Félicien Lemaire

Professeur
Droit public.
Faculté de droit, d'économie et de gestion

Centre Jean Bodin (Recherche Juridique et Politique)
  • THESE

    La République française et le droit d'autodétermination, soutenue en 1994 à Bordeaux 1 sous la direction de Jean Laveissière 

  • Félicien Lemaire, Yannick Lécuyer, Cours de droits humains et libertés, 2e éd., Gualino, un savoir-faire de Lextenso, 2024, Amphi LMD, 746 p. 

    Félicien Lemaire, Stéphanie Couderc-Morandeau (dir.), Citoyenneté(s) et démocratie, Mare & Martin, 2022, Droit & science politique, 242 p. 

    Félicien Lemaire, Jean Fougerouse (dir.), Bonheur et bien-être dans le droit des Etats, Mare & Martin, coll. Droit et science politique, 2022, Droit & science politique, 239 p. 

    Félicien Lemaire, Yannick Lécuyer, Cours de droits humains et libertés, Gualino, un savoir-faire de Lextenso, 2022, Amphi LMD, 690 p. 

    Félicien Lemaire, Anne-Sophie Bernard de Lajartre (dir.), Penser et construire le bonheur - Regards croisés: regards croisés, Mare & Martin, 2021, Droit & science politique, 432 p. 

    Félicien Lemaire, Emmanuel Aubin, Aude Cavaniol, Emmanuel-Pie Guiselin, Pierre Mouzet (dir.), Droits, protections, proximité. Mélanges en l'honneur du professeur Hervé Rihal: mélanges en l'honneur du Professeur Hervé Rihal, Presses universitaires juridiques de Poitiers, 2021, Collection Mélanges, Université de Poitiers, Faculté de Droit et des Sciences sociales de Poitiers, 702 p.    

    Le professeur de droit public Hervé Rihal a marqué celles et ceux qui ont eu la chance de l'avoir pour enseignant ou pour collègue. Les Mélanges qui lui sont offerts se veulent un témoignage de profonde reconnaissance. Deux valeurs ont animé tout particulièrement la vie de l'enseignant, du chercheur et du citoyen engagé dans la vie de la cité : la protection et la proximité. On les retrouve dans l'attachement premier d'Hervé RIHAL à ses étudiants, dans ses écrits - consacrés notamment à l'aide et à l'action sociales, ainsi qu'à la fonction publique et à la décentralisation -, mais également dans ses nombreux engagements associatifs. Les contributions des Mélanges qui lui sont dédiés témoignent de la diversité des protections, de l'ancrage de la proximité, tout en venant à la rencontre des droits, pour lesquels le professeur RIHAL manifeste une curiosité toujours renouvelée. Une belle et simple formule du dédicataire en résume l'esprit : « J'aime le droit quand il s'applique à l'humain ».

    Félicien Lemaire, Daniel Borrillo (dir.), Les discriminations fondées sur le sexe, l’orientation sexuelle et l’identité de genre: actes du colloque organisé les 10-12 mai 2017 à la Faculté de droit, d'économie et de gestion de l'Université d'Angers dans le cadre du projet de recherche GeDI : Genre et discriminations sexistes et homophobes, financé par la Région Pays de la Loire, L’Harmattan, Coll. Logiques juridiques, 2020, Logiques juridiques, 272 p.  

    La 4ème de couv. indique : "C'est grâce à l'impulsion du droit européen que les catégories de genre, d'orientation sexuelle et d'identité de genre sont venues enrichir l'arsenal juridique français en matière de lutte contre les discriminations. Si l'affirmation du principe d'égalité constitue une exigence ancienne du droit, la lutte contre les discriminations stricto sensu demeure une discipline récente qui a fini par s'installer dans le paysage juridique français, non sans résistance. Le mouvement féministe dans un premier temps et l'activisme LGBTIQ par la suite ont tenté de modifier le droit en permettant non seulement l'égal accès aux institutions comme le mariage, la filiation ou l'état civil, mais aussi en interrogeant la nature sexiste et l'hétérosexualité implicite de la norme juridique. En procédant à une analyse de l'évolution du droit national, de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme et de la Cour interaméricaine des droits de l'homme, mais également à l'étude comparée d'autres systèmes juridiques, cet ouvrage vient combler une lacune dans le paysage académique français. De nombreux spécialistes proposent ici une lecture critique des discriminations sous toutes leurs formes, depuis les violences faites aux femmes jusqu'aux injures homophobes, en passant par le changement du sexe à l'état civil pour les personnes transidentitaires ou encore les discriminations dans l'emploi, la sécurité sociale, l'accès aux biens et services. Une approche novatrice pour un thème fondamental de nos sociétés contemporaines et du droit."

    Félicien Lemaire, Daniel Borrillo (dir.), Les discriminations fondées sur le sexe, l'orientation sexuelle et l'identité de genre: actes du colloque organisé les 10-12 mai 2017 à la Faculté de droit, d'économie et de gestion de l'Université d'Angers dans le cadre du projet de recherche GeDI : Genre de discriminations sexistes et homophobes, financé par la Région du Pays de la Loire, l'Harmattan, 2020, Logiques juridiques  

    La 4ème de couv. indique : "C'est grâce à l'impulsion du droit européen que les catégories de genre, d'orientation sexuelle et d'identité de genre sont venues enrichir l'arsenal juridique français en matière de lutte contre les discriminations. Si l'affirmation du principe d'égalité constitue une exigence ancienne du droit, la lutte contre les discriminations stricto sensu demeure une discipline récente qui a fini par s'installer dans le paysage juridique français, non sans résistance. Le mouvement féministe dans un premier temps et l'activisme LGBTIQ par la suite ont tenté de modifier le droit en permettant non seulement l'égal accès aux institutions comme le mariage, la filiation ou l'état civil, mais aussi en interrogeant la nature sexiste et l'hétérosexualité implicite de la norme juridique. En procédant à une analyse de l'évolution du droit national, de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme et de la Cour interaméricaine des droits de l'homme, mais également à l'étude comparée d'autres systèmes juridiques, cet ouvrage vient combler une lacune dans le paysage académique français. De nombreux spécialistes proposent ici une lecture critique des discriminations sous toutes leurs formes, depuis les violences faites aux femmes jusqu'aux injures homophobes, en passant par le changement du sexe à l'état civil pour les personnes transidentitaires ou encore les discriminations dans l'emploi, la sécurité sociale, l'accès aux biens et services. Une approche novatrice pour un thème fondamental de nos sociétés contemporaines et du droit."

    Félicien Lemaire, Serge Blondel (dir.), Doctrines et réalité(s) du bonheur, Mare & Martin, coll. Droit et science politique, 2019, Droit & science politique, 285 p.    

    La 4ème de couv. indique : "L'analyse du bonheur par le droit, tel est l'objet singulier de cet ouvrage. On y cherchera en vain l'affirmation, pour le moins prématurée, d'un droit au bonheur. Il faudrait pour cela globalement convaincre qu'on a réellement affaire dans les Etats à un droit autonome, en tant que tel strictment garanti. En dépit de certaines évocations jurisprudentielles, on est loin de ce qui prendrait la forme d'une "justiciabilité immédiate". Ce qui restreint l'affirmation ex abrupto de l'énoncé d'un droit subjectif. En revanche, tout porte à croire que se développe aujourd'hui un droit du bonheurs lato sensu (bonheur et bien-être associés), avec son histoire, sa doctrine, ses textes de référence et des modalités applicatives qui se donnent à lire comme la recherche de l'organisation des conditions juridiques et sociales propices à la poursuite du bonheur individuel et collectif."

    Félicien Lemaire, Bernard Gauriau (dir.), Les discriminations: actes du colloque organisé les 13 &14 octobre 2011, Éd. Cujas, 2012, Actes & études, 170 p. 

    Félicien Lemaire, Le principe d'indivisibilité de la République: mythe et réalité, Presses universitaires de Rennes, 2010, L'Univers des normes, 290 p. 

    Félicien Lemaire (dir.), De l'unité de l'État: actes du colloque international, Cujas, 2010, Actes & études, 247 p. 

    Félicien Lemaire, Le droit à l'autodétermination et la constitution française, 1989 

  • Félicien Lemaire, « Identité nationale et citoyenneté dans le droit colonial français. », in Arthur Braun (dir.), Mélanges en l’honneur de Stéphane Pierré-Caps, Constitution, États et peuples, L'harmattan, 2024, pp. 131-157   

    Félicien Lemaire, « Propos introductifs », Penser et construire le bonheur - Regards croisés, Mare & Martin, 2021, pp. 19-26 

    Félicien Lemaire, « Non-discrimination (Principe de) », in L'Harmattan (dir.), Dictionnaire juridique de l'égalité et de la non-discrimination, Dir. D. Tharaud et C. Boyer-Capelle, L'Harmattan, 2021, pp. 278-281 

    Félicien Lemaire, « Retour sur une formule convenue : la Ve République une “monarchie républicaineˮ », Droits, protections, proximité - Mélanges en l'honneur du professeur Hervé Rihal, Presses Universitaires Juridiques de Poitiers, 2021, pp. 161-188 

    Félicien Lemaire, « Propos introductifs », Les discriminations fondées sur le sexe, l’orientation sexuelle et l’identité de genre, Actes du colloque d’Angers, 10-12 mai 2017, L’Harmattan, 2020, pp. 9-22     

    Félicien Lemaire, « « Le bonheur moteur de l’avancée des droits » », Histoire mondiale du bonheur, dir. François Durpaire, Cherche Midi, 2020, pp. 189-195 

    Félicien Lemaire, « Sur la distinction entre le bonheur et le bien-être dans le constitutionnalisme », in Editions Mare & Martin (dir.), Doctrine et réalité(s) du bonheur, 2019, pp. 137-171 

    Félicien Lemaire, « "Introduction - L'effectivité des normes internationales face aux spécificités régionales" », Du droit à l'éducation à la protection de l'enfance - Entre bonheur et bien-être, dir. Jacques Fialaire, Actes du colloque organisé le 2 juin 2017 à la Cité des congrès de Nantes Métropole, LexisNexis, 2018, pp. 79-80   

    Félicien Lemaire, « "Existe-t-il un peuple dans la République ?" »,

    Colloque organisé par les professeurs Olivier Desaulnay et Mathieu Maisonneuve, le Centre de recherche juridique et le Master droit public de l'Université de la Réunion.

    , L'unité de la République et la diversité culturelle, dir. Olivier Desaulnay et Mathieu Maisonneuve, PUAM, 2016, pp. 13-23 

    Félicien Lemaire, « "Propos introductifs" », La beauté : aspects juridiques et politiques, Dir. Jimmy Charruau, LGDJ-Lextenso éditions, 2016, pp. 15-19   

    Félicien Lemaire, « "Le bonheur, un principe constitutionnel ?" », Aux confins du droit : Mélanges-Hommage amical à Xavier Martin, Presses universitaires juridiques de Poitiers, LGDJ-Lextenso éditions, 2015, pp. 271-284   

  • Félicien Lemaire, « La loi régionale dans les États régionaux », Politeia , Association française des auditeurs de l'Académie internationale de droit constitutionnel (AFAAIDC) , 2023, n°44, pp. 395-418   

    Félicien Lemaire, « Le bilan du projet BonDroit (2016-2019) », Revue Juridique du Bonheur, Observatoire International du Bonheur (OIB) , 2021, n°3     

    Félicien Lemaire, « Le projet de loi antisexiste d'Yvette Roudy ou de la difficulté à saisir le sexisme par le droit », Droits : Revue française de théorie juridique, Presses universitaires de France (Puf) , 2017, n°612015, pp. 143-170   

    Félicien Lemaire, « À propos du bonheur dans les constitutions », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2015, n°01, p. 107   

    Félicien Lemaire, « L'outre-mer, l'unité et l'indivisibilité de la République », Les Cahiers du Conseil constitutionnel, Dalloz, Conseil constitutionnel, 2012, n°35, p. 95   

    Félicien Lemaire, « La notion de non-discrimination dans le droit français : un principe constitutionnel qui nous manque ? », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2010, n°02, p. 301   

    Félicien Lemaire, « Existe-t-il un principe constitutionnel d'unité de la République ? », Nancy : IRENEE/Université de Lorraine et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2003, pp. 59-78    

    Lemaire Félicien. Existe-t-il un principe constitutionnel d'unité de la République ?. In: Civitas Europa, n°11, septembre 2003. Constitution et pouvoir local. Actes de l'atelier n°3 du Ve congrès de l'Association Française de Droit Constitutionnel, Toulouse, les 6,7 et 8 juin 2002. pp. 59-78.

    Félicien Lemaire, « Le Conseil constitutionnel et l'avenir institutionnel des départements d'outre-mer », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2002, n°02, p. 361   

  • Félicien Lemaire, Est-ce le rôle de l'État de produire du bonheur ? Non, il n'a qu'une obligation de moyens., 2021, 32 p. 

    Félicien Lemaire, Table ronde animée par Maryse Deguergue et Marta Torre-Shaub à l'occasion de la sortie de l'ouvrage Le bien-être et le droit, 6 octobre 2016, Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 2020   

    Félicien Lemaire, Quand des chercheurs partent sur la piste du bonheur, The Conversation Media Group, 2018 

    Félicien Lemaire, Le bonheur est un droit que l'on doit revendiquer !, 2016 

    Félicien Lemaire, Pourra-t-on un jour revendiquer le "droit au bonheur" devant les tribunaux ?, 2016 

  • Félicien Lemaire, « Droit au bonheur et au développement durable », le 25 septembre 2024  

    Université d’automne organisée par l'Institut Louis Favoreu, Ecole doctorale, Aix-Marseille Université

    Félicien Lemaire, « Les Terres australes et antarctiques françaises », le 17 octobre 2023  

    Colloque organisé sous la direction scientifique de Florian Aumond, MCF en droit public, Université de Poitiers.

    Félicien Lemaire, « Puissances privées et Droits de l’Homme », le 15 juin 2023  

    Colloque organisé par l'IRDEIC et l'Association des doctorants et docteurs de l’IRDEIC, Université Toulouse 1 Capitole sous la direction scientifique de J. Andriantsimbazovina, Professeur de droit public à l’Université Toulouse Capitole, IRDEIC

    Félicien Lemaire, « L'absence », le 06 avril 2023  

    5ème colloque des doctorants du CJB - Centre Jean Bodin, Université d'Angers

    Félicien Lemaire, « Handicaps, accessibilité et responsabilité », le 02 décembre 2021  

    Organisé dans le cadre du projet HandiDroit (« Handicap, Droit et responsabilité : Le droit de la responsabilité des personnes publiques à l’épreuve du handicap »), sous la responsabilité de Philippine Lohéac-Derboulle, MCF en droit public

    Félicien Lemaire, « Le financement des établissements et services à caractère social et médico-social (ESMS) », le 18 novembre 2021  

    Colloque organisé par le Centre Jean Bodin sous la direction scientifique de Martine Long, Maitresse de conférences HDR de droit public à l'Université d'Angers, d'Hervé Rihal, Professeur émérite de l'Université d'Angers, avec le Cabinet Accens Avocats

    Félicien Lemaire, « La négociation en droit de la consommation », le 04 novembre 2021  

    Colloque organisé par le Centre Jean Bodin – Recherche juridique et politique, sous la direction scientifique de Sabine Bernheim-Desvaux, Professeure de droit privé à l’Université d’Angers, Vice-Doyen Relations avec les milieux professionnels

    Félicien Lemaire, « Comparaître aujourd’hui », le 22 octobre 2021  

    Première édition des « Dialogues angevins du droit et de la justice » organisée par la cour d’appel d’Angers, la Faculté de droit d’économie et gestion et l’IEJ d’Angers

    Félicien Lemaire, « La gestion de la pandémie de Covid par les États », le 30 septembre 2021  

    Organisé par le Centre Jean Bodin, Université d’Angers, dans le cadre du programme de recherche Pandémia.

    Félicien Lemaire, « Les collectivités territoriales et les femmes », le 09 septembre 2021  

    Organisé par le Centre Jean Bodin, Université d’Angers et le DCS, Université de Nantes

    Félicien Lemaire, « Handicap, naissance et responsabilité », le 20 avril 2021  

    Organisée par le Centre Jean Bodin, Université d’Angers

    Félicien Lemaire, « Les droits et libertés à l'épreuve de la COVID », le 19 novembre 2020  

    Journée organisée par le Centre Jean Bodin, Université d’Angers dans le cadre du projet Pandémia.

    Félicien Lemaire, « [Reporté] Le droit face aux violences sexuelles et/ou sexistes », le 02 avril 2020  

    Organisé sous le haut patronage du ministre de la Justice, par Caroline Duparc Maître de conférences HDR - Droit privé et sciences criminelles, Directrice de l'IEJ Université d'Angers et M. Jimmy Charruau, Docteur en droit public.

    Félicien Lemaire, « Bonheur et bien-être dans le droit des États », le 28 novembre 2019  

    3ème rencontre d'Angers - Colloque international de clôture du Projet BonDroit

    Félicien Lemaire, « Autoroute et développement durable », le 07 novembre 2019  

    1er Colloque du Projet STRADA organisé par le Centre Jean Bodin, Université d’Angers sous la Responsabilité scientifique de François Hourmant, Professeur de Science Politique et Fabien Tesson, Maître de Conférences HDR en Droit Public

    Félicien Lemaire, « Les Lieux du bonheur », le 24 octobre 2019  

    Organisé par l’Université d’Angers dans le cadre du projet BonDroit (acronyme de Bonheur et droit)

    Félicien Lemaire, « Les degrés de la citoyenneté », le 18 septembre 2019  

    Colloque de clôture du programme CITER - L'Europe et les frontières de la citoyenneté, organisé par Claude-Olivier Doron, Federica Morelli et Clément Thibaud.

    Félicien Lemaire, « Regards croisés franco-marocains sur la personne âgée », le 12 juin 2019  

    Organisé par Mme Aline Vignon-Barrault, Pr. Droit Privé à l'Univ.d’Angers, Directrice de l'axe de recherche "Patrimoine, entrepreneuriat, cohésion sociale et justice" du Centre Jean BODIN - Resp. Scientifique du Projet de recherche "ÂgéDroit"

    Félicien Lemaire, « Bien-être dans la ville », le 03 juin 2019  

    Organisé dans le cadre du projet Bon Droit, Université d’Angers par les laboratoires du CJB et du GRANEM

    Félicien Lemaire, « L’aléa climatique et son évolution, aspects juridiques », le 11 avril 2019  

    Organisé par les jeunes chercheurs du Centre Jean Bodin (laboratoire de recherche juridique et politique de l'Université d'Angers- EA4337) sous la Responsabilité scientifique de Timothée Masson et Thomas Onillon, doctorants à l'université d'Angers

    Félicien Lemaire, « Regards sur l'anxiété », le 28 mars 2019  

    Organisée dans le cadre du projet BonDroit par Bernard Gauriau Co-Responsable de l'Axe 1 du projet BonDroit et Professeur de droit privé à l'Université d'Angers

    Félicien Lemaire, « Démocratie et identités régionales », Séminaire "La démocratie à l'oeuvre", organisé par le CERMA, EHESS Mondes Américains (UMR 8168), Paris, le 01 janvier 2019   

    Félicien Lemaire, « Le logement de la personne âgée », le 17 décembre 2018  

    Organisé sous la responsabilité de Mme Aline Vignon-Barrault, Pr. de Droit Privé à l'Univ. d'Angers, Directrice de l'axe de recherche "Patrimoine, entrepreneuriat, cohésion sociale et justice" du Centre Jean BODIN - Recherche juridique et politique

    Félicien Lemaire, « Citoyenneté(s) et démocratie », le 06 décembre 2018  

    Organisé par le Centre Jean Bodin sous la responsabilité de Félicien Lemaire, Professeur de Droit public, directeur du Centre Jean Bodin, Univ. d’Angers et Stéphanie Couderc-Morandeau, Ingénieur d'Etudes CNRS, Droit et changement social, Univ.Nantes

    Félicien Lemaire, « Droit à la déconnexion et télétravail », le 08 novembre 2018 

    Félicien Lemaire, « Le vestiaire du totalitarisme », le 19 octobre 2018  

    Organisé sous la responsabilité de M. François Hourmant, Pr. Science Politique, Univ. Angers, et M. Bernard Bruneteau, Pr. Science politique à l'Univ. Rennes 1

    Félicien Lemaire, « La personne âgée, sujet de protection du droit », le 20 avril 2018  

    Organisé sous la responsabilité de Mme Aline Vignon-Barrault, Professeure de Droit Privé à l'Université d'Angers, Membre du Centre Jean BODIN - Recherche juridique et politique

    Félicien Lemaire, « Penser et construire le bonheur : regards croisés », le 22 mars 2018  

    2èmes rencontres d’Angers organisées dans le cadre du projet BonDroit

    Félicien Lemaire, « Le revenu universel : l'avenir d'une illusion ? », le 16 novembre 2017  

    Co-organisée par Gwendal Châton, Maître de conférences en science politique, et Martine Long, Maître de conférences HDR en droit public, de l'Université d’Angers.

    Félicien Lemaire, « Du droit à l'éducation à la protection de l'enfance », le 02 juin 2017  

    Dans le cadre des journées scientifiques de l'Université de Nantes, l'Axe 2 organise une journée d'études traitant du bonheur, par le prisme du droit à l'éducation et la protection de l'enfance.

    Félicien Lemaire, « Les discriminations fondées sur le sexe, l'orientation sexuelle et l'identité de genre », le 10 mai 2017 

    Félicien Lemaire, « État des lieux de la citoyenneté en Europe », le 31 mars 2017  

    Organisé dans le cadre du projet régional CITER ("L'Europe et les frontières de la citoyenneté") porté par le CRHIA et financé par Alliance Europa

    Félicien Lemaire, « Quelle gouvernance pour les intercommunalités XXL ? », le 15 mars 2017  

    Organisé par le Centre Jean Bodin (laboratoire de recherche juridique et politique de l'Université d'Angers- EA4337) en partenariat avec l'AdCF, l'AFDCL, l'ADGCF, le CNFPT (délégation Pays de la Loire et INSET Angers), le GRALE et l'IFSA Ouest.

    Félicien Lemaire, « Nation, peuple, populations et citoyennetés en France, quelles différences juridiques ? », Conférence Maison de l'Europe d'Angers. Programme CitƐr, L'Europe et les frontières de la citoyenneté, RFI Alliance Europa, Angers, le 01 janvier 2017   

    Félicien Lemaire, « Doctrines et réalité(s) du bonheur », le 08 décembre 2016 

    Félicien Lemaire, « Le Bien-être et le Droit », le 06 octobre 2016 

    Félicien Lemaire, « Sexualité et droit international des droits de l’homme », le 26 mai 2016  

    Colloque annuel de l’Institut international des droits de l'homme

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Anthony Papin-Puren, La notion constitutionnelle de groupements de collectivités territoriales, thèse soutenue en 2018 à Angers, membres du jury : Mathieu Doat (Rapp.), Jacqueline Montain-Domenach (Rapp.), Vincent Aubelle et Martine Long  

    La notion constitutionnelle de groupements de collectivités territoriales est issue de la révision constitutionnelle de 2003 relative à l’organisation décentralisée de la République. Elle n’a pas été un élément phare de cette réforme car le droit de la coopération entre collectivités territoriales est relativement discret et continu. La pluralité des formes des groupements renforce cette approche et réduit la visibilité et l’originalité de ce type de structure juridique. Néanmoins, la place de ces institutions devient de plus en plus grande au point de définir ce phénomène comme une « révolution silencieuse ». La transformation profonde et la multiplication des réformes du droit des collectivités locales depuis la consécration constitutionnelle des groupements ont complètement modifié les définitions usuelles de notions fondamentales, telles que celle de collectivité territoriale. Or la notion de groupements est largement impactée par ces évolutions institutionnelles et participe, simultanément, à fragmenter le paysage des collectivités territoriales. L’approche constitutionnelle de la notion de groupements peut apporter un nouvel éclairage sur la crise que traverse notamment la notion de collectivité territoriale en recherchant les raisons de cette insertion dans la norme fondamentale. Ces dernières nous permettront de voir quels types de groupements correspondent le plus à cette nature constitutionnelle. Après les avoir identifiés, il sera intéressant de rechercher les critères constitutionnels permettant de les caractériser et de les différencier de ceux qui sont propres aux collectivités territoriales et aux catégories d’établissement public.

    Jimmy Charruau, La notion de non-discrimination en droit public français, thèse soutenue en 2017 à Angers, membres du jury : Olivia Bui-Xuan (Rapp.), Véronique Champeil-Desplats (Rapp.), Gwénaële Calvès  

    C’est en tant que principe du droit de l’Union européenne et de la Convention européenne des droits de l’Homme que la non-discrimination est souvent étudiée. Rattachée au droit français, la notion a fait l’objet d’analyses qui, pour la plupart, se sont limitées à un critère (sexe, race,etc.) ou à un domaine en particulier (fonction publique, marchés publics, etc.). On saisit l’intérêt d’une étude globale de la non-discrimination en droit public français ; et ce d’autant plus que si la notion émerge, sa mise en oeuvre rencontre des difficultés qui tiennent aux spécificités de ce droit par rapport au principe d’égalité. Adapté à la culture juridique anglosaxonne, ce principe attire la suspicion : il entraînerait avec lui des conséquences a priori peu compatibles avec l’universalisme français. Le principe d’égalité ne semble pourtant plus entièrement suffire pour répondre aux réalités sociales. Les juges recourent aux dérogations, au risque d’affaiblir la norme. Et la doctrine se livre à des acrobaties conceptuelles pour en minimiser l’importance. La non-discrimination offre de ce point de vue des perspectives utiles au droit français en alliant interdiction active des discriminations et promotion des différenciations. Au fond, la notion ne vise rien d’autre que la recherche de l’intérêt général, ou plus exactement de l’ « utilité commune » (article 1er de la Déclaration de 1789). Au-delà des préjugés, elle s’avère conforme à notre tradition juridique. Forte d’une dimension holistique et plus centrée sur la manière de vivre en commun que sur l’exacerbation de droits strictement catégoriels, la non-discrimination mériterait d’être élevée à la dignité constitutionnelle.

  • Valentin Vacher, Le bien-être dans la fonction publique territoriale, thèse soutenue en 2021 à Angers sous la direction de Martine Long, membres du jury : Mathieu Doat (Rapp.), Isabelle Muller-Quoy (Rapp.)  

    Le bien-être dans les situations de travail est considéré comme un élément nécessaire au bon déroulement de la carrière. Au sein de la fonction publique territoriale, le bien-être revêt une double acception fondamentale. En effet, le bien-être conditionne à la fois l’état physique et psychique de l’agent public mais également influence directement la qualité du service public. La notion de bien-être force néanmoins à s’interroger à la fois sur le sens qui lui est conféré mais également sa valeur d’un point de vue juridique. D’une part, le bien-être est propre à chaque individu et s’en trouve déterminé par l’environnement dans lequel évolue l’agent public. D’autre part, le droit peut être gage de bien-être que ce soit par la reconnaissance de situation égalitaire, ou la protection qu’il offre. Pour autant, les sciences juridiques ont relégué la question du bien-être à d’autres disciplines. Le bien-être des agents publics territoriaux est intimement lié à l’organisation de la fonction publique territoriale et évolue au regard de l’organisation managériale, des contraintes nées de l’exigence des missions de service public et plus largement des relations de travail. La fonction publique territoriale, par son exigence, se révèle épuisante des forces vives qui la constituent. Elle ne pourra se régénérer, s’adapter aux nouveaux besoins, qu’en assurant des droits sociaux et protecteurs dans l’exercice des fonctions mais également en proposant une organisation plus reconnaissante et souple dont les finalités devraient assurer le développement d’un sentiment de reconnaissance des agents publics. L’affaiblissement du statut de la fonction publique territoriale tend progressivement à rompre le rapport d’équilibre entre contraintes et avantages nés de l’exécution d’un emploi public. Le temps de l’adaptation révèle la nécessité d’un accompagnement par les collectivités territoriales pour tendre vers la détermination du bien-être des agents publics territoriaux. Le bien-être au sein de la fonction publique territoriale constitue par conséquent l’enjeu de l’adaptation de la fonction publique de demain.

    Ali Issa, Islam et Droit constitutionnel en Egypte, en Syrie et au Maroc : étude comparée, thèse soutenue en 2015 à Université de Lorraine sous la direction de Stéphane Pierré-Caps, membres du jury : Baudouin Dupret (Rapp.), Marie-France Verdier (Rapp.), Thomas Pierret  

    Pour comprendre les logiques de la constitutionnalisation de l'Islam dans les paysarabes, cette étude propose, dans la première partie, de mettre en évidence la permanence del'influence constitutionnelle de l'Islam. En effet, toutes les constitutions des Etats arabes, àl'exception de celle du Liban, se réfèrent à l'Islam. La place prééminente qu'occupe cettereligion dans les textes fondamentaux arabes influe effectivement sur la structure etl'organisation de l'Etat, mais également la protection des droits fondamentaux, en particuliercelle relative à la liberté religieuse.Dans la seconde partie, on a essayé de mettre en exergue les voies qui permettent aux Etatsarabes de dépasser la vision théologique sur laquelle repose leur droit constitutionnel.L'accent est mis sur deux tendances : la sécularisation progressive du pouvoir politique àtravers la marginalisation du référent religieux et la consécration du pouvoir étatique d'unepart, et la rationalisation constitutionnelle à travers le renforcement du rôle de la justiceconstitutionnelle et l'éveil de la société civile d'autre part. En définitive, ces développementsposent les clés de compréhension de l'actualité juridique et politique. A l'heure du« Printemps arabe », ces deux référents, Islam et Droit constitutionnel, s'imbriquent pourformer la trame de la vie politique et juridique des peuples arabes. Leur dialogue semblenécessaire ou évident d'autant plus que les Révolutions n'ont pas abouti à la consécrationd'un modèle laïc et la place de l'Islam se trouve maintenue, voire renforcée.

  • Antoine Charlot Laurent, Quotas par sexe et ultras-marins : sens et portée d'une habilitation constitutionnelle, thèse soutenue en 2015 à CergyPontoise sous la direction de Gwénaële Calvès, membres du jury : Olivia Bui-Xuan (Rapp.)  

    Le quota est un instrument juridique courant en droit français. Le législateur en adopte dans différents secteurs, pour poursuivre des objectifs très variés : discrimination positive, protection de l'ordre public, préservation de l'environnement, protection de la santé publique, préservation des ressources halieutiques, contrôle des excédents agricoles. Le quota reste toutefois un instrument très controversé en droit public, notamment parce qu'il semble contrevenir au principe d'égalité. Les quotas féminins et les quotas ultras-marins illustrent de façon saisissante une forme d'allergie du droit français à certains types de quotas, objets de revendications politiques parfois anciennes. À partir des années 1980, les lois instaurant de tels quotas ont systématiquement été jugées inconstitutionnelles. Le Constituant a donc été amené à réviser, à quatre reprises en une seule décennie, la Constitution du 4 octobre 1958, afin d'habiliter le législateur à adopter de tels quotas.Les obstacles constitutionnels une fois levés, on aurait pu s'attendre à une prolifération des quotas naguère impossibles à établir. Mais tel n'a pas été le cas. D'une part parce que, à l'instar des autres quotas, l'adoption de quotas par sexe et ultras-marins relève de la compétence exclusive du législateur. D'autre part parce que, adoptés sur le fondement d'une habilitation constitutionnelle ad hoc, ils dérogent à certains principes constitutionnels, et font l'objet, à ce titre, d'un contrôle juridictionnel étroit. Pourquoi a-t-il fallu réviser la Constitution, qui plus est à quatre reprises, pour adopter des mécanismes si ordinaires du droit français ? Quelle est la portée exacte des nouvelles habilitations à instaurer des quotas ? Les quotas par sexe et ultras-marins sont-ils devenus des quotas comme les autres ? C'est notamment à ces questions que la recherche s'est efforcée de répondre. Elle met ainsi en lumière le rôle central de la figure du juge dans l'appréhension des quotas, et les insuffisances qui entourent encore aujourd'hui leur régime contentieux.

    Bilal Kaoula, L'éloignement des étrangers dans la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme, thèse soutenue en 2013 à La Rochelle sous la direction de Joël Andriantsimbazovina, membres du jury : Justin Kissangoula (Rapp.), Serge Slama  

    L’objectif de ce travail est de traiter la problématique de l’éloignement des étrangers sous l’angle des droits de l’homme en Europe. En effet, la Convention européenne des droits de l’homme permet de limiter le droit des Etats d’expulser, d’extrader, ou de reconduire à la frontière les étrangers. La Cour européenne des droits de l’homme exige que toute mesure d’éloignement prise à l’encontre de l’étranger respecte les droits fondamentaux énumérés dans la Convention européenne des droits de l’homme. Ces exigences découlent de l’interprétation dynamique et évolutive des articles de ce texte, offrant une protection aux étrangers contre tout renvoi vers des destinations où ils risquent de subir des mauvais traitements. De même, l’expulsion des étrangers délinquants ayant des liens d’attachements dans l’Etat d’accueil peut constituer une violation de leur droit à une vie privée et familiale. Le juge européen octroie également des garanties procédurales aux mineurs étrangers et aux demandeurs d’asile en leur maintenant le droit à un recours effectif. Toutefois, le juge européen limite l’application de certains articles quand la mesure d’éloignement est nécessaire pour la sauvegarde de l’ordre public et la sécurité nationale. A ce titre, le juge refuse d’appliquer le droit à un procès équitable en cas d’extradition ou d’interdiction de territoires, en particulier à ceux suspectés de terrorisme. Afin de réconcilier l’intérêt des Etats et la protection les droits fondamentaux de l’étranger frappé par une mesure d’éloignement, les juges de la Cour européenne des droits de l’homme examinent ce contentieux au cas par cas. En somme, les solutions européennes permettent de modifier le statut interne de l’étranger en situation d’éloignement et de combler les défaillances du droit international en la matière.