Olivier Le Bot

Professeur
Droit public.
Faculté de Droit et de Science politique
Droits International, Comparé et Européen
Institut Louis Favoreu – Groupe d’études et de Recherches comparées sur la Justice Constitutionnelle

Droit de l'urbanisme

Contentieux administratif et droit administratif

Contentieux constitutionnel et droit constitutionnel

Droits fondamentaux

Droit de l'animal

  • THESE

    La protection des libertés fondamentales par la procédure du référé-liberté Étude de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative, soutenue en 2006 sous la direction de Louis Favoreu, André Roux   

    THESE

    La protection des libertés fondamentales par la procédure du référé-liberté (version anglaise), soutenue en 2006 sous la direction de Louis Favoreu et André Roux   

    THESE

    La protection des libertés fondamentales par la procédure du référé-liberté, soutenue en 2006 sous la direction de Louis Favoreu et André Roux       

    THESE

    Le référé-liberté fondamentale : contribution à l'étude de l'article L. 521-2 du code de justice administrative, soutenue en 2006 à AixMarseille 3 sous la direction de André Roux 

  • Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 11e éd., Bruylant, 2024, Paradigme ( Manuels ), 393 p. 

    Olivier Le Bot, Le guide des référés administratifs et des autres procédures d’urgence devant le juge administratif: et des autres procédures d'urgence devant le juge administratif, 3e éd., Dalloz et BNDalloz, 2023, Guides Dalloz, 936 p. 

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 10e éd., Larcier Bruylant, 2023, Paradigme ( Manuels ), 395 p. 

    Olivier Le Bot (dir.), Les mutations contemporaines du droit de l’animal, DICE Éditions et OpenEdition, 2023, Confluence des droits  

    Le droit de l’animal a connu des mutations d’ampleur au cours des vingt dernières années. Il s’est structuré en champ disciplinaire autonome, a pris une importance croissante dans le débat public et a fait l’objet de réformes remarquées. Le présent ouvrage rend compte de ces évolutions en publiant les actes d’une université d’automne qui s’est tenue à la faculté de droit d’Aix-en-Provence en octobre 2021. Il rassemble les contributions des auteurs – juristes, politistes et historiens – autour de sept thématiques : le droit de l’animal comme champ disciplinaire ; les mots du droit de l’animal ; la fabrique du droit de l’animal ; droit de l’animal et participation démocratique ; droit de l’animal, droits fondamentaux et droit constitutionnel ; la représentation des animaux devant les juridictions et l’action au nom et pour le compte d’un animal ; juridictions pénales et animaux. Le lecteur pourra apprécier, en les parcourant, l’intérêt et la richesse d’une matière en plein essor, particulièrement en phase avec les préoccupations de son temps

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 9e éd., Bruylant, 2022, Paradigme ( Manuels ), 391 p. 

    Olivier Le Bot, Droit de l’urbanisme, 1e éd., Dalloz, 2022, Dalloz Action, 1789 p.  

    Présentation de l'éditeur : "Le droit de l’urbanisme a connu depuis le début des années 2000 de nombreuses et importantes réformes qui l’ont renouvelé en profondeur. Aux objectifs traditionnels de cette discipline (sécurité, salubrité, desserte par les réseaux, esthétisme) s’en sont ajoutés de nouveaux, au premier rang desquels figurent la construction de logements et la préservation de l’environnement. Tous les leviers ont été mobilisés à cette fin : les règles nationales, modifiées pour intégrer ces exigences ;les documents d’urbanisme, désormais soumis à évaluation environnementale et investis d’une mission de lutte contre l’artificialisation des sols et l’érosion côtière ; le droit de préemption, dont les finalités d’utilisation se sont trouvées élargies ; les autorisations d’urbanisme, délivrées plus rapidement et sécurisées afin d’accélérer la production de logements ; l’aménagement, mis au service du développement durable. Il en a résulté une multiplication des normes, des procédures et des régimes, qui met la règle au service d’un projet et favorise une adaptation de celle-ci à la diversité des situations, mais génère dans le même temps une sophistication extrêmement poussée du droit de l’urbanisme et, par là-même, une réelle complexité de celui-ci. L’ambition de cet ouvrage est de favoriser l’accès à ce droit et sa compréhension en en faisant un outil directement opérationnel. Toutes les règles d’urbanisme y sont regroupées, y compris celles présentes dans d’autres codes, éclairées par les jurisprudences, circulaires et réponses ministérielles pertinentes. La règle est analysée dans son contenu, son fondement, sa portée et ses limites. De nombreux exemples et définitions sont mentionnés. À la recherche de sécurité juridique, le lecteur pourra accéder rapidement à une analyse fiable et se déterminer en fonction de celle-ci. L’ouvrage s’adresse tout particulièrement aux professionnels de l’immobilier, notamment les services juridiques et d’urbanisme des collectivités locales, services centraux et déconcentrés de l’État, juges administratifs, avocats, notaires, organismes d’aménagement, sociétés de conseil, architectes, géomètres, agents immobiliers et constructeurs. Les associations, citoyens, enseignants-chercheurs et étudiants pourront également le consulter avec profit"

    Olivier Le Bot, Louis Favoreu, Aurélie Duffy-Meunier, Idris Fassassi, Patrick Gaïa [et alii], Droit des libertés fondamentales, 8e éd., Dalloz, 2021, Précis, 978 p. 

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 8e éd., Bruylant, 2021, Paradigme ( Manuels ), 390 p.  

    La 4e de couverture indique : "Les juridictions administratives rendent plus de 400 000 décisions par an dans les litiges opposant la puissance publique aux particuliers. L'exercice des recours, l'instruction des demandes et le déroulement du procès obéissent à des règles complexes destinées à assurer l'égalité des parties en présence. L'objet de cet ouvrage est de les rendre accessibles à tous, au moyen d'une présentation claire et didactique. Les développements s'articulent en trois parties : les juges, les recours, le procès."

    Olivier Le Bot, Romain Le Boeuf (dir.), L'inapplication du droit, UMR Droits International, Comparé et Européen (DICE) et OpenEdition, 2020, Confluence des droits      

    Le droit est-il appliqué ? Ainsi formulée, la question est assurément provocante. Certes, nul ne doute de l’existence de comportements contraires aux prescriptions de la règle de droit. Cependant, ces violations ne trouvent-elles pas toujours une réponse assurant in fine le triomphe de l’ordre juridique ? L’acte administratif illégal est annulé, le préjudice réparé, bref, l’ordre des choses rétabli : le coupable puni, c’est la victoire du droit tout autant que l’absence de crime. Pourtant, certains criminels courent toujours et certains actes illégaux échappent à tout recours. De nombreuses règles – éventuellement d’importance fondamentale – demeurent inappliquées. Les raisons de cette inapplication peuvent en être diverses : inaction des autorités, inertie des victimes et des créanciers, inadéquation des procédures, résignation ou force des habitudes, etc. Comment saisir l’incrédulité envers la règle, le labeur de la démarche, la crainte de représailles qui anéantiraient le gain escompté ? Quelle place réserver aux prescriptions non juridiques – qu’elles soient éthiques, religieuses, économiques ou autres – qui s’interposent au quotidien entre la règle de droit et son application ? L’objet de cet ouvrage, issu d’une journée d’études organisée à la faculté de droit d’Aix-en-Provence le 13 septembre 2017, est de nourrir la réflexion sur cette thématique en rassemblant les contributions d’une quinzaine d’auteurs sur l’origine, l’ampleur et les manifestations du phénomène.

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 7e éd., Bruylant, 2020, Paradigme ( Manuels ), 378 p.  

    La 4e de couverture indique : "Les juridictions administratives rendent plus de 400 000 décisions par an dans les litiges opposant la puissance publique aux particuliers. L'exercice des recours, l'instruction des demandes et le déroulement du procès obéissent à des règles complexes destinées à assurer l'égalité des parties en présence. L'objet de cet ouvrage est de les rendre accessibles à tous, au moyen d'une présentation claire et didactique. Les développements s'articulent en trois parties : les juges, les recours, le procès."

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 6e éd., Bruylant, 2019, Paradigme ( Manuels ), 370 p. 

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 5e éd., Bruylant, 2018, Paradigme ( Manuels ), 368 p.  

    La 4e de couverture indique : "Les juridictions administratives rendent plus de 200 000 décisions par an dans les litiges opposant la puissance publique aux particuliers. L'exercice des recours, l'instruction des demandes et le déroulement du procès obéissent à des règles complexes destinées à assurer l'égalité des parties en présence. L'objet de cet ouvrage est de les rendre accessibles à tous, au moyen d'une présentation claire et didactique. Les développements s'articulent en trois parties : les juges, les recours, le procès. À jour au 1er juillet 2018, avec notamment : - l'arrêté du 6 mars 2018 relatif à l'expérimentation d'une procédure de médiation préalable obligatoire en matière de litiges sociaux ; - le décret n° 2018-251 du 6 avril 2018 ouvrant l'application Télérecours aux particuliers ; - l'arrêt du Conseil d'État du 18 mai 2018, Fédération des finances et affaires économiques de la CFDT ; - le décret n° 2018-617 du 17 juillet 2018 portant modification du Code de justice administrative et du Code de l'urbanisme."

    Olivier Le Bot, Introduction au droit de l'animal, Olivier Le Bot, 2018, 147 p.  

    La 4ème de couv. indique : "Le droit de l'animal connaît un engouement sans précédent. Il focalise, chaque jour un peu plus, l'attention des médias, des acteurs de la société civile et des juristes. Dans un format accessible à tous, ce livre offre aux juristes de formation, aux étudiants mais aussi, plus largement, au grand public une synthèse des différentes règles qui le composent. Après un panorama général abordant notamment sa formation historique et les doctrines en présence, l'ouvrage s'articule en trois parties. Une première partie sur l'animal dans les grandes branches du droit : droit pénal, droit civil, droit administratif et droit constitutionnel. Une deuxième partie sur les règles propres à certains animaux ou à certains domaines : l'animal détenu par l'homme ; l'animal de compagnie ; l'animal d'élevage ; l'animal d'expérimentation ; l'animal dans les jeux, sports et spectables ; l'animal dans les zoos ; l'animal sauvage. Il se termine par une troisième partie présentant trois questions particulièrement débattues à l'époque contemporaine : l'idée de droits fondamentaux pour les animaux ; la reconnaissance d'une personnalité juridique au profit de ceux-ci ; enfin celle de leur statut."

    Olivier Le Bot, Droit constitutionnel de l'animal, Olivier Le Bot, 2018, 148 p.  

    La 4ème de couv. indique : "Le droit constitutionnel de l'animal a pris une importance croissante au cours des dernières années. Certains pays, comme l'Allemagne, le Brésil, le Luxembourg et l'Inde, ont inscrit dans leur Constitution une disposition spécifique de protection de lanimal. Une telle norme produit des effets notables : reconnaissance d'un droit à l'objection de conscience ; annulation d'actes contraires ; fondement aux limitations des droits fondamentaux ; incitation à agir pour les autorités constituées ; limite aux actions attentatoires aux animaux ; référent pour l'activité interprétative. D'autres pays, les plus nombreux, ne comportent pas de disposition constitutionnelle spécifique. Un fondement est alors recherché dans les dispositions protectrices des personnes et dans celles protégeant l'environnement. A défaut de reconnaissance, le contentieux constitutionnel animalier s'analysera pour l'essentiel en un contentieux de la constitutionnalité des textes qui visent, soit à protéger l'animal, soit à en encadrer les modalités de son utilisation."

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 4e éd., Bruylant, 2017, Paradigme ( Manuels ), 364 p.  

    La 4e de couverture indique : "Les juridictions administratives rendent plus de 200 000 décisions par an dans les litiges opposant la puissance publique aux particuliers. L'exercice des recours, l'instruction des demandes et le déroulement du procès obéissent à des règles complexes destinées à assurer l'égalité des parties en présence. L'objet de cet ouvrage est de les rendre accessibles à tous, au moyen d'une présentation claire et didactique. Les développements s'articulent en trois parties : les juges, les recours, le procès."

    Olivier Le Bot, Le guide des référés administratifs: et des autres procédures d'urgence devant le juge administratif, 2e éd., Dalloz, 2017, Guides Dalloz, 1028 p.  

    La 4e de couverture indique : "Avec plus de 70 000 affaires par an, les référés et autres procédures d'urgence représentent plus d'un tiers du contentieux porté devant les juridictions administratives. Demande de célérité des justiciables, multiplication des procédures, réponse efficace des tribunaux : le volume d'affaires soumis au juge de l'urgence a plus que doublé en l'espace d'une décennie. Le phénomène ne cesse de s'accroître, au point de faire des référés un temps essentiel du procès administratif. La maîtrise de ces voies de droit, dont certaines permettent l'économie d'un recours au fond, voire représentent elles-mêmes un recours au fond, devient ainsi plus que jamais indispensable. Destinée à guider le praticien dans le dédale de la quarantaine de procédures existantes (référés d'urgence, référés ordinaires, procédures en matière de contrats et marchés et de droit des étrangers, référés particuliers, procédures réservées aux autorités publiques), cette deuxième édition, largement enrichie, analyse chacune d'elles à la lumière des textes et de la jurisprudence la plus récente. L'auteur étudie, pour chaque type de référé, les conditions d'engagement du recours, les conditions d'obtention d'une mesure, la procédure de jugement, la décision prononcée et les voies de recours ouvertes. Cette présentation systématique favorise la comparaison entre procédures. Elle permet de retenir la voie de droit la mieux adaptée et d'élaborer une stratégie contentieuse. Ces développements sont complétés de conseils et mises en garde tant à l'adresse du demandeur que du défendeur, d'exemples de requêtes et de mémoires en défense ainsi que de fiches présentant, pour les situations les plus fréquemment rencontrées, la procédure à engager et les conditions à satisfaire."

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 3e éd., Larcier, 2016, Paradigme ( Manuels ), 352 p. 

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, 2e éd., Larcier, 2015, Paradigme ( Manuels ), 338 p.  

    La 4e de couverture indique : "Les juridictions administratives rendent plus de 200 000 décisions par an dans les litiges opposant la puissance publique aux particuliers. L’exercice des recours, l’instruction des demandes et le déroulement du procès obéissent à des règles complexes destinées à assurer l’égalité des parties en présence. L’objet de cet ouvrage est de les rendre accessibles à tous, au moyen d’une présentation claire et didactique. Les développements s’articulent en trois parties : les juges, les recours, le procès. À jour au 24 juillet 2015, avec notamment : le décret du 27 février 2015 sur le Tribunal des conflits et la question préjudicielle ; l’ordonnance du 9 avril 2015 concernant la Commission du contentieux du stationnement payant ; la loi du 24 juillet 2015 relative au renseignement."

    Olivier Le Bot, Julien Bonnet, Anne-Laure Cassard-Valembois, Aurélie Duffy-Meunier, Pierre-Yves Gahdoun [et alii], Les grandes délibérations du Conseil constitutionnel : 1958-1986, 2e éd., Dalloz, 2014, Grands arrêts, 598 p. 

    Olivier Le Bot, Contentieux administratif, Larcier, 2014, Paradigme ( Manuel ), 322 p. 

    Olivier Le Bot, Le guide des référés administratifs: et des autres procédures d'urgence devant le juge administratif, Dalloz, 2013, Guides Dalloz, 914 p.   

    Olivier Le Bot (dir.), La sincérité en droit, Larcier et Université de Nice Sophia-Antipolis, 2011, 282 p. 

    Olivier Le Bot, Jordane Arlettaz (dir.), La démocratie en un clic ? Réflexions autour de la notion d’e-démocratie (sous la dir.), L'Harmattan, 2010, 129 p. 

    Olivier Le Bot, La protection des libertés fondamentales par la procédure du référé-liberté: étude de l'article L. 521-2 du Code de justice administrative, Fondation Varenne et diff. L.G.D.J., 2007, Collection des thèses, 672 p. 

  • Olivier Le Bot, « « Le juge administratif et l’injonction : une montée en puissance » », Mélanges en l’honneur de Jean-Claude Ricci, Dalloz, 2023, pp. 303-317 

    Olivier Le Bot, « « L’animal, objet de droit constitutionnel et sujet de droits fondamentaux ? » », Les mutations contemporaines du droit de l’animal, DICE Éditions, 2023, pp. 195-208 

    Olivier Le Bot, Romain Le Boeuf, « L’inapplication du droit : introduction », L’inapplication du droit, 2020   

    Olivier Le Bot, « S comme Sincérité », Les mots d’Annie Héritier. Droit(s) au cœur & à la culture, 2017   

    Olivier Le Bot, Jerome Mars, « Time-Difference-of-Arrival Estimation Based on Cross Recurrence Plots, with Application to Underwater Acoustic Signals », in Charles L. Webber, Jr., Cornel Ioana, Norbert Marwan (dir.), Recurrence Plots and Their Quantifications: Expanding Horizons, Springer, 2016, pp. 265-288   

    Olivier Le Bot, Constitution et lutte antiterroriste en Europe. Introduction, Paris : Economica, Aix-en-Provence : Presses Universitaires d'Aix-Marseille et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2017, pp. 13-14    

    Le Bot Olivier. Constitution et lutte antiterroriste en Europe. Introduction. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 32-2016, 2017. Migrations internationales et justice constitutionnelle - Référendums et justice constitutionnelle. pp. 13-14.

  • Olivier Le Bot, « Régularisation d'un vice d'incompétence par un permis modificatif », Actualité juridique Droit administratif, 2023, n°32, p. 1731   

    Olivier Le Bot, « L’urbanisme et le développement des énergies renouvelables », Revue française de droit administratif, 2023, n°03, pp. 531-540   

    Olivier Le Bot, « Urbanisme : qu’est-ce qu’une mesure de régularisation au sens de l’article L. 600-5-1 ? », Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Que retenir du dernier toilettage du code de l’urbanisme ? (les innovations du décret et de l’arrêté du 22 mars 2023 relatifs aux destinations en droit de l’urbanisme) », Les Cahiers juridiques de la Gazette, 2023, n°255, pp. 12-15 

    Olivier Le Bot, « Dark stores et contrôle sur les changements de destination »: note sous CE 23 mars 2023, Ville de Paris, n° 468360, Lebon, Le Defrénois,, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023, n°17, p. 21 

    Olivier Le Bot, « Démarches du pétitionnaire Demande injustifiée de pièces et décision implicite d'acceptation », Revue française de droit administratif, 2023, n°01, p. 137   

    Olivier Le Bot, « La commune peut-elle s'opposer à l'implantation d'éoliennes ? », La Gazette des communes, des départements, des régions, 2023 

    Olivier Le Bot, « Permis de construire modificatif et services d’urbanisme », La Gazette des communes, des départements, des régions, 2023 

    Olivier Le Bot, « Construction irrégulière : le maire peut ordonner la démolition sous astreinte dans la procédure de mise en demeure »: note sous CE 22 déc. 2022, Commune de Villeneuve-lès-Maguelone, n° 463331, Lebon T., JCP A, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Office du juge d’appel lorsque le tribunal administratif s’est abstenu de répondre à un moyen : précisions à propos d’un recours contre un PLU »: note sous CE 7 nov. 2022, Commune de Biscarrosse, n° 461418, Lebon T., JCP A, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Permis de construire : précisions sur l’autorisation ERP et les notions de création architecturale et projet innovant dans le PLU de Paris »: note sous CE 13 janv. 2023, Office public de l'habitat Paris Habitat et Ville de Paris, n° 450446, Lebon T., JCP A, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « PLU de Paris : précisions sur les dispositions relatives à l’éclairement des immeubles, aux règles de prospect et aux espaces libres de construction »: note sous CE, 12 avr. 2023, Syndicat des copropriétaires des 1-3 square Alice et 127 rue Didot et autre, n° 451794, Lebon T., JCP G, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Urbanisme : quelle est la portée des cahiers de recommandations architecturales ? »: note sous CE, 2 juin 2023, SCI du 90-94 avenue de la République, n° 461645, Lebon, JCP A, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « PLU : comment s’apprécient les règles d’implantation des constructions par rapport aux limites séparatives et aux voies publiques ? »: note sous CE 5 juil. 2023, Mme Maréchal Boyer, n° 463604, Lebon T., Gaz. Pal. 5 septembre 2023, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023, n°27, pp. 22-24 

    Olivier Le Bot, « Construction en zone de montagne : qu’est-ce qu’une annexe de taille limitée ? »: note sous CE, 12 juin 2023, Ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires c/ SCI Mornans, n° 466725, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Littoral : l’urbanisation admise en continuité d’un lotissement »: note sous CE, 12 juin 2023, Société Bouygues Immobilier, n° 459918, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Régime applicable à l’urbanisation du littoral : précisions sur le rôle du SCOT »: note sous CE, 21 avril 2023, Commune de Ploemeur, n° 456788, Recueil des décision du Conseil d'État , 2023 

    Olivier Le Bot, « Le nouveau permis de construire modificatif », Revue française de droit administratif, 2022, n°05, p. 889   

    Olivier Le Bot, « Pas de lotissement sans transfert de propriété ou de jouissance des lots autorisés », Actualité juridique Droit administratif, 2022, n°33, p. 1916   

    Olivier Le Bot, « Le bien-être animal et la liberté religieuse dans l'Union européenne : le cas de l'abattage rituel », Revue de l'Union européenne, 2021, n°652, p. 539   

    Olivier Le Bot, « Le référé-liberté est-il victime de son succès ? », Revue française de droit administratif, 2021, n°04, p. 657   

    Olivier Le Bot, « Vingt ans de référé-liberté », Actualité juridique Droit administratif, 2020, n°24, p. 1342   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2020, pp. 839-888    

    Le Bot Olivier,Magnon Xavier,Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 35-2019, 2020. Constitution et environnement- La justice prédictive. pp. 839-888.

    Olivier Le Bot, « Personnels de police et agents de l'administration pénitentiaire ont droit au contradictoire », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°03, p. 375   

    Olivier Le Bot, « Le recours en appréciation de régularité respecte-t-il le droit à un recours juridictionnel effectif ? », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°03, p. 377   

    Olivier Le Bot, « Loi anti-casseurs : censure des interdictions administratives de manifester », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°02, p. 241   

    Olivier Le Bot, « Contentieux de l'urbanisme : l'éphémère mécanisme de caducité de la requête en l'absence de production des pièces nécessaires au jugement était inconstitutionnel », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°02, p. 245   

    Olivier Le Bot, « Carence de l'État à lutter contre la pollution de l'air : jugement du tribunal administratif de Montreuil », Recueil Dalloz, 2019, n°26, p. 1488   

    Olivier Le Bot, « Quelle voie de recours pour contester le refus de rapprochement familial opposé à un détenu en détention provisoire ? », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°01, p. 112   

    Olivier Le Bot, « Accès aux données de connexion sans garanties suffisantes : nouvelle censure », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°01, p. 115   

    Olivier Le Bot, « La modification administrative des règles propres à un lotissement », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°04, p. 547   

    Olivier Le Bot, « Les délais de recours et de jugement des arrêtés de reconduite à la frontière », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2019, n°04, p. 551   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2019, pp. 933-977    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 34-2018, 2019. Égalité, genre et constitution - Populisme et démocratie. pp. 933-977.

    Olivier Le Bot, « Constitutionnalité des mesures antiterroristes de la loi du 30 octobre 2017 », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2018, n°02, p. 277   

    Olivier Le Bot, « Égalité dans l'indemnisation des victimes de la guerre d'Algérie », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2018, n°01, p. 108   

    Olivier Le Bot, « Constitutionnalité des assignations à résidence aux fins de lutte contre le terrorisme », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2018, n°01, p. 110   

    Olivier Le Bot, « La compétence de première instance des cours administratives d'appel », Actualité juridique Droit administratif, 2018, n°14, p. 785   

    Olivier Le Bot, « Le Conseil d'État peut-il être juge et partie ? », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2018, n°04, p. 588   

    Olivier Le Bot, « Nouvelle censure d'une AAI pour méconnaissance de l'exigence de séparation des fonctions de poursuite et de jugement », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2018, n°04, p. 591   

    Olivier Le Bot, « Un état d'urgence permanent ? », Revue française de droit administratif, 2018, n°06, p. 1115   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2018, pp. 823-866    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 33-2017, 2018. Juge constitutionnel et interprétation des normes - Le juge constitutionnel face aux transformations de la démocratie. pp. 823-866.

    Olivier Le Bot, « Référé-liberté à la maison d'arrêt de Fresnes : les limites de l'article L. 521-2 », Actualité juridique Droit administratif, 2017, n°44, p. 2540   

    Olivier Le Bot, « Inconstitutionnalité des interdictions de séjour en état d'urgence », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2017, n°03, p. 449   

    Olivier Le Bot, « Accès en temps réel aux données de connexion : une appréhension trop large de l'entourage de la personne surveillée », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2017, n°03, p. 452   

    Olivier Le Bot, « Les référés-libertés et mesures utiles, alternatives à un recours en responsabilité ? », Actualité juridique Droit administratif, 2017, n°32, p. 1826   

    Olivier Le Bot, « Le référé-liberté au secours du recours DALO ? », Actualité juridique Droit administratif, 2017, n°31, p. 1784   

    Olivier Le Bot, « La lutte contre l'optimisation fiscale permet-elle de déroger à la règle selon laquelle l'impôt doit porter sur une ressource dont dispose le contribuable ? », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2017, n°02, p. 276   

    Olivier Le Bot, « Cumul des fonctions de poursuite et de jugement par une autorité administrative indépendante : nouvelle censure », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2017, n°02, p. 278   

    Olivier Le Bot, « Le contentieux du renseignement devant la formation spécialisée du Conseil d'État », Revue française de droit administratif, 2017, n°04, p. 721   

    Olivier Le Bot, « Assignations à résidence de plus d'un an : le Conseil constitutionnel réécrit la loi », Actualité juridique Droit administratif, 2017, n°25, p. 1464   

    Olivier Le Bot, « Perquisitions administratives : le régime des saisies de données globalement conforme à la Constitution », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2017, n°01, p. 121   

    Olivier Le Bot, « L' oubli d'intégrer les communications hertziennes dans le droit commun du renseignement », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2017, n°04, p. 653   

    Olivier Le Bot, « La liberté de manifestation en France: : un droit fondamental sur la sellette ? », La Revue des droits de l'Homme, 2017, n°11     

    Olivier Le Bot, Xavier Philippe, « Les réponses juridiques aux attentats terroristes du 13 novembre 2015 à Paris : de la déclaration de l’état d’urgence à la révision constitutionnelle abandonnée », 2017, pp. 43-57    

    Le Bot Olivier, Philippe Xavier. Les réponses juridiques aux attentats terroristes du 13 novembre 2015 à Paris : de la déclaration de l’état d’urgence à la révision constitutionnelle abandonnée. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 32-2016, 2017. Migrations internationales et justice constitutionnelle - Référendums et justice constitutionnelle. pp. 43-57.

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2017, pp. 809-854    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 32-2016, 2017. Migrations internationales et justice constitutionnelle - Référendums et justice constitutionnelle. pp. 809-854.

    Olivier Le Bot, « La servitude visant les chalets d'alpage est conforme à la Constitution », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°03, p. 466   

    Olivier Le Bot, « Cumul de sanctions pénales et disciplinaires : deux réserves d'interprétation pour la CDBF », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°03, p. 468   

    Olivier Le Bot, « Les perquisitions administratives en état d'urgence », Revue française de droit administratif, 2016, n°05, p. 943   

    Olivier Le Bot, « Prorogation de l'état d'urgence et mesures de lutte antiterroriste », Actualité juridique Droit administratif, 2016, n°34, p. 1914   

    Olivier Le Bot, « Les FAI doivent-ils assurer à leurs frais la diffusion des télévisions publiques locales ? », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°02, p. 304   

    Olivier Le Bot, « État d'urgence et compétences juridictionnelles », Revue française de droit administratif, 2016, n°03, p. 436   

    Olivier Le Bot, « L'interdiction de cumuler les activités de taxi et de VTC est contraire à la liberté d'entreprendre », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°01, p. 105   

    Olivier Le Bot, « Pouvoir de sanction de l'Autorité de la concurrence », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°01, p. 107   

    Olivier Le Bot, « Métropole d'Aix-Marseille-Provence : le correctif prévu par le législateur conforme au principe d'égalité devant le suffrage », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°01, p. 109   

    Olivier Le Bot, « L'utilisation du référé-liberté par les collectivités territoriales », Actualité juridique Droit administratif, 2016, n°11, p. 592   

    Olivier Le Bot, « Constitutionnalité de l'interdiction administrative de sortie du territoire », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2016, n°04, p. 585   

    Olivier Le Bot, Yvan Simard, Nathalie Roy, Jerome Mars, Cedric Gervaise, « Whistle source levels of free-ranging beluga whales in Saguenay-St. Lawrence marine park », Journal of the Acoustical Society of America, 2016, pp. 89-93   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2016, pp. 763-793    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 31-2015, 2016. Constitution et droits sociaux - Constitution et sécurité extérieure. pp. 763-793.

    Olivier Le Bot, « La loi relative au renseignement devant le Conseil constitutionnel », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°03, p. 432   

    Olivier Le Bot, « Référé-liberté à la maison d'arrêt de Nîmes », Actualité juridique Droit administratif, 2015, n°39, p. 2216   

    Olivier Le Bot, Jerome Mars, Cedric Gervaise, Y. Simard, « Rhythmic analysis for click train detection and source separation with examples on beluga whales », Applied Acoustics, 2015, pp. 37-49   

    Olivier Le Bot, « La déchéance de nationalité pour les terroristes est conforme à la Constitution », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°02, p. 253   

    Olivier Le Bot, « L'État versera une astreinte à l'État : conformité à la Constitution », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°02, p. 256   

    Olivier Le Bot, « Juridictions administratives spéciales : nouvelle censure pour méconnaissance du principe d'indépendance », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°02, p. 259   

    Olivier Le Bot, « La parité dans les instances universitaires », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°02, p. 262   

    Olivier Le Bot, « Statut de militaire et accès à un mandat politique local », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°01, p. 97   

    Olivier Le Bot, « Inconstitutionnalité du pouvoir de l'administration de retenir des uvres d'art », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°01, p. 100   

    Olivier Le Bot, « Le pouvoir de sanction de l'administration fiscale », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°04, p. 489   

    Olivier Le Bot, « Organisation et procédure devant la Cour de discipline budgétaire et financière », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2015, n°04, p. 492   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2015, pp. 771-802    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 30-2014, 2015. Juges constitutionnels et doctrine - Constitutions et transitions. pp. 771-802.

    Olivier Le Bot, Jerome Mars, Cedric Gervaise, « Similarity matrix analysis and divergence measures for statistical detection of unknown deterministic signals hidden in additive noise », Physics Letters A, 2015, n°4041, pp. 2597-2609   

    Olivier Le Bot, « Le juge des référés au secours d'un agent victime de harcèlement moral », Actualité juridique Droit administratif, 2014, n°36, p. 2079   

    Olivier Le Bot, « Référé-liberté et prise en charge d'un mineur étranger isolé », Actualité juridique Droit administratif, 2014, n°22, p. 1284   

    Olivier Le Bot, « Sanction des occupations sans titre du domaine public fluvial », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2014, n°04, p. 599   

    Olivier Le Bot, « Régulation de l'économie : les pouvoirs très larges de l'autorité publique en Nouvelle-Calédonie », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2014, n°04, p. 601   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2014, pp. 749-788    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 29-2013, 2014. Pluralisme des garanties et des juges et droits fondamentaux - Les droits culturels. pp. 749-788.

    Olivier Le Bot, Cedric Gervaise, Julien Bonnel, Jerome Mars, « Désentrelacement de clics par analyse du rythme », Traitement du Signal, 2013, n°345, pp. 196-218   

    Olivier Le Bot, « Pouvoir de sanction des AAI : première censure pour violation des principes d'indépendance et d'impartialité », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2013, n°03, p. 437   

    Olivier Le Bot, « Transporteurs routiers : constitutionnalité de la disposition autorisant la publication et l'affichage des sanctions », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2013, n°03, p. 439   

    Olivier Le Bot, « Discipline des avocats : le maintien de l'ancien régime en Polynésie française est conforme à la Constitution », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2013, n°03, p. 440   

    Olivier Le Bot, « Composition des grands ports maritimes : validation d'un droit de regard des élus locaux en outre-mer », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2013, n°03, p. 441   

    Olivier Le Bot, « Attaques de requins à La Réunion : le juge des référés ordonne l'information des populations », Actualité juridique Droit administratif, 2013, n°36, p. 2104   

    Olivier Le Bot, « Le pouvoir de sanction des autorités administratives soumis aux principes d'indépendance et d'impartialité », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2013, n°01, p. 95   

    Olivier Le Bot, « Référé-suspension : la violation du droit de l'Union européenne retenue comme une situation d'urgence », Recueil Dalloz, 2013, n°09, p. 628   

    Olivier Le Bot, « Règles de circulation des gens du voyage : un régime archaïque censuré par le Conseil », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2013, n°04, p. 635   

    Olivier Le Bot, « Jurisprudence du Conseil constitutionnel », Revue française de droit constitutionnel , 2013, n° ° 93, pp. 175-221   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2013, pp. 777-812    

    Le Bot Olivier, Magnon Xavier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 28-2012, 2013. Le juge constitutionnel et l'équilibre des finances publiques - Constitutions et mécanismes d'intégration régionale. pp. 777-812.

    Olivier Le Bot, « Exercice du pouvoir répressif par les juridictions administratives spéciales : le Conseil constitutionnel impose la séparation des fonctions de poursuite, d'instruction et de sanction », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2012, n°02, p. 337   

    Olivier Le Bot, « Travaux publics : le droit d'accès des agents publics sur les propriétés privées est conforme à la Constitution », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2012, n°01, p. 80   

    Olivier Le Bot, « L'établissement d'une servitude implique d'informer et d'entendre les propriétaires intéressés », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2012, n°01, p. 82   

    Olivier Le Bot, « Principe constitutionnel de laïcité et subvention des cultes », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2012, n°01, p. 125   

    Olivier Le Bot, « Validation du pouvoir de police visant à faire cesser l'usage pour habitation des locaux insalubres », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2012, n°04, p. 551   

    Olivier Le Bot, « Jurisprudence du Conseil constitutionnel », Revue française de droit constitutionnel , 2012, n° ° 89, pp. 105-174   

    Olivier Le Bot, Xavier Magnon, Marthe Fatin-Rouge Stefanini, Ariane Vidal-Naquet, « France », 2012, pp. 853-883    

    Magnon Xavier, Fatin-Rouge Stefanini Marthe, Le Bot Olivier, Vidal-Naquet Ariane. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 27-2011, 2012. Juges constitutionnels et Parlements - Les effets des décisions des juridictions constitutionnelles. pp. 853-883.

    Olivier Le Bot, Ariane Vidal Naquet, Aurélie Duffy-Meunier, Xavier Philippe, « Les délibérations du Conseil constitutionnel », Les Cahiers du Conseil constitutionnel, 2011, n°31, p. 63       

    Olivier Le Bot, « Compensation des transferts de charges et libre administration des collectivités territoriales », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°03, p. 321   

    Olivier Le Bot, « Annulation de la circulaire sur l'évacuation des campements de Roms », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°03, p. 383   

    Olivier Le Bot, « Constitutionnalité des nominations aux emplois supérieurs de l'État », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°03, p. 384   

    Olivier Le Bot, « Annulation de la nomination d'un magistrat en l'absence d'avis régulier du Conseil supérieur de la magistrature », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°03, p. 385   

    Olivier Le Bot, « Recours des associations ad hoc contre les autorisations d'urbanisme : le Conseil constitutionnel valide la restriction au droit d'agir en justice », Recueil Dalloz, 2011, n°28, p. 1942   

    Olivier Le Bot, « Responsabilité de la puissance publique suite à une QPC », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°02, p. 251   

    Olivier Le Bot, « Dissolution d'associations de supporters violents : absence de renvoi de la QPC », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°02, p. 253   

    Olivier Le Bot, « Dehaene n'est pas mort », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°02, p. 255   

    Olivier Le Bot, « La liberté de réunion dans les établissements d'enseignement supérieur : oui aux débats, non aux meetings », Recueil Dalloz, 2011, n°17, p. 1195   

    Olivier Le Bot, « L'obligation de pointage des hooligans validée par le Conseil d'État », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2011, n°01, p. 103   

    Olivier Le Bot, « Les délibérations du Conseil constitutionnel – Année 1985 », Les Nouveaux Cahiers du Conseil constitutionnel , 2011, n° ° 33, pp. 85-111   

    Olivier Le Bot, « Les délibérations du conseil constitutionnel – Année 1984 », Les Nouveaux Cahiers du Conseil constitutionnel , 2011, n° ° 32, pp. 97-122   

    Olivier Le Bot, « Les délibérations du Conseil constitutionnel – Année 1983 », Les Nouveaux Cahiers du Conseil constitutionnel , 2011, n° ° 31, pp. 63-85   

    Olivier Le Bot, « Les grandes évolutions du régime juridique de l'animal en Europe : constitutionnalisation et déréification », 2011, pp. 249-257    

    Deux grandes évolutions se dessinent depuis plusieurs années dans les ordres nationaux européens concernant le droit animalier. La première correspond à l’élévation normative du niveau de protection : aux garanties législatives, réglementaires et internationales, viennent s’ajouter des prescriptions de valeur constitutionnelle. La seconde évolution consiste en un changement de qualification de l’animal : celui-ci n’est plus considéré comme un bien mais comme un être. Envisagées séparément, ces deux évolutions présentent une ampleur limitée sur les droits nationaux. Une rupture ne serait de nature à intervenir que si les deux phénomènes étaient liés, à travers une consécration constitutionnelle du statut d’être vivant et sensible de l’animal.

    Olivier Le Bot, Xavier Philippe, Ariane Vidal-Naquet, Xavier Magnon, Georges Schmitter, « France », 2011, pp. 645-678    

    Philippe Xavier, Vidal-Naquet Ariane, Magnon Xavier, Le Bot Olivier, Schmitter Georges. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 26-2010, 2011. Constitutions et droit pénal - Hiérarchie(s) et droits fondamentaux. pp. 645-678.

    Olivier Le Bot, Aurélie Duffy-Meunier, Ariane Vidal Naquet, Philippe Xavier, « Les délibérations du Conseil constitutionnel – Année 1983 », Les nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel, 2011, n°31, pp. 97-122   

    Olivier Le Bot, Xavier Philippe, Ariane Vidal-Naquet, Aurélie Duffy-Meunier, « Les délibérations du Conseil constitutionnel - Année 1984 », Nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel, 2011, n°32     

    Olivier Le Bot, « Constitutionnalité de la procédure spécifique d'évacuation des gens du voyage », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°04, p. 601   

    Olivier Le Bot, « La justiciabilité des droits sociaux dans le cadre des procédures d'urgence », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, 2010, n°05, p. 812   

    Olivier Le Bot, « Contrôle de constitutionnalité et contrôle de compatibilité avec le droit de l'Union européenne devant le juge des référés », Actualité juridique Droit administratif, 2010, n°29, p. 1662   

    Olivier Le Bot, « Le juge administratif des référés au secours de l'exécution d'une décision de justice », Actualité juridique Droit administratif, 2010, n°21, p. 1206   

    Olivier Le Bot, « La juridiction administrative à lheure de la question prioritaire de constitutionnalité », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°02, p. 245   

    Olivier Le Bot, « Incompétence du Premier ministre pour adjoindre aux noms de famille un signe typographique distinctif », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°02, p. 287   

    Olivier Le Bot, « Illégalité de la décision du ministre de la culture supprimant, sans couverture légale, la publicité sur France Télévisions », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°02, p. 288   

    Olivier Le Bot, « Polynésie française : la préférence locale dans laccès à lemploi public doit être justifiée et modérée », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°02, p. 289   

    Olivier Le Bot, « Protection, par le juge du référé-liberté, du droit des demandeurs dasile à des conditions matérielles daccueil décentes », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°02, p. 291   

    Olivier Le Bot, « Le principe d'application immédiate de la loi répressive plus douce implique l'exercice de pouvoirs de plein contentieux pour le contrôle des sanctions administratives », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°01, p. 115   

    Olivier Le Bot, « L'abrogation implicite d'une loi par la révision constitutionnelle du 1er mars 2005 », Constitutions : Revue de droit constitutionnel appliqué, 2010, n°01, p. 117   

    Olivier Le Bot, « Vers un discret abandon de la jurisprudence Carminati ? », Actualité juridique Droit administratif, 2009, n°02, p. 102   

    Olivier Le Bot, « La liberté de culte, les résidences universitaires et le juge des référés », Recueil Dalloz, 2009, n°03, p. 207   

    Olivier Le Bot, Xavier Philippe, Aurélie Duffy, « 25 ans de délibérations 1958-1983 – Ouverture des archives du Conseil constitutionnel – 4ème période 1980-1983 »: Cinquantenaire du Conseil constitutionnel – Actes du Colloque du 30 janvier 2009, Les Cahiers du Conseil constitutionnel, 2009, p. 23 

    Olivier Le Bot, « Le respect de la vie privée comme liberté fondamentale », Revue française de droit administratif, 2008, n°02, p. 328   

    Olivier Le Bot, Hakim Daïmallah, Emilie Déal, Raphaël Déchaux, Aurélie Duffy-Meunier [et alii], « France », 2007, pp. 763-799    

    Daïmallah Hakim, Déal Emilie, Déchaux Raphaël, Duffy Aurélie, Fatin-Rouge Stefanini Marthe, Fassassi Idris, Monge Priscilla, Le Bot Olivier, Schmitter Georges. France. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 22-2006, 2007. Autonomie régionale et locale et constitutions - La répartition des compétences normatives entre le parlement et le gouvernement. pp. 763-799.

    Olivier Le Bot, Hakim Daïmallah, Emilie Déal, Raphaël Déchaux, Aurélie Duffy-Meunier [et alii], « Chronique France », Annuaire International de Justice Constitutionnelle, 2007, pp. 763-799     

    Olivier Le Bot, « Les fragments de la colonne Vendôme font partie du domaine public mobilier », Actualité juridique Droit administratif, 2004, n°31, p. 1711   

    Olivier Le Bot, « Le juge des référés, le droit de grève et le pouvoir de réquisition du préfet », Actualité juridique Droit administratif, 2004, n°21, p. 1138   

    Olivier Le Bot, « Loi de programme pour l'outre-mer : interprétation du statut civil de droit local », Recueil Dalloz, 2004, n°18, p. 1272   

    Olivier Le Bot, « Constitutionnalité de la loi modifiant la loi n° 52-893 du 25 juillet 1952 relative au droit d'asile », Recueil Dalloz, 2004, n°18, p. 1279   

    Olivier Le Bot, « A quelles conditions l'autorité de police peut-elle interdire une manifestation ? », Actualité juridique Droit administratif, 2004, n°16, p. 888   

    Olivier Le Bot, Aurélie Duffy-Meunier, « La loi. XVe Cours international du 8 au 11 septembre 2003 »: Compte rendu des discussions et débats, Annuaire internationale de justice constitutionnelle, 2004, pp. 379-423     

    Olivier Le Bot, « Contrôle de conventionnalité et référé-suspension : quelques précisions sur l'office du juge des référés et l'étendue du contrôle de cassation », Actualité juridique Droit administratif, 2003, n°20, p. 1065   

  • Olivier Le Bot, Aurélie Duffy-Meunier, Compte rendu des discussions et débats, Paris : Economica, Aix-en-Provence : Presses Universitaires d'Aix-Marseille et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2004, pp. 379-423    

    Duffy Aurélie, Le Bot Olivier. Compte rendu des discussions et débats. In: Annuaire international de justice constitutionnelle, 19-2003, 2004. Constitution et élections – La loi. pp. 379-423.

  • Olivier Le Bot, « Les tribunaux administratifs et la légalité », le 19 octobre 2023  

    70ème anniversaire de la création des tribunaux administratifs organisé par l'ILF - UMR DICE et le CRA (Aix-Marseille Université), le CREAM (Université de Montpellier), l'IEJUC et l'IMH (Université Toulouse Capitole), l'ILD (Université de Bordeaux), l'IE2IA - UMR DICE et l'UMR TREE (Université de Pau et Pays de l'Adour) et l'Ordre des Avocats de Bordeaux.

    Olivier Le Bot, « Les jeux olympiques de Paris 2024 et le droit administratif », le 06 octobre 2023  

    Journée d’études organisée par les doctorants du Centre de Recherches Administratives - CRA - Aix-Marseille Université, en partenariat avec l'Association des Administrativistes d'Aix (ADA), sous la direction scientifique du Pr. Mathieu Maisonneuve

    Olivier Le Bot, « Le droit pour sauver la planète », le 16 juin 2023  

    Première édition des Rencontres juridiques de Marseille organisées par la Faculté de droit, Aix-Marseille Université

    Olivier Le Bot, « Les droits de la nature. Protéger le système-terre dans et par la Constitution », le 19 octobre 2022  

    L'Université d'automne de l'Institut Louis Favoreu est organisée sous la responsabilité scientifique de Laurence Gay et Olivier Le Bot.

    Olivier Le Bot, « Responsabilité administrative et exécution », le 23 septembre 2022  

    6e édition des tables rondes de la responsabilité, organisées par le CMH, Université Clermont Auvergne sous la direction d'Anne Jacquemet-Gauché, Professeure de droit public

    Olivier Le Bot, « L'office du juge », le 09 juin 2022  

    Organisé par la faculté de droit d'Aix-Marseille Université dans le cadre des "Entretiens Portalis"

    Olivier Le Bot, « Les mutations contemporaines du droit de l’animal », le 06 octobre 2021  

    5e Université d’automne organisée par l'institut Louis Favoreu, UMR DICE, Université Aix-Marseille / CNRS

    Olivier Le Bot, « Animal et santé », le 23 septembre 2021  

    Organisé par l’UBO, Université de Bretagne Occidentale sous la direction de François-Xavier Roux-Demare, Doyen honoraire de la Faculté, Maître de conférences en droit privé et sciences criminelles, Responsable du Diplôme universitaire de Droit animalier

    Olivier Le Bot, « Les 20 ans de la loi du 30 juin 2000 relative au référé devant les juridictions administratives », le 30 juin 2021  

    Colloque organisé par Caroline Lantero, Maître de Conférences HDR à l’UCA

    Olivier Le Bot, « L'oralité dans le procès administratif », le 24 juin 2021  

    Colloque organisé par le Centre de recherche juridique Pothier (CRJP), Université d’Orléans sous la responsabilité scientifique Florent Blanco, Professeur à l’Université d’Orléans, Directeur du C.R.J. Pothier

    Olivier Le Bot, « Les conditions indignes de détention », le 21 juin 2021  

    Organisée par la faculté de droit, Aix-Marseille Université dans le cadre du cycle « La Faculté au Palais »

    Olivier Le Bot, « Le Conseil d’Etat et les libertés demain : réflexion prospective sur les défis à venir », le 16 juin 2021  

    4ème séance du Séminaire alternatif virtuel "Les états d’urgence : le rôle du Conseil d’Etat dans la protection des libertés"

    Olivier Le Bot, « L'incidence des revendications en faveur du bien-être animal sur le droit de l'Union européenne », le 28 mai 2021  

    Organisée pour le DCS, Université de Nantes par Lauren Blatière, Professeure de Droit public, Faculté de droit, d’économie et de gestion d’Angers et Sonia Desmoulin, Chargée de recherche CNRS, UMR 6297 Droit et Changement Social CNRS/Université de Nantes

    Olivier Le Bot, « Les conditions d’incarcération sous le contrôle des juges : éléments d’actualité », le 29 avril 2021  

    Organisé sous la direction scientifique de Mustapha Afroukh, Julien Bonnet et Pierre-Yves Gahdoun, Université de Montpellier

    Olivier Le Bot, « Le référé », le 29 novembre 2019  

    Organisé par les sections du contentieux et du rapport et des études du Conseil d’Etat en partenariat avec l’ordre des avocats au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation, dans le cadre des « Entretiens du contentieux »

    Olivier Le Bot, « Le procès environnemental », le 21 octobre 2019  

    Organisé à la Cour de Cassation par le CERIC, Aix-Marseille Université, l’ENM, et la Mission Droit et Justice

    Olivier Le Bot, « Droit et animaux », le 21 septembre 2018  

    Organisé par la Société de législation comparée en partenariat avec la Société italienne pour la recherche en droit comparé

    Olivier Le Bot, « The Right of access to the courts under the State of emergency in France », Xe Congrès Mondial de l'Association Internationale de Droit Constitutionnel (AIDC), Seoul South Korea (KR), le 18 juin 2018     

    Olivier Le Bot, « La QPC, vers une reconfiguration de l’architecture juridictionnelle ? », le 06 avril 2018 

    Olivier Le Bot, « La Faculté au Palais », le 09 février 2018  

    Organisé par la Faculté de Droit et de Sciences Politiques de l’Université Aix-Marseille, l’Ecole Nationale de la Magistrature et la Cour d’Appel d’Aix en Provence

    Olivier Le Bot, « Les 30 ans des cours administratives d'appel », le 01 décembre 2017  

    Premier colloque de l’Association Lyonnaise de Droit Administratif (ALYODA)

    Olivier Le Bot, Romain Le Boeuf, « L’inapplication du droit », L'inapplication du droit - 10e Journée de l'UMR DICE, Aix-en-Provence, le 13 octobre 2017  

    10e journée de l’UMR-DICE sous la direction scientifique de Romain Le Bœuf et Olivier Le Bot, Professeurs à l’Université d’Aix-Marseille

    Olivier Le Bot, « Responsabilité et référés », le 16 juin 2017 

    Olivier Le Bot, « Les modes alternatifs de règlement des litiges en droit administratif », Les modes alternatifs de règlement des litiges en droit administratif, Poitiers, le 11 mai 2017    

    Organisé sous la direction scientifique de Anne-Laure Girard, Professeur de droit public et Antoine Claeys, Maître de conférences, HDR

    Olivier Le Bot, « Le droit animalier : hier, aujourd'hui, demain », Ve Congrès mondial « Bioéthique et droits des animaux », Curitiba, D. Têtu Rodriguez, Curitiba Brazil (BR), le 26 octobre 2016   

    Olivier Le Bot, « Le contrôle de constitutionnalité des décisions de justice », le 23 juin 2016 

    Olivier Le Bot, Jerome Mars, Cedric Gervaise, Yvan Simard, « Cross Recurrence Plot Analysis Based Method For TDOA Estimation Of Underwater Acoustic Signals », CAMSAP 2015 - 6th IEEE workshop on Computational Advances in Multi-Sensor Adaptive Processing, Cancun Mexico (MX), le 13 décembre 2015   

    Olivier Le Bot, Cedric Gervaise, Jerome Mars, Y Simard, « Time-delay estimation based on Cross Recurrence Plot and Joint Recurrence Plot for passive underwater acoustic source localization », 6th International Recurrence Plot Symposium, Grenoble, le 17 juin 2015 

    Olivier Le Bot, Delphine Mathias, Aaron Thode, Jan Straley, Russ Andrews [et alii], « Range-depths tracking of multiple sperm whales over large distances using a two-element vertical array and rhythmic properties of clicks-trains », NIPS4B - Workshop: Neural Information Processing Scaled for Bioacoustics : NIPS4B, Lake Tahoe, NE United States (US), le 09 décembre 2013   

    Olivier Le Bot, Cedric Gervaise, Jerome Mars, Julien Bonnel, « Séparation d'impulsions bio-acoustique par analyse du rythme », GRETSI 2013 - XXIVème Colloque francophone de traitement du signal et des images, Brest, le 03 septembre 2013   

    Olivier Le Bot, Yvan Simard, Jerome Mars, Cedric Gervaise, « Separation of odontocete click trains by rhythmic analysis », DCLDE 2013 - 6th International Workshop on Detection, Classification, Localization, and Density Estimation of Marine Mammals using Passive Acoustics, Saint Andrews United Kingdom (GB), le 12 juin 2013 

    Olivier Le Bot, Julien Bonnel, Jerome Mars, Cedric Gervaise, « Odontocete click train deinterleaving using a single hydrophone and rhythm analysis », ICA 2013 - Acoustics 2013 - 21st International Congress on Acoustics - 165th Meeting of the Acoustical Society of America, Montreal Canada (CA), le 02 juin 2013 

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • Teddy Junior Crozatier, Les fondements du droit de l'animal en droit international. Entre droit de nuire et obligations de protéger., thèse en cours depuis 2023 en co-direction avec Romain Le boeuf  

    Le droit international de l'animal se trouve actuellement au croisement de deux impératifs contradictoires : d'un côté, les sociétés humaines sont étroitement dépendantes du rapport de domination qu'elles entretiennent avec l'animal, que ce soit sur le plan économique, social ou culturel. De l'autre, ces sociétés deviennent chaque jour plus conscientes des risques matériels, moraux voire existentiels inhérents à ce rapport, que ce soit sur le plan éthique, environnemental ou sanitaire. Par conséquent, le droit international vise à organiser la protection de l'animal, dans un environnement juridique à la fois incertain et mouvant, qui impose une conciliation entre des intérêts et des valeurs contraires. Le projet proposé, en mettant au jour les fondements de cette contradiction, permet d'envisager la capacité des obligations de protection à mettre à l'épreuve le droit de nuire et, inversement, la possibilité pour ce droit de nuire de se maintenir face à l'émergence et à la croissance d'obligations protection.

    Nathan Cohen, L'articulation des compétences entre les collectivités locales, thèse soutenue en 2023 à AixMarseille, membres du jury : Catherine Mamontoff (Rapp.), Alexis Le Quinio (Rapp.), André Roux    

    L’objectif du législateur, lors des différentes réformes des collectivités, a été de rendre plus claire l’articulation des compétences entre les différents niveaux de collectivités et leurs groupements. Les réformes ont non seulement mis fin à la clause de compétence générale des départements et des régions mais également créé des blocs de compétences. Leur mise en œuvre s’est traduite par divers transferts de compétences constituant l’un des outils opérationnels pour créer des blocs de compétences rigides. Pour pallier cette rigidité des blocs de compétences, des outils tels que l’expérimentation, la différenciation ou des instruments conventionnels ont été mobilisés pour apporter davantage de souplesse et adapter l’exercice des compétences aux spécificités de chaque échelon de collectivité locale. Cette articulation des compétences doit s'effectuer dans le respect de principes structurants tels que le principe de libre administration des collectivités territoriales, de non-tutelle d’une collectivité territoriale sur une autre et de subsidiarité. L'objet de la thèse porte sur l'état actuel du droit en matière de compétences des collectivités locales puis sur les difficultés engendrées en raison d'un manque de clarification des compétences par le législateur entre ces collectivités

    Loreline Dourneau, Atteintes structurelles aux droits fondamentaux et pouvoirs du juge administratif, thèse en cours depuis 2022 en co-direction avec Xavier Magnon  

    Le travail se veut une analyse des pouvoirs du juge administratif en matière d'atteinte structurelle à un droit fondamental, impliquant d'identifier et d'expliciter les raisons de leurs limites. En amont, il s'agit de déterminer les critères permettant de définir ce type spécifique d'atteinte aux droits.

    Julie Reckel, Réflexion sur les catégories en droit de l'animal, thèse en cours depuis 2021 en co-direction avec Fabien Marchadier  

    Le droit de l'animal est un droit économique. Le mécanisme de catégorisation répond à cette logique d'utilisation de l'animal à des fins purement économiques. Le régime juridique de cette exploitation fait concurrence au régime de protection du bien-être de telle sorte que l'effectivité de celui-ci se trouve mise en échec.

    Amin Kamranzadeh, Droit de la communication dans l'espace public en France et en Iran : étude de droit constitutionnel, thèse soutenue en 2020 à AixMarseille en co-direction avec Seyed-Mojtaba Vaezi, membres du jury : Jordane Arlettaz (Rapp.), Alexis Le Quinio (Rapp.), Marc Guerrini et Blandine Chélini-Pont    

    Malgré l'acceptation mondiale de la liberté d'expression, il n'existe pas d'accord sur son fondement ontologique, donc sur les limites de son applicabilité. L’étendue des libertés fondamentales se détermine en fonction des exigences de la protection des autres droits et libertés et celles de l’intérêt général. Les critères pris en compte pour la conciliation entre ces derniers dépendent en revanche directement de la notion mise en œuvre de l’État. Parmi les libertés fondamentales, l’étendue de la liberté d’expression, ou plus largement la liberté de communication, est particulièrement influencée par la nature et la vocation de l’État. En effet, le rôle qui lui est défini impacte directement la conception même de cette liberté, ainsi que celle des autres droits et libertés reconnus, constituant des restrictions pour la liberté de communication et formant ainsi sa délimitation. Ce qui fait que, « la liberté de communication » révèle son contenu en fonction de son fondement idéologique, sa raison d’être ou son objectif éventuel. Sur ce point, l’Iran et la France ont en commun la reconnaissance non absolue des libertés et l’application de la limitation interne du principe. En revanche, ce qui différencie fondamentalement la nature des libertés dans ces deux régimes politico-juridiques, c’est l’origine de la reconnaissance de ces libertés ainsi que celle de leurs restrictions. Par conséquent, pour avoir une vision à la fois globale et précise sur le droit de la communication dans l’espace public dans ces deux pays, il convient de distinguer l’idéal conçu par les constituants du statut de ce droit en droit positif

    Léo Bazin, L'office du juge des référés dans le droit de la commande publique, thèse en cours depuis 2020  

    Alors qu'au début du XXème siècle, l'accès au prétoire du juge en matière de contrats publics n'est accessible principalement qu'aux usagers d'un service public qui peuvent saisir le juge de l'excès de pouvoir contre les actes détachables à la passation du contrat, le développement des obligations de publicité et de mise en concurrence sous l'impulsion du droit européen, associé à la nécessité de rendre le droit au recours des cocontractants et des tiers plus effectif, expliquent la multiplication des procédures de référés en la matière. Jusqu'en 1992, seule la procédure de référé provision était possible en matière de commande publique. Avec la création des référés précontractuels, contractuels et suspension, le juge de l'urgence et du provisoire peut davantage garantir les droits des cocontractants et des tiers tant au niveau de la passation que de l'exécution du contrat. Dès lors, quel est l'office du juge des référés dans le droit de la commande publique ? Cet office se différencie-t-il de celui des autres juges des référés ? Permet-il de concilier l'effectivité du droit au recours avec la sécurité juridique des relations contractuelles ? Le référé précontractuel a pour objectif de préserver 'l'effet utile' des obligations de publicité et de mise en concurrence tout en préservant la stabilité contractuelle. Juge de l'urgence - il statue en 20 jours et doit être saisi pendant le délai de standstill - il dispose pourtant de pouvoirs particulièrement étendus pour un juge des référés puisqu'il détient non seulement un pouvoir de prescrire des mesures provisoires mais également de prescrire des mesures définitives tranchant le fond du litige. La création du référé contractuel, en 2009, se justifie pour éviter que l'administration et l'attributaire d'un contrat de la commande publique concluent ce dernier à la hâte sans respecter le délai de standstill, empêchant ainsi les candidats évincés de saisir le juge. Il annule, résilie ou encore réduit la durée du contrat en cas d'insuffisance de publicité ou de non respect du délai de standstill. Quant au référé-suspension créé par la loi du 30 juin 2000, il permet de suspendre provisoirement l'exécution du contrat de la commande publique parallèlement à l'introduction d'un recours au fond en contestation de validité du contrat par les candidats évincés, puis par les tiers susceptibles d'être lésés, ainsi qu'à la demande de suspension d'une mesure de résiliation du contrat. L'ouverture de ces voies de recours a été tempérée par un durcissement de l'office du juge des référés en la matière. Ainsi, dans un souci de sécurité juridique, le Conseil d'Etat impose que les tiers invoquent un intérêt lésé en référé précontractuel ainsi que dans les recours au fond contre le contrat. De même, les conditions d'urgence et de doute sérieux quant à la légalité du contrat, nécessaires à l'introduction d'un référé suspension, sont interprétées strictement. Dès lors, l'intérêt de notre étude repose sur les conciliations que le juge des référés dans le droit de la commande publique opère entre l'effectivité du droit au recours des administrés et la sécurité juridique des relations contractuelles, ou encore entre le respect du contradictoire et l'urgence de son office. Selon le professeur Philippe TERNEYRE, ces évolutions annoncent 'un bouleversement encore plus radical et, paradoxalement, une simplification des recours autour du juge du contrat, juge de pleine juridiction'.

    Charikleia Andrikopoulou, Le référé-suspension : étude comparée entre la France et la Grèce, thèse soutenue en 2019 à AixMarseille, membres du jury : Vassilios Kondylis (Rapp.), Virginie Donier (Rapp.), Frédéric Colin    

    L’objet de cette étude consiste en la comparaison des dispositions qui régissent le référé-suspension dans les systèmes juridiques français et grec. Le référé-suspension est un mécanisme procédural, qui a pour objectif la protection juridictionnelle provisoire de l’administré. Par recours en référé-suspension, nous entendons l’action qui permet à l’administré d’adresser devant le juge administratif – le juge des référés-suspension – une requête tendant à revendiquer son droit à une protection provisoire. Pour que le recours soit admis par le juge des référés-suspension, certaines conditions doivent être remplies. Quant à la procédure, elle se distingue des autres procédures administratives contentieuses par sa rapidité et sa souplesse, qui doivent permettre au juge de se prononcer en urgence. Pour cette raison, elle doit suivre une série de règles procédurales spécifiques. Dans un premier temps, nous nous concentrerons sur le référé-suspension en tant que recours, en le considérant comme un moyen juridique mis à la disposition de l’administré et lui permettant de faire valoir son droit à être provisoirement protégé. En second lieu, nous nous attacherons à analyser la procédure suivie par le juge du référé-suspension jusqu’au prononcé de sa décision et les voies de recours contre cette décision. L'étude des deux systèmes de protection juridictionnelle provisoire nous permettra de mieux évaluer les règlementations grecques et de comparer leur efficacité avec le système juridique français jugé performant, qui a servi d’exemple à de nombreux pays. Cette comparaison entre les deux systèmes pourrait nous permettre d’évaluer l’innovation et l’efficacité du « système - modèle »

    Mélina Oguey, Le concept de bien-être animal en droit, thèse en cours depuis 2019 en co-direction avec Serge Slama  

    Ces dernières années, les règles ayant vocation à protéger l'animal ont fait l'objet d'un développement considérable. L'histoire de la protection animale fait apparaitre deux catégories de règles distinctes. L'animal, est tout d'abord appréhendé de façon négative par le droit français ; plus spécialement par la législation pénale. Dès 1850, la loi Grammont prohibe les mauvais traitements envers l'animal. Au fil des années, les actes répréhensibles ont vu leur champ s'élargir considérablement. Un renversement s'opère dans les années 1970 grâce au développement de « législations pro-bien-être » qui, sous l'influence de l'Union européenne et du Conseil de l'Europe, a permis l'érection d'un corpus juridique enjoignant désormais des obligations positives à l'Homme dans la manière de traiter les animaux. Plus récemment, l'Etat érige le bien-être animal en objectif central notamment de la politique du ministère de l'Agriculture. Le bien-être animal apparaît alors comme un concept central du droit animalier contemporain ; difficile à saisir tant par son ambiguïté terminologique que par son contenu indéfini, il n'a cependant, à ce jour, fait l'objet d'aucune étude juridique approfondie. Ce travail ambitionne alors d'étudier son intégration dans l'ordre juridique français.

    Joël Kirszenblat, L'animal en droit public, thèse soutenue en 2018 à AixMarseille, membres du jury : Marguerite Canedo-Paris (Rapp.), Pauline Türk (Rapp.), Jean-Pierre Marguénaud  

    Les animaux, longtemps considérés comme des êtres appartenant au régime juridique des biens, tendent aujourd’hui à s’éloigner de cette catégorie. Si en France le droit leur refuse le statut de personne non-humaine, la qualification d’être sensible leur est toutefois attribuée et reconnue. Cette singularité juridique – où l’animal est à la fois un être vivant et appartient à la catégorie juridique des biens – a fait l’objet de nombreux travaux, et certains chercheurs sont parvenus à résoudre ces paradoxes. Toutefois, si l’animal a été abondamment abordé sous le prisme du droit privé, peu de travaux spécialisés ou d’ensemble ont été menés en droit public. Pourtant, il semble que l’étude de l’animal en droit public apporte des questionnements et des réponses tout aussi intéressantes. C’est ainsi que la présente thèse, « L’animal en droit public », a suivi deux choix principaux et complémentaires : celui de l’inventaire, puis celui de la théorisation. Enfin, le droit public offre de nouvelles perspectives dans la réalisation d’un véritable droit de l’animal. Cette construction, qui a pour principal résultat d’apporter de nouveaux éléments de déréification, et d’éviter certaines incohérences, permettrait une mise en avant des intérêts animaliers, notamment en les assimilant à un nouvel ordre sociétal à protéger ou en apportant une nouvelle approche dans la personnification des animaux. En outre, l’étude du droit public comparé nous offre des perspectives différentes dans la défense de la cause animale, notamment par le biais de la constitution

    Antoine Batal, Le droit à l'erreur dans la relation entre l'administration et les administrés, thèse en cours depuis 2018  

    Le projet de 'loi au service d'une société de confiance' a crée en France un 'droit à l'erreur' au profit des citoyens. Ceux-ci pourront désormais se tromper dans leurs relations avec l'administration, sans être sanctionnés la première fois s'ils ne sont pas de mauvaise foi. Parallèlement, le juge administratif accorde à l'administration un droit à l'erreur de plus en plus grand. Il sanctionne de moins en moins par l'annulation un acte administratif qu'il juge illégal, préférant faire primer la sécurité juridique sur le principe de juridicité. Il s'agira d'explorer dans quelle mesure et sous quelles conditions l'administration et les administrés peuvent commettre des erreurs dans leurs rapports mutuels.

    Mélissa Ben mimoun, La médiation en droit administratif, thèse en cours depuis 2017  

    Le projet doctoral concerne l'étude de la médiation en droit administratif. Le développement de la médiation en droit administratif depuis la loi de modernisation de la justice du XXI ème siècle (autrement dit loi Justice du XXIème siècle) devient obligatoire pour les juridictions administratives. De nombreux questionnements concernant les modalités de mise en place de la médiation, les effets de celle-ci tant dans l'objectif poursuivi par le gouvernement de désengorger les juridictions, que dans le règlement des litiges mais aussi à son développement dans d'autres disciplines tels que la fonction publique, en matière sociale, le rôle dévolu au juge administratif ainsi que la prise en compte des garanties processuelles dont seul le juge est tenu débiteur. Autant de questionnements qui méritent une réelle étude dans le cadre de ce projet doctoral.

    Nazim Fouad Foury, L'effectivité des instruments de protection et d'aménagement du littoral méditerranéen : cas de l'Algérie, thèse soutenue en 2017 à AixMarseille, membres du jury : Souâd Ghaouti (Rapp.), Thierry Garcia (Rapp.), Catherine Mamontoff    

    Le littoral algérien est caractérisé par une grande richesse en ressources naturelles et offre d’importantes potentialités économiques. Néanmoins, cette portion du territoire est victime de son succès et se trouve confrontée, par conséquent, à une multitude de problèmes tels que la surexploitation de ses ressources amplifiés par une urbanisation massive qui s'accélère de plus en plus mais également par une pollution et une dégradation des zones côtières. Afin de répondre au mieux aux nombreuses incohérences résultant de ces divers problèmes qui frappent le littoral algérien, l’État doit veiller à mettre en place les mesures nécessaires pour trouver un juste équilibre entre l’utilisation de cet espace et sa préservation. L’analyse approfondie du dispositif institutionnel et législatif mis en place par les pouvoirs publics algériens démontre qu’il y a une réelle insuffisance en matière de gouvernance côtière et que les textes juridiques sont lacunaires en ce qui concerne la préservation et l’aménagement du littoral. Le principal défi de l’État est de pallier ces carences en mettant en place une politique de gestion intégrée et globale du littoral qui en permettrait un développement équilibré et durable

    Suphawut Mokmethakul, Les référés - suspension , thèse en cours depuis 2017 en co-direction avec Prasat Pongsuwan  

    Les juridictions administratives en Thaïlande ont été instituées par la Constitution thaïlandaise de B.E. 2540 (1997). Il s'agit des juridictions dotées de compétences juridictionnelles dont la procédure contentieuse est inquisitoire, contrairement à la juridiction administrative. Composées de la Cour administrative Suprême et des tribunaux administratifs, elles rendent ses décisions en collégialité. En droit administrative thaï, l'introduction devant une juridiction administrative d'une requête tendant à l'annulation d'un acte réglementaire ou individuel n'entraine pas immédiatement le sursis à l'exécution de l'acte attaqué. Pendant la durée de l'instance, l'acte attaqué continue à produire ses effets. En conséquence, l'Administration a le pouvoir à faire exécuter ses décisions. Cependant, l'exécution de l'acte attaqué par l'Administration peut porter un préjudice irréversible au requérant même si sa requête est déjà admise par une juridiction. Ainsi est promulguée la loi attribuant des compétences à des juridictions administratives d'édicter des mesures provisoires avant jugement ; dites « référé de suspension », visant à suspendre l'exécution des décisions administratives, comme étant outil juridique pour la protection de droits et liberté du peuple. Le sursis à l'exécution de la décision contestée ne peut être ordonné que s'il existe un doute sérieux sur la légalité de la décision administrative contestée, si son exécution est susceptible de causer un préjudice difficilement réparable et si le sursis à l'exécution de la décision ne porte pas une atteinte grave à la bonne exécution du service public. Ces conditions sont appréciées à la discrétion seule des juges administratifs. En raison d'une longue continuité de son développement, le droit administratif français est un modèle pour le droit administratif thaï. La Thaïlande a opté le système juridique relatif à la suspension des actes administratifs en prenant le modèle français. Ainsi le Règlement de l'assemblée générale de la Cour Administrative Suprême sur la procédure administrative contentieuse B.E. 2543 (2000), dans son article 69, a prévu que la recours tendant à l'annulation d'un acte réglementaire ou individuel n'entraine pas, sauf décision contraire de la juridiction, le sursis à l'exécution de l'acte attaqué. Cette provision de ce Règlement est restée dans le même sens de l'article L.521-1 du Code de justice administrative de la France. A cet égard, lorsque l'introduction d'une requête devant une juridiction administrative ne suspend pas l'effet de l'acte attaqué, le requérant doit présenter des conclusions tendant au sursis à l'exécution d'un acte réglementaire ou individuel. La juridiction peut donc ordonner à cet effet des mesures provisoires qui sont une exception à la règle du caractère non suspensif des recours devant la juridiction administrative. Pourtant, en Thaïlande, l'ordonnance de sursis à l'exécution d'une décision administrative par des juridictions administratives a connu certain difficulté concernant une appréciation des conditions d'attributions des mesures provisoires par des juges. Dans certain cas, le juge a apprécié de manière restrictive des préjudices subis sans prenant compte ni de statut ni de motivation réelle du requérant. De plus, selon la jurisprudence administrative, l'interprétation par des juges administratives de la notion de la personne intéressée pouvant peut faire appel contre l'ordonnance de sursis à l'exécution en excluant le requérant dans toute circonstance n'empêche l'examen plus approfondi effectuée par la Cour administrative Suprême sur des ordonnances rendues par des tribunaux administratifs. En conséquence, le préjudice subi par le requérant ne peut être effectivement remédié. En outre, l'édiction des mesures provisoires par des juges n'a pas suivi la procédure prévue par la loi et ni fourni des raisonnements juridiques suffisants. Il reste ainsi ambiguë la procédure juridictionnelle sur des mesures provisoires en droit administrative thaïlandais. Cette thèse vise à effectuer une étude comparative des con

    Ali Mohammed Ali SALEM Ali, Les instruments de la protection des droits de l'Homme pendant la période de transitoire en Libye, en Egypte et en Tunisie, à la lumière des principes constitutionnelles généraux, thèse en cours depuis 2015  

    Etat de l' avancement de recherche sur le sujet (( Les instruments de la protection des droits de l,homme pendant la période transitoire, le cas de la Libye - Tunisie . Proposition du plan du sujet:- Première partie : Mécanisme normatives de la protection des droits de l'homme durant la période transitoire. Deuxième partie:- Mécanisme institutionnelle de la protection des droits de l'homme dans la période de transition

  • Julien Vachey, L'urgence et le contrôle juridictionnel des atteintes législatives aux droits fondamentaux. : Etude de droit processuel public interne et européen., thèse soutenue en 2021 à Toulon sous la direction de Jean-Jacques Pardini, membres du jury : Laure Clément-Wilz (Rapp.), Julien Bonnet (Rapp.), Gatien Casu  

    Dans le cadre des recours juridictionnels d’urgence de protection provisoire des droits fondamentaux et dans celui des mécanismes de renvoi préalable, l’urgence peut elle se concilier avec le contrôle des lois ? L’étude se consacre dans un premier temps sur le contrôle des lois dans les recours d’urgence de protection provisoire des droits fondamentaux. Elle s’attache ensuite àl’analyse de la prise en compte de l’urgence dans les procédures d’examen des renvois par les juges ad quem. À l’opposé de réticences initiales, l’office du juge du provisoire s’ouvre à l’exercice du contrôle des lois. Aussi, l’on constate une sensibilité croissante des procédures de traitement des renvois aux situations urgentes d’atteintes législatives aux droits fondamentaux. En définitive, il y a lieu de soutenir la thèse selon laquelle le contentieux des lois peut non seulement s’accorder avec les situations d’urgence nous verrons comment mais aussi qu’il le doit nous verrons pourquoi -.

    Mame Ndiaga Wade, Accès au juge constitutionnel et constitutionnalisation du droit : approche comparée avec l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, thèse soutenue en 2015 à AixMarseille sous la direction de Marthe Fatin-Rouge Stéfanini, membres du jury : Didier Ribes (Rapp.), Jean-Jacques Pardini (Rapp.)  

    L'accès direct des individus à la justice constitutionnelle a tendance en Allemagne et Espagne, contrairement à la France et à Italie où il n’est pas prévu, à modifier la nature classiquement objective de la mission de constitutionnalisation du juge constitutionnel par les buts subjectifs poursuivis par les recours individuels directs. Il déclenche, le cas échéant, chez le juge constitutionnel une fonction autre que la simple constitutionnalisation du droit, qui demeure objective dans le cadre de l’accès indirect et l'entraîne sur le terrain de la fondamentalisation du droit, qui revêt des caractéristiques très subjectives. C'est ce qui explique la concurrence entre le juge constitutionnel et les juges ordinaires et européens, et conduit le premier à se comporter en cour suprême en Allemagne et en Espagne où existent ces voies de recours. La fondamentalisation, qui est un processus plus vaste que la constitutionnalisation, oblige également le juge constitutionnel à s’adapter et à prendre part à la "circulation des solutions juridiques"

  • Jean-Baptiste Ferlay, La dérogation en droit de l'urbanisme, thèse soutenue en 2023 à Lyon 3 sous la direction de Christophe Roux, membres du jury : Jean-François Joye (Rapp.), Rozen Noguellou et Élise Untermaier    

    Cette thèse a pour ambition de comprendre les rapports qu’entretient le droit de l’urbanisme avec la dérogation. À cet égard, il apparait que, sans être par nature fondamentalement différente des autres dérogations, celle-ci dispose de certaines spécificités. Ainsi, largement dissimulée sous les traits de l’exception ou de la tolérance, la dérogation d’urbanisme ne se laisse que difficilement identifier. La présente thèse s’applique donc à en relever – et ordonner – l’ensemble de ses expressions pour ensuite en étudier son utilisation par le droit de l’urbanisme. En effet, la dérogation a pleinement réinvesti la matière urbaine, il est nécessaire d’expliquer ce renouveau. Pour cela, la présente thèse entend explorer deux éléments : l’un normatif, l’autre institutionnel. Ces deux axes révèlent une certaine singularité dans l’utilisation de la dérogation, celle-ci s’étant progressivement imposée comme un outil de l’action publique à part entière. Opérant une synthèse au sein d’un droit tiraillé entre ses fondements policiers et ses aspirations politiques, cette recherche a donc pour ambition de démontrer que le renouveau de la dérogation s’explique par une volonté de dépasser le caractère autoritaire – et parfois binaire – de la règle, afin de répondre aux enjeux contemporains qu’embrasse aujourd’hui l’urbanisme (environnement, logement, économie, transports, etc.).

    Emeline Doré, La sensibilité animale en droit : contribution à la réflexion sur la protection de l'animal, thèse soutenue en 2022 à Nantes Université sous la direction de Jean-Christophe Barbato, membres du jury : Anne-Blandine Caire (Rapp.), Florence Burgat et Agathe Van Lang  

    Il est des questions qui font débat depuis longtemps dans le monde juridique. Parmi elles, le degré de protection octroyée à l’animal et sa place dans l’ordre juridique, notamment français. Cet animal, désormais qualifié de sensible, bénéficie en effet d’une protection spécifique du fait de cette caractéristique - le distinguant des autres objets de droits - mais qui reste néanmoins empreinte de relativité. Celle-ci se constate tant à la lecture de normes considérant l’intégrité de l’être qu’à celles tenant compte de sa sensibilité. Cette caractéristique, pourtant consacrée juridiquement et si souvent mentionnée au sein de textes régissant le sort de l’animal, semblant constituer ce pour quoi une protection de l’être doit être instaurée, ne fait en outre l’objet d’aucune définition afin de saisir précisément ce qu’elle recouvre. L’étude du droit positif français permet ainsi la mise en exergue de lacunes diverses marquant aujourd’hui le droit des animaux, concernant tout aussi bien l’appréhension de l’être – qui diffère à nombre de reprises selon divers critères – que la considération de sa sensibilité. Afin de remédier à ces incohérences, ces paradoxes, une solution peut alors être proposée : replacer l’animal et ses caractéristiques, plus particulièrement le fait qu’il soit sensible, au cœur des normes élaborées pour régir son sort et opérer un basculement de certains êtres de la catégorie juridique des objets à celle des sujets. Cette modification du système, en l’espèce à l’échelle nationale, serait en effet justifiée par des raisons de cohérences juridiques, d’adaptation quant à la place devant être octroyée à l’animal dont la véritable nature et les intérêts devraient être pris en considération, et ce, en priorité, lorsqu’est envisagée sa propre condition juridique. Celle-ci, jusqu’ici pensée par rapport à l’humain, deviendrait alors une condition davantage centrée sur l’animal, pensée par rapport à lui-même.

    Armand Desprairies, La décision implicite d'acceptation en droit administratif français, thèse soutenue en 2019 à Paris 1 sous la direction de Fabrice Melleray, membres du jury : Bertrand Seiller (Rapp.), Didier Ribes  

    La loi du 12 novembre 2013 consacre le principe du « silence vaut accord » dans la relation entre l’administration et l’administré. L’inversion du sens attribué du silence de l’administration sollicitée par une demande met un terme au principe historique du « silence vaut rejet », en vigueur depuis plus de cent ans. Cette révolution est présentée par le Gouvernement comme un moyen de simplifier la relation entre l’administration et l’administré et comme l’instrument d’une lutte contre l’inertie administrative. Elle suscite pourtant une certaine suspicion de la part de la doctrine. Sa portée, son utilité et sa pertinence sont contestées. L’identification des situations dans lesquelles le nouveau principe est applicable confirme partiellement cette critique. En effet, les exclusions à la règle du « silence vaut accord » sont légion. En dépit de sa consécration législative, la décision implicite d’acception demeure circonscrite à des domaines spécifiques. Il est alors plus juste de considérer que le « silence vaut accord » n’est qu’un principe « fermé » ou, plus radicalement, d’admettre l’existence de deux interprétations concurrentes du sens du silence administratif. Par ailleurs, la mise en œuvre du mécanisme apparaît très largement tributaire d’un comportement actif de l’administration. Le régime juridique de la décision implicite d’acceptation, oscillant entre le régime général de la décision administrative et la proclamation de règles spécifiques, semble partiellement inadapté. Si le bilan des effets de la réforme de 2013 est en demi-teinte, le mécanisme de la décision implicite d’acceptation n’est pas à condamner. Il demeure l’un des leviers essentiels d’une réforme d’ampleur de l’action administrative.

    Maxime Lei, Le principe de l'absence d'effet suspensif des recours contentieux en droit administratif, thèse soutenue en 2018 à Toulon sous la direction de Michel Paillet et Grégory Marchesini, membres du jury : Marion Ubaud-Bergeron (Rapp.), Lucienne Erstein  

    Dans le cadre de la procédure administrative contentieuse, les recours ne sont pas pourvus d’un effet suspensif. Par conséquent, les autorités administratives ont la possibilité d’exécuter les décisions contestées jusqu’à la décision juridictionnelle. Cette situation, constitutive d’un principe, est le produit d’une philosophie contentieuse marquée par un déséquilibre à l’avantage de l’administration. Le principe de l’absence d’effet suspensif en est une des formes d’expression les plus directes tant il est susceptible de grever la protection des droits des requérants. Son étude permet indirectement de questionner la pertinence contemporaine des fondements idéologiques du droit et du contentieux administratif. Sa déconstruction fait apparaitre son caractère désuet au regard des évolutions en cours. Celles-ci, qu’elles soient propres au phénomène juridique ou qu’elles le dépassent, servent à déterminer les caractéristiques attendues des recours contentieux. La recherche d’une solution équilibrée, à mi-chemin entre efficacité administrative et protection des requérants, devient un impératif. Celui-ci sera atteint à partir d’une reconstruction de cet aspect épineux de la procédure administrative contentieuse en s’appuyant sur une analyse matérielle de la situation litigieuse.

    Hervé Kobo Mamputa Valata, L'autorité de la chose jugée en contentieux administratif : une étude sur le rejugement, thèse soutenue en 2017 à CergyPontoise sous la direction de Laetitia Janicot, membres du jury : Antoine Claeys (Rapp.)  

    La thèse a pour objet d’étude le rejugement. Plus généralement elle porte sur le sens que l’on donne à la notion d’autorité de la chose jugée en contentieux administratif. Cette notion est comprise, dans la thèse, comme signifiant que ce qui a déjà été jugé ne peut être rejugé. L’autorité de la chose jugée entraîne donc en principe l’interdiction de rejuger une affaire ou un élément d’une affaire qui a déjà été tranché par une juridiction compétente pour clore définitivement un litige ou le point du litige concerné. Or la thèse vise à démontrer que l’autorité de la chose jugée en contentieux administratif n’interdit pas toujours, en droit positif, sous réserve d’un noyau d’intangibilité, le rejugement des décisions de justice. Cette étude est intéressante pour trois raisons: Premièrement, il fait l'objet d'une grande actualité (succession de recours en contentieux des contrats administratifs, réception par le juge administratif des décisions rendues sur une question prioritaire de constitutionnalité par le Conseil constitutionnel ; articulation entre les décisions de la Cour européenne des droits de l'homme et de la Cour de justice de l'Union européenne et de celles du juge administratif). Deuxièmement, ce sujet a été à peine étudié dans le contentieux administratif. Certaines notions (comme celles de procès, de jugement, de recours, de questions, d'irrévocabilité, d'opposabilité ...), certaines distinctions (autorité formelle / matérielle ; autorité négative / autorité positive) ont donné lieu à peu d'étude par la doctrine publiciste. Troisièmement, cette étude a pour ambition de tenter d'étudier sous un nouvel angle la notion d'autorité de la chose jugée. Cela implique de réfléchir à des conditions de stabilité des décisions de justice, ou encore sur le concept de sécurité juridique appliqué aux jugements. Ces notions ont été particulièrement analysées s'agissant des actes administratifs et non pas du point de vue des décisions de justice. L'idée est donc de procéder à une analyse comparative de ces deux grands types de décisions. Cette thèse peut contribuer à mettre en évidence des principes propres à la décision de justice et à réfléchir sur les fondements de l'autorité de chose jugée, que sont notamment la nécessité de rétablir la paix sociale entre les parties au procès, la bonne administration de la justice et la stabilité des situations juridiques. Ces fondements doivent être articulés avec le droit au recours et l'exigence de qualité de la justice. L'étude du rejugement devrait permettre également de mettre en avant la manière dont les juges administratifs conçoivent cette notion "d'autorité de la chose jugée" et qui pourrait être différente de celle des juges civils. Pour réaliser cette étude, il semble important de prendre en compte les différents éléments du droit du contentieux administratif, à la lumière des procédures civile et pénale, ainsi que de la procédure européenne. La recherche dans ces domaines se porte principalement sur les sources du 20ème et du 21ème siècles, d'un point de vue théorique et pratique. A travers cette analyse critique, la méthode retenue consiste à vérifier comment le concept et ses fondements sont appliqués et si la théorie correspond à la pratique. L'idée est d'essayer de développer un cadre en vue de simplifier la procédure pour le justiciable, pour la bonne administration de la justice et le service public de la justice.mots-clés : Autorité,Chose,Jugée,Contentieux,Administratif,Rejugement

    Cédric Meurant, L'interprétation des écritures des parties par le juge administratif français, thèse soutenue en 2017 à Lyon sous la direction de Caroline Chamard-Heim, membres du jury : Camille Broyelle (Rapp.), Fabrice Melleray, Sylvie Caudal et Régis Fraisse    

    En vertu de la règle du principe dispositif qui s’applique au procès administratif, le litige est la chose des parties : la matière de l’instance est fixée par les écritures que les parties rédigent et qu’elles soumettent au juge administratif. L’essence de l’office de ce juge consiste à trancher le litige en répondant juridiquement aux prétentions et à l’argumentation développées par les parties dans leurs écritures. L’étendue de son intervention est donc tributaire de la formulation des écritures qu’il devrait se borner à interpréter littéralement, et ce même lorsqu’elles sont maladroitement rédigées. Pourtant, le juge s’autorise à les interpréter extensivement ou restrictivement. Les raisons qui président à ce choix sont incertaines. L’un des enjeux de cette recherche est de les clarifier. Elle doit aussi déterminer l’étendue de ce pouvoir, et notamment son caractère – est-ce une faculté ou une obligation ? –, les éléments des écritures susceptibles d’être interprétés, les parties dont les écrits peuvent être appréciés, les méthodes mobilisées, ou encore ses limites et les contrôles auxquels il est soumis. Mais, à cause du rôle central des écritures dans le procès administratif, leur interprétation peut avoir d’importantes conséquences sur cette instance. Certaines interprétations peuvent même la déstabiliser. La recherche doit donc envisager les mécanismes permettant de corriger ces déséquilibres. En interprétant les écritures des parties, le juge participe à la fixation de la matière de l’instance. Dès lors, cette étude doit, plus fondamentalement, contribuer à déterminer l’auteur de cette substance : les parties ou le juge ?

    Aurélie Cepko, L'exception de recours parallèle en contentieux administratif francais, thèse soutenue en 2014 à Toulon sous la direction de Michel Paillet, membres du jury : Yan Laidié (Rapp.), Delphine Costa et Grégory Marchesini    

    L’exception de recours parallèle, création prétorienne du Conseil d’État datant du milieu du Second Empire, est classiquement présentée comme une fin de non-recevoir spéciale au contentieux de l’excès de pouvoir. Elle consiste en ce que ce recours soit irrecevable dès lors que le requérant dispose d’un autre recours contentieux, le recours parallèle, lui permettant d’obtenir un résultat équivalent à celui procuré par le recours pour excès de pouvoir. Cette version originaire de la notion a été modélisée, c’est-à-dire qu’une synthèse de ses propriétés a été réalisée. Un modèle-type a ainsi été produit, permettant au juge de trancher des situations de concurrence des recours ou des compétences au-delà du seul contentieux de l’excès de pouvoir. Cette exception de recours parallèle dérivée est ainsi adaptée à de nouveaux domaines tels que le contentieux des référés ou le contentieux lié à la mise en œuvre du droit de l’Union européenne. La pratique de l’exception de recours parallèle par le juge n’est pas systématisable, elle est intuitive et relève d’une méthode. Celle-ci répond à un raisonnement finaliste permettant au juge de conduire ses politiques jurisprudentielles.

    Amornrat Kulsudjarit, La responsabilité individuelle des membres du gouvernement : étude comparative des procédures constitutionnelles thaïlandaises et françaises, thèse soutenue en 2011 à AixMarseille 3 sous la direction de André Roux, membres du jury : Caterina Severino (Rapp.), Richard Ghevontian  

    Le déclin de la responsabilité collective du gouvernement devant Parlement, est la situation à laquelle plusieurs pays pratiquant un régime parlementaire ont été contraints de faire face comme les expériences passées de la France, ainsi que de la Thaïlande, le prouvent. En effet, le contrôle parlementaire sur le gouvernement est bloqué par le fait majoritaire, si bien que le gouvernement peut difficilement perdre la confiance de l’Assemblée nationale. Cela ne fait qu’encourager la recherche de nouveaux moyens de contrôle et d’améliorer les instruments de contrôle de la responsabilité individuelle des membres du gouvernement sous diverses formes. Par exemple : le contrôle de la responsabilité individuelle des ministres par l’exécutif lui-même ; le déplacement de cette responsabilité devant le juge ; la revalorisation de la responsabilité politique individuelle des ministres devant le Parlement, ou bien encore une moralisation accrue de la vie politique et une amélioration de sa transparence. Les principaux instruments du contrôle de responsabilité individuelle des ministres en matière politique et pénale en Thaïlande et en France sont étudiés de manière comparative. L’étude comparée peut être utile afin d’adapter ces mécanismes aux conditions sociales et politiques de chaque pays.

    Abir Ghanem-Larson, Essai sur la notion d'acte terroriste en droit international pénal, thèse soutenue en 2011 à AixMarseille 3 sous la direction de Xavier Philippe, membres du jury : Guillaume Champy (Rapp.), Gilles Mathieu  

    L’évolution sémantique de la notion de terrorisme, et la naissance doctrinale de la notion d’« acte terroriste » jusqu'à sa résurgence juridique nationale et internationale, montre que l’infraction terroriste est fondée sur la présence d’un double dol spécial tantôt selon une approche alternative et tantôt selon une approche cumulative. Ce double dol spécial se manifeste par l’intention de terroriser la population pour aboutir au but final qui est celui du changement politique. Malgré la dépolitisation adoptée en droit international pour sortir le crime terroriste de la sphère politique, cette dépolitisation reste fictive. L’approche internationale prend en compte ces deux intentions spécifiques de l’auteur selon une approche téléologique alternative, ce qui signifie que l’une des deux suffit pour qualifier l’acte criminel de terroriste. C’est exact mais incomplet. L’approche qu’il convient d’adopter est celle de l’approche téléologique cumulative. En d’autres termes l’infraction terroriste est identifiable selon un double dol spécial de l’auteur. Il faut donc la combinaison des deux dols spéciaux pour pouvoir qualifier un acte de terroriste.

  • Gwénaël Le Dû, La Protection des étrangers par le référé-liberté, thèse soutenue en 2019 à Paris 2 sous la direction de Bertrand Seiller, membres du jury : Camille Broyelle, Bernard Stirn et Vincent Tchen  

    La politique de l’immigration est un domaine dans lequel les libertés fondamentales peuvent être menacées par l’action de l’administration. Pour lutter contre l’immigration illégale le gouvernement français prend des mesures de police qui sont susceptibles d’être contestées devant les juridictions. La justice administrative est désormais en capacité de protéger rapidement les intérêts des justiciables les plus vulnérables comme les étrangers, notamment par le biais de la procédure du référé-liberté créée en 2000.Presque deux décennies après la mise en place de ce mécanisme juridictionnel, le bilan est largement positif. Très novatrice, la procédure du référé-liberté a bouleversé les méthodes de travail du juge administratif des référés en contribuant à développer une culture de l’urgence. Disposant de pouvoirs d’injonction très étendus, le juge du référé-liberté apparaît comme un défenseur efficace des droits et libertés fondamentaux des étrangers, améliorant ainsi la légitimité de la justice administrative.Compte tenu de la croissance du contentieux, en particulier en droit des étrangers, des exigences européennes et de l’émergence de nouvelles voies de recours, des propositions de réforme pourraient être utiles pour renforcer l’efficacité du référé-liberté et garantir le justiciable contre toute forme d’arbitraire.

    Céline Maillafet, La constitutionnalisation de la justice administrative : Etude comparée des expériences française et italienne, thèse soutenue en 2015 à Toulon sous la direction de Jean-Jacques Pardini, membres du jury : Maria Alessandra Sandulli (Rapp.), Pascale Gonod et Didier Ribes    

    Longtemps négligé par la doctrine qui s’intéressait davantage aux sources conventionnelles, le processus de constitutionnalisation de la justice administrative est aujourd’hui à l’œuvre en France et en Italie. Il revêt différentes formes et fait intervenir différents acteurs. Ainsi, par exemple, en Italie, le législateur délégué, auteur de la codification du procès administratif en 2010, était contraint de mettre en conformité les règles relatives à la justice administrative aux données constitutionnelles (et conventionnelles) telles qu’interprétées par la Cour constitutionnelle. En France, le processus de constitutionnalisation, entamé dans les années quatre-vingt, s’intensifie au gré de la transmission des questions prioritaires de constitutionnalité et par une intervention du Conseil d’État dans l’adoption des projets de loi ou dans l’élaboration du droit souple régissant les rapports et activités des membres de la juridiction. Pour autant, le résultat de la constitutionnalisation est variable. Certains aspects comme l’indépendance, l’impartialité et la compétence de la juridiction administrative sont soumis à une réelle emprise constitutionnelle. En revanche, le procès administratif reçoit une influence constitutionnelle plus faible. Il n’en demeure pas moins que la justice administrative a été, est et sera encore réformée par un poids renforcé des sources constitutionnelles.

    Didier Girard, La france devant la Cour européenne des droits de l'homme : contribution à l'analyse du comportement étatique devant une juridiction internationale, thèse soutenue en 2011 à AixMarseille 3 sous la direction de André Roux, membres du jury : Michel Levinet (Rapp.)  

    La France est un acteur majeur de la société internationale dont l’attachement aux « droits de l’Homme » constitue un élément caractéristique de sa politique extérieure. Il est alors paradoxal de constater que si la signature de la Convention européenne des droits de l’Homme a été opérée dès 1950, ce n’est qu’en 1974 que celle-ci sera ratifiée et en 1981 que le droit de recours individuel sera reconnu. Il y a donc une ambivalence entre une ligne politique de respect des « droits de l’Homme » et l’acceptation pleine et entière des instruments internationaux correspondants lorsqu’ils instaurent des organes supranationaux de contrôle. Lorsque la France est mise en cause devant la Cour européenne des droits de l’Homme, elle se doit de défendre, non seulement ses propres intérêts, mais également ceux du mécanisme objectif de garantie des droits instaurés par la Convention européenne. Il y a donc une pluralité de rôles qui s’offrent à la France en ce cas. Ensuite, la fonction première de la Cour européenne des droits de l’Homme consiste à vérifier que les organes internes ont bien appliqué et, le cas échéant, réparé les violations à la Convention européenne. Ce n’est qu’en cas de carence des organes de l’Etat que la France devrait être poursuivie devant la Cour. Enfin, l’incidence de la jurisprudence de la Cour sur l’organisation institutionnelle française est fondamentale et dépasse la stricte mise en œuvre de la Convention par les seules juridictions nationales

    Benjamin Hachem, L'office du juge des référés en droit de l'urbanisme, thèse soutenue en 2011 à AixMarseille 3 sous la direction de Richard Ghevontian et Patrice Ibanez, membres du jury : Yann Aguilla, Patrick Gaïa, François Priet et Jérôme Trémeau  

    Sous l’ancien régime du sursis à exécution, l’urbanisme avait cristallisé l’impuissance de la juridiction administrative à prévenir les conséquences difficilement réversibles de certaines décisions administratives. Il en résultait que la crédibilité et la légitimité de cette dernière étaient remise en cause. Cette thèse vise à démontrer comment le législateur et la jurisprudence du Conseil d’Etat, en redéfinissant l’office du juge des référés, ont donné les moyens juridiques au juge administratif de répondre aux attentes légitimes des justiciables en matière d’urbanisme.