encyclopédie s’adresse à un large public de chercheurs, d’étudiants, de praticiens ou d’élus soucieux d’approfondir et d’élargir leur champ de connaissance, et de trouver une réponse rapide et précise à leurs questionnements. Plus largement, tout citoyen pourra s’y référer pour mieux comprendre comment l’action publique se décide et se conduit. Rédigées par 150 chercheurs et praticiens spécialistes, ses 220 entrées rendent compte des concepts, des théories, des écoles et des modes qui caractérisent le management public, en France comme à l’étranger. Elles les mettent en situation, décrivent leurs contextes ainsi que les modalités et les limites de leur mise en œuvre, éclairant ainsi toutes les phases de l’action publique, depuis sa conception jusqu’à l’évaluation de ses résultats. Un index détaillé permet de les mettre en résonance et expliciter leurs liens. Chaque bibliographie a été soigneusement concentrée sur les références nécessaires
Gilles J. Guglielmi, Julien Martin (dir.), L'unité du droit des collectivités territoriales: vingt ans après le Code général des collectivités territoriales, Éditions Panthéon-Assas, 2023, 187 p.
Le Code général des collectivités territoriales vient de fêter son vingtième anniversaire. Né de l’ambition de rassembler dans un seul instrument l’ensemble des textes applicables aux institutions et aux finances communales, départementales, régionales intercommunales et ultramarines, il avait été construit à droit constant. Pourtant, la structure retenue par les codificateurs pouvait étonner. La distinction des règles applicables à chaque niveau d’administration locale interroge : n’était-il pas possible de dégager, autant que faire se peut, des règles communes ? Étonnamment, le Code général des collectivités territoriales n’avait jamais été un objet d’étude en lui-même. Le moment était donc venu de combler cette lacune, défi que l’ensemble des contributeurs de cet ouvrage a accepté de relever.
Gilles J. Guglielmi, Aurélie Duffy-Meunier, Elisabeth Zoller, Gilles Guglielmi, Idris Fassassi, Introduction au droit public, 3e éd., Dalloz, 2022, Précis, 257 p.
Le droit public peut être défini comme le droit de la chose publique Ires publical selon une méthode à la fois historique et comparative : historique parce que l'histoire est un point de passage obligé de tout effort de théorisation des questions juridiques ; comparative parce que dans le monde globalisé qui est le nôtre, et à l'heure où la République française est résolument engagée dans la construction européenne, il n'est plus possible de former des juristes qui n'aient d'autres repères et d'autres horizons que ceux de leurs systèmes juridiques nationaux. L'ouvrage retrace les âges successifs du droit public : tout d'abord, l'âge monarchique qui va de la Renaissance aux révolutions américaine et française de la fin du XVIIIe siècle et qui voit la naissance des concepts fondateurs du droit public ; ensuite, l'âge républicain dans lequel il n'y a plus de souverain, mais des hommes libres et égaux en droit auxquels il revient désormais de définir et gérer la chose publique ensemble, donc d'organiser le pouvoir dans la société moderne. Pour chaque période et dans chaque grand système juridique (droits codifiés et droits de common low), sont étudiées la naissance et l'évolution des grandes notions fondamentales du droit public : la souveraineté, l'État, la loi, la séparation des pouvoirs, la protection des droits individuels contre le pouvoir, les grandes conceptions de l'intérêt général, et la justice administrative.
Gilles J. Guglielmi, Luca Belli (dir.), L'État digital: numérisation de l'administration publique et administration publique du numérique, Berger-Levrault, 2022, Au fil du débat ( Études ), 367 p.
L'État digital est une nouvelle forme d'État, un modèle idéal issu d'une transformation numérique durable, dont l'architecture absorbe et s'approprie le développement technologique. Il comprend et régule ce dernier sans être dominé par lui, met la technologie au service de la société et redessine la frontière public/privé. Même s'il n'existe pas encore pleinement, il est en germe dans les politiques publiques numériques et en cours d'expérimentation dans des domaines clefs. Le présent ouvrage, dirigé par Luca Belli et Gilles J. Guglielmi, est tiré des travaux d'un colloque international. Il analyse de manière critique les initiatives de « transformation numérique » dotées d'un potentiel de changement concret : la connectivité universelle, la numérisation des services publics, l'utilisation de données massives, l'introduction d'outils algorithmiques, le développement de l'intelligence artificielle, et la marche à la « plateformisation de l'État ». Comment bâtir un État digital ? L'ensemble de l'ouvrage invite à réfléchir sur les effets produits par la numérisation de l'administration publique et les défis de l'administration publique du numérique, dans des contextes supra ou infranationaux, suivant une approche pluridisciplinaire. Il examine d'abord, dans le champ de la réglementation et du droit administratif, les nouvelles dimensions digitales de l'État, leur enjeu démocratique, la problématique des rapports entre code et loi. Il explore ensuite les thèmes de la cybersécurité et de la diffusion de « l'identité digitale ». Il situe enfin les usages de l'intelligence artificielle dans les stratégies nationales, tant sous l'angle des principes que de leur mise en oeuvre et du contentieux de la dématérialisation.
Gilles J. Guglielmi (dir.), Les mutations de la liberté d'expression en droit français et étranger, Éditions Panthéon-Assas, 2021, Colloques, 300 p.
Jadis, la protection des droits et libertés était conçue comme devant être assurée en priorité contre les autorités publiques. Aujourd'hui, les plus grands dangers contre la liberté viennent, plus encore, d'une multitude de pouvoirs et d'acteur privés. Le droit positif s'en préoccupe depuis longtemps sous l'angle du droit pénal et du droit civil, car la liberté civile est protégée, d'abord, par les lois. Mais il arrive que la protection des droits et libertés soit défaillante, parce que le législateur n'a pas compétence pour agir ou parce que des lois existent, tout en étant insuffisantes, incomplètes, voire lacunaires. Dans de telles situations, que peuvent faire les juges ? Quelles méthodes utilisent-ils dans les sphères où se côtoient les citoyens sans relation directe avec le pouvoir politique : la vie sociale et la vie professionnelle ? Ces méthodes sont-elles différentes selon qu'il s'agit de juges de droit privé ou de juges de droit public ? Les juges constitutionnels opèrent-ils différemment ? Faut-il distinguer selon que le système juridique dont ils relèvent appartient aux pays de droit écrit ou aux pays de common law ?
Gilles J. Guglielmi, Philippe Cossalter (dir.), L'internationalisation du droit administratif: 6e colloque international du Centre de droit public comparé de l'université de Paris II Panthéon-Assas, 24 et 25 mai 2018, Édition Panthéon-Assas, 2020, Colloques, 312 p.
Gilles J. Guglielmi, Gilles J. Guglielmi, Olivier Ihl, Olivier Ihl (dir.), El voto electrónico: presentación de Ángel Sánchez Navarro, Centro de Estudios Políticos y Constitucionales. Mº de la Presidencia, 2017, Cuadernos y Debates, 415 p.
Gilles J. Guglielmi (dir.), L'intérêt général dans les pays de common law et de droit écrit, Éditions Panthéon-Assas, 2017, Colloques, 225 p.
Gilles J. Guglielmi (dir.), De l'autonomie au séparatisme, Berger-Levrault, 2017, Au fil du débat, 289 p.
Gilles J. Guglielmi (dir.), La faveur et le droit, Cairn et Presses Universitaires de France, 2016, 411 p.
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, Martine Long, Droit du service public, 4e éd., LGDJ et Lextenso éditions, 2016, Domat droit public, 890 p.
Gilles J. Guglielmi, Olivier Ihl (dir.), Le vote électronique, LGDJ-Lextenso éd., 2015, 323 p.
Gilles J. Guglielmi, Julien Martin (dir.), Le droit constitutionnel des collectivités territoriales: aspects de droit public comparé, Berger-Levrault, 2015, Au fil du débat, 265 p.
Gilles J. Guglielmi, Claudine Haroche (dir.), L'esprit de corps, démocratie et espace public, Presses universitaires de France, 2014, La politique éclatée, 324 p.
Gilles J. Guglielmi, Élisabeth Zoller (dir.), Transparence, démocratie et gouvernance citoyenne, Ed. Panthéon-Assas, 2014, Colloques, 257 p.
Gilles J. Guglielmi, Julien Martin (dir.), La démocratie de proximité: bilan et perspectives de la loi du 27 février 2002, dix ans après, Berger-Levrault, 2013, 238 p.
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi (dir.), Le plagiat de la recherche scientifique, LGDJ, Lextenso éditions, 2012, 228 p.
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, Guillaume Le Floch (dir.), La notion de continuité, des faits au droit, L'Harmattan, 2011, Logiques juridiques, 330 p.
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, Droit du service public, 3e éd., Montchrestien-Lextenso éd., 2011, Domat droit public, 804 p.
Gilles J. Guglielmi, Marine Legendre, Élaboration de l'acte réglementaire et participation du citoyen: Étude des droits français et américains, 2011
La marche continue vers la démocratisation a conduit les droits administratifs américain et français à enregistrer une même évolution : celle de la prise en compte croissante du citoyen dans son action ; s'illustrant notamment par la mise en place de mesures garantissant la participation du citoyen au cours de l'élaboration de l'acte réglementaire. Aux États-Unis, la participation du citoyen est vite perçue comme aidant à la prise de meilleures décisions par l'Administration. La participation est rendue obligatoire, elle s'exerce selon diverse modalités : elle est minimale lorsque l'administrateur use d'une procédure dite « informelle », au cours de laquelle l’administrateur américain devra veiller à recueillir les commentaires du public quant à la règle proposée ; elle est maximale lors de la procédure « formelle » qui oblige à la mise en place d'une audience publique. Le législateur américain poursuivra ses efforts en prévoyant en 1990 la possibilité d'une procédure négociée, qui oblige à l'obtention d'un consensus au sein d'un comité de négociation avant l'adoption d'un règlement. Désormais le développement de la participation des citoyens aux États-Unis semble reposer sur l'outil internet. En France, la participation du citoyen est d'abord perçue comme gênant l'action administrative. Elle tarde quelque peu à se mettre en place et naîtra d'un empilement législatif traduisant les hésitations du législateur. Ainsi un point de départ peut être celui de la loi du 12 juillet 1983 réformant la procédure de l'enquête publique. Quelques années plus tard, la méthode de la concertation se voit consacrée (notamment par la loi du 18 juillet 1985) jusqu'à ce que le législateur n'institue en 1995 une Commission Nationale du Débat Public, étape ultime de la démarche participative française. Si ces évolutions semblent de prime abord s’inscrire dans une tendance louable de « démocratisation administrative », elles ne doivent cependant échapper à un regard critique. Aussi cette évolution de l'action administrative est la dérivée d'un changement sociétal autour duquel la réflexion mérite d'être élargie
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi (dir.), L'égalité des chances, Éditions La Découverte, 2010, Recherches, 267 p.
Dans les société contemporaines, l'appréhension du concept d'égalité s'accompagne désormais du constat pragmatique de l'existence et de la perpétuation des inégalités. La réflexion sur le principe d'égalité se révèle donc inséparable de la difficulté rencontrée par les sociétés démocratiques à le concrétiser dans leur système juridique et social. Cette difficulté récurrente explique sans doute l'importance que nous attachons à la notion d'" égalité des chances ". La notion des chances peut-elle être un moyen destiné à réduire les inégalités économiques et sociales ? Peut-elle fonder en droit des traitements correctifs de ces inégalités et notamment des politiques de discrimination positive ? N'est-elle pas aussi un moyen d'introduire dans les systèmes politiques et juridiques une nouvelle grille de lecture de l'égalité s'inspirant d'un " principe de différence " dont les tenants et les aboutissants demeurent incertains ? Aussi généreuse et sensible que paraît le concept d'égalité des chances, sa traduction dans les discours juridiques ne devrait-elle pas, en tout état de cause, demeurer mesurée et son application limitée à certains champs, dans certains terrains soigneusement balisés ? C'est à ces questions que s'efforce de répondre cet ouvrage pluridisciplinaire en confrontant les résultats de recherches menées sur des terrains et des branches du droit très variés de l'éducation à la fiscalité en passant par le droit communautaire et le droit du travail. Située au cœur de la réflexion sur les politiques publiques, la notion d'égalité des chances réclamait une étude d'ensemble capable de se situer au carrefour de plusieurs disciplines. C'est chose faite avec cet ouvrage ambitieux qui, tout en laissant une place importante à l'analyse juridique, s'efforce de prendre en compte des approches aussi diverses que la sociologie, l'histoire des idées politiques, la philosophie et l'anthropologie sociale.
Gilles J. Guglielmi, Catherine Prebissy-Schnall, Geneviève Koubi (dir.), Droit et économie, LexisNexis et Litec, 2009, 368 p.
Gilles J. Guglielmi, Gilles Dumont, Geneviève Koubi, Droit du service public, 2e éd., Montchrestien, 2007, Domat droit public, 755 p.
Gilles J. Guglielmi, Places, Éd. Faustroll, 2007
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi (dir.), La Gratuité, une question de droit ?, l'Harmattan et L'Harmattan, 2007
Gilles J. Guglielmi, Francis Segond, Voix d'eau, Éd. Faustroll, 2006, 27 p.
Gilles J. Guglielmi (dir.), Histoire et service public, Presses universitaires de France, 2004, Politique d'aujourd'hui, 443 p.
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi (dir.), La Gratuité, une question de droit ?, l'Harmattan, 2003, Logiques juridiques, 238 p.
Gilles J. Guglielmi, Droit administratif: les structures, Editoo.com, 2002, Universitoo ( Droit ), 328 p.
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, Droit du service public, Montchrestien, 2000, Domat ( Droit public ), 585 p.
Dépasser le mode d'approche qui considère le service public à la fois comme une donnée du système juridique et comme un outil intellectuel universellement partagé devient une nécessité pour comprendre l'évolution du droit public. Sujet de nombreux débats, nationaux et européens, le service public est une notion en mutation permanente. La notion de service public possède à la fois un sens juridique, une fonction politique, une portée économique et une contenance sociale qui ne peuvent pas être dissociés. Son étude relève alors tant du droit positif, administratif ou constitutionnel, que de la science administrative. Malgré les conceptions multiples d'une idée marquée par ses origines républicaines, en dépit de la diversité des façons d'aborder la finalité du concept de service public ou encore le contenu de celui-ci, le droit du service public manifeste une constance et une unité relevées dans les discours et dans les pratiques juridiques. Les évolutions profondes de la société française n'ont pas remis en cause les acquis que la notion de service public a permis de constituer depuis la Libération. La volonté des pouvoirs publics de répondre aux nouvelles demandes sociales et les contraintes d'adaptation, nées de l'internationalisation des échanges et des avancées de l'Union européenne, n'ont modifié ni la validité intellectuelle de l'idée de service public, ni son efficacité opératoire originelle, ni sa fonction préservatrice du lien social.
Gilles J. Guglielmi, Marie-Christine Rouault, Droit administratif, Gualino, 2000, AnnaDroit 2001, 216 p.
Gilles J. Guglielmi, Marie-Christine Rouault, Droit administratif: annales corrigées des épreuves du DEUG de droit 2ème année, Gualino, 1999, AnnaDroit 2000, 176 p.
Gilles J. Guglielmi, Introduction au droit des services publics, LGDJ, 1994, Systèmes, 177 p.
Gilles J. Guglielmi, La notion d'administration publique dans la théorie juridique française: de la Révolution à l'arrêt Cadot (1789-1889), Atelier national de reproduction des thèses, Université Lille 3, 1991, Bibliothèque de droit public, 378 p.
Gilles J. Guglielmi, Georges Dupuis, La notion d'administration publique dans la théorie juridique française: De la Révolution à l'arrêt Cadot (1789-1889), 1990, 585 p.
Gilles J. Guglielmi, Pierre Esplugas-Labatut, Hélène Pauliat, Gilles Guglielmi, « Faut-il constitutionnaliser les services publics ?
(à propos d’une proposition de loi constitutionnelle instaurant une Charte des services publics ) », La Semaine juridique - Administrations et collectivités territoriales, LexisNexis, 2024, n°5152, pp. 37-40
Gilles J. Guglielmi, Laurence Dubin, Karine Parrot, Jean Matringe, Julie Alix, « Contre la constitutionnalisation de la frénésie sécuritaire », Le Monde, Le Monde, 2015
Gilles J. Guglielmi, « La juridiction administrative est compétente pour connaître des actions formées contre les productions des enseignants-chercheurs », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2011, n°13, p. 738
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, « La téléassistance aux personnes dépendantes, un service public territorial », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2010, n°02, p. 341
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, « Le droit, comme la langue, vit dans la conscience populaire », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2008, n°22, p. 1169
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, « L'utilité sociale sans le service public : à propos de la mission assurée par le gestionnaire privé d'un centre d'aide par le travail », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, Sirey ; Dalloz , 2007, n°03, p. 517
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, « La simplification tarifaire au prisme du principe d'égalité et du droit de la consommation », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2002, n°14, p. 976
Gilles J. Guglielmi, Geneviève Koubi, « La langue de l'enseignement public est le français », Recueil Dalloz, Dalloz , 2002, n°07, p. 601
Gilles J. Guglielmi, « Contrats avec les usagers », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2001, n°10, p. 893
Gilles J. Guglielmi, « Nullité du contrat : responsabilité partagée et enrichissement sans cause », Recueil Dalloz, Dalloz , 2001, n°13, p. 1048
Gilles J. Guglielmi, « Habilitation unilatérale, délégation contractuelle et consistance du service public », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2001, n°02, p. 353
Gilles J. Guglielmi, « Le choix du cumul avocat/professeur, au prix de l'équité ? », Recueil Dalloz, Dalloz , 2000, n°14, p. 307
Gilles J. Guglielmi, « Un avocat professeur ne doit pas plaider contre l'Etat », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, Publications du Moniteur - Éditions Dalloz , 2000, n°02, p. 51
Gilles J. Guglielmi, « Des marques de déférence épistolaires au fondement du droit », Seuil, Paris : Seuil et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2000, pp. 173-189
Guglielmi Gilles J. Des marques de déférence épistolaires au fondement du droit. In: Communications, 69, 2000. La déférence, sous la direction de Claudine Haroche. pp. 173-189.
Gilles J. Guglielmi, « Le rôle du Conseil d'Etat dans la constitution de la distinction entre droit public et droit privé », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 1996, n°02, p. 305
Gilles J. Guglielmi, « Une déclaration d'utilité publique, qui ne prévoit aucune acquisition de terrain au motif que l'emprise de l'opération ne s'étend que sur le domaine public, est-elle régulière ou non ? », Recueil Dalloz, Dalloz , 1994, n°21, p. 295
Gilles J. Guglielmi, « Le juge de l'application des peines est-il un chiroptère ? », Revue de science criminelle et de droit pénal comparé, Sirey - Dalloz , 1991, n°03, p. 622
Gilles J. Guglielmi, « Discours de la bureaucratie », Institut de Management Public, Paris : Institut de Management Public et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1989, pp. 1-23
A travers toute technique de management, les organisations bureaucratiques mettent en œuvre le langage. En partant de l'hypothèse que l'étude des discours bureaucratiques permettrait d'améliorer la connaissance du mode de fonctionnement de ces organisations, il est possible d'aborder ces discours sous l'angle, rituel, magique ou poétique. En effet, parce qu'il vise à la représentation du pouvoir, le discours de la bureaucratie comporte un aspect rituel ; parce qu'il tend à agir directement sur les choses, il participe de la magie ; enfin, en raison de l'usage qu'il fait de la confusion dans le langage, il est aussi un discours poétique. Une telle approche invite à mener une recherche approfondie tendant à situer les discours bureaucratiques dans un système de production et de contrôle des significations. Elle révèle aussi que le langage de la bureaucratie, au-delà de la simple transmission de l'information, peut remplir des fonctions d'occultation ou de suggestion pour éviter le recours à l'argumentation.
Gilles J. Guglielmi, « Les partenariats public-privé en droit comparé ibéroaméricain », le 20 novembre 2023
Colloque organisé par le CDPC, Université paris Panthéon-Assas en partenariat avec l'Asociación Iberoamericana de Estudios de Regulación (ASIER)
Gilles J. Guglielmi, « La République universelle à l’épreuve de la transidentité », le 22 juin 2023
Journée d'étude organisée par le Centre de droit public comparé (CDPC), Paris Panthéon-Assas sous la direction scientifique de Gilles J. Guglielmi, Leonardo Orlando et Xavier-L. Salvador
Gilles J. Guglielmi, « Le rejet du projet de Constitution chilienne de 2022 : une Constitution trop avant-gardiste ? », le 23 mai 2023
Organisée par l'Université de Bordeaux sous la direction de Carolina Cerda-Guzman, MCF en droit public à l’Université de Bordeaux (CERCCLE) et Alexis Le Quinio, Pr. en droit public à l’Université de Limoges (OMIJ) dans le cadre du programme de recherche pluriannuel "Le Chili face à son avenir: Aspirations, Solutions, Ambition" (CASA), porté par le CERCCLE, avec le soutien de l'IRM, et lauréat du 2ème appel à projet (2023) de la Maison des Sciences de l'Homme de Bordeaux
Gilles J. Guglielmi, « La mission préfectorale entre tradition et transformation publique », le 13 avril 2023
20e anniversaire du master Juriste conseil des collectivités territoriales, Paris panthéon-Assas
Gilles J. Guglielmi, « La composition des juridictions constitutionnelles », le 30 mars 2023
Colloque organisé à l'Institut de droit comparé de Paris, sous la direction scientifique de Charlotte Denizeau-Lahaye, Centre de droit public comparé, Université Paris-Panthéon-Assas.
Gilles J. Guglielmi, « La Cour suprême des Etats-Unis en question », le 21 octobre 2022
Organisé par le CDPC, Université Paris Panthéon-Assas sous la Direction scientifique de Idris Fassassi, Professeur à l’Université Paris Panthéon-Assas
Gilles J. Guglielmi, « Democracy and Executive Power : Policy-Making in the U.S., the U.K, Germany and France », le 15 septembre 2022
Table ronde organisée par le CDPC, Université Paris Panthéon-Assas, en collaboration avec la Société de législation comparée.
Gilles J. Guglielmi, « Propriété, souveraineté, mondialisation », le 07 juin 2022
Organisé par le CDPC, Paris Panthéon-Assas sous la direction scientifique de Gilles J. Guglielmi, Professeur à l’Université Panthéon-Assas et Philippe Cossalter, Chaire de droit public français de l’Université de la Sarre
Gilles J. Guglielmi, « Louis-Antoine Macarel », le 02 décembre 2021
Colloque organisé par le Centre de recherches juridiques Pohier, à l'occasion du 170e anniversaire de la disparition de Macarel.
Gilles J. Guglielmi, « Le financement des établissements et services à caractère social et médico-social (ESMS) », le 18 novembre 2021
Colloque organisé par le Centre Jean Bodin sous la direction scientifique de Martine Long, Maitresse de conférences HDR de droit public à l'Université d'Angers, d'Hervé Rihal, Professeur émérite de l'Université d'Angers, avec le Cabinet Accens Avocats
Gilles J. Guglielmi, « L'actualité des constitutions d'Amérique du sud », le 01 octobre 2021
Conférence-débat organisée par le Centre de droit public comparé de l'université Paris 2, en partenariat avec la Section française de l'Institut ibéroaméricain de droit constitutionnel.
Gilles J. Guglielmi, « L'État digital », le 22 mars 2021
Organisé par le Centre de droit public comparé (CDPC), Université Paris II Panthéon-Assas, et le Centre de technologie et société de l'Ecole de droit de la Fondation Getulio Vargas (FGV).
Gilles J. Guglielmi, « L’unité du droit des collectivités territoriales, 20 ans après le code », le 15 janvier 2021
Organisé par le master Juriste conseil des collectivités territoriales en partenariat avec l’AFDCL et le GRALE, et Paris II Panthéon-Assas
Gilles J. Guglielmi, « L'application des droits et libertés par les personnes privées : la liberté d'expression en droit comparé », le 23 mai 2019
Organisé par le CDCP, Université Paris 2 Panthéon-Assas sous la responsabilité scientifique du professeur Gilles J. Guglielmi
Gilles J. Guglielmi, « L’intégrité scientifique à l’aune du droit », le 12 mars 2019
Organisé par l’IHD, Paris II Panthéon-Assas
Gilles J. Guglielmi, « L’évolution du droit des collectivités territoriales et de leurs groupements », le 21 juin 2018
Organisé par le Master Juriste Conseil des collectivités territoriales, associé à l'IPAG de Paris II, sous la direction du Professeur Olivier Gohin
Gilles J. Guglielmi, « L’internationalisation du droit administratif », le 24 mai 2018
Gilles J. Guglielmi, « L'alternativité, entre mythe et réalité », le 23 mars 2017
Organisé par le CHAD, le CEJEC et le CDPC qui porte un regard interdisciplinaire (Droit, histoire, anthropologie) sur les modes alternatifs de règlement de conflits
Gilles J. Guglielmi, « Le numérique au service du renouvellement de la vie politique », le 04 novembre 2016
Responsable scientifique : Eric SALES, MCF – HDR à l'Université de Montpellier, CERCOP
Gilles J. Guglielmi, « Les nouvelles compétences régionales : quel(s) renforcement(s), quelle(s) orientation(s) ? », le 23 septembre 2016
Organisé par l'Institut de Recherches sur l'Evolution de la Nation Et de l'Etat (IRENEE) sous la direction de Reine Wakote, MCF, IRENEE - UL
Gilles J. Guglielmi, « Les blogs juridiques », le 16 juin 2014