Arnaud de Bissy

Professeur
Droit privé et sciences criminelles.
Faculté de Droit et Science Politique

Centre de Droit des Affaires
Responsable de la formation :
  • THESE

    La notion de dividende : aspects juridiques et fiscaux, soutenue en 1994 à Toulouse 1 sous la direction de Patrick Serlooten 

  • Arnaud de Bissy, Comptabilité et fiscalité : du résultat comptable au résultat fiscal, 3e éd., LexisNexis, 2023, Précis fiscal, 648 p. 

    Arnaud de Bissy, Nadège Jullian, Sandrine Tisseyre (dir.), Les structures individuelles: actes du colloque du 6 mars 2020, Université Toulouse 1 Capitole, Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, Presses de l'université Toulouse 1 Capitole et OpenEdition, 2021, 287 p.  

    L’exercice d’une activité professionnelle requiert le choix d’une structure d’exercice. Pendant longtemps, le choix des entrepreneurs se résumait à une simple option entre l’entreprise individuelle et la société pluripersonnelle. Si l’entrepreneur voulait exercer seul son activité, il devait se résoudre, soit à engager tout son patrimoine en agissant en son nom et pour son compte, soit à trouver un associé de « paille » dans le cadre d’une société à risque limité...Ce temps est désormais révolu ; le législateur a commencé par martyriser le droit des sociétés, en acceptant l’idée, a priori saugrenue, de l’associé unique (loi du 11 juillet 1985 instituant la SARL avec un seul associé, ou « EURL »), avant de consacrer l’idée, jadis hérétique, du patrimoine d’affectation en mettant fin au principe de l’unicité du patrimoine (loi du 15 juin 2010 instituant le statut d’entrepreneur individuel à responsabilité limitée, ou « EIRL »). L’évolution est en cours. L’EURL n’est plus la seule société unipersonnelle (loi du 12 juillet 1999 créant la SAS unipersonnelle), et le législateur n’a eu de cesse que de desserrer les contraintes pesant sur les entreprises individuelles, jusqu’à prévoir un statut fiscal et social ultra-simplifié pour les micro-entreprises (loi du 4 août 2008 instituant le statut de « l’auto-entrepreneur »), ou plus récemment en simplifiant encore le régime de l’EIRL (loi du 22 mai 2019 pour la croissance et la transformation des entreprises). Ces évolutions ont parfois été critiquées, souvent encouragées, mais elles n’ont jamais laissé personne indifférent. Comment en effet, un juriste pourrait-il rester muet devant l’amoncellement des questions, parfois fondamentales, générées par la dualité de patrimoine d’une même personne par la nécessaire adaptation du droit des sociétés lorsque celles-ci sont créées par un seul associé ? C’est précisément tout l’enjeu de ce colloque consacré aux structures individuelles ; savoir d’où l’on vient, ce qui a été réalisé et ce qui reste à accomplir.

    Arnaud de Bissy, Comptabilité et fiscalité: du résultat comptable au résultat fiscal, 2e éd., LexisNexis, 2016, Précis fiscal, 629 p.  

    La 4e de couverture indique : "Ce précis est l'un des très rares ouvrages qui envisage de façon systématique et didactique les règles comptables et fiscales qui gouvernent la détermination du résultat des entreprises. Il repose entièrement sur un principe fondateur de la fiscalité des entreprises : la connexion entre le résultat comptable et le résultat imposable. Ce principe a pour effet : d'appliquer la règle comptable s'il n'est pas prévu de règle fiscale différente ; de corriger le résultat comptable si la loi fiscale prévoit une règle différente. Lorsque l'une des deux matières impose sa norme à l'autre, cela conduit à l'unité du résultat comptable et fiscal (1re partie de l'ouvrage). Lorsque, en revanche, la norme fiscale ne s'applique pas dans les comptes de l'entreprise, il convient de retraiter extra-comptablement le résultat comptable ; le lecteur est alors instruit des mécanismes fiscaux dérogatoires et guidé sur le terrain des retraitements extra-comptables (2e partie de l'ouvrage). L'ouvrage séduira aussi bien les comptables que les juristes, praticiens ou étudiants : il envisage à la fois les obligations comptables (bilan, compte de résultat, annexe) et les opérations comptables (opérations courantes et opérations exceptionnelles) ; il met systématiquement en perspective les règles du droit comptable (PCG / Code de commerce) et les règles du droit fiscal (CGI / BOFIP-BOI / Jurisprudence) ; il décrit les écritures comptables qui doivent être passées (conformément au plan des comptes) et les retraitements qui doivent être effectués (tableau fiscal n° 2058-A) ; il est agrémenté de nombreux exemples chiffrés et de tableaux synthétiques ; les imprimés fiscaux sont fournis en annexe (liasse fiscale, déclarations de résultats)."

    Arnaud de Bissy, Olivier Debat (dir.), Ecrits de droit de l'entreprise (textes rassemblés par Olivier Debat et Arnaud de Bissy): mélanges en l’honneur du professeur Patrick Serlooten, Dalloz, 2015, 802 p.    

    La 4e de couverture indique : "Quel est le juriste, universitaire ou praticien, qui ne connaît pas le professeur Serlooten ? En 2010, Patrick Serlooten est devenu professeur émérite de l’Université de Toulouse I Capitole, après y avoir effectué toutes ses études et y être resté en poste pendant plus de 40 ans. Mais son rayonnement n’est pas simplement local, il est national. La production scientifique du professeur Serlooten est en effet d’une incroyable richesse et d’une rare cohérence. Sa curiosité intellectuelle et son extrême degré d’exigence ont rapidement conduit ce professeur de droit civil à investir le droit de l’entreprise, dans toutes ses composantes, commerciales et fiscales. S’il est aujourd’hui surtout reconnu pour ses écrits en fiscalité, notamment son Précis de Droit fiscal des affaires (Dalloz, 14e éd., 2015-2016), le professeur Serlooten a d’abord marqué le droit des sociétés, notamment par ses contributions sur les entreprises unipersonnelles, puis le droit des procédures collectives, qu’il a savamment croisé avec le droit fiscal. Cinq ans après son départ de l’université, de nombreux juristes, universitaires ou praticiens, ont souhaité rendre hommage à ce grand professeur d’université en écrivant chacun un article dans le domaine du droit de l’entreprise. Le champ d'investigation des contributeurs est si vaste et les problématiques si actuelles que tout juriste qui s'intéresse à l'entreprise ou à l'entrepreneur y trouvera son bonheur, qu'il soit privatiste ou publiciste, positiviste ou historien du droit, internationaliste ou non..."

    Arnaud de Bissy, Olivier Debat (dir.), Ecrits de droit de l'entreprise: Mélanges en l'honneur de Patrick Serlooten, Dalloz, 2015, Études, mélanges, travaux 

    Arnaud de Bissy, Comptabilité et fiscalité: du résultat comptable au résultat fiscal, LexisNexis, 2014, Précis fiscal, 586 p. 

    Arnaud de Bissy, Droit fiscal des affaires, 5e éd., L'Hermès, 2001, Droit, 368 p. 

    Arnaud de Bissy, Droit fiscal des affaires, 4e éd., L'Hermès, 2000, Leçons et pratique   

    Arnaud de Bissy, Droit fiscal des affaires, 3e éd., L'Hermès, 1999, Essentiel sur ( Gestion ), 254 p.   

    Arnaud de Bissy, Droit fiscal des affaires: à jour de la loi du 10 novembre 1997 portant mesures urgentes à caractère fiscal, la loi du 19 décembre 1997 sur le financement de la sécurité sociale, la loi de finances pour 1998 du 30 décembre 1997, la loi de finances rectificative pour 1997 du 30 décembre 1997, 2e éd., l'Hermès, 1998, L'essentiel sur, 248 p.   

    Arnaud de Bissy, La Loi nouvelle: résumé, analyse et commentaire, L'Hermès, 1998, 127 p. 

    Arnaud de Bissy, Droit fiscal des affaires: à jour de la loi de finances rectificative pour 1996 et de la loi de finances pour 1997, l'Hermès, 1997, L'essentiel sur, 236 p.   

    Arnaud de Bissy, Droit fiscal des affaires, L'Hermès, 1997, L'Essentiel sur, 240 p. 

    Arnaud de Bissy, Suicide et responsabilité civile, 1990, 87 p. 

  • Arnaud de Bissy, Hélène Boucard, Eddy Lamazerolles, « Critère de l’acte anormal de gestion en fiscalité : intérêt « juridique » versus intérêt « économique » », Trente ans de droit privé, Presses universitaires juridiques de Poitiers, 2023, pp. 395-404 

    Arnaud de Bissy, « La cessation des paiements : une notion comptable ? », Un droit "positif", un droit de progrès, LGDJ un savoir-faire de Lextenso, 2020, pp. 71-81 

    Arnaud de Bissy, « Le PEA dans tous ses états. », Etudes en la mémoire de Philippe Neau-Leduc, LGDJ, 2018, pp. 85-95 

    Arnaud de Bissy, « Préface », La fiducie : aspects juridiques et fiscaux, Defrénois - Lextenso, 2018 

    Arnaud de Bissy, Alexandra Mendoza-Caminade, « Optimisation fiscale des sociétés et marché de l'art », L'entreprise et l'Art, Presses de l'université Toulouse 1 Capitole, 2018, pp. 49-68 

    Arnaud de Bissy, « Patrick Serlooten, le pragmatisme juridique au service de la rigueur scientifique. », Ecrits de droit de l'entreprise., Dalloz, 2015 

    Arnaud de Bissy, « L'inadaptation du droit fiscal en période de crise. Ou les vertus de la neutralité fiscale ... », Crise(s) et Droit, Presses de l'Université Toulouse I Capitole, 2012, pp. 43-52 

    Arnaud de Bissy, Constant Djama, Karim Amari, Grégoire Loustalet, « Le patrimoine professionnel », Qu'en est-il du code de commerce 200 ans après ? : état des lieux et projections (sous la direction de Corinne Saint-Alary-Houin), Presses de l'Université des sciences sociales de Toulouse, 2009, pp. 279-305 

    Arnaud de Bissy, « Plaidoyer en faveur de la connexion entre fiscalité et comptabilité », Ecrits de fiscalité des entreprises : études à la mémoire du professeur Maurice Cozian (sous la direction de Martial Chadefaux, Florence Deboissy, Christophe de La Mardière), Litec, 2009, pp. 311 

    Arnaud de Bissy, Francine Macorig-Venier, Marie-Hélène Monsérié-Bon, « Les fondations créées par les Universités », Qu’en est-il du droit de la recherche? (Dir. Jacques Larrieu), Presses de l'Université des sciences sociales de Toulouse, 2008, pp. 391-406 

    Arnaud de Bissy, Patrick Serlooten, « Le néo-réalisme du droit fiscal », Regards critiques sur quelques (r)évolutions récentes du droit (sous la direction de J. Krynen et M. Hecquard-Théron), Presses de l'Université des sciences sociales de Toulouse, 2005, pp. 195-222 

    Arnaud de Bissy, « Evaluation des immobilisations : le principe d’image fidèle à l’épreuve de la normalisation comptable », Le droit saisi par la morale (Philippe le Tourneau, Joël Molinier, Jean-François Couzinet... [et al.]), Presses de l'Université des sciences sociales de Toulouse, 2005, pp. 275-193 

  • Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2024 (Loi n° 2023-1322, du 29 décembre 2023) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2024, n°7, pp. 17-33 

    Arnaud de Bissy, « Nouvelle déclaration publique pays par pays relative à l’impôt sur les bénéfices (ordonnance n° 2023-483, du 21 juin 2023, relatif à la communication, par certaines entreprises et succursales, d’informationsrelatives à l’impôt sur les bénéfices ; décret n° 2023-493 du 22 juin 2023 ; arrêté du 22 juin 2023) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2023, n°6, pp. 28-29 

    Arnaud de Bissy, « Possibilité de demander la confidentialité des comptes après leur dépôt ? Non (CA Paris, 5-8, 8 juin 2023, n° 23/00062) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2023, n°6, pp. 35-35 

    Arnaud de Bissy, « Nouvelle déclaration publique pays par pays relative à l’impôt sur les bénéfices (ordonnance n° 2023-483, du 21 juin 2023, relatif à la communication, par certaines entreprises et succursales, d’informations relatives à l’impôt sur les bénéfices ; décret n° 2023-493 du 22 juin 2023 ; arrêté du 22 juin 2023) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2023, n°6, pp. 28-29 

    Arnaud de Bissy, « RSE dans les sociétés cotées – Gouvernance d’entreprise : rapport 2022 de l’AMF et nouvelle version du Code de gouvernement des entreprises cotées de l’Afep-Medef – Déclaration de performance extrafinancière (DPEF) : état des lieux de l’AMF sur les obligations de reporting Taxonomie des sociétéscotées et encouragement de ces entreprises à mettre en œuvre les commandations de l’ESMA », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2023, n°3, pp. 42-43 

    Arnaud de Bissy, « Relèvement judiciaire des fonctions de commissaire aux comptes pour faute – Comportement dolosif du commissaire aux comptes dans la fixation de sa rémunération – Compétence du juge ? Oui (Cass. com., 4 janvier 2023, n° 21-14.547, F-D) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2023, n°3, pp. 41-42 

    Arnaud de Bissy, « RSE dans les sociétés cotées – Gouvernance d’entreprise : rapport 2022 de l’AMF et nouvelle version du Code de gouvernement des entreprises cotées de l’Afep-Medef – Déclaration de performance extrafinancière (DPEF) : état des lieux de l’AMF sur les obligations de reporting Taxonomie des sociétés cotées et encouragement de ces entreprises à mettre en œuvre les commandations de l’ESMA », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2023, n°3, pp. 42-43 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2023 (Loi n° 2022-1726, du 30 décembre 2022) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2023, n°1, pp. 45-66 

    Arnaud de Bissy, « Précisions de la CNCC en ce qui concerne la publicité des comptes des moyennes entreprises - CNCC, EJ 20020-26 du 10 septembre 2021. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°4, pp. 395-395 

    Arnaud de Bissy, « Modernisation des états financier et de la nomenclature des comptes : l’ANC a adopté le 3 décembre 2021 un projet de règlement modifiant le PCG », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°4, p. 396 

    Arnaud de Bissy, « Les leçons de la crise en droit fiscal », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 2022, n°2122, pp. 47-51 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l’article 23 de la loi de finance pour 2022 instituant une faculté temporaire d’amortissement fiscal des fonds commerciaux », Revue de droit fiscal, 2022, n°12, pp. 45-49 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l’article 23 de la loi de finances pour 2022 instituant une faculté temporaire d’amortissement fiscal des fonds commerciaux », Droit fiscal, 2022, n°12, pp. 45-49 

    Arnaud de Bissy, « Les mutations du patrimoine professionnel en fiscalité », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°3, pp. 284-289 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2022 du 30 décembre 2021 », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°2, pp. 87-97 

    Arnaud de Bissy, « Possibilité d’arrêter à distance les comptes annuels – Loi n°2022-46 du 22 janvier 2022 renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire (art. 13) », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°4, pp. 382-383 

    Arnaud de Bissy, « Comptes sociaux 2021 et situations de crise : quel impact de l’épidémie de la Covid-19 et de la guerre en Ukraine ? », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°4, pp. 396-397 

    Arnaud de Bissy, « Obs. sous Cass. Crim. 22 juin 2022, n°21-83.360. Fraude fiscale et omissions comptables. Cumul des poursuites ? Oui. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°6, pp. 519-520 

    Arnaud de Bissy, « Obs. sous Cass. Crim. 13 avril 2022, n°20-83.524 F-D - Diffusion de fausses informations, faux et usage, présentation de comptes infidèles. Poursuites successives ? Oui. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°6, pp. 518-519 

    Arnaud de Bissy, « Sanction des dirigeants d’associations qui ne publient pas leurs comptes annuels – Loi n°2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République ( Loi contre le séparatisme ), art. 21, II. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2022, n°4, pp. 383-383 

    Arnaud de Bissy, « Délit de présentation de comptes infidèles ; non application aux comptes consolidés. - Observations sous Cass. Crim. 17 février 2021, n°20-82.068 F-PBI », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2021, n°6, pp. 467-467 

    Arnaud de Bissy, « Obligation de déposer les comptes sociaux - Observations sous Cass. Com. 24 juin 2020, n°18-14.248 F-D et Cass. Com. 3 mars 2021, n°19-10.086 F-P », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2021, n°6, pp. 465-467 

    Arnaud de Bissy, « Revenus de capitaux mobiliers - Distributions occultes et distributions anonymes (fasc. 611-30) », JurisClasseur Fiscal Impôts directs Traité , 2021, pp. 1-97 

    Arnaud de Bissy, « Note sous Conseil d’Etat, Avis, 8 septembre 2021, n°453458 », Revue de droit fiscal, 2021, n°38 

    Arnaud de Bissy, « Même les petites entreprises ne peuvent pas déduire un amortissement systématique de leurs fonds commerciaux »: Note sous Conseil d’Etat, Avis, 8 septembre 2021, n°453458, Revue de droit fiscal, 2021, n°38 

    Arnaud de Bissy, « Revenus de capitaux mobiliers - Distributions présumées », JurisClasseur Fiscal Impôts directs Traité , 2020, n°61120 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l'ordonnance n°2020-318 du 25 mars 2020 portant adaptation des règles relatives à l'établissement, l'arrêté, l'audit, la revue, l'approbation et la publication des comptes dans le contexte de l'épidémie de covid-19 », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2020, n°3, pp. 199-200 

    Arnaud de Bissy, « Observations sous CE 24 juillet 2019, n°416243, sur l'opposabilité à l'administration fiscale de la durée des exercices comptables », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2020, n°3, p. 228 

    Arnaud de Bissy, « Commentaires de : AMF, communiqué du 28 février 2020 ; ANC, communiqué du 2 avril 2020 (bonnes pratiques en matière d'information financière) ; CNCC et CSOEC, Questions/Réponses relatives aux conséquences de la crise sanitaire et économique liée à l’épidémie de Covid-19, du 25 mars 2020. », Revue de jurisprudence fiscale, 2020, n°32020, p. 229 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2020 du 28 décembre 2019. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2020, n°1, pp. 10-22 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des retouches du régime du rachat par une société de ses propres actions par la loi de simplification du droit des sociétés du 19 juillet 2019. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2019, n°6, pp. 505-506 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l’assouplissement des obligations comptables des moyennes entreprises et du relèvement des seuils des petites entreprises par la loi Pacte du 22 mai 2019. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2019, n°6, pp. 515-516 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la généralisation des seuils de nomination des commissaires aux comptes et de l’abaissement de ces seuils par la loi Pacte du 22 mai 2019. », Revue de jurisprudence commerciale. Ancien journal des agréés, 2019, n°6, pp. 517-519 

    Arnaud de Bissy, « L’Administration a tout faux : l'usufruit viager est un actif incorporel et il peut être amorti ! »: Note sous Conseil d’Etat 24 avril 2019, Revue de droit fiscal, 2019, n°4445, pp. 15-21   

    Arnaud de Bissy, « Revenus de capitaux mobiliers - Sommes réputées distribuées – Sommes réintégrées dans les bénéfices. 30 novembre 2019. », JurisClasseur Fiscal Impôts directs Traité , 2019, n°61110 

    Arnaud de Bissy, « La crise existentielle des sociétés : quel impact fiscal ? », Lexbase affaires, 2019, n°597, pp. 33-38 

    Arnaud de Bissy, « Note sous Conseil d'Etat, n°421211, 27 mars 2019 », Revue de droit fiscal, 2019, n°20, pp. 28-31   

    Arnaud de Bissy, « Commission des études juridiques de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC, EJ 2018-48 et EJ 2018-81 du 22 février 2019). », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2019, n°3, pp. 246-247 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2019 du 28 décembre 2018 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2019, n°2, pp. 107-28 

    Arnaud de Bissy, « Fascicule n° 611 : Revenus des capitaux mobiliers - Définition des produits distribués - Distributions officielles et officieuses. », JurisClasseur Fiscal Impôts directs Traité, 2018, n°611 

    Arnaud de Bissy, « Le dirigeant sous-payé ... ou payé en dividendes. », Journal des sociétés, 2018, n°165, pp. 30-34 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2018 et des lois de finances rectificatives pour 2016 du 1er décembre 2017 et du 28 décembre 2017. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2018, n°1, p. 79 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de CNCC, EJ 2016-46 du 21 décembre 2017 ; Rép. min. justice à Mme Virginie Duby-Muller, QE n°14 du 4 juillet 2017 : JOAN Q 6 mars 2018, p.1951 ; ANSA, Comité juridique du 7 février 2018, n°18-00, en matière d'obligation de dépôt des comptes sociaux. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2018, n°5, pp. 412-413 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des apports de la loi Sapin 2 du 9 décembre 2016 en matière d'information financière des entreprises. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2017, n°5 

    Arnaud de Bissy, « Chronique de jurisprudence fiscale relative aux distributions irrégulières de bénéfices », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2017, n°3 

    Arnaud de Bissy, « Présomption d'appropriation des sommes réputées distribuées lorsque la maîtrise de l'affaire est exercée par plusieurs contribuables : le doute profite à l'accusé (Comm. 261) »: Note sous Conseil d'Etat 22 février 2017, Revue de droit fiscal, 2017, n°16   

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2017 et de la loi de finances rectificative pour 2016 du 29 décembre 2016. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2017, n°1, p. 55 

    Arnaud de Bissy, Mathieu Ferré, « Appréciation de la condition d' activité principale pour l'exonération partielle des parts ou actions détenues par les salariés et les mandataires sociaux : rejet d'une exigence autonome liée à la perception d'une rémunération »: Observations sous Cassation commerciale 5 janvier 2016, La revue fiscale du patrimoine, 2016, n°5   

    Arnaud de Bissy, « Chronique de jurisprudence fiscale sur l'abus de droit », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2016, n°3 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des aspects fiscaux de la loi Macron du 6 août 2015 concernant l'amélioration du financement des entreprises. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2016, n°6 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2016 (L. n°2015-1789 du 29 décembre 2015) et de la loi de finances rectificative pour 2015 (L. n°2015-1786 du 29 décembre 2015) », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2016, n°1, pp. 28-45 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire des aspects fiscaux de la loi Macron du 6 août 2015. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2015, n°5 

    Arnaud de Bissy, « Abattement légal sur les distributions officielles : la notion de dividende n'est pas morte ! Note sous Conseil d'Etat 11 mai 2015. (commentaire 585) », Revue de droit fiscal, 2015, n°39   

    Arnaud de Bissy, « Observations sous Conseil d'Etat 26 septembre 2014 sur le régime fiscal des Management Packages. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2015 

    Arnaud de Bissy, « La décision d'annulation par une société de ses propres titres initialement rachetés pour être cédés est une cession ! Observations sous Conseil d'Etat 1er avril 2015. (Actualité 408) », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 2015, n°20 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la réforme du régime fiscal du rachat de titres par la loi du 29 décembre 2014, de finances rectificative pour 2014. (Actualité 284) », Revue de droit fiscal, 2015, n°1920   

    Arnaud de Bissy, « La décision d'annulation par une société de ses propres titres initialement rachetés pour être cédés est une cession ! Observations sous Conseil d'Etat 1er avril 2015. (actualité 284) », Revue de droit fiscal, 2015, n°1920   

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2015 (L. n° 2014-1654 du 29 décembre 2014) et de la deuxième loi de finances rectificative pour 2014 (L. n° 2014-1655 du 29 décembre 2014) », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2015, n°1, pp. 59-75 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Les mesures fiscales de la loi n°2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2015, n°5, pp. 521-528 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2015 et de la loi de finances rectificative pour 2014 du 29 décembre 2014. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2015, n°1, p. 521 

    Arnaud de Bissy, Mathieu Ferré, « Le régime fiscal des rachats de titres est contraire à la constitution. Note sous Conseil constitutionnel 20 juin 2014. (Commentaire 467) », Revue de droit fiscal, 2014, n°30   

    Arnaud de Bissy, « Observations sous Conseil d'Etat 23 décembre 2013 sur le caractère facultatif des provisions en droit fiscal, et sous Conseil d'Etat 23 décembre 2013 sur la déductibilité des abandons de créances par un notaire. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2014 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi du 18 juin 2014 relative à l'artisanat, au commerce et aux très petites entreprises, et de la loi du 8 août 2014 de finances rectificative pour 2014. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2014 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2014 et de la loi de finances rectificative pour 2013 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2014, n°1 

    Arnaud de Bissy, « Chronique relative à l'actualité fiscale des sociétés de personnes. Commentaire de la réforme du régime fiscal des plus-values immobilières. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2013 

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Commentaire de la loi de finances pour 2013 du 29 décembre 2012 et de la loi de finances rectificative pour 2012 du 29 décembre 2012. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2013 

    Arnaud de Bissy, « La gestion du régime mère-fille : quel est le risque d'abus ? Actes du colloque consacré à la gestion fiscale des groupes de sociétés (Bordeaux, 19 octobre 2012). (Etudes 558) », Revue de droit fiscal, 2012, n°50   

    Arnaud de Bissy, « Sociétés de personnes : de la transparence fiscale à la transparence juridique ... », Revue de droit fiscal, 2012, n°43, pp. 34-36   

    Arnaud de Bissy, Gilles Dedeurwaerder, « Le critère du risque dans la jurisprudence fiscale », La Semaine Juridique. Edition entreprise. Cahiers de droit de l'entreprise, 2012, n°3, pp. 31-38     

    Arnaud de Bissy, « Loi numéro 2012-354 du 14 mars 2012 de finances rectificative pour 2012 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2012, n°3, pp. 55-59 

    Arnaud de Bissy, « Risque excessif et acte anormal de gestion », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2012, n°3, pp. 51-55 

    Arnaud de Bissy, « Rachat de titres préalablement apportés à la société cédante dans le cadre d'un apport partiel d'actif », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 2012, n°3, pp. 54-58   

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2012 et de la loi de finances rectificative pour 2011 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2012, n°1, pp. 59-64 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances rectificative pour 2012 du 14 mars 2012 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2012, n°3, p. 55 

    Arnaud de Bissy, « Optimisation fiscale du retrait d'associé », Droit & patrimoine, 2011, n°207, pp. 51-58   

    Arnaud de Bissy, « Fraction imposable des droits sociaux : le mauvais calcul de l'administration », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2011, n°9, pp. 732-734   

    Arnaud de Bissy, « La solidarité des dirigeants au paiement de l'amende pour distribution occulte est conforme à la Constitution », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2011, n°6, pp. 508-513   

    Arnaud de Bissy, « Derniers développements jurisprudentiels en matière d'abus de droit », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2011, n°3, pp. 302-308 

    Arnaud de Bissy, « Appréciation d'une situation de dépendance économique d'une société financière pour la qualification de bien professionnel unique », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2011, n°2, pp. 144-146   

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances rectificative pour 2011 du 29 juillet 2011 portant réforme de la fiscalité du patrimoine », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2011, n°5 

    Arnaud de Bissy, « C'est l'histoire d'une faute non causale des mandataires liquidateurs », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2010, n°6, pp. 563-567   

    Arnaud de Bissy, « Réforme de la TVA immobilière ; Note sous loi numéro 2010-237 de finances rectificative pour 2010 du 9 mars 2010 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2010, n°3, pp. 285-287 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des aspects fiscaux de la loi du 15 juin 2010 instituant l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2010 

    Arnaud de Bissy, « L'abandon d'une créance de revenu pourtant indisponible la rend imposable ! », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2010, n°1, pp. 93-97   

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2010 et de la loi de finances rectificative pour 2009 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2010, n°1, p. 67 

    Arnaud de Bissy, « Rachat par une société de ses propres actions : revenu mobilier soumis à la retenue à la source lorsque le cédant réside à l'étranger », Revue de droit fiscal, 2009, n°43, pp. 10-20   

    Arnaud de Bissy, « Les aspects fiscaux de l'effacement des dettes », Droit & patrimoine, 2009, n°184, pp. 71-80   

    Arnaud de Bissy, « La CJCE contrôle aussi la conformité des règles d'évaluation des participations », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2009, n°4, pp. 416-424   

    Arnaud de Bissy, « Fiscalité des sociétés ; commentaire de la loi de finances pour 2009 et de la loi de finances rectificative pour 2008 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2009, n°1, pp. 40-51 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des principales dispositions de la loi de finances pour 2009 et de la loi de finances rectificative pour 2008 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2009, n°1 

    Arnaud de Bissy, « Régime fiscal des dividendes et application des principes du droit privé », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2009, n°3 

    Arnaud de Bissy, « Loi numéro 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie-Commentaires des dispositions fiscales », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2008, n°5, pp. 370-377 

    Arnaud de Bissy, « ISF : la totalité de la valeur vénale du titre n'échappe pas toujours à l'ISF », Bulletin Joly mensuel d'information des sociétés (BMIS), 2008, n°8, pp. 712-716   

    Arnaud de Bissy, « Intérêts d'un emprunt contracté par le PDG, mis à la disposition de la société qui a pris en charge les intérêts : non-application de la limitation de la déduction », Revue de droit fiscal, 2008, n°19, pp. 21-26   

    Arnaud de Bissy, « Critères de déductibilité des pertes issues de détournements de fonds par des salariés », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 2008, n°1213, pp. 45-50   

    Arnaud de Bissy, « Application du prélèvement libératoire aux distributions de dividendes-article 10 de la loi numéro 2007-1822 du 24 décembre 2007 pour 2008 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2008, n°1, pp. 42-43 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l'article 10 de la loi de finances pour 2008 relatif à l'application du prélèvement libératoire sur les distributions de dividendes », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2008, n°1, p. 42 

    Arnaud de Bissy, « Non-application du plafond de déduction des intérêts de comptes courants d'associés lorsque la société a pris en charge les intérêts de l'emprunt contracté par un associé et mis à la disposition de la société », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2008, n°3, p. 206 

    Arnaud de Bissy, « La sanction de la comptabilité par la fiscalité », Revue de droit fiscal, 2007, n°44, pp. 9-15   

    Arnaud de Bissy, « Retenue à la source au cas de distribution à une société étrangère », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2007, n°5, pp. 354-356 

    Arnaud de Bissy, « Note sous Instruction du 23 novembre 2006, Bulletin Officiel des Impôts 5F-20-06 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2007, n°3, pp. 219-223 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi numéro 2007-2011 du 19 février 2007 instituant la fiducie », La Semaine Juridique. Notariale et immobilière (JCP N), 2007, n°17, pp. 30-36   

    Arnaud de Bissy, « Aspects fiscaux de la fiducie », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 2007, n°16, pp. 46-52   

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l'instruction du 23 novembre 2006 relative à la déduction des intérêts de l'emprunt contracté par un associé pour acquérir les parts d'une société dans laquelle il exerce une activité salarié ou de direction », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2007, n°3, p. 219 

    Arnaud de Bissy, « Déductibilité des avantages intra-groupe. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2006, n°5, pp. 379-380 

    Arnaud de Bissy, « Loi numéro 2006-396 du 31 mars 2006 pour l'égalité des chances-Création de nouvelles zones franches urbaines et aménagement du régime fiscal », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2006, n°3, pp. 190-192 

    Arnaud de Bissy, « L’administration fiscale précise le domaine d’application de la réforme du régime des distributions (commentaire de l’Instruction du 11 août 2005, B.O.I. 5 I-2-05) », Actes pratiques & ingénierie sociétaire, 2006, n°86, p. 22 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 2006 et de la loi de finances rectificative pour 2005 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2006, n°1, pp. 21-34 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des aspects fiscaux de la loi du 31 mars 2006 sur l'égalité des chances », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2006, p. 190 

    Arnaud de Bissy, « Exonération partielle des rémunérations des salariés de sociétés détachés à l’étranger. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, n°5, pp. 433-434 

    Arnaud de Bissy, « Loi du 26 juillet 2005 pour la confiance et la modernisation de l'économie-Aspects fiscaux », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, n°5, pp. 429-430 

    Arnaud de Bissy, « Loi du 2 août 2005 en faveur des petites et moyennes entreprises-Aspects fiscaux », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, n°5, pp. 426-429 

    Arnaud de Bissy, « Déduction des intérêts d’emprunt contracté pour l’achat d’actions d’une société d’expertise comptable. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, n°3, p. 242 

    Arnaud de Bissy, « Les dernières évolutions en matière de fiscalité des cessions d'entreprises à titre onéreux », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 2005, n°5, pp. 168-175   

    Arnaud de Bissy, « Déduction des dettes sociales payées par un associé d’une société fiscalement translucide. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, n°1, pp. 34-35 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire des mesures fiscales de la loi du 26 juillet 2005 pour la confiance et la modernisation de l'économie », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, n°5, p. 429 

    Arnaud de Bissy, « Exonération partielle des rémunérations des salariés détachés à l'étranger », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2005, p. 433 

    Arnaud de Bissy, « Note sous Instruction fiscale numéro 7 S-3-04 BOI du 23 février 2004 relative à l'exonération d'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF) des titres de sociétés soumis à un engagement collectif de conservation », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2004, n°5, pp. 371-373 

    Arnaud de Bissy, « Condamnation de l’exit tax français par la Cour de justice des communautés européennes. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2004, n°5, pp. 369-371 

    Arnaud de Bissy, « Déduction des intérêts d’emprunt contracté pour l’achat de parts d’une société translucide. », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2004, n°4, pp. 314-317 

    Arnaud de Bissy, Marie-Hélène Monsérié-Bon, Arnaud Raynouard, Catherine Ginestet, Laurent Grosclaude [et alii], « Commentaire de la loi pour l'initiative économique du 1er août 2003 », Revue de jurisprudence commerciale (RJC), 2003, n°10, pp. 339-373 

    Arnaud de Bissy, « La notion de dividende en droit fiscal », Droit & patrimoine, 2002, n°108, pp. 34-41   

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de l’instruction du 14 décembre 2001 relative au domaine d’application de l’avoir fiscal », Droit & patrimoine, 2002, n°108, pp. 34-41 

    Arnaud de Bissy, « Une société de personnes qui n'a pas opté pour l'impôt sur les sociétés peut-elle distribuer un revenu occulte au sens de l'article 111-C du Code Général des Impôts (CGI) ? », Les Petites affiches, 2002, n°108, pp. 20-25   

    Arnaud de Bissy, « L'indemnité d'immobilisation », Revue de droit immobilier (RDI), 2000, n°3, pp. 287-306   

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi du 10 novembre 1997 portant mesures urgentes à caractère fiscal », Legis France, 1998, n°3, p. 11 

    Arnaud de Bissy, « Commentaire de la loi de finances pour 1998 », Legis France, 1998, n°34, p. 83 

    Arnaud de Bissy, « La notion de dividende existe-t-elle en droit fiscal », La Semaine Juridique. Entreprise et affaires (JCP E), 1996, n°15, pp. 97-100   

  • Arnaud de Bissy, « Panorama de la jurisprudence fiscale de la CAA de Toulouse 2023-2024 », le 20 septembre 2024  

    Conférence organisée par La Délégation régionale Occitanie de l'IACF, la Cour Administrative d'Appel de Toulouse, la Direction générale des Finances Publiques et l'Université Toulouse Capitole, avec le CDA et l'IRDEIC

    Arnaud de Bissy, « Le capital social », le 15 mars 2024  

    Colloque organisé par le Centre de Droit des Affaires et l'Institut National Universitaire Champollion, Université Toulouse 1 Capitole sous la direction scientifique de M. Emmanuel Cordelier, MCF en droit privé, Mme Hélène Durand, MCF en droit privé et Arnaud de Bissy, Professeur de droit privé, en partenariat avec le Journal Spécial des Sociétés, Occitanie Place Financière et Deloitte, Société d'avocats

    Arnaud de Bissy, « Panorama de la jurisprudence fiscale de la Cour administrative d'appel de Toulouse », le 22 septembre 2023  

    Conférence organisée à l'initiative de la Cour administrative de Toulouse, l'institut des Avocats Conseils fiscaux (IACF), le Centre de droit des affaires (CDA) et l'Institut de Recherche en Droit Européen, International et Comparé (IRDEIC) de l'Université Toulouse Capitole avec la participation de la Direction générale de finances publiques

    Arnaud de Bissy, « Stratégies et droit », le 20 octobre 2022  

    Organisé par l'association des doctorants et docteurs du centre de droit des affaires sous la direction scientifique de Sarah Beret, Claire Despres, Jonathan Mény, Yannis Vassiliadis et Clio Vigneron

    Arnaud de Bissy, « Premiers regards sur le nouveau statut d'entrepreneur individuel », le 04 mars 2022  

    Journée organisée sous la dir. scientifique de Arnaud de Bissy, Professeur Toulouse Capitole ; Emmanuel Cordelier, MCF, Institut National Universitaire Champollion (Albi) et Sabrina Delrieu, MCF HDR, Toulouse Capitole

    Arnaud de Bissy, « Luxe et droit », le 21 octobre 2021  

    Colloque de l'association des doctorants et docteurs du CDA sous la direction scientifique de Christophe Ozanne, Docteur du CDA, UT1, Kamilia Bentaïeb, Claire Despres, Antoinette Koffi-Akpolleh, Emily Mongaillard, Clio Vigneron, Doctorants du CDA, UT1.

    Arnaud de Bissy, « Gaston Jèze », le 22 mars 2021  

    2e séance du cycle "La face cachée des grands juristes", organisé par l'ADDIHM.

    Arnaud de Bissy, « Centenaire de l'arrêt Bac d'Eloka », le 22 janvier 2021  

    Organisé par l’IMH, Université Toulouse 1 Capitole

    Arnaud de Bissy, « Retraites : débats autour d’une réforme », le 19 mars 2020  

    Journée organisée par le Centre de droit des affaires, l'Institut de droit privé et l'AFDT Toulouse.

    Arnaud de Bissy, « Les structures individuelles », le 06 mars 2020  

    Organisé par le CDA et l'IEJUC, sous la responsabilité scientifique de Arnaud de Bissy, Professeur de Droit privé au CDA, UT Capitole ; Nadège Jullian, Professeur, Université de Perpignan et Sandrine Tisseyre, Professeur, Université Toulouse Capitole

    Arnaud de Bissy, « Guerre économique et droit », le 03 octobre 2019  

    Organisé par l'Association des Doctorants et Docteurs du Centre de Droit des Affaires (ADDCDA)

    Arnaud de Bissy, « Loi Pacte : un renouveau de l'entreprise ? », le 18 avril 2019  

    Organisé par l'équipe EJERIDD (Etudes Juridiques : Entreprise, Risque Industriel & Développement durable), CDA, Université Toulouse 1 Capitole sous la responsabilité scientifique de Marie-Pierre Blin-Franchomme et Isabelle Desbarats

    Arnaud de Bissy, « Croissance durable et transports : l'impossible équation ? », le 15 mars 2019  

    Organisé par l’Université Toulouse Capitole sous la direction de Camille-Marie Bénard et Stéphane Mouton

    Arnaud de Bissy, « Sécuriser la sous-traitance : quels nouveaux défis ? », le 08 mars 2019  

    Co-organisé par le CDA et l'IEJUC sous la responsabilité scientifique de Sandrine Tisseyre, Professeur de Droit privé au CDA, UT Capitole

    Arnaud de Bissy, « Le sport en droit des affaires », le 11 octobre 2018  

    Organisé par l'association des doctorants et docteurs du Centre de droit des affaires

    Arnaud de Bissy, « La rémunération des dirigeants sociaux », le 15 mars 2018  

    Colloque organisé par le CDA et l'IMH sous la responsabilité scientifique de Camille Bénard, Maître de conférences à l'UT1 Capitole, CDA et Arnaud de Bissy, Professeur à l'UT1 Capitole, CDA

    Arnaud de Bissy, « L'entreprise et l'art », le 18 novembre 2016  

    Omniprésent dans la société, l’art semble naturellement peu présent dans le monde de l’entreprise. Pourtant, si les relations entre le monde de l’art et celui de l’entreprise semblent peu développées, l’entreprise n’échappe pas non plus à l’art

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • Aïcha Ladlami, L'établissement stable numérique, thèse en cours depuis 2021  

    L'économie vit depuis de nombreuses années une nouvelle révolution, la révolution numérique. La fiscalité internationale doit aujourd'hui s'adapter, faute d'avoir anticipé. La notion d'établissement stable, héritée de l'ère industrielle, paraît tout particulièrement dépassée et ne semble plus à même de permettre à la France de soumettre à l'impôt les entreprises du numérique. Le système actuel régissant la fiscalité internationale peut-il encore être adapté pour permettre d'assujettir dans l'Hexagone cette nouvelle économie ? Au contraire, serait-il plus efficace de mettre en oeuvre de nouvelles règles propres à l'économie numérique pour permettre le rattachement fiscal de leur établissement stable à la France ?

    Marina Lo Wing, La fiscalité des groupes de sociétés : entre incitation et restriction, thèse soutenue en 2020 à Toulouse 1  

    Mes recherches portent sur les conséquences fiscales d'une acquisition de titres de participation d'une filiale par une société mère. Ces prises de participation, qu'il convient d'ailleurs de caractériser dans la mesure où le droit français en comporte plusieurs définitions ou éléments de définition, ont longtemps été favorisées, et le sont encore dans une certaine mesure. Le législateur français a ainsi instauré des règles extrêmement favorables aux investissements par des sociétés dans le capital de filiales, notamment en instituant le régime fiscal des sociétés mères, lequel permet l'élimination de la double imposition des dividendes distribués par la filiale à sa mère. D'autres règles prévoient quant à elles un traitement fiscal favorable des opérations susceptibles d'être réalisées sur ces titres, notamment en cas d'acquisition ou de cession. Toutefois depuis le début des années 2010, le législateur français a multiplié les règles anti-abus et encadré bien plus fortement les opérations réalisées entre sociétés d'un même groupe. Cela se comprend dans la mesure où l'évasion et la fraude fiscales ne cessent de se développer et où l'Etat a besoin de toutes les ressources budgétaires possibles. Certains montages réalisés au moyen de filiales étrangères sont ainsi particulièrement visés par le législateur, dans la mesure où il s'agit moins pour la société mère française d'installer une filiale à l'étranger que d'y délocaliser des bénéfices normalement soumis à l'IS français.

    Mohammed Bouarfa, Le Bilan fiscal, thèse en cours depuis 2019  

    1.- Existe-t-il un bilan fiscal ? Nulle occurrence de l'expression dans les sources législatives et réglementaires intéressant les deux disciplines qui dominent, ensemble ou séparément, le champ de l'étude : la fiscalité et la comptabilité. Certains arrêts cependant fournissent des clés de compréhension des mécanismes autour desquels s'articule la connexion fiscalo-comptable, notamment l'application de l'important 2 de l'article 38 du Code général des impôts, qui constitue un instrument de choix de l'administration fiscale dans l'exercice de son pouvoir de rectification et dont l'étude est centrale dans la recherche du bilan fiscal. 2.- C'est le siège de l'approche dite « synthétique » du bénéfice imposable, « différence entre les valeurs de l'actif à la clôture et à l'ouverture » de l'exercice, ou la méthode par la variation d'actif net. Or, les termes de cette définition du bénéfice renvoient à des notions et des régimes comptables qui sont susceptibles d'être privés d'effet en présence de règles fiscales spécifiques, dont l'application s'impose. En somme, l'actif net « comptable » n'est pas nécessairement l'actif net au sens de l'article 38, 2 du CGI. Peut-on alors parler d'un actif net « fiscal » ? On touche sans doute-là une des notions clés du thème de l'étude. Quoi de plus utile pour tenter de caractériser le bilan fiscal que d'analyser ses agrégats que sont les actifs, passifs et, partant, actif net dits « fiscaux » en tant qu'ils tiennent compte, dans leur détermination, des règles fiscales potentiellement divergentes ? Disposer d'un « bilan fiscal » permettrait de mieux cerner cette approche synthétique du résultat, caractéristique de la théorie « de l'enrichissement » qui a vocation à appréhender le résultat de la manière la plus large possible. 3.- Cela facilite une étude systématique des variations de sa composante principale, l'actif net fiscal, et de ses incidences en termes d'impôt. Il ne va sans dire que l'administration y a recours dans les domaines les plus divers, reprochant aux entreprises des manquements dans la tenue de leurs écritures pour fonder ses rappels. Corriger sur le fondement de l'article 38, 2, c'est en quelque sorte rétablir les « écritures » dans leur versant bilanciel : rajouter une créance omise correspondant à un produit non-comptabilisé, rectifier la valeur d'une immobilisation minorée lors de son inscription, retirer du passif une dette éteinte etc. Mais la complexité des problématiques alliée à une utilisation sans discernement de cet outil aux potentialités décuplées par la déconnexion entre fiscalité et comptabilité, dans un contexte contentieux aux enjeux financiers parfois colossaux, invite à se doter d'outils et de clés de lectures pour une plus grande sécurité. Le « bilan fiscal » se propose modestement d'œuvrer en ce sens, pour arriver à améliorer les relations entre l'administration et le contribuable, tout en participant à la réflexion sur un pan de la connexion fiscalo-comptable encore peu exploré.

    Victor Calmette, La gestion fiscale de l'entreprise en difficulté, thèse soutenue en 2018 à Toulouse 1  

    Le résumé en français n'a pas été communiqué par l'auteur.

    Pauline Legendre, Le contrat et l'impôt, thèse en cours depuis 2017  

    Pas de résumé disponible.

    Thomas Caussade, La stratégie fiscale de l'entreprise : entre optimisation et fraude, thèse soutenue en 2017 à Toulouse 1  

    Cette thèse a pour objet de voir en quoi la fiscalité est devenue à la fois un outil de gestion et de stratégie pour le développement des entreprises à tous les niveaux de leur existence juridique. Il s'agira de mettre cette affirmation en perspective avec les mécanismes mis en place par les Etats afin de lutter contre la fraude, l'évasion ou l'optimisation fiscale agressive, la fiscalité étant devenue un enjeu majeur de la politique économique des différents Etats notamment depuis la crise de 2008. Nos travaux s’intéresseront donc aux différents mécanismes utilisés par les entreprises afin de limiter leur charge fiscale et sur les solutions à envisager pour une meilleure gouvernance fiscale à la fois d'un point de vue législatif mais également de celui de la pratique des entreprises.

    Mehdi Amor, Le cadre fiscal de l'investissement français en Tunisie, thèse soutenue en 2016 à Toulouse 1 en co-direction avec Néjib Belaid  

    Le cadre fiscal de l’investissement français en Tunisie tend à assurer la liberté d’investissement et renforcer l’ouverture de l’économie tunisienne à l’étranger en assurant un traitement non discriminatoire envers les investissements français en Tunisie. Il contient notamment des règles d’incitations fiscales qui couvrent la majorité des secteurs. Toutefois, ce cadre fiscal n’est pas suffisant pour promouvoir l’investissement français en Tunisie.

    Nathan Bijean, Les opérations abusives de l'entreprise, thèse en cours depuis 2016  

    Il s'agira d'étudier les opérations abusives de l'entreprise. En effet, les enjeux et conséquences sont majeurs. D'un point de vue pratique,une grille d'analyse des montages remis en cause (abus de droit, clause anti-abus) sera proposé. A ce titre, la jurisprudence et les avis du comité de l'abus de droit seront salutaire. Il conviendra de faire sienne les méthodes permettant au juge de faire apparaître le caractère abusif d'un montage. L’intérêt sera substantiel, les professionnels pourraient être en mesure de mieux appréhender la position du juge. Nous nous attacherons également à proposer des schémas alternatifs afin que l'optimisation fiscale soit effective. Le caractère actuel et/ou récurrent des montages occupera une place de choix dans la construction de mes travaux. Exemple : -Les managements packages seraient à développer. Il s'agit d'un terrain propice aux montages abusifs (plus-values mobilières/traitements et salaires, arrêt Gaillochet). En effet, les mises en place de régime d’intéressement qui ne sont pas encadré par des dispositions légales spécifiques ne peuvent être ignorées. L’intérêt est ici significatif ; la fin des avantages fiscaux liés aux attributions gratuites d’action a été votée par les députés (adoption d’un amendement). En vidant de toute attractivité les régimes d’intéressement encadrés; les entreprises vont être dans l’obligation de recourir à des montages afin de préserver leur attractivité. Corolaire d’une multiplication des montages, nous assisterions à une augmentation des redressements. -Les abus de conventions fiscales semblent être un thème éminemment prépondérant. D’une part car l'état Français est friand de ces dernières (environ 120). De plus une lutte à l’encontre du treaty shopping (ou chalandage fiscal) a été initié ces dernières années (G20, BEPS, OCDE, Carte des montages abusifs DGFIP). Par exemple, l’interposition de structures masquant le bénéficiaire effectif étranger d’une redevance en vue d’échapper en tout ou partie à la retenue à la source due en France est sous le joug de Bercy. -Le régime mère-fille est significatif dans l’étude des opérations abusives de l’entreprise. Le montage coquillard occupa l’actualité fiscale via les arrêts SARL Choiseul Holding et Groupement Montdiderien. L’étude de la clause anti-abus serait également intéressante à étudier (problème de définition, intelligibilité de la disposition, sécurité juridique, apport vis-à-vis de la jurisprudence…). -Au grès de mes premières lectures, une constatation me fit face. L’actualité est source d’interrogations. L’insertion d’une clause anti-abus en matière de plafonnement d’ISF permet d’apercevoir les intentions de notre législateur. La clause anti-abus applicable au régime mère fille fait suite à une directive adoptée par la Commission européenne. La transposition à notre droit national était inéluctable. Ce n’est pas le cas pour le plafonnement de l’ISF. Au regard de cette réalité ; le législateur n’exploiterait-il pas une brèche naissante ? Suite aux échecs successifs de la réforme de l’abus de droit, la clause anti-abus serait-elle une alternative afin de faire droit à l’inquisition orchestré par l’Administration à destination « des surdouées de la fiscalité » ? A mon sens, une épée de Damoclès 2.0 a été créée. De plus, il convient de s’interroger sur le caractère cumulatif des poursuites. Dans certains cas, le Fisc pourrait être enmesure d’opérer des redressements sur le fondement de l’abus de droit et de la clause anti-abus (Quid de leur "cohabitation" ?). -La déduction des charges financières occupera une place significative dans notre étude. A ce titre, Bercy a ajouté un schéma de contournement des règles de limitation de déduction des charges financières prévues au II de l'article 212 du code général des impôts (CGI) dans sa liste de montages abusifs (septembre 2016) ; le développement d’un avis du comité de l’abus de droit du 6 mars 2015 apparait salutaire. Il s’agit d’une liste non exhaustive, d’autres éléments de commentai

    Vincent Castillo, La notion de succursale en droit des affaires : aspects juridiques et fiscaux, thèse soutenue en 2016 à Toulouse 1  

    Le résumé en français n'a pas été communiqué par l'auteur.

    Florence Estienny, Le patrimoine fiduciaire : aspects juridiques et fiscaux, thèse soutenue en 2013 à Poitiers, membres du jury : Philippe Neau-Leduc (Rapp.), Francine Macorig-Venier (Rapp.)  

    La réception de la fiducie en droit français par la loi du 19 février 2007 constitue une révolution juridique. Inconnue dans son principe, on en trouve néanmoins des traces dans la fiducia du droit romain, les substitutions fidéicommissaires ou encore sous les traits de fiducies innommées notamment dans le droit bancaire et financier. Mais, c'est avec surtout l'essor considérable du trust anglo-saxon de ses dernières années que le besoin s'est fait sentir d'aménager au sein de notre droit un outil similaire. La double origine romaine et anglo-saxonne de la fiducie française n'est pas sans poser de problèmes quant à son acclimatation en droit français. La conception absolutiste de la propriété au sens de l'article 544 du Code civil est tout d'abord mise à l'épreuve. Le droit français ne reconnaît pas l'existence de droits concurrents sur un même bien. La doctrine s'est ainsi interrogée sur la nécessité de consacrer une propriété dédoublée à l'instar du trust qui opère une dissociation entre legal ownership et equity ownership. Mais cette option a finalement été abandonnée. L'application du principe de neutralité entraîne en revanche une dissociation de la propriété sur le plan comptable et fiscal entre le constituant et le fiduciaire. Les rigueurs de ce principe, motivé par un souci de lutte contre la fraude, l'évasion fiscale et le blanchiment d'argent, ont été dénoncées tant par la doctrine que par les praticiens, qui appellent de leurs vœux, une réforme (Première partie). Une autre difficulté a été soulevée par l'émergence du patrimoine fiduciaire qui consacre pour la première fois de manière explicite en droit français un patrimoine d'affectation, ébranlant par là-même une nouvelle fois la théorie de l'unité du patrimoine. Sur le plan fiscal, la fiducie bien que n'ayant pas la personnalité morale est assimilée à une société de personnes semi-transparente. L'application de ce régime fiscal d'une particulière complexité à la fiducie est source d'incertitudes. Aussi là-encore, il paraît utile de renforcer la transparence de la fiducie (Deuxième partie).

    Moustapha Sidibe, Le régime fiscal des aides aux entreprises, thèse en cours depuis 2013 

    Mustapha Drissi, Le nouvel ordre fiscal international et la souveraineté fiscale, thèse en cours depuis 2012 

    Rachel Garcia, Les engagements en droit fiscal, thèse en cours depuis 2012  

    La thèse montera que le droit fiscal d'essence fondamentalement légaliste, converge indubitablement vers le droit civil d'essence radicalement opposée, libertaire, s'inscrivant par là même dans le phénomène actuel de délitement des catégories. Le droit fiscal, à l'instar de nombreux autres droits, subit un processus de contractualisation: il s'approprie les concepts civilistes tels qu'issus de la théorie générale des contrats, il les fait siens; mais le droit fiscal procède de sa propre logique, celle d'un droit impératif. Dès lors, la nature régalienne du droit de l’impôt reprend ses droits, pour constituer l'obstacle dirimant à l’achèvement de processus de contractualisation et corrélativement révéler la spécificité des engagements en droit fiscal.

  • Florian Laussucq, La connexion entre droit fiscal et comptabilité dans les groupes de sociétés de l'union européenne, thèse soutenue en 2022 à Bordeaux sous la direction de Florence Deboissy, membres du jury : Martial Chadefaux (Rapp.)  

    La connexion entre le droit fiscal et la comptabilité repose sur un principe en apparence simple : les entreprises utilisant toutes une comptabilité pour calculer leur résultat, il suffit d’utiliser ce même résultat comme base pour l’assiette de l’impôt. Un tel raisonnement présente l’avantage de reposer sur une technique considérée comme fiable, la comptabilité, à tel point d’ailleurs que le Code Général des Impôts dispose de manière expresse l’existence de ce lien, à son article 38 quater de l’annexe III.Toutefois, deux éléments viennent perturber cette apparente simplicité : d’une part, un tel principe de connexion n’est pas absolu, et d’autre part, l’adoption des normes comptables internationales IFRS en Europe et dans une moindre mesure, en France, semblent remettre en cause ce lien. Ce questionnement soulève de nombreuses incertitudes pour les principaux destinataires, les groupes de sociétés. Ces structures, qui n’ont pas la personnalité juridique, se voient néanmoins reconnaitre des bribes d’existence, par le biais de régimes juridiques sectoriels visant à faciliter les relations entre les sociétés qui les composent. Ce caractère sectoriel, associé à la pluralité juridique inhérente aux groupes, rend particulièrement délicate l’applicabilité du principe dans les situations de groupes. De plus, les groupes de sociétés dans l’Union européenne exercent des activités internationales, et se trouvent donc soumis, en l’absence d’harmonisation totale sur un plan fiscal et comptable, à des régimes différents selon les Etats ou s’exercent ces activités. Dans quelle mesure est-il donc possible ou même souhaitable de maintenir un tel lien de connexion, dans le cas spécifique de groupes de sociétés exerçant une activité transnationale ? L’évolution des normes, tant comptables que fiscales, nationales qu’internationales, pousse à une remise en question du principe de connexion. Une remise en question qui est davantage conceptuelle que technique. En effet aborder la comptabilité, tout comme le droit fiscal, revient, au-delà des questions purement techniques, à s’interroger sur les concepts sous-jacents qui les irriguent.

    Loup Bommier, L'objectif de neutralité du droit fiscal comme fondement d'une imposition unitaire de l'entreprise, thèse soutenue en 2018 à Paris 1 sous la direction de Daniel Gutmann, membres du jury : Polina Kouraleva-Cazals (Rapp.), Gauthier Blanluet  

    La neutralité est l'un des principaux sujets de recherche en fiscalité, quoiqu'elle revête de multiples acceptions juridiques ou économiques. S'il est généralement admis que l’impôt ne peut être neutre, la présente thèse démontre que le droit fiscal satisfait un objectif de neutralité en permettant d'appréhender l'entreprise comme une entité unique, quelle que soit sa structure juridique. Différents régimes fiscaux poursuivent ainsi un objectif de neutralité (art.223 A et s. du CGI, art. 8 du CGI, art. 210 A et s. du CGl, art. 256 et s. du CGI, art. 885 O et s. puis 975 du CGI) en ce qu'ils organisent la consolidation des éléments de l'assiette imposables (IS, TVÀ ISF, IFI) et la neutralisation des opérations intragroupes (distributions, intérêts, abandons de créance, provisions). Si la diversité des structures de groupe éligibles demeure un obstacle à la compréhension de la neutralité, ces régimes renvoient toutefois à deux types de conditions permettant d'appréhender l'unicité de l'entreprise : des conditions d'unité (relations de contrôle et de dépendance) et des conditions de permanence (relations de continuité). La neutralité constitue aussi un objectif normatif en droit fiscal. En effet, l’examen des solutions prétoriennes fait ressortir qu'au titre d'un objectif de neutralité, le droit fiscal appréhende l'entreprise en dérogeant aux principes de personnalité et de territorialité de l’impôt. De fait, le principe de personnalité est mis en suspens dans les structures de consolidation. De même, le principe de territorialité est écarté en matière de lutte contre la fraude et l'évasion fiscale, ainsi qu'en matière d'élimination des doubles impositions internationales.

    Aboubakar Sidiki Diarrassouba, Le principe de connexion entre le droit fiscal et la comptabilité, thèse soutenue en 2015 à Paris 2 sous la direction de Guy Gest, membres du jury : Olivier Debat (Rapp.), Gauthier Blanluet et Daniel Gutmann  

    Depuis les réformes fiscales du 20ème siècle, l’alignement de principe du droit fiscal sur le droit privé et la comptabilité s’est progressivement imposé en droit fiscal français. En matière de fiscalité des entreprises, un principe de connexion entre le droit fiscal et la comptabilité a été consacré sur le fondement de textes épars, de la jurisprudence, de la doctrine majoritaire et du pragmatisme de l’administration fiscale ; mais surtout au nom de l’unité opératoire du droit considérée en phase avec les impératifs du droit fiscal telles la simplicité, la sécurité juridique, l’imposition selon la capacité contributive. A l’aune des principaux impôts commerciaux, la connexion présente une portée très large qui se dédouble en connexion matérielle et formelle. A l’épreuve de l’adoption mondiale du référentiel comptable de l’IASB et de l’harmonisation de la fiscalité directe des entreprises au sein de l’Union Européenne, le droit français, bien que tiraillé, a fait le choix du maintien de la connexion dans le cadre de la convergence du PCG avec les normes IAS-IFRS sans le secours d’une véritable politique fiscale optimale devant tendre vers l’élargissement de l’assiette des impôts en contrepartie d’une réduction des taux et vers la réduction des coûts de conformité de l’impôt au moins au sein de l’Union Européenne. Mais, à la lumière de ces impératifs fiscaux, de la logique juridique et du droit fiscal américain, les potentialités de la déconnexion doivent être explorées notamment le projet d’ACCIS soutenu par la France et reposant sur une assiette autonome et élargie, l’admission optionnelle du bilan fiscal et la réduction des concepts fiscaux transversaux.

    Virginie Vindard, La qualification en droit fiscal, thèse soutenue en 2014 à Rennes 1 sous la direction de Yolande Serandour, membres du jury : Michel Leroy (Rapp.), Renaud Mortier  

    La qualification est l’opération intellectuelle par laquelle est attribuée à un acte ou à un fait sa nature juridique en vue de lui appliquer un régime juridique. Le droit fiscal ne déroge pas à cette démarche intellectuelle. Comme dans toutes les autres branches du Droit, les qualifications jouent un rôle fondamental. Une originalité se présente toutefois en cette matière. Le droit fiscal appréhende un fait déjà juridiquement qualifié en vue de lui appliquer un régime d’imposition. C’est dans cette appréhension du fait que se révèle la spécificité du droit fiscal. Celui-ci n’adopte pas un comportement neutre à l’égard des qualifications juridiques soit pour les regarder comme lui étant inopposables, soit pour les instrumentaliser. Si les qualifications fiscales peuvent s’affranchir des qualifications juridiques, elles entretiennent une relation particulière marquée du sceau de l’indépendance en raison des caractères et de la logique propre de chaque imposition. Des divergences de qualifications fiscales existent. Une telle situation peut nuire à l’unité et à la cohérence du droit fiscal. Néanmoins, le juge fiscal veille à une certaine harmonie dans l’application des qualifications en mettant en œuvre un raisonnement identique permettant de dessiner des qualifications fiscales convergentes autour desquelles s’articulent les impositions.

    Célia Cavalier, L'organisation du patrimoine du couple a l'epreuve du droit fiscal, thèse soutenue en 2013 à Bordeaux 4 sous la direction de Florence Deboissy, membres du jury : Frédéric Douet (Rapp.), Jean-Marie Plazy  

    L’efficacité de l’organisation du patrimoine du couple nécessite que les règles civiles et fiscales s’articulent de façon harmonieuse, même si chacune de ces branches de droit poursuit une finalité propre. La recherche de l’optimisation et de la sécurité de la charge fiscale du couple doit donc être appréciée à la lumière de cette relation. En matière de gestion, l’optimisation fiscale du patrimoine du couple suppose que l’imposition des revenus et du capital du couple soit personnalisée. L’impôt doit donc prendre suffisamment en compte les facultés contributives du couple, c’est-à-dire tenir compte de leur situation personnelle. Le système de l’imposition par foyer permet ce respect du principe de personnalisation de l’impôt. C’est donc la mauvaise transposition par le droit fiscal du pluralisme des modes de conjugalité qui conduit à remettre en cause le système. Ces contradictions sont plus nuancées pour le traitement de la dette fiscale. La transposition du mécanisme de solidarité en matière fiscale assure en effet un équilibre satisfaisant entre les garanties du contribuable et le respect de la nécessité de l’impôt.En matière de transmission, l’optimisation fiscale du patrimoine du couple suppose que l’imposition des mutations soit allégée. Bien que les contradictions persistent, l’harmonie entre le droit privé et le droit fiscal est plus prononcée. En matière de droits d’enregistrement, les couples de droit n’ont plus à privilégier la fiscalité au détriment de la stratégie patrimoniale. Pour les couples de fait, l’imposition demeure. Le recours aux techniques d’anticipation successorale leur est donc nécessaire, mais ils restent alors soumis au risque fiscal.