Nathalie Blanc

Professeur
Droit privé et sciences criminelles.
UFR Droit, Sciences politiques et sociales

Institut de Recherche pour un Droit Attractif

Responsabilités administratives et scientifiques :

Responsable de la formation :
  • THESE

    Contrats nommés et innommés : Etude à partir du droit d'auteur, soutenue en 2008 à Paris 2 sous la direction de Pierre-Yves Gautier 

  • Nathalie Blanc, Mathias Latina, Denis Mazeaud, Droit des obligations, 5e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2024, CRFPA, 661 p. 

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, 7e éd., LGDJ un savoir-faire de Lextenso, 2024, CRFPA, 679 p. 

    Nathalie Blanc, Mathias Latina, Denis Mazeaud, Droit des obligations, 4e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2023, CRFPA, 634 p. 

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, 6e éd., LGDJ un savoir-faire de Lextenso, 2023, CRFPA, 652 p. 

    Nathalie Blanc, Pierre-Yves Gautier, Droit de la propriété littéraire et artistique, 2e éd., LGDJ, un savoir faire de Lextenso, 2023, Droit civil, 754 p. 

    Nathalie Blanc, Mathias Latina, Denis Mazeaud, Droit des obligations, 3e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2022, CRFPA, 616 p. 

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, 5e éd., LGDJ un savoir-faire de Lextenso, 2022, CRFPA, 644 p. 

    Nathalie Blanc, Henri Mazeaud, Denis Mazeaud, Méthodes générales de travail, 5e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2022, 100 p. 

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, 4e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2021, CRFPA, 607 p.  

    La 4e de couverture indique : "Cet ouvrage de droit des affaires a été écrit dans le cadre du nouvel examen national du CRFPA. Profondément remaniée, l'épreuve de spécialité suppose désormais une large maîtrise du droit des affaires : commerçants, actes de commerce, fonds de commerce, sociétés commerciales (droit commun et droit spécial), opérations bancaires et financières (opérations de crédit et de paiement, titres financiers), droit des entreprises en difficultés. Parce que cette liste est vertigineuse, ce livre a pour objet de présenter, dans un même corpus, un exposé complet et synthétique du droit positif sous forme de leçons thématiques. Les textes et jurisprudences utiles à la résolution d'un cas pratique de droit des affaires sont cités et analysés. L'ouvrage est en outre enrichi d'encadrés présentant les éléments d'actualité de la matière. Sur ce point, il faut noter que la nouvelle édition est à jour de la loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 relative à la croissance et à la transformation des entreprises, dite loi PACTE. Elle comporte par ailleurs plusieurs cas pratiques corrigés pour aider les étudiants à se préparer, dans les conditions de l'examen, à l'épreuve de droit des affaires. Enfin, de nombreux exemples concrets sont fournis au fur et à mesure des développements, pour permettre au lecteur de mieux comprendre la règle et de pouvoir l'utiliser à bon escient dans un cas pratique. Spécialement destiné aux candidats à l'examen d'avocat, ce livre innovant peut également être utile aux étudiants de licence et de master, ainsi qu'aux praticiens qui souhaitent avoir une vision d'ensemble du droit des affaires, de son actualité et de ses enjeux"

    Nathalie Blanc, Mathias Latina, Denis Mazeaud, Droit des obligations, 2e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2021, CRFPA, 589 p. 

    Nathalie Blanc, Pierre-Yves Gautier, Droit de la propriété littéraire et artistique, LGDJ, un savoir faire de Lextenso, 2021, Droit civil, 716 p. 

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, 3e éd., Librairie générale de droit et de jurisprudence, un savoir faire de Lextenso, 2020, CRFPA, 608 p.  

    La 4e de couverture indique : "Cet ouvrage de droit des affaires a été écrit dans le cadre du nouvel examen national du CRFPA. Profondément remaniée, l'épreuve de spécialité suppose désormais une large maîtrise du droit des affaires : commerçants, actes de commerce, fonds de commerce, sociétés commerciales (droit commun et droit spécial), opérations bancaires et financières (opérations de crédit et de paiement, titres financiers), droit des entreprises en difficultés. Parce que cette liste est vertigineuse, ce livre a pour objet de présenter, dans un même corpus, un exposé complet et synthétique du droit positif sous forme de leçons thématiques. Les textes et jurisprudences utiles à la résolution d'un cas pratique de droit des affaires sont cités et analysés. L'ouvrage est en outre enrichi d'encadrés présentant les éléments d'actualité de la matière. Sur ce point, il faut noter que la nouvelle édition est à jour de la loi n°2019-486 du 22 mai 2019 relative à la croissance et à la transformation des entreprises, dite loi PACTE. Elle comporte par ailleurs plusieurs cas pratiques corrigés pour aider les étudiants à se préparer, dans les conditions de l'examen, à l'épreuve de droit des affaires. Enfin, de nombreux exemples concrets sont fournis au fur et à mesure des développements, pour permettre au lecteur de mieux comprendre la règle et de pouvoir l'utiliser à bon escient dans un cas pratique. Spécialement destiné aux candidats à l'examen d'avocat, ce livre innovant peut également être utile aux étudiants de licence et de master, ainsi qu'aux praticiens qui souhaitent avoir une vision d'ensemble du droit des affaires, de son actualité et de ses enjeux"

    Nathalie Blanc, Mathias Latina, Denis Mazeaud, Droit des obligations, LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2020, CRFPA, 578 p. 

    Nathalie Blanc, Henri Mazeaud, Denis Mazeaud, Méthodes générales de travail, 4e éd., LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2020, 99 p. 

    Nathalie Blanc, Mustapha Mekki (dir.), Le juge et le numérique: un défi pour la justice du XXIe siècle, Dalloz, 2019, Thèmes et commentaires  

    Présentation de l'éditeur : "Construire l’ère du numérique ne peut se faire sans une réflexion globale sur la façon et la fonction de juger. Les juges sont au coeur de cette révolution technologique. Cette rencontre entre le juge et le numérique est d’une double nature. D’une part, le juge doit adapter les matières traditionnellesqui sont mises à l’épreuve du numérique (droit de la distribution et de la concurrence, propriété intellectuelle, droit international privé...). D’autre part, l’outil numérique investit l’office du juge et l’organisation juridictionnelle. Cette immixtion du numérique au sein même de l’activité juridictionnelle est plus inquiétante. Elle amène à repenser la place du juge et la fonction de juger. Le “monde” du numérique est manifestement un défi pour le juge du 21ème siècle. Cet ouvrage est l’occasion de débattre des vices et des vertus de ce “nouveau” monde en abordant deux volets complémentaires : I. L’activité juridictionnelle confrontée au numérique ; II. L’activité juridictionnelle investie par le numérique"

    Nathalie Blanc, Mustapha Mekki (dir.), Le juge et le numérique, Dalloz, 2019, Thèmes & Commentaires ( Actes ), 128 p.  

    La 4e de couv. indique :" Construire l'ère du numérique ne peut se faire sans une réflexion globale sur la façon et la fonction de juger. Les juges sont au coeur de cette révolution technologique. Cette rencontre entre le juge et le numérique est d'une double nature. D'une part, le juge doit adapter les matières traditionnelles qui sont mises à l'épreuve du numérique (droit de la distribution et de la concurrence, propriété intellectuelle, droit international privé...). D'autre part, l'outil numérique investit l'office du juge et l'organisation juridictionelle. Cette immixtion du numérique au sein même de l'activité juridictionnelle est plus inquiétante. Elle amène à repenser la place du juge et la fonction de juger. Le "monde" du numérique est manifestement un défi pour le juge du 21e siècle. Cet ouvrage, issu du colloque organisé par l'IRDA le 8 juin 2018, est l'occasion de débattre des vices et des vertus de ce "nouveau" monde en abordant deux volets complémentaires : 1. L'activité juridictionnelle confrontée au numérique ; II. L'activité juridictionelle investie par le numérique."

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, 2e éd., LGDJ, une marque de Lextenso, 2019, CRFPA, 581 p.  

    La 4e de couv. indique : "Cet ouvrage de droit des affaires a été écrit dans le cadre du nouvel examen national du CRFPA. Profondément remaniée, l'épreuve de spécialité suppose désormais une large maîtrise du droit des affaires : commerçants, actes de commerce, fonds de commerce, sociétés commerciales (droit commun et droit spécial), opérations bancaires et financières (opérations de crédit et de paiement, titres financiers), droit des entreprises en difficultés. Parce que cette liste est vertigineuse, ce livre a pour objet de présenter, dans un même corpus, un exposé complet et synthétique du droit positif sous forme de leçons thématiques. Les textes et jurisprudences utiles à la résolution d'un cas pratique de droit des affaires sont cités et analysés. L'ouvrage est en outre enrichi d'encadrés présentant les éléments d'actualité de la matière. Sur ce point, il faut noter que la nouvelle édition est à jour de la loi n°2019-486 du 22 mai 2019 relative à la croissance et à la transformation des entreprises, dite loi PACTE. Elle comporte par ailleurs plusieurs cas pratiques corrigés pour aider les étudiants à se préparer, dans les conditions de l'examen, à l'épreuve de droit des affaires. Enfin, de nombreux exemples concrets sont fournis au fur et à mesure des développements, pour permettre au lecteur de mieux comprendre la règle et de pouvoir l'utiliser à bon escient dans un cas pratique. Spécialement destiné aux candidats à l'examen d'avocat, ce livre innovant peut également être utile aux étudiants de licence et de master, ainsi qu'aux praticiens qui souhaitent avoir une vision d'ensemble du droit des affaires, de son actualité et de ses enjeux"

    Nathalie Blanc, Anne-Valérie Le Fur, Thomas Le Gueut, Anne-Cécile Martin, Droit des affaires, LGDJ, une marque de Lextenso, 2018, CRFPA, 565 p.  

    La 4e de couv. indique : "Cet ouvrage de droit des affaires a été écrit dans le cadre du nouvel examen national du CRFPA. Profondément remaniée, l'épreuve de spécialité suppose désormais une large maîtrise du droit des affaires : commerçants, actes de commerce, fonds de commerce, sociétés commerciales (droit commun et droit spécial), opérations bancaires et financières (opérations de crédit et de paiement, titres financiers), droit des entreprises en difficultés. Parce que cette liste est vertigineuse, ce livre a pour objet de présenter, dans un même corpus, un exposé complet et synthétique du droit positif sous forme de leçons thématiques. Les textes et jurisprudences utiles à la résolution d'un cas pratique de droit des affaires sont cités et analysés. L'ouvrage est en outre enrichi d'encadrés présentant les éléments d'actualité de la matière. Il comporte par ailleurs plusieurs cas pratiques corrigés pour aider les étudiants à se préparer, dans les conditions de l'examen, à l'épreuve de droit des affaires. Enfin, de nombreux exemples concrets sont fournis au fur et à mesure des développements, pour permettre au lecteur de mieux comprendre la règle et de pouvoir l'utiliser à bon escient dans un cas pratique. Spécialement destiné aux candidats à l'examen d'avocat, ce livre innovant peut également être utile aux étudiants de licence et de master, ainsi qu'aux praticiens qui souhaitent avoir une vision d'ensemble du droit des affaires, de son actualité et de ses enjeux."

    Nathalie Blanc, Denis Mazeaud, Romain Boffa (dir.), Dictionnaire du contrat, LGDJ, une marque de Lextenso, 2018, Dictionnaires LGDJ, 1085 p.  

    La 4e de couverture indique : "Ce dictionnaire du contrat est une oeuvre collective dans laquelle 36 plumes s'associent pour définir et explorer les principaux termes de la relation contractuelle. De l'abus à la violence, en passant par la clause de dédit, l'imprévision, la résolution ou le smart contract, le dictionnaire tente de répondre par le menu aux principales questions que se pose le juriste qui gravite autour de la planète contractuelle. À jour de l'ordonnance du 10 février 2016 et de la loi de ratification du 20 avril 2018, l'ouvrage est destiné aux praticiens, étudiants et chercheurs qui veulent avoir un accès direct, synthétique et complet au droit des contrats rénové"

    Nathalie Blanc (dir.), Le juge et la mondialisation dans la jurisprudence de la Cour de cassation, Cour de cassation et La Documentation française, 2017, 301 p. 

    Nathalie Blanc, Denis Mazeaud (dir.), Méthodes générales de travail, 3e éd., LGDJ-Lextenso éditions, 2015, Les méthodes du droit, 80 p. 

    Nathalie Blanc, Les contrats du droit d'auteur à l'épreuve de la distinction des contrats nommés et innommés, Dalloz, 2010, Nouvelle Bibliothèque de Thèses, 498 p. 

    Nathalie Blanc, Contrats nommés et innommés: étude à partir du droit d'auteur, Atelier national de reproduction des thèses, Université de Lille 3, 2009, Lille-thèses 

  • Nathalie Blanc, Jean-Philippe Tricoit, Romain Boffa, Manuel Gros, Franck Le Mentec, « Droit du sport », La Semaine juridique. Édition générale, 2022, pp. 294-301 

    Nathalie Blanc, Romain Boffa, Manuel Gros, Bernard Haftel, Franck Le Mentec [et alii], « Droit du sport », La Semaine juridique. Édition générale, 2021, pp. 528-535 

    Nathalie Blanc, Pierre-Yves Gautier, « Contre l'anonymisation des arrêts publiés : décadence des références de jurisprudence », Recueil Dalloz, 2019, n°29, p. 1648   

    Nathalie Blanc, « Mondialisation du rôle du juge français : quels enjeux ? », Recueil Dalloz, 2018, n°15, p. 840   

    Nathalie Blanc, « CJUE et épuisement des droits : nouvel épisode », Légipresse : l'actualité du droit des médias, de la communication et des réseaux sociaux, 2015, n°327, p. 284   

    Nathalie Blanc, « La parodie, le pastiche et la caricature en propriété intellectuelle », Légicom : Revue du droit de la communication des entreprises et de la communication publique, 2015, n°54, p. 25   

    Nathalie Blanc, « Les limites incertaines de l'exception de parodie », Légipresse : l'actualité du droit des médias, de la communication et des réseaux sociaux, 2014, n°321, p. 604   

  • Nathalie Blanc, « Les limites/frontières planétaires : un objet juridique en devenir pour la justice climatique ? », le 20 mars 2024  

    Workshop organisé par le groupe Constructive Advanced Thinking (CAT), IODE, Université de Rennes piloté par Marion Lemoine-Schonne

    Nathalie Blanc, « Loi de 2004 sur la laïcité : 20 ans après ? », le 14 mars 2024  

    Colloque organisé par la faculté de droit, Université Savoie-Mont Blanc sous la direction scientifique de Clément Benelbaz, MCF HDR en droit public, Univ. Savoie Mont Blanc - Dominique Lagorgette, Professeure en sciences du langage, Univ. Savoie Mont Blanc et Hanane Karimi, MCF en sociologie – LinCS- Univ. de Strasbourg

    Nathalie Blanc, « Quelle régulation pour les plateformes numériques ? », le 30 novembre 2023  

    Cycle de conférences organisé par la Cour de cassation et l'ENM sous la direction de Nathalie Blanc et Bernard Haftel, Professeurs à l’Université Sorbonne Paris Nord et Codirecteurs de l’IRDA, et Mustapha Mekki, Professeur à l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne

    Nathalie Blanc, « La protection des forêts à l’heure des défis environnementaux : droit international, droit européen, droits nationaux », le 27 septembre 2023  

    Colloque organisé par la Structure fédérative "Les communs", Institut de droit public, sciences politiques et sociales (IDPS), Université Sorbonne Paris-Nord sous la direction scientifique de Marine They, en partenariat avec l'Institut de Recherche Juridique Interdisciplinaire (IRJI François-Rabelais) de l'Université de Tours, la Branche française de l'Association de droit international (ADI/ILA)

    Nathalie Blanc, « Droit(s) et presse », le 18 novembre 2022  

    Colloque organisé par le CRJP, la Bibliothèque nationale de France et l’Institut de Recherches en Droit Attractif (Université Sorbonne Paris Nord) sous la direction scientifique de Géraldine Goffaux Callebaut, Professeur de droit privé, Université d’Orléans et Didier Guével, Professeur de droit privé, Doyen honoraire de la Faculté de Droit et Sciences politiques et sociales, Université Sorbonne Paris Nord

    Nathalie Blanc, « Les propriétés intellectuelles en mouvements », le 23 juin 2022  

    Colloque des 40 ans de l'IRPI, Université Paris - Panthéon - Assas

    Nathalie Blanc, « Droit(s) & spectacle vivant », le 19 novembre 2021  

    Organisé par la Bibliothèque nationale de France, l'IRDA (Université Sorbonne Paris Nord) et le CRJ Pothier (Université d'Orléans), sous la direction scientifique de Catherine Aurérin, Géraldine Goffaux Callebaut et Didier Guével

    Nathalie Blanc, « Vers un nouvel âge des extrêmes ? », le 28 octobre 2021  

    Conférence internationale organisée par l'IRM-CMRP, Université de Bordeaux, sous la direction scientifique de Nathalie Blanc-Noël, Maître de conférences, et Thibaut Dauphin, ATER en science politique.

    Nathalie Blanc, « Bruno Oppetit, Droit et modernité », le 08 octobre 2021  

    Organisé par la Revue de droit d'Assas avec le soutien du Laboratoire de droit civil dans le cadre du cycle "Les grands textes du droit"

    Nathalie Blanc, « L’intelligence artificielle : quelle intelligence juridique ? », le 15 avril 2021  

    Organisé à la Cour de cassation par l’Institut de recherche pour un droit attractif de l’Université Sorbonne Paris Nord (IRDA), le CEDCACE, l’Université Paris Nanterre sous la responsabilité scientifique de S. Amrani-Mekki, B. Haftel et M. Mekki

    Nathalie Blanc, « Droit(s) & bande dessinée », le 22 janvier 2021  

    Colloque organisé par la Bibliothèque nationale de France, l'institut de recherche pour un droit attractif (Université Paris 13) et le Centre de recherche juridique Pothier (Université d'Orléans).

    Nathalie Blanc, « Le patrimoine numérique », le 13 mars 2020  

    Journée Expert #2 de l'INFN, organisée avec le concours de l’IRDA (Institut de recherche pour un droit attractif), en partenariat avec la chambre nationale des greffiers des tribunaux de commerce et la chambre nationale des commissaires de justice.

    Nathalie Blanc, « Les enjeux juridiques de la publicité digitale », le 25 février 2020  

    Organisé par l'Institut de recherche pour un droit attractif (IRDA) en partenariat avec la Commission ouverte commerce international et le soutient du DIMé numérique.

    Nathalie Blanc, « Juridifier l’Anthropocène : personnification de la nature, biens communs, etc. », le 22 novembre 2019  

    Séminaire organisé sous la direction scientifique de Béatrice Parance (Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis) et Gilles Lhuilier (ENS Rennes).

    Nathalie Blanc, « Droit(s) et jardin », le 15 novembre 2019  

    Organisé par l'Institut de recherche pour un droit attractif (IRDA) en partenariat avec le CRJ Pothier de l'université d'Orléans et la Bibliothèque nationale de France (BnF)

    Nathalie Blanc, « Les élections européennes et après ? », le 07 novembre 2019  

    Organisé par l'IRM-CMRP et le CRDEI Université de Bordeaux sous la direction scientifique de Carlos Manuel Alves, CRDEI, Bordeaux ; Nathalie Blanc-Nöel, IRM-CMRP, Bordeaux et Thierry Dominici, IRM-CMRP, Bordeaux

    Nathalie Blanc, « Le génome en mal de droit(s) ? », le 14 février 2019  

    Organisé par l’IRDA, Institut de recherche pour un droit attractif, en partenariat avec le CRJ Pothier de l'Université d'Orléans

    Nathalie Blanc, « Entre mystères et fantasmes : quel avenir pour les blockchains ? », le 07 février 2019  

    Organisé par la Cour de Cassation sous la direction scientifique de Madame le professeur Nathalie Blanc, Monsieur le professeur Bernard Haftel et Monsieur le professeur Mustapha Mekk

    Nathalie Blanc, « Le contrat d'adhésion : délimitation et implications », le 14 décembre 2018  

    Organisé par l’Institut de recherche pour un droit attractif (IRDA) sous la direction scientifique de Anne Etienney de Sainte Marie, Professeur à l’université Paris 13

    Nathalie Blanc, « (re)Créer et réguler la vie et les moyens de subsistance au-delà des frontières », le 10 décembre 2018  

    L'industrie biotechnologique, les chercheurs et les gouvernements sont entrés dans une nouvelle constellation, un nouveau régime et une phase accélérée, appelée bioéconomie.

    Nathalie Blanc, « Droit(s) et apparence vestimentaire », le 09 novembre 2018 

    Nathalie Blanc, « Le juge et le numérique : un défi pour la justice du XXIème siècle », le 08 juin 2018  

    Organisé par la Cour de Cassation, l’ENM, l’IRDA et le DSPS

    Nathalie Blanc, « La procréation et la mort : procréation post mortem et homicide involontaire du fœtus », le 05 avril 2018  

    Organisé sous la direction scientifique de Madame Astrid Marais, Madame Bénédicte Boyer-Beviere et Madame Dorothée Dibie

    Nathalie Blanc, « La blockchain : enjeux et perspectives juridiques », le 04 avril 2018 

    Nathalie Blanc, « Droit privé de l’environnement », le 20 février 2018  

    Organisé sous la Direction scientifique de Jean-Baptiste Seube, Professeur de droit privé, Faculté de droit et d’économie, Université de La Réunion

    Nathalie Blanc, « Droit(s) et gastronomie », le 17 novembre 2017  

    Organisé en collaboration avec la BNF

    Nathalie Blanc, « Le juge et le droit de la responsabilité civile : bilan et perspective », le 19 mai 2017  

    Organisé par l'Institut de recherche pour un droit attractif (IRDA) de l'Université Paris 13 en collaboration avec La Cour de cassation

    Nathalie Blanc, « Communs hors du commun : une autre idée de la solidarité », le 01 mai 2017  

    3ème colloque annuel entre le CRDP, Université de Montréal et l’IRDA, Université Paris 13

    Nathalie Blanc, « Droit(s) et Street Art », le 14 octobre 2016  

    Le street art, ou art urbain, est un courant artistique né dans les années 1960/1970 aux Etats-Unis à la suite de l’apparition de la bombe aérosol...

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • Vincent Gorlier, La transformation numérique de la profession d'avocat, thèse soutenue en 2023 à Paris 1 sous la direction de Mustapha Mekki, membres du jury : Romain Boffa (Rapp.), Géraldine Goffaux-Callebaut (Rapp.), Paul Gaiardo  

    La révolution numérique façonne sans discontinuité tous les secteurs de la vie économique et sociale y compris le marché du droit. En effet, Internet qui s'impose comme le premier média des technologies de l’information et de la communication remet en cause les moyens traditionnels de l'accès au droit. L'analyse des bouleversements du droit sur Internet permet de constater l'apparition de nouveaux comportements de plus en plus fragmentés, ce qui nécessite pour les juristes de maîtriser les nouvelles technologies autour de l'intelligence artificielle et des algorithmes prédictifs. Les professionnels du droit et particulièrement la profession d'avocat devront également analyser en profondeurs les mutations et les besoins du justiciable afin de rechercher des solutions adaptées face à la concurrence des nouveaux acteurs que l'on nomme legaltech et qui proposent des services juridiques innovants et disruptifs. Cette étude permet ainsi d’affiner les connaissances d'un marché devenu en quelques années de plus en plus interactifs qui invite les avocats à la fois à un décryptage technologique des enjeux d'Internet et à un cadrage des opportunités pour transformer les règles de l'innovation tout en respectant leur déontologie.

    Tomas Versinskas, Titrisation en droit Lituanien : théorie et pratique, thèse soutenue en 2014 à Paris 13 sous la direction de Mustapha Mekki, membres du jury : Robert Etien, Romain Boffa, Aušra Kargaudiené et Mažvydas Michalauskas    

    Dans le cadre de cette thèse doctorale, intitulée « Titrisation en droit lituanien : théorie et pratique », le phénomène de titrisation est apprécié vis-à-vis du droit lituanien. Pour pouvoir identifier la place du phénomène de titrisation au sein du système de droit lituanien, tout d'abord, sont analysés le stade de développement du droit financier et son autonomie vis-à-vis d'autres branches du droit, notamment, du droit civil et du droit des finances publiques. L'étude révèle que même si les éléments importants d'autonomie du droit financier sont présents, l'autonomie définitive de cette branche du droit n'est pas encore achevée. Cela est principalement dû à l'absence de clarté des limites entre le droit financier et le droit civil. La titrisation n'étant pas expressément réglementée par le droit lituanien, elle est qualifiée en tant qu'ensemble contractuel – phénomène émanant du droit civil. À la suite de la qualification des contrats de l'opération de titrisation en tant qu’ensemble contractuel, la structure, les limites et le contenu d'un tel ensemble sont identifiés. La suite de l'étude révèle les effets qu'une qualification évoquée pourrait porter sur les contrats de l'opération de titrisation. Notamment, les effets entre les contrats de l'ensemble et les « contractants extrêmes » sont appréciés. La deuxième partie de l'étude estconsacrée aux aspects pratiques de la mise en oeuvre des opérations de titrisation des actifs des PME en Lituanie. Notamment, il est démontré qu'il est possible de réaliser des opérations de titrisation des actifs des PME dans le cadre réglementaire lituanien actuel. Pourtant, une telle mise en oeuvre serait fortement encombrée par le cadreréglementaire, qui n'est pas adapté à ce type de montages juridico-financiers. Des propositions respectives quant aux modifications du cadre réglementaire lituanien sont faites.

  • Nicolas Boucant, Les conflits d'intérêts en droit des sociétés, thèse soutenue en 2022 à Paris 12 sous la direction de Frédéric Bicheron, membres du jury : Estelle Naudin (Rapp.), Augustin Aynès  

    De sa création jusqu’à son terme, la société peut faire face à des interférences entre ses intérêts, d’une part, et les intérêts des associés, des dirigeants et des personnes auxquelles ils sont liés, d’autre part. En droit des sociétés, la genèse des conflits d’intérêts réside dans la volonté des associés et des dirigeants de privilégier leurs intérêts ou ceux d’une personne à laquelle ils sont liés, au détriment de l’intérêt social. Cette recherche a pour objectif de proposer une grille de lecture juridique renouvelée de la notion de conflit d’intérêts, articulée autour du préjudice et du devoir de loyauté. Elle met en évidence une méthodologie afin de définir le conflit d’intérêts en droit des sociétés. La présente étude identifie avec précision les mécanismes pratiques de détection, de prévention, de gestion, de sanction et de réparation des conflits d’intérêts.

    Tewfek Tayar, Le contrat d'édition, thèse soutenue en 2020 à Université Paris Cité sous la direction de Tristan Azzi, membres du jury : Edouard Treppoz (Rapp.), Pierre Sirinelli et Nathalie Martial-Braz  

    Le contrat d'édition est la convention la plus ancienne du droit d'auteur. Qualifié de "prototype" des contrats d'auteur par la doctrine spécialisée, le contrat d'édition bénéficie d'un régime rigoureux au sein du Code de la propriété intellectuelle. Pourtant, les évolutions de ces dernières décennies induites par le progrès numérique, par l'industrialisation mondialisée de la culture et par le renouveau progressif du droit civil des contrats, ont largement remis en cause la vigueur et la légitimité de cette institution pluri séculaire. Actuellement, le contrat d'édition apparaît dépassé par sa propre rationalité. Ainsi, la conjonction des différents enjeux précités justifie la tenue d'une étude renouvelée de ce contrat qui contribuera en outre à la cohérence du droit des contrats d'auteur.

    Octavie Laroque, Les lois symboliques. Une étude à partir du droit de la propriété littéraire et artistique, thèse soutenue en 2017 à Paris 2 sous la direction de Pierre-Yves Gautier, membres du jury : Blandine Mallet-Bricout (Rapp.), Patrick Morvan  

    Expression d’un mal législatif contemporain, les lois symboliques ne sont pas seulement des dispositions incantatoires sur le modèle des lois non normatives ou « mémorielles ». Elles peuvent aussi être des dispositions techniques, comme en comporte le droit de la propriété littéraire et artistique. Pour le comprendre, il convient, dans un premier temps, d’identifier les lois symboliques. Caractérisées par la disharmonie de leur discours et de leurs qualités normatives, ces lois donnent à voir un phénomène d’ineffectivité entendu en un sens large. Imprécises, irréalistes, menteuses, mais dotées d’un message vertueux, les lois symboliques sont le résultat d’un exercice instrumentalisé de l’action législative, davantage préoccupé par l’expression de valeurs que par la considération des effets concrets du texte. Dans un second temps, il importe de déterminer la manière dont les lois symboliques doivent être traitées. Signe d’une mutation de la production législative et du droit de la propriété littéraire et artistique, ces lois sont la figure d’un désordre : elles marquent le retrait du vrai symbolique et sa vaine compensation par un faux symbolique voyant. Cet enseignement commande une remise en ordre appelant au respect de règles de légistique et à la conscience morale des diseurs de normes animés par l’amour des lois. Alors que les réformes se multiplient en droit d’auteur et que la matière est attaquée par des revendications consuméristes et sociales, cette étude invite à une réflexion sur l’avenir de la discipline et à envisager des remèdes pour lutter contre l’apparition des lois symboliques.

    Sébastien Jouanneau, Libération du débiteur et satisfaction autre que celle convenue, thèse soutenue en 2016 à Paris 2 sous la direction de Denis Mazeaud, membres du jury : Frédéric Bicheron (Rapp.), Alain Ghozi et Philippe Dupichot  

    Le contrat est un outil destiné à servir les intérêts des parties par la mise en oeuvre d'un projet dont le résultat est désiré. Exécuté conformément aux stipulations convenues, le contrat est censé procurer au créancier la satisfaction qu'il escompte, tout en libérant le débiteur de son obligation.Toutefois, dans certaines hypothèses, et sans que le contrat fasse l'objet d'une exécution reflétant ce qui a été convenu à l'origine, le créancier est satisfait tandis que le débiteur est libéré du poids de sa dette. En effet, en dépit de sa nature prévisionnelle, le contrat ne s'achève pas nécessairement par un paiement, ce dernier ne constituant pas l'unique forme de dénouement satisfactoire et libératoire. La satisfaction substitutive fait appel à différents mécanismes issus du droit des contrats et du régime général des obligations. L'étude de cette notion offre une grille de lecture apportant une lumière nouvelle sur des concepts classiques mais qu'il semble a priori impossible de relier, tant leurs natures juridiques et fonctions respectives semblent inconciliables. Par un examen de leur structure et de la logique qui les inspire, il apparaît toutefois possible de mettre en évidence des problématiques convergentes et des conséquences pratiques susceptibles d'impacter la technique contractuelle. Face à l'imprévu, la meilleure stratégie consiste à recentrer le contrat sur son véritable objectif, à savoir la réalisation d'un dénouement optimal, quitte à ce que celui-ci s'écarte du projet initialement convenu. La satisfaction substitutive illustre la recherche permanente de la solution la plus économiquement avantageuse, que ce soit par les parties, le juge ou la loi.

  • Nicolas Guerrero, L'option en droit privé français : essai d'une théorie, thèse soutenue en 2020 à Paris 1 sous la direction de Philippe Dupichot, membres du jury : Augustin Aynès (Rapp.), Hugo Barbier (Rapp.)  

    Les options, en droit privé français, se subdivisent fondamentalement en deux ensembles, qui expriment une summa divisio : d’une part, les « options-pouvoir » reconnaissent à un sujet de droit la possibilité d’un choix et la liberté d’en user comme de n’en pas user – c’est la liberté consacrée –, cependant que, d’autre part, les « options-devoir » reconnaissent à un sujet de droit la possibilité d’un choix en même temps qu’elles lui font obligation de choisir parmi des branches limitativement énumérées – c’est la liberté encadrée –. Les régimes de droit commun et les régimes spéciaux des « options-pouvoir » et des « options-devoir » concordent partiellement : s’ils se recoupent, antérieurement à l’exercice de l’option, s’agissant de l’enfermement de celle-ci dans un délai, et, postérieurement à l’exercice de l’option, s’agissant du caractère irrévocable de son exercice, ils se séparent, antérieurement à l’exercice de l’option, s’agissant de la cessibilité de l’option, et, postérieurement à l’exercice de l’option, s’agissant de la naissance ou de l’anéantissement d’un acte juridique.

    Mariama maty Diaby, La Relation du droit de l’OHADA au droit civil, thèse soutenue en 2019 à Paris 13 sous la direction de Mustapha Mekki, membres du jury : Philippe Chauviré (Rapp.), Henri-Desire Modi Koko Bebey (Rapp.), Yvette Rachel Kalieu Elongo  

    L’OHADA a été mise en place dans l’objectif de réaliser une intégration économique par le biais d’une intégration juridique. Le droit de l’OHADA, porteur de l’oeuvre d’intégration juridique, avait vocation à devenir le cadre normatif de référence. Sa force obligatoire devait lui permettre de s’imposer au droit des États membres. Si la question de l’avenir du droit commercial ou du droit des affaires national n’a pas soulevé de difficulté particulière, il en a été différemment pour le droit civil national. La présente étude revient sur la relation qui existe entre le droit de l’OHADA et le droit civil, entendu le droit civil national. Une relation qui met en lumière, une influence : celle du droit de l’OHADA sur le droit civil national. Ainsi, dans une première partie, l’étude montre que l’influence du droit de l’OHADA sur le droit civil national est consacrée. Elle est fondée sur le dispositif institutionnel qui porte le droit de l’OHADA, avant d’être consacrée de manière substantielle. Dans une deuxième partie, l’étude relativise l’influence du droit de l’OHADA sur le droit civil national, en ce qu’elle est limitée. Sont en cause l’omniprésence du droit civil dans la construction du droit de l’OHADA et l’autonomie limitée du droit de l’OHADA.

    Silvana Fortich, Essai sur le formalisme contemporain dans la protection du consentement contractuel, thèse soutenue en 2016 à Paris 2 sous la direction de Denis Mazeaud et Édgar Cortés Moncayo, membres du jury : Alain Ghozi, Cyril Grimaldi et Juan Carlos Henao  

    En matière de formation des contrats, le consentement de la partie qui s’oblige est soumis au principe de liberté des formes. Par exception, la volonté doit adopter une certaine forme contractuelle pour s’extérioriser. Face à l’évolution du droit des contrats et à la nécessité de combattre les déséquilibres contractuels propres aux rapports contractuels actuels, le formalisme expérimente un processus de revitalisation et de renaissance en droit contemporain dont la finalité principale consiste à protéger le consentement contractuel des parties au contrat. Cela rend indispensable l’analyse des fondements du formalisme et de son rôle dans la protection du consentement contractuel en droit contemporain, à travers la révision transversale de ses nouvelles manifestations, principalement en matière du droit de la consommation et du commerce électronique ; pour constater finalement ses véritables effets et conséquences en matière du droit des contrats.