Boris Bernabé, Michaël Poyet, La note de synthèse, 12e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2023, CRFPA, 404 p.
Boris Bernabé, Michaël Poyet, La note de synthèse, 11e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2022, CRFPA, 398 p.
Boris Bernabé, Michaël Poyet, La note de synthèse, 10e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2021, CRFPA, 342 p.
La 4ème de couverture indique : "Méthode de la note de synthèse ; canevas simplifié ; pratique de la note de synthèse ; dossiers et corrigés types ; table des questions. Comment identifier une idée clé du dossier ? Combien un sous-partie doit-elle contenir de paragraphes ? Peut-on faire référence à un document plusieurs fois ? Doit-il y avoir une accroche ou non dans l'introduction ? Autant de questions - et bien d'autres - que l'étudiant souhaitant se préparer à la note de synthèse se pose. Les réponses à ces questions figurent dans le présent ouvrage qui a pour ambition de présenter non pas une méthode infaillible - ce serait illusoire -, mais les clés essentielles permettant de maîtriser l'exercice de la note de synthèse, l'un des plus redoutés de l'examen d'accès aux CRFPA. Si l'exercice de la pratique par l'entraînement intensif constitue une voie fondamentale de la réussite, l'appropriation théorique de la méthodologie demeure préalablement indispensable. À travers la théorie de la note de synthèse, le présent ouvrage en permet une compréhension globale, en restitue la logique, singale les pièges à éviter, rappelle les principes, propose des astuces pour gagner du temps. Cette édition comprend, en plus, un canevas simplifié de la note de synthèse, à la fin de la méthodologie, qui permettra aux étudiants de mieux appréhender visuellement la restitution attendue. Grâce à des exercices variés et corrigés, le lecteur pourra mettre directement en pratique les éléments de la théorie. Outil non négigeable : une table des questions, fruit de l'expérience de l'enseignement, permet de trouver rapidement des réponses aux problèmes de méthode les plus fréquemment rencontrés."
Boris Bernabé, Antoine Garapon, Sylvie Perdriolle, La Prudence et l’Autorité: Juges et procureurs du XXIe siècle, Odile Jacob et Cairn, 2021, Hors collection
La justice est en crise. Elle doit aujourd'hui se réformer. Comment en améliorer la qualité, avec des moyens réduits ? Sûrement pas en réduisant ses fonctions ou en se contentant de modifier la carte judiciaire. Pour bâtir la justice du XXIe siècle, c'est plutôt d'une réflexion en profondeur sur les différentes facettes des missions des juges et des procureurs qu'il faut partir. Une telle réflexion permettrait de distinguer ce qui relève vraiment du procès et ce qui serait mieux traité autrement - par les associations, les élus, les avocats et bien sûr les parties elles-mêmes ; surtout, elle revitaliserait notre démocratie en associant mieux les justiciables et l'ensemble de la société à l'oeuvre de justice. C'est ce que propose cet ouvrage, qui ne prétend pas définir ce que l'institution judiciaire devrait être, mais plutôt analyser ce qu'elle est, en s'intéressant aux hommes et aux femmes qui la rendent quotidiennement, à leurs aspirations et à leurs interrogations, en cherchant à saisir au plus près des pratiques concrètes comment s'élabore la décision judiciaire, en rassurant les juges sur le sens de leur office non pas par des solutions techniques, mais en retrouvant le lien perdu avec la justice. Antoine Garapon est magistrat. Il anime l'Institut des hautes études sur la justice et a notamment publié Bien juger, Juger en Amérique et en France, Des crimes qu'on ne peut ni punir ni pardonner, La Raison du moindre État. Sylvie Perdriolle est présidente de chambre à la cour d'appel de Paris, après avoir été directrice de la Protection judiciaire de la jeunesse et présidente de cour d'assises. Boris Bernabé est professeur d'histoire du droit, spécialiste de la justice
Boris Bernabé, Michaël Poyet, La note de synthèse, 9e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2020, CRFPA, 320 p.
Boris Bernabé, Julie Allard, Guy Canivet, Louis de Carbonnières, Olivier Leclerc [et alii], L'office du juge, Dalloz et ENM, 2020, 573 p.
La 4ème de couv. indique : "Qu’est-ce que cet "office du juge" qui donne son titre à notre dossier ? On entend par là, de façon générale, l’ensemble des pouvoirs et des devoirs attachés à une fonction publique. On évoque à ce sujet la charge qui donne à son titulaire le droit d’exercer une fonction en vertu de l’investiture d’une autorité publique (office ministériel). Si l’on creuse un peu plus la notion d’"officium", elle signifie le devoir à tenir ce qui va au-delà du rôle ou de la fonction. Cicéron dans le "De officiis" y voyait un code d’action et de conduite. En ce sens, le juge devrait choisir les bonnes actions pour répondre à la cause qui lui est soumise. Sens que l’on retrouve en droit canonique avec les termes d’"officialité" et d’ "official" pour désigner le juge ecclésiastique. Ce qui signifie que son choix doit être éclairé, inspiré par l’équité et l’intérêt général dans le respect de la loi. Cette approche de l’office du juge prend une direction nouvelle aujourd’hui où les normes se diversifient et se combinent. Désormais l’office du juge dépasse le légalisme proprement dit pour intégrer des concepts de "procès équitable" ou de "dignité de la personne" qui viennent de la Convention européenne des droits de l’homme ou de la Charte des droits de l’Union européenne. Plus encore, la mondialisation des normes impose au juge de penser leur complexité. Tout se passe comme s’il devait trouver le bon équilibre entre des normes de sources diverses et hétérogènes à l’instar du mobile de Calder… Chaque jugement serait une composition portée par des rameaux aux couleurs contrastées. Et le texte juridique devient "un arbre vivant lequel par le biais d’une interprétation évolutive s’adapte aux réalités de la vie moderne" selon le juge constitutionnel espagnol. On songe au mot de Blackstone évoquant au sujet de la "Common law" "la beauté irisée et la glorieuse incertitude du droit changeant". C’est peut-être là le sens de l’office du juge : son pouvoir d’interprétation suppose de fixer dans l’acte de juger le mouvement du pluralisme juridique. Ce serait une manière de renvoyer dos à dos les thèses réaliste (le jugement est le fruit de choix personnel qu’il soit politique, moral ou philosophique) et formaliste (le juge réduit à une pure fonction d’application du droit). Le juge fait des choix qui entrent en résonance avec la communauté dont il exprime les attentes tacites. Son rôle créateur est de formuler des jugements qui prennent en compte les parties en présence mais aussi, dans une portée plus large, la communauté tout entière."
Boris Bernabé, Cyrille Dounot, Nicolas Warembourg (dir.), La déposition du pape hérétique. Lieux théologiques, modèles canoniques, enjeux constitutionnels, Actes du colloque de Sceaux des 30-31 mars 2017, C. Dounot, N. Warembourg, B. Bernabé (dir.), Mare & Martin, 2019, 222 p: lieux théologiques, modèles canoniques, enjeux constitutionnels, Mare & Martin, 2019, Presses universitaires de Sceaux, 222 p.
Boris Bernabé, Michaël Poyet, La note de synthèse , 8e éd., LGDJ, une marque de Lextenso, 2019, CRFPA, 232 p.
Boris Bernabé, François Jankowiak (dir.), Les persécutions, Editions mare & martin, 2018, Presses Universitaires de Sceaux, 138 p.
La 4e de couverture indique : "La persécution, vocable aussi ancien que la réalité qu'il désigne, compte au nombre des constantes dramatiques de l'Histoire. Si son acception juridique est attestée dès le droit romain, la persécution trouve une pleine signification, intégrant notamment sa composante religieuse, avec celle des chrétiens dans l'Empire romain, longtemps reliée, voire confondue, avec le martyre. Cet alliage théologico-politique - décelable dès le procès de Socrate - visant à la « poursuite » et à l'élimination de personnes perçues comme menaçant la communauté ou l'ordre à raison des doctrines qu'elles professent ou de leurs comportements déviants, paraît former un cadre pertinent pour appréhender les persécutions, leurs formes et leurs significations, de l'Antiquité à nos jours. Devenue une notion du droit pénal international, la persécution et ses expressions plurielles, historiques ou rhétoriques, dont nous sommes aussi les contemporains obligés, mérite une analyse qui puisse aussi servir, en contrepoint, à mieux cerner les conditions du « vivre-ensemble » dans nos sociétés d'aujourd'hui. Le présent volume est le fruit des différentes contributions au colloque de vulgarisation scientifique organisé en mars 2016 par le laboratoire Droit et Sociétés Religieuses (Faculté Jean Monnet, Université Paris-Sud) dans le cadre de la 8e édition du festival Ciné-Droit."
Boris Bernabé, Michaël Poyet, Elise Wolton, La note de synthèse, 7e éd., LGDJ, une marque de Lextenso, 2018, CRFPA, 244 p.
Boris Bernabé, Nicolas Cornu-Thénard, Nicolas Laurent-Bonne, François Chénedé, Critique du droit contemporain: [dossier], Éditions de la Société de Législation Comparée, 2018, 183 p.
Boris Bernabé, Elise Wolton, Michaël Poyet, La note de synthese, 6e éd., LGDJ, une marque de Lextenso, 2017, CRFPA, 274 p.
La 4e de couverture indique : "Comment identifier une idée-clé du dossier ? Combien une sous-partie doit-elle contenir de paragraphes ? Peut-on faire référence à un document plusieurs fois ? Doit-il y avoir une accroche ou non dans l'introduction ? Autant de questions - et bien d'autres - que l'étudiant souhaitant se préparer à la note de synthèse se pose. Les réponses à ces questions figurent dans le présent ouvrage qui a pour ambition de présenter non pas une méthode infaillible - ce serait illusoire -, mais les clés essentielles permettant de maîtriser l'exercice de la note de synthèse, l'un des plus redoutés de l'examen d'accès aux CRFPA. Si l'exercice de la pratique par l'entraînement intensif constitue une voie fondamentale de la réussite, l'appropriation théorique de la méthodologie demeure préalablement indispensable. À travers la théorie de la note de synthèse, le présent ouvrage en permet une compréhension globale, en restitue la logique, signale les pièges à éviter, rappelle les principes, propose des astuces pour gagner du temps. Grâce à des exercices variés et corrigés, le lecteur pourra mettre directement en pratique les éléments de la théorie. Outil non négligeable : une table des questions, fruit de l'expérience de l'enseignement, permet de trouver rapidement des réponses aux problèmes de méthode les plus fréquemment rencontrés."
Boris Bernabé, Elise Wolton, Michaël Poyet, La note de synthèse, 5e éd., Gazette du Palais, 2016, Carrières judiciaires ( Les épreuves ), 268 p.
Boris Bernabé (dir.), L'avènement juridique de la victime, La Documentation Française, 2015, Histoire de la justice, 191 p.
Présentation de l'éditeur : "De "sujet de droit" à "objet juridique" : un changement de paradigme vers la qualification juridique que les contributions ici réunies mettent à jour et explicitent. Les différents récits juridiques proposés ici, bien que portant pour la plupart sur notre époque contemporaine, traitent d’une histoire universelle : celle, dans notre approche de la justice, de la victime. L’avènement juridique de la victime est, au fond, le récit à rebours du trajet de la victime dans l’histoire de notre société : où l’on pense que le droit se saisit trop récemment de la victime. Au contraire, le droit n’a jamais ignoré la victime, qu’il nommait autrement. Seulement dans les dernières années du XXe siècle, le droit a offert un nouveau statut à la victime en l’institutionnalisant et en l’objectivant : il en a organisé "l’avènement". Cette étude a été réalisée avec les contributions de : Boris Bernabé, Emmanuel Cartier, Charles Fortier, Anne-Laure Girard, Marie-Clotilde Lault, Coralie Mayeur-Carpentier, Rémy Prouvèze, Marie-France Steinlé-Feuerbach, Fabienne Terryn, Michel Van de Kerchove (1944-2014)."
Boris Bernabé, Elise Wolton, La note de synthèse, 4e éd., Gazette du palais et Lextenso, 2015, Carrières judiciaires ( Les épreuves ), 247 p.
Boris Bernabé, Antoine Garapon, Sylvie Perdriolle, La prudence et l’autorité. Juges et procureurs du XXIe siècle: juges et procureurs du XXIe siècle, Odile Jacob, 2014, 304 p.
Boris Bernabé, Elise Wolton, La note de synthèse, 3e éd., "Gazette du palais"-Lextenso, 2014, Carrières judiciaires ( Les épreuves ), 254 p.
Boris Bernabé, Olivier Camy (dir.), Les mythes de fondation et l'Europe: actes du colloque international de Dijon, 18 et 19 novembre 2010, Éditions universitaires de Dijon, 2013, Institutions, 320 p.
"L'histoire occidentale est jalonnée de mythes de fondation reprenant le système romain. Selon ce système, le pouvoir politique est né d'une apothéose : Romulus, roi de Rome disparaît lors d'un violent orage. Le roi devient du même coup, fils de Dieu et père de Rome. Cette fondation mythique sera reprise et développée par Tite-Live ou Virgile. Elle servira d'appui à la légende troyenne des Romains, mais aussi des Francs. Si les poètes ont chanté la fondation politique de Rome, le droit – celui des pontifes, celui des princes, mais aussi le droit coutumier – y a puisé la source légitimante de son pouvoir coercitif. Curieusement, l'Europe, qui réclame aujourd'hui davantage d'intégration juridico-politique, semble ne relever d'aucun mythe de fondation et donc 'a fortiori' semble échapper au système romain. Il n'est pas sûr que les poètes, malgré Victor Hugo et d'autres, aient forgé une mythologie européenne. Mais, comment l'Europe peut-elle, indépendamment du recours au 'logos' du 'mythos', accéder à une véritable existence politique ? Comment peut-elle prendre conscience d'elle-même et s'imaginer sans utiliser la force fondatrice du mythe ? Est-il possible qu'elle se contente de donner plus de place au consentement au nom d'une nécessaire démocratisation en n'ayant aucun enracinement dans quelques symboles ou mythes ? Bien sûr, il ne s'agit pas de tenter de mythologiser l'Europe. Il s'agit plutôt de revenir aux mythes d'origine pour comprendre comment se fabrique et se légitime le pouvoir occidental. Nous pourrons alors espérer mieux comprendre les faiblesses de l'Europe juridico-politique d'aujourd'hui et sonder sa fragilité ontologique." [Source : 4e de couv.]
Boris Bernabé, Denis Salas, Nicolas Warembourg, L'écho des lois: du parchemin à internet, La Documentation française et Corlet imprimeur, 2012, 157 p.
Boris Bernabé, La récusation des juges: étude médiévale, moderne et contemporaine, LGDJ, 2009, Bibliothèque de droit privé, 426 p.
Boris Bernabé, Xavier Godin, « Frankreich », Konfliktlösung in der Frühen Neuzeit, Springer, 2021, pp. 569-605
Boris Bernabé, « Piero della Francesca, Nicolas de Cues et la théorie canonique des présomptions. Hypothèse d’étude », in Michèle BEGOU-DAVIA, Florence DEMOULIN-AUZARY, François JANKOWIAK (dir.), Rerum novarum ac veterum scientia. Mélanges en l’honneur de Brigitte Basdevant-Gaudemet, Mare & Martin, 2020
Boris Bernabé, « La procédure civile et la règle des trois unités, ou la distinction de la procédure et de l’organisation judiciaire », in Patrick ARABEYRE, Olivier PONCET (dir.), La Règle de l’unité ? Le juge et le droit dans la France moderne (XVe-XVIIIe siècle), Classiques Garnier, 2019, pp. 127-149
Boris Bernabé, « La fin des questions de compétence ? Une question intemporelle », in Laurence FLISE, Xavier LAGARDE (dir.), La fin des questions de compétence ?, IRJS Editions, 2019, pp. 1-14
Boris Bernabé, « De la prudence à la jurisprudence dans les préfaces des recueils d’arrêts (XVIe-XVIIe siècle) », in Olivier DESCAMPS (dir.), Les sources du droit à l'aune de la pratique judiciaire, Éditions Panthéon-Assas, 2018, pp. 165-178
Boris Bernabé, « Persécutions : discriminations linguistiques et juridiques », in François JANKOWIAK, Boris BERNABE (dir.), Les persécutions, Mare & Martin, 2018, pp. 15-23
Boris Bernabé, « La justice distributive, effet et modèle de la procédure. Hypothèse méthodologique en histoire du droit », in Christine MENGES-LE PAPE (dir.), La justice entre théologie et droit, Presses de l'Université Toulouse 1 Capitole, 2016
Boris Bernabé, « La Liberté guidant le peuple (E. Delacroix, 1830) : culture, contre-cultures et vrai génie du christianisme », in Damien SALLES, Alexandre DEROCHE, Robert CARVAIS (dir.), Études offertes à Jean-Louis Harouel. Liber amicorum, Editions Panthéon-Assas, 2015, pp. 665-683
Boris Bernabé, « Hypothèse de recherche autour de la distinction et du rapport entre jus dicere et judicare », in Brigitte BASDEVANT-GAUDEMET, François JANKOWIAK, Franck ROUMY (dir.), Plenitudo Juris. Mélanges en hommage à Michèle Bégou-Davia, Mare & Martin, 2015, pp. 113-127
Boris Bernabé, « Le procès équitable avant la CEDH », in Loïc CADIET, Serge DAUCHY, Jean-Louis HALPERIN (dir.), Itinéraires d'histoire de la procédure civile.Vol. 1 Regards français, IRJS Editions, 2014, pp. 74-93
Boris Bernabé, Xavier Godin, « Actualité de l’histoire de la justice », in Jacques KRYNEN, Bernard D’ALTEROCHE (dir.), L’histoire du droit en France. Nouvelles tendances, nouveaux territoires, Classiques Garnier, 2014, pp. 291-326
Boris Bernabé, « Les implications politiques d’une nouvelle vision de la justice : l’allégorie de la justice par Lucas Cranach l’ancien (1537) », in Michel GANZIN (dir.), Justice et Etat, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2014, pp. 45-54
Boris Bernabé, Solange Ségala de Carbonnières, « La culture judiciaire et l’office de la Cour de cassation », in Emmanuel CARTIER (dir.) (dir.), La QPC, le procès et ses juges. L'impact sur le procès et l'architecture juridictionnelle, Dalloz, 2013, pp. 346-357
Boris Bernabé, Emmanuel Cartier, « L'introduction d'un nouveau gène dans le procès », in Emmanuel Cartier (dir.), La QPC, le procès et ses juges, Dalloz, 2013, pp. 1-18
Boris Bernabé, « La perspective comme réforme politique - La flagellation du Christ de Piero della Francesca (après 1459) », in Michel GANZIN (dir.), La dynamique du changement politique et juridique : la réforme, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2013, pp. 193-207
Boris Bernabé, « Une vision historique de la médiation judiciaire. Deuxième essai de génétique juridique », in Filali OSMAN (dir.) (dir.), La médiation en matière civile et commerciale, Bruylant, 2012, pp. 17-29
Boris Bernabé, « Écrit et cri de la loi. “Pour que la loi obtienne vertu d’obliger” au Moyen Âge », in Denis SALAS (dir.), L'écho des lois . Du parchemin à internet. Du parchemin à internet, La Documentation Française, 2012, pp. 29-53
Boris Bernabé, « L’espace du commercium. Essai de génétique juridique », in Filali OSMAN (dir.) (dir.), Vers une Lex mercatoria mediterranea, Bruylant, 2012, pp. 21-30
Boris Bernabé, « Les miroirs de l’environnement », in Marie-Pierre BLIN-FRANCHOMME (dir.), Image(s) & Environnement, Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, 2012, pp. 13-44
Boris Bernabé, « Personnel judiciaire (greffier, huissier, assistant de justice…) », in Mathieu TOUZEIL-DIVINA (dir.), Initiation au droit : introduction encyclopédique aux études et métiers juridiques, LGDJ, 2011, pp. 145-146
Boris Bernabé, « La moralité des juges. Construction doctrinale d’une déontologie (XVIe-XVIIe siècle) : réflexions sur un anachronisme », in Miguel Angel CHAMOCHO CANTUDO (dir.) (dir.), Droit et mœurs: Implication et influence des mœurs dans la configuration du droit, Universidad de Jaén-Junta de Andalucía, 2011, pp. 479-509
Boris Bernabé, « Histoire du droit de la presse », Traité du droit de la presse et des médias, Editions du Jurisclasseur, 2009, pp. 1-10
Boris Bernabé, « Introduction historique au droit de la presse », Traité du droit de la presse et des medias, Lexis Nexis, 2009, pp. 1-10
Boris Bernabé, « Neveu de Montauban », Dictionnaire historique des juristes français, PUF, 2007, pp. 571
Boris Bernabé, Sylvie Perdriolle, « Cycle de conférences (Cour de cassation) : penser l'office du juge », Recueil Dalloz, 2021, n°42, p. 2138
Boris Bernabé, « Le jugement de Salomon, la vérité et la paix », Les Cahiers de la justice, 2020, n°04, p. 595
Boris Bernabé, Stéphanie Kass-Danno, Sylvie Perdriolle, « Conférences (Cour de cassation) : L'office du juge : dire le droit pour résoudre un conflit », Recueil Dalloz, 2020, n°42, p. 2351
Boris Bernabé, « L’obsolescence programmée du juge ? Propos liminaires sur l’irruption de la justice amiable dans la justice judiciaire », La Semaine juridique. Édition générale, 2018, pp. 16-19
Boris Bernabé, « À quoi sert l’histoire du droit ? », Revue de droit d'Assas, 2018, pp. 109-114
Boris Bernabé, « L’appel en matière civile. Achever la voie d’achèvement », Tribonien. Revue critique de législation et de jurisprudence, 2018, pp. 32-47
Boris Bernabé, « Suspicion légitime : la partialité ne peut se déduire des actes de la procédure », La Semaine juridique. Édition générale, 2016
Boris Bernabé, « L’office du juge et la liturgie du juste. Éloge juridique de la forme », Les Cahiers Philosophiques, 2016, n°4, pp. 48-67
Boris Bernabé, « À la source du pouvoir modérateur du juge. Notice sur les origines de l’article 21 du code de procédure civile », Pravnik, 2016, pp. 107-115
Boris Bernabé, « De l’homo sacer à la victime vicaire », Histoire de la justice, 2015, n°1, pp. 135-147
Boris Bernabé, « Avant-propos », Histoire de la justice, 2015, n°1, p. 5
Boris Bernabé, « La croisée des savoirs - Les chemins de l'amiable résolution des différends », Les Cahiers de la justice, 2014, n°04, p. 633
Boris Bernabé, « Les modes amiables de règlement des différends et l'office du juge : la tierce voie », Revue Justice Actualités, 2014, pp. 10-21
Boris Bernabé, « Liberté et déontologie universitaires : l'air pénétrant de la critique publique sur la corruption innocente », Actualité juridique Droit administratif, 2014, n°33, p. 1904
Boris Bernabé, « Fonction publique : de la structure au principe », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2014, n°02, p. 65
Boris Bernabé, « La croisée des savoirs - L'autorité du juge et la recherche de l'adhésion », Les Cahiers de la justice, 2013, n°02, p. 151
Boris Bernabé, « I) L'office du juge dans la mondialisation - Redécouvrir l'office créateur du juge », Les Cahiers de la justice, 2013, n°03, p. 27
Boris Bernabé, « Quatrième de couverture 3 - 2013 », Les Cahiers de la justice, 2013, n°03
Boris Bernabé, « L’imaginaire de la justice chez Alexandre Dumas et Jules Verne. De la vengeance à la justice dans Le comte de Monte-Cristo (1845-1846) et Mathias Sandorf (1885) », Histoire de la justice, 2013, pp. 99-119
Boris Bernabé, Bernard Beignier, « Office, charge et fonds : notions distinctes », La semaine juridique. Notariale et immobilière, 2012, n°1362, pp. 27-33
Boris Bernabé, « Justitia pudica. Une représentation de la justice aux XVIe et XVIIe siècles », Europe XVI-XVII, 2012, pp. 45-78
Boris Bernabé, « Quelle(s) liberté(s) d’expression avant 1881 ? », Revue du droit public et de la science politique en France et à l'étranger, 2012, pp. 742-765
Boris Bernabé, « Comparution personnelle des parties », JurisClasseur Procédure civile , 2011
Boris Bernabé, « La coopérative, instrument juridique de la nécessité. Approche historique », Revue de droit rural, 2010, pp. 12-19
Boris Bernabé, « L'héritage historique de la profession d'avocat. Quelques observations de déontologie comparée », Gazette du Palais, 2007, pp. 2-9
Boris Bernabé, « Naissance d’une éthique judiciaire à travers la théorie de la récusation des juges (XIIIe -XIVe s.) », 2007, pp. 343-372
Naissance d’une éthique judiciaire à travers la théorie de la récusation des juges (XIIIe-XIVe s.). La récusation des juges, jusque dans ses développements actuels, a largement bénéficié des normes et de la pensée ecclésiastiques médiévales. Mais au-delà de la technique pure de récusation, les canonistes ont su tirer des premières gloses civilistes la substance d’une éthique du juge, d’une déontologie. Entre le XIIIe et le XIVe siècle, depuis la professionnalisation de la justice jusqu’à la critique par les penseurs politiques des manquements des juges en référence à une éthique reconnue, trois auteurs méridionaux furent acteurs et témoins de la naissance de cette déontologie : Neveu de Montauban, Guillaume Durand et Guillaume de Cunh. Le premier, dans son Liber fugitivus, en tronquant la définition des exceptions de procédure -dont la récusation faisait partie -devait permettre l’hypertrophie de leur contenu, de telle sorte que les exceptions incluaient toute défense opposable à la prétention du demandeur. Ce nouveau contenu devait aussi bien mêler causes de récu¬ sation qu’interdictions de juger. Le second, dans son Speculum judiciale, en détachant la récusation du strict cadre des exceptions, devait rattacher ces dernières à l'officium judicis. L’office du juge, définissant tant les devoirs et les pouvoirs du juge que l’étendue de son équité, devait permettre l’élaboration de règles éthiques strictes. Le troisième, dans sa Lectura super codice, héritier d’une doctrine prononçant l’équivalence théorique de la récusation et de l’appel, devait entériner l’abandon de la litis contestatio comme point central du procès au profit de la sentence. Si Guillaume est d’accord pour reconnaître qu’il existe désormais deux remèdes judiciaires, l’appel après la sentence et la récusation avant, il ne les met pas sur le même plan, affirmant que si l’appel porte exclusivement sur la décision, la récusation porte sur la personne du juge. En impliquant le juge in personam et en distinguant ses actes de ses jugements, les manquements constatés du juge devenaient déontologiques.
Boris Bernabé, « Je peux perdre, mais je gagne toujours. Droit, espérance et probabilités à l'époque moderne », le 06 juin 2024
Colloque organisé sous la direction scientifique de Florian Reverchon, Maître de Conférences, Université Jean Moulin Lyon 3 et Filippo Contarini, Professeur assistant, Université de Lausanne.
Boris Bernabé, « L’histoire du droit de la mer, la mer dans l’histoire du droit », le 30 mai 2024
Journées de la SHD organisée par la Faculté de Droit de l'Université de Toulon, le CDPC, le Pôle ESMED, le Pôle MEDD, l'IFM, la SFHM, l'Académie de Marine, la Marine Nationale et la Préfecture maritime Méditerranée.
Boris Bernabé, « 20 ans de droit privé : évolution ou métamorphose ? », le 06 avril 2023
Organisé à l’occasion des 20 ans du Master 2 Droit privé fondamental par la Faculté Jean Monnet - Sceaux, le CERDI, l'IDP, Univ. Paris-Saclay sous la direction scientifique de Françoise Labarthe, Pr. Univ. Paris-Saclay, CERDI, Directeur du M2 Droit privé fondamental, Fanny Binois, MCF, Univ. Paris-Saclay, CERDI et Damien Sadi, MCF, Univ. Paris-Saclay, IDEP
Boris Bernabé, « Les missions des facultés de droit et de science politique », le 03 avril 2023
Colloque organisé par Ius et Politia, Fondation pour l'enseignement et la recherche en droit et science politique, sous égide de l'Académie des Sciences Morales et Politiques.
Boris Bernabé, « L’histoire du capitalisme », le 11 octobre 2022
Organisé par la MSH Paris Saclay
Boris Bernabé, « La confiance publique », le 29 septembre 2022
Organisé par le Centre de recherches juridiques de l'université de Franche-Comté (CRJFC, UR 3225) sous la direction de Alexandre Desrameaux et Christophe Geslot
Boris Bernabé, « Le serment », le 01 juin 2022
Organisé sous la direction de Julien Boudon, Professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay, avec le soutien de l’Institut d’études de droit public (IEDP)
Boris Bernabé, « Les travailleuses et travailleurs domestiques », le 16 mai 2022
Organisé sous la direction scientifique de Sandrine Maillard-Pinon, Université Paris-Saclay, Rafael Encinas de Muñagorri, Nantes Université et Laure Camaji, Université Paris-Saclay
Boris Bernabé, « Normativité et technologies au prisme de l’interculturalité », le 21 mars 2022
Coorganisé par le Laboratoire de Recherche de l'ISIT et l'IDEST de l'Université Paris-Saclay
Boris Bernabé, « Lectures de… n° 12 : Le savoir en danger, Menaces sur la liberté académique, d’Olivier Beaud », le 18 mars 2022
Table ronde organisée le 18 mars 2022 par Pierre Bonin à l'université Paris-Panthéon-Assas pour la Société pour l'histoire des Facultés de droit,, avec le soutien de l'Institut Cujas (Paris-Panthéon-Assas). Textes à paraître, automne 2023.
Boris Bernabé, « L'Art et la Justice », le 09 avril 2021
Organisée par le Palais des Beaux-Arts de Lille, la Faculté de droit, Université de Lille
Boris Bernabé, « Penser l’office du juge », le 12 octobre 2020
Cycle organisé par la Cour de Cassation, la Société de législation comparée et l'École européenne de droit de Toulouse.
Boris Bernabé, « 20 ans de droit du patrimoine culturel », le 27 février 2020
Colloque organisé à l'occasion du vingtième anniversaire du Master Droit du patrimoine culturel, sous le patronage de la Commission nationale française pour l'UNESCO, avec le soutien de l’IDEP et de l'IEDP, Université Paris-Saclay.
Boris Bernabé, « La force du Droit », le 22 novembre 2019
Journée d'étude des jeunes chercheurs de l'IEDP - Faculté Jean Monnet - Université Paris-Sud
Boris Bernabé, « La lutte contre la discrimination au travail dans le Code du travail et le Code pénal : même combat ? », le 21 novembre 2019
Coorganisé par Sandrine Maillard-Pinon, Maître de conférences en droit privé à l’Université Paris-Sud et Stéphane Détraz, Maître de conférences en droit privé à l’Université Paris-Sud
Boris Bernabé, « Lectures de… n° 8 : Le droit dans les sociétés humaines », le 19 avril 2019
Table-ronde organisée le 19 avril 2019 à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne par Pierre Bonin, Pierre Brunet et Soazick Kernéis, avec le soutien du Centre d’Histoire et d’Anthropologie du Droit de l’université Paris Nanterre et avec l’assistance de l’Institut de Recherches Juridiques de la Sorbonne (Paris 1). Textes à paraître dans Droit et Société.
Boris Bernabé, « Versailles 2019. Renégocier le traité 100 ans après », le 09 avril 2019
Organisée par la faculté Jean Monnet, Université Paris Sud
Boris Bernabé, « Le sport et le droit », le 22 mars 2019
Organisé par la fédération de la recherche de la Faculté Jean Monnet (Droit-Économie-Gestion) de l’Université Paris-Sud regroupant le centre DSR, le CERDI, l’IDEP et l’IEDP dans le cadre du Festival Ciné-Droit 2019
Boris Bernabé, « Vision et révision de la Constitution », le 14 février 2019
Organisé par l’IEDP, la Faculté Jean Monnet, en collaboration avec l'association des étudiants publicistes de l'Université Paris-sud
Boris Bernabé, « Neuvièmes rencontres de procédure civile : la fin des questions de compétence ? », le 07 décembre 2018
Organisé par la Cour de Cassation, l’IRJS, l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l’ENM
Boris Bernabé, « Le langage du droit », le 23 novembre 2018
Organisé par les jeunes chercheurs de l’IEDP - Faculté Jean Monnet – Université Paris-Sud
Boris Bernabé, « Culture & numérique », le 09 novembre 2018
Colloque organisé avec le soutien du CERDI, de l’AMPIN (Association des Masters de Propriété Intellectuelle et du Numérique, de la Chaire UNESCO sur la diversité des expressions culturelles (Université de Laval-Québec) et de l'institut Art et Droit.
Boris Bernabé, « Le rôle du juge en matière de modes alternatifs de règlement des différends », le 11 octobre 2018
Organisé sous la direction scientifique de Isabelle Bieri, GEMME – Suisse ; Louis Marquis, Université de Sherbrooke – Canada et Catherine Tirvaudey, Université de Franche-Comté
Boris Bernabé, « Histoire de la pensée juridique moderne », le 22 février 2018
Cycle de conférences organisé par l'Institut d'Histoire du Droit (EA 2515) de l'Université Paris Descartes et l'École de droit de la Sorbonne, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Boris Bernabé, « Critique du droit contemporain », le 15 mai 2017
Séance d'étude inaugurale de Tribonien, Revue critique de législation et de jurisprudence
Boris Bernabé, « La déposition du pape », le 30 mars 2017
Colloque international – Laboratoire Droit & Sociétés religieuses
Boris Bernabé, « La mémoire numérique de la justice », le 29 novembre 2016
Journée d’étude SDSE-IHEJ
Boris Bernabé, « La justice entre théologie et droit », le 09 juin 2015
Boris Bernabé, « Les logiques du droit : autour des formes de légitimation du pouvoir », le 02 avril 2015
Boris Bernabé, « L'avènement juridique de la victime », le 12 avril 2013
Boris Bernabé, « L’Histoire du droit en France. Nouvelles tendances, nouveaux territoires », le 28 janvier 2013
Boris Bernabé, « L’inexpugnable Etat de justice », le 02 janvier 2012
Boris Bernabé, « Droit administratif et libertés : quelles leçons tirer de l’histoire ? », le 09 décembre 2011
L'AFDA (Association pour la recherche en droit administratif) organise annuellement une ou deux journées d'études. La journée d'études de Nantes du 9 décembre 2011 portera sur «Droit administratif et libertés. Quelles leçons tirer de l’Histoire?».
Boris Bernabé, « Histoire de la coopération : retour sur les fondamentaux du mouvement coopératif », L'authenticité notariale, le 01 janvier 2010
Boris Bernabé, « De l'écriture de la coutume à la coutume de l'écriture : style et vérité chez les juristes médiévaux », L'écriture des juristes, le 01 janvier 2009
Boris Bernabé, « L'argent qui corrompt le juge », L'argent qui corrompt le juge, le 01 janvier 2008
Boris Bernabé, « Naissance d'une éthique judiciaire à travers la théorie de la récusation des juges (XIIIe-XIVe siècle) », Naissance d'une éthique judiciaire à travers la théorie de la récusation des juges (XIIIe-XIVe siècle), le 01 janvier 2007