Eric Gasparini, Éric Gojosso, Cours d'introduction historique au droit et d'histoire des institutions, 15e éd., Gualino un savoir-faire de Lextenso, 2025, Amphi LMD, 415 p.
L'ouvrage développe l'histoire du pouvoir et de l'administration d'une part, celle du droit et de la justice d'autre part, à travers les grandes périodes de l'histoire de France, depuis l'époque franque jusqu'aux débuts de l'époque contemporaine. Il est illustré par de nombreux cas pratiques et ponctué de conseils méthodologiques. Par la combinaison inédite de ces exercices et des connaissances, cet ouvrage est un atout indispensable à la réussite en 1re année de licence dans les matières d'histoire du droit.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Cours d'introduction historique au droit et d'histoire des institutions, 14e éd., Gualino un savoir-faire de Lextenso, 2024, Amphi LMD, 415 p.
L'ouvrage développe l'histoire du pouvoir et de l'administration d'une part, celle du droit et de la justice d'autre part, à travers les grandes périodes de l'histoire de France, depuis l'époque franque jusqu'aux débuts de l'époque contemporaine. Il est illustré par de nombreux cas pratiques et ponctué de conseils méthodologiques. Par la combinaison inédite de ces exercices et des connaissances, cet ouvrage est un atout indispensable à la réussite en 1re année de licence dans les matières d'histoire du droit.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Cours d’Introduction historique au droit et d’Histoire des institutions: 13e édition 2023-2024, 13e éd., Gualino un savoir-faire de Lextenso, 2023, Amphi LMD, 415 p.
L'ouvrage développe l'histoire du pouvoir et de l'administration d'une part, celle du droit et de la justice d'autre part, à travers les grandes périodes de l'histoire de France, depuis l'époque franque jusqu'aux débuts de l'époque contemporaine. Il est illustré par de nombreux cas pratiques et ponctué de conseils méthodologiques. Par la combinaison inédite de ces exercices et des connaissances, cet ouvrage est un atout indispensable à la réussite en 1re année de licence dans les matières d'histoire du droit.
Eric Gasparini, Jean-Baptiste Perrier (dir.), Juristes et réformes: journée des doctorants du 4 mai 2022, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2023, Droits, pouvoirs et sociétés, 78 p.
L’objet de cette journée est d’approfondir les analyses sur la place des juristes face aux enjeux sociétaux et plus particulièrement leur capacité à impulser et à accompagner les changements en contribuant aux réformes. Chaque branche du droit est concernée par le mouvement de réformes. En droit privé, le droit des personnes est largement déterminé par les évolutions des structures familiales et ses nombreuses réformes récentes et innovantes en matière de modèles familiaux. En matière contractuelle, la récente réforme du droit des contrats vise ainsi à développer une nouvelle éthique de la pratique contractuelle. En droit des sociétés, le développement de la RSE tend à repenser la notion même d’entreprise. En droit public, les réflexions sur la démocratie participative, l’administration durable ou la « e-administration » de même que celles sur le rôle des pouvoirs publics dans la lutte contre le réchauffement climatique augurent de nouveaux modes d’action et de définition des rapports entretenus entre le citoyen et le pouvoir, l’individu et la société. Ces exemples n’épuisent pas la question mais permettent de comprendre les évolutions du droit positif et le mouvement de réforme en action depuis quelques années, et qui vient enrichir également l’analyse historique du droit.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Cours d’Introduction historique au droit et d’Histoire des institutions, 12e éd., Gualino, un savoir-faire de Lextenso, 2022, Amphi LMD, 415 p.
Eric Gasparini, Julien Broch (dir.), Les avocats et les principes: actes du colloque du Centre d'étude et de recherches d'histoire des institutions et des idées politiques (UR 2186), 17 et 18 septembre 2020, Faculté de droit et de science politique d'Aix-en-Provence, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2022, Histoire des idées et des institutions politiques, 351 p.
Cet ouvrage, qui comprend 19 contributions, correspond aux actes du colloque pluridisciplinaire du CERHIIP (UR 2186) Les avocats et les principes qui s’est déroulé à la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-en-Provence les 17-18 septembre 2020, avec la participation de la Société Internationale d’Histoire de la Profession d’Avocat. Les principes innervent l’ensemble de la matière juridique. Étymologiquement, ils désignent ce qui vient en premier ; ils se signalent également par le degré de généralité qui est le leur. Par eux-mêmes ils sont impuissants : ils doivent être invoqués, appliqués. Les avocats sont en première ligne, ce qui pose la question de savoir à quelles fins et comment ils « manipulent » les principes. La période retenue court du xvie au xxie siècle. Si les principes, juridiques mais pas seulement, constituent une source d’inspiration, un point d’ancrage pour un ensemble de règles en qui elles trouvent leur explication et une justification suffisamment forte pour résister le plus longtemps possible aux assauts du temps, ils sont aussi des arguments. Au fond les avocats, sans le dire, les désacralisent en les sélectionnant et en les ajustant à la cause qu’ils ont à défendre. Mais cette liberté qui leur est laissée est surveillée car outre les principes qui interviennent dans l’argumentation des avocats il y en a qui encadrent l’exercice de la profession de ces derniers..
Eric Gasparini, Jean-Philippe Agresti (dir.), Le droit et l'innovation sociale: journée des doctorants du 18 juin 2021, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2022, Droits, pouvoirs & sociétés, 93 p.
L’innovation sociale est un thème majeur des sciences humaines et sociales modernes. Elle désigne, au sens large, l’évolution des structures sociales et les ruptures que celles-ci peuvent parfois subir, soit en raison de choix politiques soit en raison de l’évolution des mœurs. L’innovation consiste alors à accompagner ou même initier ces évolutions. Si la science du droit a souvent pour caractéristique d’être centrée sur son objet à l’exclusion, souvent, de ses implications sociales, il apparaît cependant que le droit est, tout à la fois, un outil d’accompagnement de l’innovation sociale mais aussi parfois le déclencheur de ces innovations. Chaque branche du droit est concernée par ce mouvement. En droit privé où le droit des personnes est largement déterminé par les évolutions des structures familiales et les réformes récentes en ce domaine apportent de véritables innovations aux modèles familiaux. En droit public avec les réflexions sur la démocratie participative, l’administration durable ou la « e-administration » qui augurent de nouveaux modes d’action et de définition des rapports entretenus entre le citoyen et le pouvoir, l’individu et la collectivité. Ces exemples n’épuisent pas la question car l’innovation sociale peut expliquer la plupart des évolutions du droit positif depuis quelques années. Elle peut également enrichir l’analyse historique du droit. Les contributions regroupées ici, issues de la troisième édition de la Journée des doctorants du 18 juin 2021 qui leur est consacrée, en sont l’illustration.
Eric Gasparini, Eric Gojosso, Cours d'Introduction historique au droit et d'Histoire des institutions: Les institutions du Haut Moyen Âge (V-Xe siècle) - Les institutions du Bas Moyen Âge (X-XVe siècle) - Les institutions de l'Époque moderne (XVI-XVIIIe siècle) - Les institutions de la Révolution et de l'Empire (1789-1815), 11e éd., Gualino, un savoir-faire de Lextenso, 2021, Amphi LMD, 420 p.
Eric Gasparini, Jean-Philippe Agresti (dir.), Repenser la démocratie et ses formes d’expression: Journée d'études des doctorants du 7 juin 2019, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2021, Droits, pouvoirs & sociétés, 160 p.
Eric Gasparini, Julien Sausse (dir.), Présider la République: actes du Colloque du CERHIIP, 13 et 14 décembre 2018, Faculté de droit et de science politique d’Aix-en-Provence, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2021, Collection d'histoire des idées et des institutions politiques, 172 p.
La crise des Gilets Jaunes, l’Affaire Benalla, la réforme des retraites, puis la crise sanitaire de la Covid 19 et les attentats terroristes ont confirmé aux yeux de l’opinion publique la place centrale dans nos institutions du Président de la République, dans la mesure où Emmanuel Macron a été constamment interpellé par les Français sur ces différents sujets. Fruit de la collaboration entre historiens du droit et publicistes, cet ouvrage explore diverses thématiques, depuis 1848 et l’introduction de la fonction présidentielle dans les institutions républicaines jusqu’à la mise en place récente du quinquennat. En remettant la question en perspective historique, l’ouvrage apporte ainsi une contribution à la compréhension d’un des phénomènes centraux de la vie politique française contemporaine.
Eric Gasparini, Germain Sicard, Jean-Marie Augustin, Jean Bastier, Pierre Besses [et alii], Justice et politique: la Terreur dans la Révolution française, Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, Presses de l'Université des sciences sociales de Toulouse et OpenEdition, 2021
Le Centre toulousain d'histoire du droit et des idées politiques crée un périodique scientifique, Études d'histoire du droit et des idées politiques, consacré en ses deux premiers numéros, au thème de la Justice ; il abordera, en troisième livraison, le thème, en vérité très neuf, Droit romain et droit public (de Rome au xxe siècle). Pour ce premier numéro qui apporte les actes d'un colloque, le professeur Germain Sicard a choisi de lancer, comme offre de travail, Justice et politique : la Terreur de 1793-1795. Malgré les recherches suscitées par le Bicentenaire, le lecteur observera combien notre apport est original et combien il invite à méditer sur Justice et Politique... La Révolution Française est inséparable de la Terreur, répression implacable contre les adversaires, les mécontents, les indifférents même. « Il faut gouverner par le fer ceux qui ne peuvent l'être par les lois », annonce Robespierre. Cet ensemble de processus répressifs, justifié par ses défenseurs au nom du Salut de la République, exécré comme « le règne des démons » par d'autres (L. de Bonald) n'a pas cessé, depuis des siècles, de susciter des jugements opposés. A l'occasion du « Bicentenaire », un colloque a réunit à l'Université des Sciences Sociales de Toulouse, de nombreux historiens, dont les contributions constituent le présent volume. Elles concernent le vécu de la Terreur dans différents départements, décrivant les acteurs, les situations, les procédures. Elles évoquent aussi les relations entre Terreur, idéologies politiques, circonstances coloniales. Les situations sont contrastées : depuis un département paisible (Aude) jusqu'aux fureurs atroces des massacres aux Îles, sur le terrain, la Terreur résulte de la conjonction de lois draconiennes, d'institutions de justice dévoyées, des mentalités des dirigeants locaux. La Terreur est volonté d'exclusion et d'élimination de ceux que les maîtres du jour croient dangereux
Eric Gasparini, Marie-Bernadette Bruguière, Christian Bruschi, André Cabanis, Arnaud Decroix [et alii], Prendre le pouvoir: force et légitimité, Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, Presses de l'Université des sciences sociales et OpenEdition, 2021
Pour la troisième fois, après « Justice et politique : La Terreur dans la Révolution française » (1997) et « Droit romain, ius civile et Droit français » (1999), Études d'histoire du droit et des idées politiques accueille les actes d'une réunion de travail, la troisième « table ronde » du réseau de laboratoires du Grand Sud, tenue à Toulouse les 16 et 17 mars 2001. Ce réseau joint au Centre toulousain d'histoire du droit et des idées politiques le Centre d'études et de recherches en histoire des idées politiques d'Aix-Marseille III et le Centre lyonnais d'histoire du droit et de la pensée politique de Lyon III. Quatorze universitaires ont apporté leur contribution au thème choisi, celui des rapports entre la force et la légitimité. Leurs recherches couvrent un champ très vaste, notamment d'un point de vue chronologique, depuis l'époque romaine avec une étude fondée sur le xxe Panégyrique latin et l'Histoire Auguste, jusqu'au xxe siècle, avec l'analyse des circonstances d'installation de la Ve république, en 1958. Entre ces deux extrêmes, les travaux présentés portent sur l'Angleterre de la guerre des deux roses, sur le Moyen Âge français de l'époque de Louis XI, sur les Temps modernes avec Louis de Condé, le cardinal de Bernis et le chancelier Maupeou, sur les xixe et xxe siècles avec le Concordat de 1801, les analyses de Benjamin Constant, de Louis-Auguste Blanqui et de Raymond Théodore Troplong, avec les rêves de retour au pouvoir de la famille de Bourbon
Eric Gasparini, Eric Gojosso, Cours d'Introduction historique au droit et d'histoire des institutions: 10e édition, 10e éd., Gualino, un savoir faire de Lextenso, 2020, 415 p.
Eric Gasparini (dir.), Les mutations de la justice: Journée d’études des doctorants de l’ED 67, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2020, Droits, pouvoirs & sociétés, 164 p.
Les institutions publiques françaises doivent depuis de nombreuses années composer avec de nouvelles attentes des citoyens ou avec les nouvelles contraintes qu'exercent sur elles les évolutions technologiques, morales et philosophiques de notre époque. Il n'est pas d'institution qui échappe à ces questionnements et la justice française doit s'y soumettre comme les autres pouvoirs de l'Etat. Il en résulte une série d'évolution à la fois statutaire et pratique, qui affectent tantôt l'objet du travail du juge tantôt ses méthodes et son statut eux-mêmes. Ces mutations de la justice peuvent prendre plusieurs formes ou plusieurs expressions. Il peut s'agir d'une évolution du rôle du juge qui doit composer avec des acteurs souvent non étatiques chargés de résoudre les différends. Il peut aussi s'agir d'une évolution des méthodes, juridictionnelles comme jurisprudentielles, qui doivent intégrer des standards de contrôle peu familiers aux juristes français ou des aides à la décision qui, par nature, affecte son office. Il peut encore s'agir d'une évolution du rôle social du juge qui en tant que gardien de la promesse démocratique doit savoir répondre aux attentes de l'opinion sans toutefois s'y soumettre totalement. La Journée des doctorants "Les mutations de la justice", co-organisée par la faculté de droit et de science politique d'Aix-Marseille et l'Ecole doctorale "Sciences juridiques et politiques" (ED 67) avec le soutien de la Fédération de recherche "Droits, Pouvoirs et Sociétés" (FED 4280) fut l'occasion pour les jeunes chercheurs d'explorer ces pistes de réflexion et d'analyser les mouvements de la justice française en ce début de 21e siècle
Eric Gasparini, Eric Gojosso, Cours d'Introduction historique au droit et d'histoire des institutions: 9e édition 2019-2020, 9e éd., Gualino, une marque de Lextenso, 2019, 413 p.
Eric Gasparini, Eric Gojosso, Cours d'introduction historique au droit et d'histoire des institutions: 8e édition, 8e éd., Gualino, une marque de Lextenso, 2018, Amphi LMD, 413 p.
Eric Gasparini, Jean-Philippe Agresti, Séverine Hupfer, Thanh Tu Le, Hoang Anh Nguyen [et alii], La rencontre du droit français et de la pharmacopée orientale, LEH édition et LEH édition, 2018
C’est à la rencontre du droit français et de la médecine et de la pharmacopée orientale, à travers l’exemple vietnamien, qu’est consacré ce numéro. La « pharmacopée traditionnelle sino-indochinoise » a été juridiquement définie dès l’époque coloniale et la médecine traditionnelle était alors tolérée. À l’indépendance, la médecine locale est devenue la médecine nationale du pays et s’est affirmée à côté de la médecine occidentale dont elle s’est efforcé d’utiliser les méthodes, depuis les expérimentations jusqu’au système de formation et, d’une moindre mesure, pour l’encadrement. Depuis l’entrée de la République socialiste du Vietnam à l’OMS et à l’OPCI se pose avec acuité la question de la brevetabilité. La protection intellectuelle des médicaments traditionnels ne peut pas être considérée comme absolument satisfaisante. Même la réussite de l’artémisine traduit surtout un véritable autocontournement du droit des brevets. L’adaptation de la médecine et de la pharmacopée d’origine non-occidentale aux réalités d’un droit contemporain, élaboré quant à lui dans un univers occidental, suppose certainement un effort des Etats demandeurs, mais il appelle aussi à une réflexion critique sur les solutions juridiques actuelles, notamment pour ce qui a trait au droit de la propriété intellectuelle, qui peuvent et doivent évoluer
Eric Gasparini, Droits de l’homme et colonies: de la mission de civilisation au droit à l’autodétermination : actes des Colloques des 16 et 17 octobre 2013 et 21 et 22 octobre 2014, Université Grenoble-Alpes, Aix-Marseille Université, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2017, Collection d'histoire des idées et des institutions politiques, 515 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et histoire des institutions, 7e éd., Gualino, une marque de Lextenso, 2017, Master, 407 p.
Eric Gasparini, François Quastana, Emmanuelle Pachter (dir.), Mélanges en l'honneur du professeur Michel Ganzin, Éditions la Mémoire du droit, 2016, 1061 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et histoire des institutions, 6e éd., Gualino et Lextenso éditions, 2015, Master, 405 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et histoire des institutions, 5e éd., Gualino-Lextenso éditions, 2013, 407 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et histoire des institutions, 4e éd., Gualino et Numilog, 2011, Fac universités ( Master pro ), 391 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et aux institutions, 3e éd., Gualino-Lextenso éd., 2009, Fac universités ( Master pro ), 423 p.
Eric Gasparini, Patrick Charlot, Patrick Charlot (dir.), La femme dans l’histoire du droit et des idées politiques, Editions universitaires de Dijon, 2008, Institutions, 240 p.
Il est difficile de penser l'égalité, juridique, politique ou sociale et de l'appliquer à des personnes différentes. Cet ouvrage cherche à comprendre comment, à certaines périodes et devant certaines situations, le droit justifie les différences de traitement entre les hommes et les femmes. L'histoire politique et juridique de la femme montre ainsi que le droit peut être un instrument de lutte pour l'égalité, du moins contribuer à réduire les inégalités.
Eric Gasparini (dir.), Le juge et l’outre-mer , Centre d'histoire judiciaire, 2007, 248 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et aux institutions, 2e éd., Gualino, 2007, Fac universités ( Manuels ), 423 p.
Eric Gasparini, Bernard Durand (dir.), Le juge et l'Outre-mer, Publication du Centre d'histoire judiciaire, 2007, Histoire de la justice, 248 p.
Eric Gasparini, Éric Gojosso, Introduction historique au droit et aux institutions, Gualino, 2005, Fac universités ( Manuels ), 423 p.
Eric Gasparini, Olivier Tholozan, QCM histoire des idées politiques, Gualino, 1999, Collection QCM, 159 p.
Eric Gasparini, La pensée politique d'Hippolyte Taine: entre traditionalisme et libéralisme, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 1993, Collection d'histoire des idées politiques, 450 p.
Eric Gasparini, Michel Ganzin, La pensée politique d'Hippolyte Taine: entre Traditionnalisme et Libéralisme, Atelier national de reproduction des thèses, Université Lille 3, 1992, Lille-thèses, 532 p.
TAINE ( 1828-1893 ), HISTORIEN ET POLITOLOGUE DU XIXE SIECLE, ASSOCIE HISTOIRE ET POLITIQUE, TRADITION ET NATION, ET RELANCE LE COURANT DE PENSEE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE ET TRADITIONALISTE. DISCIPLE DE SPINOZA ET DE HEGEL, IL LAICISE LE TRADTIONALISME EN REJETANT LA REFERENCE A DIEU POUR LE PRIMAT DE LA SCIENCE. COMTISME, POSITIVISME ANGLAIS DE STUART MILL ET BUCKLE, SCIENTISME, NATURALISME ET DARWINISME LE CONDUISENT A ADOPTER UNE METHODE HISTORIQUE DETERMINISTE REPOSANT SUR LES CONCEPTS DE "RACE, MILIEU ET MOMENT". DE CETTE METHODE, TAINE ENTEND FONDER UNE SCIENCE DE LA POLITIQUE NATURELLE, HISTORIQUE ET EXPERIMENTALE. PAR AILLEURS, LA PENSEE POLITIQUE DE TAINE EST DE TYPE DUALISTE, ENTRE TRADITIONALISME ET LIBERALISME. TAINE POSE LA QUESTION DE LA PLACE DE L'INDIVIDU FACE AU POUVOIR. IL SE MONTRE LIBERAL EN PRECONISANT UNE MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE ET UN REGIME PARLEMENTAIRE. FACE A L'ETAT, QU'IL SOUHAITE LIMITE, IL DEFENT LES DROITS ET LES LIBERTES DE L'INDIVIDU. IL PROPOSE D'AMENAGER LE SUFFRAGE UNIVERSEL EN LE RENDANT INDIRECT MAIS ACCEPTE CEPENDANT LA FORCE DU NOMBRE. LA PENSEE POLITIQUE DE TAINE APARAIT AINSI TRES ORIGINALE; C'EST CE QUE MONTRE SA POSTERITE PUISQU' ELLE INSPIRE LES PENSEURS NATIONALISTES COMME BARRES MAIS EGALEMENT LES HOMMES DE GAUCHE DE LA IIIE REPUBLIQUE COMME HERRIOT ET BLUM
Eric Gasparini, « Avant-Propos à Fabien GALLINELLA, La République des Girondins – La pensée constitutionnelle d’une mouvance politique sous la Révolution », La République des Girondins – La pensée constitutionnelle d’une mouvance politique sous la Révolution,, 2023
Eric Gasparini, « Avant-Propos »: Actes du colloque du CERHIIP (Aix-en-Provence 13-14 décembre 2018), Présider la République, PUAM, 2021, pp. 9
Eric Gasparini, « Instruire l'élite : Hippolyte Taine et Emile Boutmy promoteurs de l'Ecole libre des sciences politiques en 1871 », Association française des historiens des idées politiques, Education des citoyen, éducation des gouvernants, Actes du XXVIIe colloque international de l'AFHIP, PUAM, 2020
Eric Gasparini, « Le mandat français sur le Togo durant l’entre-deux guerres : une nouvelle méthode d'administration coloniale à l’ombre de l’arbitrage international ? », Des racines du droit et des contentieux. Mélanges en l’honneur du professeur Jean Louis Mestre, L'Epitoge, Lextenso, 2020
Eric Gasparini, « La podestatie dans les statuts communaux de Bonifacio : une institution coloniale dans la Corse gênoise du Moyen Age. », Mélanges en l'honneur du professeur Jean-Ives Coppolani, La mémoire du droit, 2018
Eric Gasparini, Martial Mathieu, « Préface », in Alexandre Deroche, Éric Gasparini, Martial Mathieu (dir.), Droits de l’homme et colonies : de la mission de civilisation au droit à l’autodétermination : actes des Colloques des 16 et 17 octobre 2013 et 21 et 22 octobre 2014, Université Grenoble-Alpes, Aix-Marseille Université, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2017, pp. 7-8
Eric Gasparini, Jean-Philippe Agresti, « La conciliation de l’hostilité au divorce et de son nécessaire maintien dans la pensée de Portalis »: Actes du colloque de l’AFHIP (Dijon, 21-22 mai 2015), Pensée politique et famille, PUAM, 2016
François Quastana, préfacier , La Pensée républicaine: actes du XXVIIIe colloque international de l'AFHIP (19 et 20 mai 2022, Lyon), Presses Universitaires d'Aix-Marseille - PUAM, 2025, Collection d'histoire des idées politiques, 451 p.
Dès l'Antiquité, la pensée républicaine se construit notamment à travers la philosophie politique aristotélicienne qui associe les idées de liberté, d'égalité et d'utilité commune à celle de cité. Le Moyen Âge apporte sa contribution à la formation de la pensée républicaine tant parle développement de l'idée de res publica comme une « monarchie républicaine », que par les cités-États italiennes. À son tour, le siècle des Lumières contribue à l'enrichissement du concept, et constitue un héritage que les révolutionnaires consacreront et honoreront en développant une pensée républicaine en opposition à la monarchie, tout en élaborant une théorie de la liberté. L'avènement de la Première République française parachève ce processus, et tend peu à peu à assimiler république et démocratie. Dès lors, l'étude de la pensée républicaine constitue un riche et vaste champ de réflexion. Elle suppose, d'une part, de se pencher sur le concept même de république, notamment lorsqu'elle n'est pas encore actée institutionnellement. En effet, il existe bien un républicanisme avant la république dans la mesure où une importante part de la pensée républicaine se développe en amont de son avènement. D'autre part, une fois ce régime instauré, il s'agit de procéder à une analyse des principes de l'État républicain qui cherche à se définir et à se pérenniser. Sous les différents régimes républicains, la pensée républicaine a alors pour finalité une légitimation et une consolidation du régime à travers différents thèmes. Toutefois, l'étude de la pensée républicaine ne peut se borner au seul domaine français. Le républicanisme trouve aussi ses racines dans les expériences étrangères et, si les républicains français ont cherché à construire leur propre modèle, ces influences ne peuvent être ignorées.
Gérard Larcher, préface à Fabien Gallinella, La république des Girondins: la pensée constitutionnelle d'une mouvance politique sous la Révolution, Dalloz et Dalloz, 2023, Bibliothèque parlementaire et constitutionnelle, 757 p.
Comment crée-t-on une république ? Comment, dans une période troublée - celle de la Révolution française - et à partir de presque rien, des députés novices sont-ils parvenus à créer le premier projet constitutionnel républicain de notre histoire ? À l'été 1792, lorsque chutent Louis XVI et la monarchie constitutionnelle, une Convention nationale est élue. Le contexte est chaotique : en guerre avec l'Europe, la France devient, par la force des choses, une république. Un régime nouveau qui se veut inédit, en rupture avec la monarchie. Un régime qui doit se trouver une constitution. Parmi les membres de la Convention nationale, les girondins vont être les premiers à présenter un projet de constitution. Ce projet de février 1793 porté par les girondins matérialise leur pensée républicaine mûrie depuis longtemps et avec ses caractéristiques propres. Quel aurait été le visage de cette république si elle avait vécu ? En quoi incarne-t-elle une certaine vision du républicanisme ? Quelles sont les erreurs qui ont conduit cette constitution et ses promoteurs à leur perte ? C'est à l'ensemble de ces questions que le présent ouvrage propose de répondre. Une plongée dans la France révolutionnaire et dans une partie méconnue de notre histoire politique.
Jean-Louis Mestre, préface à Jérôme Henning, Le radicalisme d'Édouard Herriot et la crise des institutions, 1905-1954, Dalloz, 2019, Bibliothèque parlementaire et constitutionnelle, 671 p.
Présentation de l'éditeur : "Entre 1905 et 1954, Édouard Herriot incarne l’une des tendances principales du radicalisme français. De la mairie de Lyon à la présidence du Conseil, Édouard Herriot rassemble autour de ses idées une nouvelle génération d’élus pour lesquels la République constitue le régime définitif de la France. En rupture avec la doctrine radicale de la fin du XIXe siècle qui faisait de la révision constitutionnelle un des points de son programme, le radicalisme d’Édouard Herriot accepte définitivement les lois de 1875. Dès lors, malgré la crise des institutions qui caractérise le début du XXe siècle, Herriot tente de préserver le modèle républicain formé à la fin XIXe siècle. Selon lui, les institutions politiques et administratives républicaines doivent être modernisées pour correspondre aux promesses du régime républicain en faveur de la démocratie et de l’application de la science à la politique. Jusqu’en 1926, la tendance radicale menée par Herriot se caractérise par une volonté de refaire la République. Après 1926, contre les différents réformismes qui abordent le problème de la crise institutionnelle, Édouard Herriot et ses partisans résisteront favorisant ainsi la paralysie du régime. Enfin face à la Seconde guerre mondiale et au début de la Quatrième République, ils tenteront, avec moins de succès cette fois, de rétablir ce qu’ils considèrent être la tradition républicaine. Cet itinéraire politique d’un homme et d’un groupe de partisans participant aux principales fonctions de l’État pendant près de cinquante ans permet de comprendre la permanence et les ressorts de la crise institutionnelle française au XXe siècle. Au-delà du Parti radical lui-même, il s’agit de préciser l’importance du processus d’interprétation de la norme constitutionnelle par une force politique de Gouvernement et son influence dans l’évolution des institutions"
Christian Bruschi, préface à Hugo Stahl, Résoudre les divisions religieuses et maintenir l'ordre provincial sous le règne de Louis XV: la contribution des parlementaires provençaux, Institut francophone pour la justice et la démocratie, 2019, Collection des thèses, 784 p.
Christian Bruschi, préface à Caroline Regad, Les juristes de Louis XIII et de Richelieu: théoriciens de l'État, LGDJ, une marque de Lextenso, 2018, Bibliothèque d'histoire du droit et droit romain, 474 p.
La 4ème de couv. indique : "Mesurer l'absolu : voilà toute la force de la pensée imprimée par les juristes de Louis XIII et de Richelieu à la monarchie, eux qui contribuent de manière significative à la construction de l'Etat par le droit. Les successeurs des Légistes et des Politiques précisent le fondement, le critère et l'étendue de l'absolu qu'ils se doivent désormais de mesurer. La souveraineté est au coeur du processus : elle est déployée sous la forme d'une véritable arme de combat dans une sorte de théologie politique exposée par les juristes. Conscients que dans le cadre de la monarchie mesurée, il faut poser des repères, les juristes du pouvoir fort utilisent le droit de manière instrumentale pour contribuer à l'affermissement du roi et de l'Etat. Si, a priori, définir, c'est contenir, les juristes se réservent une possibilité d'extension continue es droits, pour peu que la thèse qu'ils défendent l'exige. Pour autant, l'histoire du règne de Louis XIII est bien celle du passage des droits du roi à un droit de l'Etat."
Jean Gicquel, préface à Samuel Sanchez, Les règlements des Assemblées nationales 1848-1851: naissance du droit parlementaire moderne, Dalloz, 2012, Nouvelle Bibliothèque de Thèses, 784 p.
Jean-Louis Thireau, préface à Julien Broch, L'école des politiques, 1559-1598: la contribution des juristes et publicistes français à la construction de l'État royal, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2012, Collection d'histoire des idées et des institutions politiques, 527 p.
Eric Gasparini, préface à Gilles Ascaride, Corine Spagnoli-Bègue, Philippe Vitale, Tristes tropiques de la Creuse, Éditions K' A, 2004, 211 p.
Eric Gasparini, « René Cassin, 1914-1948 : les années décisives », le 23 mai 2024
Colloque organisé sous la direction scientifique de Julien Broch, Centre d'études et de recherches d'histoire des idées et des institutions politiques (CERHIIP, UR 2186), Aix-Marseille Université.
Eric Gasparini, « Paul Morand et la question coloniale, entre histoire du droit et littérature », le 08 décembre 2023
Journée d’étude organisée par le CERHIIP, Faculté de droit, Aix-Marseille Université, l'Université de Tours et le Centre d'éthique économique et des affaires.
Eric Gasparini, « Le travail sur le métier des idées politiques », le 14 septembre 2023
XXIXe colloque organisé par l'Association Française des Historiens des Idées Politiques en partenariat avec le CREHIIP, Université d'Aix-Marseille sous la direction scientifique de Nicole Dockès, Pr. honoraire, Université Jean Moulin Lyon III ; Norbert Olszak, Pr. Université Paris Panthéon-Sorbonne et Olivier Vernier, Pr. Université Nice Côte d’Azur
Eric Gasparini, « La terre au-delà des mers (situations coloniale et postcoloniale) », le 07 septembre 2023
Colloque organisé par l'IHD - Institut d’Histoire du Droit, Université de Poitiers sous la direction scientifique de Eric Gojosso, Professeur d’Histoire du droit à l’Université de Poitiers, Directeur de l’Institut d’Histoire du droit
Eric Gasparini, « Enseigner le droit hors des frontières nationales (XIXe-XXe siècles) », le 30 septembre 2022
3e journée d’études « Enseignants de droit hors de métropole » organisée par le Centre Lyonnais d'Histoire du Droit et de la Pensée Politique sous la direction scientifique de Frédéric Audren, CNRS, École de droit de Sciences Po, Isabelle Giraudou, University of Tokyo, Jean-Louis Halpérin, ENS, Guillaume Tronchet, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Emmanuelle Picard, ENS Lyon.
Eric Gasparini, « Juristes et réformes », le 04 mai 2022
Journée des doctorants de l'ED67, organisée en partenariat avec la Faculté de Droit et de Science Politique d'Aix-Marseille et avec le soutien de la Fédération de recherche "Droits, Pouvoirs et Sociétés" (FED 4280)
Eric Gasparini, « Mettre par écrit les coutumes », le 24 novembre 2021
Eric Gasparini, « Le droit et les savoirs d’Etat dans les encyclopédies et les dictionnaires du XVIIIe siècle », le 18 novembre 2021
Journées organisées pour le Centre d'Etudes et de Recherche d'Histoire des Institutions des Idées Politiques (CERHIIP UR 2186) de l'Université d'Aix-Marseille par Eric Gasparini et François Quastana
Eric Gasparini, « La pensée républicaine », le 09 septembre 2021
Colloque organisé à l'Université Lyon 3, sous le Haut-patronage de Bruno Lasserre, Vice-Président du Conseil d’État.
Eric Gasparini, « Le droit et l'innovation sociale », le 18 juin 2021
Troisième édition de la Journée des doctorants organisée par la Faculté de droit et de science politique et l’École doctorale "Sciences juridiques et politiques" (ED 67) avec le soutien de la Fédération de recherche "Droits, Pouvoirs et Sociétés" (FED 428
Eric Gasparini, « Abroger, conserver ou trier : que faire du droit privé étranger dans un territoire libéré ? », le 06 novembre 2020
Organisé pour l’axe Théorie et histoire des systèmes juridiques de l’IODE (UMR CNRS 6262) et du Lab-Lex Université Bretagne Sud par Sylvain Soleil, Université de Rennes 1 et Romain Bareau, Université Bretagne Sud
Eric Gasparini, « Domination économique et Antiquité », le 15 octobre 2020
Cycle de conférences 2020-2021 organisé par le Centre d’études Internationales sur la Romanité (CEIR - EA 4227), La Rochelle Université.
Eric Gasparini, « Le droit comparé des pays de succession coloniale française, quelle place pour l’historien du droit ? », le 18 septembre 2020
Rencontre organisée par l’Axe « Normes » et « Droit Comparé » du Centre de Recherches sur les Sociétés et Environnements en Méditerranées (CRESEM) - EA 7397 UPVD, en partenariat avec le Labex Archimède.
Eric Gasparini, « Les Avocats et les Principes », le 19 mars 2020
Colloque organisé par le CERHIIP (Aix-Marseille Université), avec le soutien des Barreaux d'Aix et de Marseille, ainsi que de la Société Internationale d'histoire de la Profession d'Avocat.
Eric Gasparini, « Education des citoyens, éducation des gouvernants », le 19 septembre 2019
XVIIe colloque international de l’Association Française des Historiens des Idées Politiques (AFHIP)
Eric Gasparini, « Repenser la démocratie et ses formes d’expression », le 07 juin 2019
Journée des doctorants de l'ED 67 - Sciences juridiques et politiques, avec le soutien de la Fédération de recherche Droits, Pouvoirs et Sociétés.
Eric Gasparini, « Les obligations royales », le 04 juin 2019
Colloque organisé par l'IHD (Poitiers) et le CESR (Tours, CNRS), dans le cadre du programme ARC Licianum.
Eric Gasparini, « Présider la République », le 13 décembre 2018
Eric Gasparini, « Droit et civilisation en Méditerranée : vers une culture juridique commune ? », le 03 octobre 2018
10e édition organisée par l’École doctorale des juristes méditerranéens (EDJM) en partenariat avec l’École doctorale de droit du Moyen-Orient (EDDMO) avec le soutien de l'AUF et de la Fédération de recherche "Droits, Pouvoirs et Sociétés"
Eric Gasparini, « Les mutations de la justice », le 22 juin 2018
Eric Gasparini, « Pensée politique et propriété », le 17 mai 2018
Eric Gasparini, « Diversité culturelle et identités culturelles dans les espaces francophones : antinomie ou complémentarité ? », le 13 avril 2018
Organisé sous la Responsabilité scientifique des Professeurs Didier Baisset, et Albert Lourde
Eric Gasparini, « La personnalité juridique de l'animal (I) », le 29 mars 2018
Eric Gasparini, « L’octroi de la nationalité et de la citoyenneté françaises dans les colonies : aspects théoriques et expériences pratiques », le 30 novembre 2017
Eric Gasparini, « Joseph Louis Elzéar Ortolan, juriste toulonnais, français et européen », le 16 novembre 2017
Eric Gasparini, « Aux limites du droit », le 16 avril 2014
Eric Gasparini, « L’Histoire du droit en France. Nouvelles tendances, nouveaux territoires », le 28 janvier 2013
Eric Gasparini, « Du lieutenant criminel au juge d’instruction », le 11 janvier 2013
Eric Gasparini, « L'influence politique et juridique des îles Britanniques en Europe », le 16 septembre 2010