Jean-Christophe Galloux

Professeur
Droit privé et sciences criminelles.
Université Paris Panthéon-Assas

Institut de Recherche en Propriété Intellectuelle

Responsabilités administratives et scientifiques :

  • THESE

    Essai de définition d'un statut juridique pour le matériel génétique, soutenue en 1988 à Bordeaux 1 sous la direction de Jean-Marie Auby 

  • Jean-Christophe Galloux, Stéphane Guerlain, Emmanuel Potdevin, Dariusz Szleper, Thierry Mollet-Viéville [et alii], L'activité inventive: De la loi de 1968 à la JUB, un demi-siècle d'évaluation de l'activité inventive en France et en Europe : bilan et perspectives, IRPI, 2019   

    Jean-Christophe Galloux, Jacques Azéma, Droit de la propriété industrielle, Dalloz, 2017, Précis, 1316 p.  

    Présentation de l'éditeur : "Depuis la 7e édition datée de 2012 la matière s'est enrichie de nombreux éléments. Tout d'abord la fin de l'année 2012 a vu l'adoption du "paquet brevet" comportant deux règlements et une convention mettant en place la Juridiction Unifiée du Brevet au plan europeen. Tout récemment a été publié fin décembre 2015 le "paquet marque" composé d'une nouvelle directive d'harmonisation que les Etats membres devront transposer et d'une importante modification du règlement sur la marque communautaire appelée désormais marque européenne. Enfin les moyens de lutte contre la contrefaçon ont été améliorés au plan communautaire par la promulgation en 2013 d'un nouveau règlement sur le concours des autorités douanières et en droit interne par la loi du 11 Mars 2014 modifiant et complétant sur ce point les dispositions du Code de la Propriété intellectuelle"

    Jean-Christophe Galloux, Jacques Azéma (dir.), Droit de la propriété industrielle, 7e éd., Dalloz, 2012, Précis ( Droit privé ), 1109 p. 

    Jean-Christophe Galloux, Alain Girardet (dir.), L'efficacité des mesures de lutte contre la contrefaçon, Société de législation comparée, 2006, Colloques, 152 p. 

    Jean-Christophe Galloux, Jacques Azéma (dir.), Droit de la propriété industrielle, 6e éd., Dalloz, 2006, Précis ( Droit privé ), 964 p. 

    Jean-Christophe Galloux, Droit de la propriété industrielle, 2e éd., Dalloz, 2003, Cours Dalloz ( Série Droit privé ), 607 p. 

    Jean-Christophe Galloux, Droit de la propriété industrielle, Dalloz, 2000, Cours Dalloz ( Série droit privé ), 507 p.   

    Jean-Christophe Galloux, Le Contentieux informatique: essai de définition des obligations contractuelles en matière de prestation informatique, 1983, 88 p. 

  • Jean-Christophe Galloux, « Article 13 - Liberté des arts et des sciences », La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Commentaire article par article, 3e édition, Bruylant, 2023 

    Jean-Christophe Galloux, « La déjudiciarisation du contentieux de la propriété intellectuelle », in Jean-Christophe Galloux (dir.), Les propriétés intellectuelles en mouvements, IRPI, 2023 

    Jean-Christophe Galloux, « Some shortcomings of the UPC system », Unitary Patent Package & Unified Patent Court : Problems, Possible Improvements and Alternatives, Ledizioni, 2023, pp. 164-182 

    Jean-Christophe Galloux, « The role of EPO boards of appeal in shaping of patent law in Europe », in Paul Torremans (dir.), Europe Patent Law handbook, Oxford University Press, 2023 

    Jean-Christophe Galloux, « Les relations du droit de l’Union et du droit européen des brevets », Mélanges en l'honneur du Professeur Gilbert Parleani, IRJS, 2021, pp. 175-197 

    Jean-Christophe Galloux, « Que donne-t-on quand on donne ? », Que vaut le corps humain ?, CERF, 2020 

    Jean-Christophe Galloux, « Les ressources naturelles appropriées : l’exemple du vivant breveté », in Laurent Leveneur (dir.), Les nouveaux biens, Dalloz, 2020 

    Jean-Christophe Galloux, « L’histoire extravagante des pièces de rechange automobile en droit français », Penser le droit de la pensée : mélanges en l'honneur de Michel Vivant, Dalloz, 2020, pp. 169-187 

    Jean-Christophe Galloux, « Article 13 - Liberté des arts et des sciences », La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Commentaire article par article, 2e édition, Bruylant, 2019 

    Jean-Christophe Galloux, « Dialogue entre le droit du travail et les propriétés intellectuelles », Mélanges en l'honneur du professeur Bernard Teyssié, LexisNexis, 2019, pp. 169-186 

    Jean-Christophe Galloux, « La progression du critère de l'activité inventive en droit français », L'activité inventive : De la loi de 1968 à la JUB, un demi-siècle d'évaluation de l'activité inventive en France et en Europe : bilan et perspectives, 2019, pp. 19 

    Jean-Christophe Galloux, « Article 13 - Liberté des arts et des sciences », La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Commentaire article par article, 1re édition, Bruylant, 2018 

    Jean-Christophe Galloux, « L’esquisse d’un statut juridique du corps humain par la notion de vie privée sous la plume de la CEDH », Mélanges en l'honneur du professeur Patrick A. Molinari, Thémis, 2018, pp. 322-351 

  • Jean-Christophe Galloux, préfacier , Vers une rénovation de la propriété intellectuelle ?, LexisNexis, 2013, Collection de l'Institut de recherche en propriété intellectuelle ( Série colloques ), 171 p. 

  • Jean-Christophe Galloux, « Traité de l'Organisation mondiale de la propriété industrielle (OMPI) sur la propriété intellectuelle, les ressources génétiques et les savoirs traditionnels associés, adopté par la conférence diplomatique de l'OMPI le 24 mai 2024 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2024, n°03, p. 609   

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2024, n°28, p. 1388   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2024, n°17, p. 843   

    Jean-Christophe Galloux, « Les premières décisions de la Juridiction unifiée du brevet (JUB) », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2024, n°01, p. 79   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevet : la juridiction unifiée du brevet (JUB) fait ses débuts et les inventions de stagiaires ou de salariés continuent de surprendre », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2023, n°03, p. 605   

    Jean-Christophe Galloux, « La prescription de la rémunération supplémentaire due au titre des inventions de mission », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2023, n°03, p. 616   

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2023, n°27, p. 1375   

    Jean-Christophe Galloux, « Droit des créations techniques », Propriétés intellectuelles, 2023, n°88, p. 86 

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2023, n°16, p. 807   

    Jean-Christophe Galloux, « Le paquet dessins ou modèles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2023, n°01, p. 68   

    Jean-Christophe Galloux, « Les exceptions de brevetabilité – La brevetabilité des inventions mises en œuvre par ordinateur », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2023, n°01, p. 73   

    Jean-Christophe Galloux, « La défense des droits. Interdiction provisoire », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2023, n°01, p. 77   

    Jean-Christophe Galloux, « Saisie-contrefaçon et secret des affaires », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2023, n°01, p. 82   

    Jean-Christophe Galloux, « Vingt ans d'expériences juridictionnelles en propriété intellectuelle », Propriétés intellectuelles, 2022, n°81, pp. 56-59 

    Jean-Christophe Galloux, « Réformes récentes en matière de propriété industrielle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2022, n°03, p. 505   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevets », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2022, n°03, p. 513   

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2022, n°28, p. 1433   

    Jean-Christophe Galloux, « L'appel et les recours contre les décisions du directeur général de l'INPI », Dalloz IP/IT : droit de la propriété intellectuelle et du numérique, 2022, n°05, p. 251   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2022, n°16, p. 808   

    Jean-Christophe Galloux, Bertrand Warusfel, « Droit des créations techniques », Propriétés intellectuelles, 2022, n°83, pp. 99-110 

    Jean-Christophe Galloux, Nicolas Rontchevsky, Yves Reinhard, « Jacques Azéma », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2022, n°01, p. 3   

    Jean-Christophe Galloux, « Loi no 2021-1104 du 22 août 2021, portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2022, n°01, p. 37   

    Jean-Christophe Galloux, « La mise en place de l'application provisoire de l'accord sur la juridiction unifiée du brevet (PAP), 19 janvier 2022 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2022, n°01, p. 47   

    Jean-Christophe Galloux, « Perspectives en propriété intellectuelle », Revue de droit d'Assas, 2022, n°23, pp. 141-145 

    Jean-Christophe Galloux, « L’irruption de l’information et des données génétiques dans le champ du droit », Droit, Santé et Société , 2022, n°1, pp. 5-9 

    Jean-Christophe Galloux, André Lucas, Pierre Sirinelli, Pierre-Yves Gautier, Yann Basire [et alii], « Numéro anniversaire - 20 ans de PI ! », Propriétés intellectuelles, 2021, n°81 

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2021, n°27, p. 1442   

    Jean-Christophe Galloux, « Accord de commerce et de coopération entre l'Union européenne et la communauté européenne de l'énergie atomique, d'une part, et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, d'autre part », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2021, n°01, p. 57   

    Jean-Christophe Galloux, « Le droit de priorité en matière de brevet d'invention », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2021, n°01, p. 63   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2021, n°14, p. 762   

    Jean-Christophe Galloux, Alexandra Mendoza-Caminade, « Pour une politique du brevet au service de la santé publique », La Semaine juridique. Édition générale, 2021, n°11, pp. 494-495 

    Jean-Christophe Galloux, Aurélie Mahalatchimy, « Réflexions prospectives sur l'économie du trans-humanisme », Droit, Santé et Société , 2021, n°3, pp. 82-87     

    Jean-Christophe Galloux, « La licence d'office », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2020, n°03, p. 601   

    Jean-Christophe Galloux, « La retenue en douane (ou retenue contrefaçon) », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2020, n°03, p. 603   

    Jean-Christophe Galloux, « La réparation du prétendu contrefacteur », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2020, n°03, p. 614   

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2020, n°28, p. 1588   

    Jean-Christophe Galloux, « Libres propos sur le droit d'accès aux données », Propriétés intellectuelles, 2020, n°76, pp. 11-19   

    Jean-Christophe Galloux, Christian Derambure, Bertrand Warusfel, « Droit des créations techniques », Propriétés intellectuelles, 2020, n°76, pp. 124-142 

    Jean-Christophe Galloux, « La réforme du droit français des brevets », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2020, n°01, p. 31   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2020, n°13, p. 735   

    Jean-Christophe Galloux, « Règlement (UE) 2019/933 du Parlement européen et du Conseil du 20 mai 2019 modifiant le règlement (CE) n° 469/2009 concernant le certificat complémentaire de protection pour les médicaments », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2019, n°03, p. 633   

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2019, n°28, p. 1578   

    Jean-Christophe Galloux, Bertrand Warusfel, Christian Derambure, « Droit des créations techniques », Propriétés intellectuelles, 2019, n°70, p. 92 

    Jean-Christophe Galloux, « Le décret d'application de la loi du 30 juillet 2018 relative à la protection du secret des affaires », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2019, n°01, p. 80   

    Jean-Christophe Galloux, « La Cour de cassation précises les préjudices moral et économique et matière de contrefaçon », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2019, n°01, p. 88   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2019, n°13, p. 725   

    Jean-Christophe Galloux, « Secret des affaires et propriété intellectuelle », Dalloz IP/IT : droit de la propriété intellectuelle et du numérique, 2018, n°12, p. 666   

    Jean-Christophe Galloux, « La transposition de la directive sur les secrets d'affaires », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2018, n°03, p. 643   

    Jean-Christophe Galloux, « L'identification des secrets des affaires », Propriété industrielle, 2018, n°9, pp. 12-19   

    Jean-Christophe Galloux, Pascal Kamina, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2018, n°28, p. 1566   

    Jean-Christophe Galloux, « La prescription de l'action en contrefaçon de brevet », Propriétés intellectuelles, 2018, n°68, pp. 23-27   

    Jean-Christophe Galloux, « L'ordonnance du 9 mai 2018 et le décret du 31 mai 2018 relatifs au brevet européen à effet unitaire et à la juridiction unifiée du brevet », Recueil Dalloz, 2018, n°23, p. 1276   

    Jean-Christophe Galloux, « Les inventions susceptibles d'intéresser la défense nationale », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2018, n°01, p. 79   

    Jean-Christophe Galloux, « Actualité jurisprudentielle en matière de brevets, dessins et modèles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2018, n°01, p. 83   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2018, n°14, p. 765   

    Jean-Christophe Galloux, Bertrand Warusfel, Christian Derambure, « Droit des créations techniques », Propriétés intellectuelles, 2018, n°67, p. 81 

    Jean-Christophe Galloux, « Mesures probatoires en matière de contrefaçon », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2017, n°03, p. 611   

    Jean-Christophe Galloux, « L'adoption de la directive sur les secrets d'affaires », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2017, n°01, p. 59   

    Jean-Christophe Galloux, Bertrand Warusfel, Christian Derambure, « Droit des créations techniques », Propriétés intellectuelles, 2017, n°63, p. 96 

    Jean-Christophe Galloux, « L'obligation de divulgation de l'origine des ressources génétiques dans les demandes de brevet », Revue de l'Union européenne, 2017, n°605, p. 68   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2017, n°14, p. 781   

    Jean-Christophe Galloux, Jean Lapousterle, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2017, n°28, p. 1626   

    Jean-Christophe Galloux, Jean Lapousterle, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2016, n°28, p. 1673   

    Jean-Christophe Galloux, « Le silence gardé par l'administration pendant deux mois vaut décision implicite d'acceptation », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2016, n°01, p. 87   

    Jean-Christophe Galloux, « L'activité inventive en matière de brevets : l'équipe d'hommes du métier », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2016, n°01, p. 89   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2016, n°13, p. 752   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi Macron et la propriété industrielle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2015, n°03, p. 497   

    Jean-Christophe Galloux, « Création et disparition d'instances de la propriété industrielle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2015, n°03, p. 498   

    Jean-Christophe Galloux, « Le principe de Silence de l'administration vaut rejet en propriété industrielle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2015, n°03, p. 503   

    Jean-Christophe Galloux, Jean Lapousterle, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2015, n°29, p. 1662   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les creations nouvelles. Droit des brevets », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2015, n°01, p. 93   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2015, n°13, p. 755   

    Jean-Christophe Galloux, Jean Lapousterle, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2014, n°38, p. 2207   

    Jean-Christophe Galloux, « Les lois n° 2014-315 du 11 mars 2014 renforçant la lutte contre la contrefaçon et n° 2014-344 du 17 mars 2014, relative à la consommation », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2014, n°03, p. 579   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2014, n°01, p. 87   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2014, n°14, p. 843   

    Jean-Christophe Galloux, « Législation : le brevet européen à effet unitaire et l'Accord relatif à une juridiction unifiée du brevet (19 avril 2013) », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2013, n°02, p. 243   

    Jean-Christophe Galloux, Jean Lapousterle, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2013, n°28, p. 1924   

    Jean-Christophe Galloux, « La Cour suprême des Etats-Unis revient sur la brevetabilité des gènes humains », Recueil Dalloz, 2013, n°27, p. 1888   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2013, n°10, p. 663   

    Jean-Christophe Galloux, « Le brevet européen à effet unitaire : un volapük juridique intégré ? », Recueil Dalloz, 2013, n°08, p. 520   

    Jean-Christophe Galloux, « Obtentions végétales », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2013, n°04, p. 751   

    Jean-Christophe Galloux, « L'embryon communautaire », Recueil Dalloz, 2012, n°06, p. 410   

    Jean-Christophe Galloux, « Compétence d'attribution du contentieux de la propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2011, n°03, p. 531   

    Jean-Christophe Galloux, « La portée d'un certificat complémentaire de protection », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2011, n°03, p. 532   

    Jean-Christophe Galloux, « L'indemnisation du prétendu contrefacteur à la suite de l'annulation du brevet qu'on lui opposait », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2011, n°03, p. 537   

    Jean-Christophe Galloux, « Les compétences respectives du juge des référés et du juge de la mise en état pour le prononcé de mesures provisoires en matière de contrefaçon », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2011, n°03, p. 539   

    Jean-Christophe Galloux, « Droit sur les créations nouvelles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2011, n°01, p. 81   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles. Législation. Au plan communautaire », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2010, n°01, p. 94   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles. Législation. Au plan national », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2010, n°01, p. 96   

    Jean-Christophe Galloux, « Jurisprudence. Certificats d'obtention végétale », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2010, n°01, p. 99   

    Jean-Christophe Galloux, « Inventions de salariés », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2010, n°01, p. 101   

    Jean-Christophe Galloux, « Certificat complémentaire de protection en matière pharmaceutique », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2010, n°01, p. 103   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2010, n°10, p. 604   

    Jean-Christophe Galloux, « Non à l'embryon industriel : le droit européen des brevets au secours de la bioéthique ? », Recueil Dalloz, 2009, n°09, p. 578   

    Jean-Christophe Galloux, « Les dispositions de la loi n° 2008-776 du 4 août 2008 de modernisation de l'économie relatives a la propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2008, n°04, p. 720   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2008, n°03, p. 529   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevet. Certificats complémentaires de protection », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2008, n°03, p. 537   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 de lutte contre la contrefaçon », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2008, n°02, p. 278   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2008, n°21, p. 1435   

    Jean-Christophe Galloux, « Les mesures probatoires, provisoires et conservatoires », Recueil Dalloz, 2008, n°11, p. 711   

    Jean-Christophe Galloux, « A propos de l'application dans le temps de la loi n° 2007-1544 du 29 octobre 2007 de lutte contre la contrefaçon », Recueil Dalloz, 2008, n°05, p. 302   

    Jean-Christophe Galloux, « La protection conférée par deux certificats complémentaires de protection ne peut se recouper », Recueil Dalloz, 2007, n°32, p. 2278   

    Jean-Christophe Galloux, « Dessins et modèles communautaires », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 515   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevet communautaire : Communication de la Commission au Parlement européen et au Conseil », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 516   

    Jean-Christophe Galloux, « Projet de loi de lutte contre la contrefaçon », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 518   

    Jean-Christophe Galloux, « Loi n° 2007-248 du 26 février 2007 portant diverses dispositions d'adaptation au droit communautaire dans le domaine du médicament », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 518   

    Jean-Christophe Galloux, « Décret n° 2007-280 du 1er mars 2007 modifiant le code de la propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 518   

    Jean-Christophe Galloux, « Décret n° 2007-410 du 22 mars 2007 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 521   

    Jean-Christophe Galloux, « Décret n° 2007-731 du 7 mai 2007 relatif aux personnes qualifiées en matière de propriété industrielle et modifiant le code de la propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 521   

    Jean-Christophe Galloux, « L'importance de la description », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 522   

    Jean-Christophe Galloux, « Les certificats complémentaires de protection », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 523   

    Jean-Christophe Galloux, « Les inventions de salariés », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 523   

    Jean-Christophe Galloux, « Les obtentions végétales », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 526   

    Jean-Christophe Galloux, « La protection du savoir-faire », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°03, p. 529   

    Jean-Christophe Galloux, « Droit des dessins et modèles interne et communautaire », Recueil Dalloz, 2007, n°29, p. 2059   

    Jean-Christophe Galloux, « Timides avancées françaises sur la réglementation des organismes génétiquement modifiés », Recueil Dalloz, 2007, n°24, p. 1672   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2007, n°16, p. 1102   

    Jean-Christophe Galloux, « Règlement CE n° 816/2006 du 17 mai 2006 du Parlement européen et du Conseil concernant l'octroi de licences obligatoires pour des brevets visant la fabrication de produits pharmaceutiques destinés à l'exportation vers des pays connaissant des problèmes de santé publique », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°01, p. 52   

    Jean-Christophe Galloux, « Proposition de directive du Parlement et du Conseil relative aux mesures pénales visant à assurer le respect des droits de propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°01, p. 58   

    Jean-Christophe Galloux, « Loi n° 2006-244 du 2 mars 2006 autorisant la ratification de l'Acte de Genève de l'Arrangement de La Haye concernant l'enregistrement international des dessins ou modèles industriels », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°01, p. 58   

    Jean-Christophe Galloux, « Projet de loi portant diverses dispositions d'adaptation au droit communautaire dans le domaine du médicament », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°01, p. 59   

    Jean-Christophe Galloux, « Contrôle de constitutionnalité de l'accord sur l'application de l'article 65 de la Convention sur la délivrance de brevets européens », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°01, p. 61   

    Jean-Christophe Galloux, « Dessins et modèles : chronique d'actualité », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2007, n°01, p. 68   

    Jean-Christophe Galloux, « Les donateurs, le Téléthon, l'éthique et le droit : le retour du paternalisme (bio)médical ? », Recueil Dalloz, 2007, n°08, p. 515   

    Jean-Christophe Galloux, « Droit des dessins et modèles (avril 2005/juin 2006) », Recueil Dalloz, 2006, n°37, p. 2604   

    Jean-Christophe Galloux, « Le rejet de la proposition de directive sur les inventions mises en oeuvre par ordinateur par le Parlement européen le 6 juillet 2005 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 332   

    Jean-Christophe Galloux, « Le projet de système juridictionnel européen en matière de brevet », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 333   

    Jean-Christophe Galloux, « La proposition de règlement communautaire concernant l'octroi de licences obligatoires pour des brevets visant la fabrication de produits pharmaceutiques destinés à l'exportation vers des pays connaissant des problèmes de santé publique du 14 mars 2005 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 336   

    Jean-Christophe Galloux, « La proposition de directive relative aux mesures pénales visant à assurer le respect des droits de propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 338   

    Jean-Christophe Galloux, « Le décret n° 2005-1756 du 30 décembre 2005 fixant la liste et le ressort des juridictions spécialisées en matière de concurrence, de propriété industrielle et de difficultés des entreprises », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 339   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi n° 2006-236 du 1er mars 2006 relative aux obtentions végétales (JO du 2 mars 2006, p. 3136). Loi du 2 mars 2006 autorisant la ratification de la Convention internationale pour la protection des variétés végétales (JO du 3 mars 2006) », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 340   

    Jean-Christophe Galloux, « La brevetabilité des inventions dans le domaine des sciences de l'information et de la communication », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 341   

    Jean-Christophe Galloux, « La brevetabilité des inventions dans les domaines de la biotechnologie et de la santé », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 342   

    Jean-Christophe Galloux, « La nouveauté de l'activité inventive », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 349   

    Jean-Christophe Galloux, « Le titulaire du brevet des inventions de combinaison », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 350   

    Jean-Christophe Galloux, « Le dépôt d'une enveloppe Soleau », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 350   

    Jean-Christophe Galloux, « Rémunération supplémentaire au bénéfice de l'inventeur salarié », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 351   

    Jean-Christophe Galloux, « Les contrats d'exploitation en matière de brevet », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 353   

    Jean-Christophe Galloux, « Les certificats complémentaires de protection : durée de la protection », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2006, n°02, p. 355   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2006, n°18, p. 1200   

    Jean-Christophe Galloux, « Le fantôme de Londres », Recueil Dalloz, 2006, n°12, p. 850   

    Jean-Christophe Galloux, « Droit des dessins et modèles : panorama 2004 », Recueil Dalloz, 2005, n°25, p. 1708   

    Jean-Christophe Galloux, « Le règlement (CE) n° 772/2004 de la commission du 27 avril 2004 concernant l'application de l'article 81, § 3 du traité à des catégories d'accords de transfert de technologie », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2005, n°02, p. 282   

    Jean-Christophe Galloux, « Proposition de directive du Parlement européen et du conseil modifiant la directive n° 98/71/CE sur la protection juridique des dessins et modèles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2005, n°02, p. 291   

    Jean-Christophe Galloux, « Le règlement (CE) n° 1891/2004 de la commission du 21 octobre 2004 arrêtant les dispositions d'application du règlement (CE) n° 1383/2003 du conseil concernant les dispositions d'intervention des autorités douanières à l'égard des marchandises portant atteinte à certains droits de propriété intellectuelle, et notamment son article 20 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2005, n°02, p. 293   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 portant adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2005, n°02, p. 293   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi n° 2004-1338 du 8 décembre 2004 relative à la protection des inventions biotechnologiques », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2005, n°02, p. 294   

    Jean-Christophe Galloux, « Jurisprudence en matière de certificat d'obtention végétale », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2005, n°02, p. 297   

    Jean-Christophe Galloux, « Les dispositions de la loi du 6 août 2004 relatives aux inventions biotechnologiques », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, 2005, n°02, p. 206   

    Jean-Christophe Galloux, Hélène Gaumont-Prat, « Droits et libertés corporels », Recueil Dalloz, 2005, n°08, p. 536   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi n° 2004-1338 du 8 décembre 2004 relative à la protection des inventions biotechnologiques : un point d'orgue ou des points de suspension ? », Recueil Dalloz, 2005, n°03, p. 210   

    Jean-Christophe Galloux, « Législation européenne et communautaire récente en matière de propriété industrielle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°04, p. 698   

    Jean-Christophe Galloux, « La directive relative au respect des droits de propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°04, p. 698   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi du 6 août 2004 relative à la bioéthique », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°04, p. 707   

    Jean-Christophe Galloux, « Profumo di diritto - Le principe de la protection des fragrances par le droit d'auteur », Recueil Dalloz, 2004, n°36, p. 2641   

    Jean-Christophe Galloux, « La loi n° 2004-800 du 6 août 2004 sur la bioéthique », Recueil Dalloz, 2004, n°33, p. 2379   

    Jean-Christophe Galloux, « La protection internationale des savoirs traditionnels », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 286   

    Jean-Christophe Galloux, « Nouvelle règlementation de l'intervention douanière à l'égard des marchandises contrefaisantes », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 289   

    Jean-Christophe Galloux, « Proposition de décision du conseil instituant le tribunal du brevet communautaire (COM (2003) 828 final, 23 déc. 2003). Proposition de décision du conseil attribuant à la Cour de justice la compétence pour connaître des litiges relatifs au brevet communautaire (COM (2003) 827 final, 23 déc. 2003) », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 291   

    Jean-Christophe Galloux, « Proposition de règlement modifiant le règlement n° 2100/94 du 27 juillet 1994 instituant un régime de protection communautaire des obtentions végétales (COM (2003) 0456, 11 nov. 2003) », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 294   

    Jean-Christophe Galloux, « Loi n° 2004-130 du 11 février 2004 réformant le statut de certaines professions judiciaires ou juridiques, des experts judiciaires, des conseils en propriété industrielle et des experts en ventes aux enchères publiques », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 295   

    Jean-Christophe Galloux, « Décret n° 2004-199 du 25 février 2004 modifiant le code de la propriété intellectuelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 296   

    Jean-Christophe Galloux, « Arrêté du 8 mars 2004 relatif aux modalités d'examen des variétés végétales en vue de leur inscription au Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 299   

    Jean-Christophe Galloux, « Rémunération des inventions de salariés », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 300   

    Jean-Christophe Galloux, « Copropriété d'un brevet », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 302   

    Jean-Christophe Galloux, « Notion d'invention : exclusion d'une théorie scientifique », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 302   

    Jean-Christophe Galloux, « Invention de sélection », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 303   

    Jean-Christophe Galloux, « Action en contrefaçon : questions de procédure », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2004, n°02, p. 304   

    Jean-Christophe Galloux, « La proposition de règlement sur le brevet communautaire », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2003, n°04, p. 722   

    Jean-Christophe Galloux, « La proposition de directive sur la brevetabilité des inventions mises en oeuvre par un ordinateur », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2003, n°04, p. 732   

    Jean-Christophe Galloux, « La décision du conseil des ADPIC du 30 août 2003 », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2003, n°04, p. 734   

    Jean-Christophe Galloux, « La directive sur la brevetabilité des inventions biotechnologiques confortée », Recueil Dalloz, 2002, n°38, p. 2925   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevetabilité de la seconde application thérapeutique », Recueil Dalloz, 2002, n°14, p. 1188   

    Jean-Christophe Galloux, « La copropriété des brevets et l'invention de salarié face aux brevets bénéficiant d'extensions étrangères », Recueil Dalloz, 2002, n°14, p. 1190   

    Jean-Christophe Galloux, « La modification des revendications en droit européen des brevets », Recueil Dalloz, 2002, n°14, p. 1191   

    Jean-Christophe Galloux, « Validité d'un certificat d'addition comme support d'un CCP et point de départ de la protection », Recueil Dalloz, 2002, n°14, p. 1192   

    Jean-Christophe Galloux, « L'action en interdiction provisoire ne peut être accueilli que si le tribunal a déjà été saisi de l'action en contrefaçon », Recueil Dalloz, 2002, n°14, p. 1192   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2001, n°03, p. 684   

    Jean-Christophe Galloux, « Protection communautaire des obtentions végétales », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2001, n°03, p. 688   

    Jean-Christophe Galloux, « Protection des brevets : hormone de croissance humaine, convertisseur de monnaie, saisie-contrefaçon, saisie descriptive et saisie réelle », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2001, n°03, p. 692   

    Jean-Christophe Galloux, « Le caractère autonome de l'exigence de distinctivité en droit communautaire des marques », Recueil Dalloz, 2001, n°24, p. 1941   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevetabilité des revendications de plantes entières », Recueil Dalloz, 2001, n°17, p. 1353   

    Jean-Christophe Galloux, « Divulgation de l'invention à l'occasion d'un congrès scientifique », Recueil Dalloz, 2001, n°17, p. 1354   

    Jean-Christophe Galloux, « Bioéthique et brevet », Recueil Dalloz, 2001, n°17, p. 1354   

    Jean-Christophe Galloux, « Sursis à exécution de la directive relative à la protection juridique des inventions biotechnologiques », Recueil Dalloz, 2001, n°17, p. 1357   

    Jean-Christophe Galloux, « Destruction d'un champs de colza transgénique », Recueil Dalloz, 2001, n°17, p. 1357   

    Jean-Christophe Galloux, « Procédure de mise sur le marché d'un organisme génétiquement modifié et étiquetage », Recueil Dalloz, 2001, n°17, p. 1358   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles : modifications législatives », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2001, n°01, p. 76   

    Jean-Christophe Galloux, « Saisie-contrefaçon : l'expert ne peut être le représentant du requérant », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2001, n°01, p. 85   

    Jean-Christophe Galloux, « Les éléments de calcul de la rémunération supplémentaire des inventions de salarié », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2001, n°01, p. 87   

    Jean-Christophe Galloux, « Droits sur les créations nouvelles », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°02, p. 351     

    Jean-Christophe Galloux, « Contrefaçon d'un certificat d'obtention végétale », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°04, p. 904   

    Jean-Christophe Galloux, « La proposition de Règlement instituant un brevet communautaire », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°03, p. 639   

    Jean-Christophe Galloux, « Première application en France à des dessins et modèles, de la jurisprudence Phil Collins », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°03, p. 643   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevet. Médicament générique », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°03, p. 644   

    Jean-Christophe Galloux, « Certificat complémentaire de protection : contentieux d'interprétation », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°02, p. 354   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevet : déclaration de non contrefaçon », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°02, p. 355   

    Jean-Christophe Galloux, « Défaut de traduction du fascicule du brevet », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°02, p. 356   

    Jean-Christophe Galloux, « Définition de la marque notoire », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°01, p. 87   

    Jean-Christophe Galloux, « Encadrement communautaire du droit des marques », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°01, p. 89   

    Jean-Christophe Galloux, « L'obtention d'une interdiction provisoire n'est pas ouverte au titulaire d'une simple demande d'enregistrement d'une marque », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°01, p. 90   

    Jean-Christophe Galloux, « Coexistence d'une marque et d'un autre signe distinctif », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 2000, n°01, p. 90   

    Jean-Christophe Galloux, « Sursis à l'exécution de l'arrêté autorisant la culture d'un maïs génétiquement modifié », Recueil Dalloz, 1999, n°38, p. 339   

    Jean-Christophe Galloux, « Appréciation de la légalité de la procédure d'autorisation de mise sur le marché d'un organisme génétiquement modifié », Recueil Dalloz, 1999, n°38, p. 341   

    Jean-Christophe Galloux, « Durée du mandat des membres de la commission d'étude de la dissémination des produits issus du génie biomoléculaire », Recueil Dalloz, 1999, n°38, p. 342   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevetabilité d'une invention revendiquant l'AZT », Recueil Dalloz, 1999, n°37, p. 329   

    Jean-Christophe Galloux, « Les revendications portant sur une plante transgénique ainsi que sur sa semence sont-elles brevetables ? », Recueil Dalloz, 1999, n°37, p. 330   

    Jean-Christophe Galloux, « Quel est le point de départ de la période d'immunisation de six mois : la date de priorité ou la date du dépôt européen ? », Recueil Dalloz, 1999, n°37, p. 332   

    Jean-Christophe Galloux, « La destruction de semences de maïs transgénique ne peut être justifiée par la légitime défense », Recueil Dalloz, 1999, n°37, p. 334   

    Jean-Christophe Galloux, « Obligation de sécurité du fabricant de vaccins », Recueil Dalloz, 1999, n°37, p. 336   

    Jean-Christophe Galloux, « Contrefaçon et remise d'échantillons de médicaments en vue d'une autorisation de mise sur le marché, le médicament étant encore protégé », Recueil Dalloz, 1999, n°14, p. 129   

    Jean-Christophe Galloux, « La publication d'une autorisation de mise sur le marché d'un produit ne constitue pas un acte de contrefaçon susceptible de faire courir le bref délai de l'article L. 615-3 du code de la propriété intellectuelle », Recueil Dalloz, 1999, n°14, p. 131   

    Jean-Christophe Galloux, « L'absence d'actes positifs d'offre ou de mise dans le commerce d'un produit exclut la contrefaçon », Recueil Dalloz, 1999, n°14, p. 132   

    Jean-Christophe Galloux, « A défaut d'autorisation de mise sur le marché nationale dans le pays où le certificat complémentaire de protection est demandé, mais alors qu'une première autorisation de mise sur le marché a déjà été délivrée dans un autre pays membre de la communauté, le titre peut-il être octroyé ? », Recueil Dalloz, 1999, n°14, p. 133   

    Jean-Christophe Galloux, « N'est pas exclu de la brevetabilité le procédé dont l'objectif technique est de faciliter le flux sanguin vers un point d'extraction du sang », Recueil Dalloz, 1999, n°14, p. 133   

    Jean-Christophe Galloux, « L'utilisation des matériels biologiques humains : vers un droit de destination ? », Recueil Dalloz, 1999, n°02, p. 13   

    Jean-Christophe Galloux, « Le tabac est-il interdit d'expression en France ? », Recueil Dalloz, 1998, n°43, p. 613   

    Jean-Christophe Galloux, « Revendication relative à une séquence d'acides aminés et d'une protéine activateur de plasminogène de tissu humain », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 157   

    Jean-Christophe Galloux, « Appréciation de l'activité inventive en matière de clonage », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 158   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevetabilité des inventions biotechnologiques et principes éthiques de respect des droits de la personne et de sa dignité », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 158   

    Jean-Christophe Galloux, « Revendication du brevet de l'hormone de croissance humaine », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 160   

    Jean-Christophe Galloux, « Autorisation par la Commission européenne de la mise sur le marché d'un maïs génétiquement modifié », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 163   

    Jean-Christophe Galloux, « Autorisation de mise sur le marché d'un colza génétiquement modifié », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 164   

    Jean-Christophe Galloux, « Manquement du Luxembourg qui ne transpose pas dans les délais les directives communautaires relatives à la destination des organimes génétiquement modifiés », Recueil Dalloz, 1998, n°16, p. 165   

    Jean-Christophe Galloux, « L'indemnisation du donneur vivant de matériels biologiques », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, 1998, n°01, p. 1   

    Jean-Christophe Galloux, « La protection juridique de la matière biologique en droit français », 1998, pp. 491-512    

    Galloux Jean-Christophe. La protection juridique de la matière biologique en droit français. In: Revue internationale de droit comparé. Vol. 50 N°2, Avril-juin 1998. Etude de droit contemporain. pp. 491-512.

    Jean-Christophe Galloux, « Dépôt d'une demande divisionnaire portant sur les éléments supprimés de la demande initiale d'un brevet européen », Recueil Dalloz, 1997, n°41, p. 338   

    Jean-Christophe Galloux, « Un certificat complémentaire de protection peut être accordé à chaque titulaire d'un brevet de base », Recueil Dalloz, 1997, n°41, p. 338   

    Jean-Christophe Galloux, « Brevetabilité des plantes transgéniques », Recueil Dalloz, 1997, n°41, p. 339   

    Jean-Christophe Galloux, « L'existence d'une activité inventive ne peut être fondée sur un disclaimer », Recueil Dalloz, 1997, n°41, p. 340   

    Jean-Christophe Galloux, « Une méthode contraceptive destinée à être mise en oeuvre par un être humain dans un cadre privé et intime n'est pas considérée comme susceptible d'application industrielle », Recueil Dalloz, 1996, n°33, p. 293   

    Jean-Christophe Galloux, « Un document publié pendant le délai de priorité dont le contenu technique correspond à celui du document de priorité constitue-t-il une antériorité opposable à une demande de brevet européen lorsque la revendication de priorité n'est pas valable au motif que ladite demande comprend des éléments qui n'ont pas été divulgués dans le document de priorité ? », Recueil Dalloz, 1996, n°33, p. 293   

    Jean-Christophe Galloux, « Le titulaire du brevet n'est pas recevable à former une opposition à son propre brevet », Recueil Dalloz, 1996, n°33, p. 294   

    Jean-Christophe Galloux, « Les conditions du dépôt de micro-organismes dans le cadre de la Convention sur le brevet européen », Recueil Dalloz, 1996, n°33, p. 294   

    Jean-Christophe Galloux, « Une méthode de traitement du corps humain n'est pas brevetable dans le cadre de la Convention sur le brevet européen », Recueil Dalloz, 1996, n°33, p. 295   

    Jean-Christophe Galloux, « Un logiciel d'ordinateur est-il brevetable dans le cadre de la Convention sur le brevet européen ? », Recueil Dalloz, 1996, n°33, p. 295   

    Jean-Christophe Galloux, « Nullité des brevets d'invention : l'autorité de chose jugée d'une première décision la soustrait à l'effet absolu d'une possible décision d'annulation ultérieure », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 288   

    Jean-Christophe Galloux, « Le brevet européen ne se substitue au brevet français que dans la mesure où ces brevets couvrent la même invention : le brevet français peut fonder une action en contrefaçon pour la partie où il subsiste », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 289   

    Jean-Christophe Galloux, « Dans l'hypothèse où une même personne est titulaire de deux brevets et où il y a identité de contenu dans les revendications de ceux-ci, l'annulation du premier n'empêche pas que le second soit déclaré valable », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 289   

    Jean-Christophe Galloux, « Du droit au brevet sur une invention réalisée en exécution d'un contrat de commande », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 289   

    Jean-Christophe Galloux, « Les sanctions contractuelles de l'inexécution excluent l'action en exécution forcée des obligations : application à un contrat de licence de fabrication de produits brevetés », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 290   

    Jean-Christophe Galloux, « La brevetabilité de plantes transgéniques », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 290   

    Jean-Christophe Galloux, « Les règles de la Convention européenne des droits de l'homme font partie du système juridique de l'Office européen des brevets », Recueil Dalloz, 1996, n°32, p. 292   

    Jean-Christophe Galloux, « Les enjeux d'une déclaration universelle sur la protection du génome humain », Recueil Dalloz, 1996, n°17, p. 141   

    Jean-Christophe Galloux, « La brevetabilité de fragments d'ADN humain sous la Convention sur le brevet européen », Recueil Dalloz, 1996, n°03, p. 44   

    Jean-Christophe Galloux, « Ebauche d'une définition juridique de l'information », Recueil Dalloz, 1994, n°29, p. 229   

    Jean-Christophe Galloux, « Ethique et brevet ou le syndrome bioéthique », Recueil Dalloz, 1993, n°12, p. 83   

  • Jean-Christophe Galloux, Aurélie Mahalatchimy, Post/Trans-humanisme et droits de l’Homme - Dimension économique, 2019 

  • Jean-Christophe Galloux, « Le cheminement d'une affaire devant la juridiction unifiée du brevet », le 23 juin 2023  

    Colloque annuel de l'IRPI organisé par l'Université Paris Panthéon-Assas

    Jean-Christophe Galloux, « La déjudiciarisation du contentieux de la propriété intellectuelle », Les propriétés intellectuelles en mouvements, Paris, le 23 juin 2022  

    Colloque des 40 ans de l'IRPI, Université Paris - Panthéon - Assas

    Jean-Christophe Galloux, « Matinée en hommage au Professeur Azéma », le 02 décembre 2022  

    Organisée par la Faculté de droit et le CDE, Université Lyon 3

    Jean-Christophe Galloux, « Les Matinées d’actualité de l'IRPI », le 18 mai 2022  

    Organisées par l'IRPI - Université Paris-Panthéon-Assas

    Jean-Christophe Galloux, « Les juges, bouches de la loi ? », État de droit et démocratie, Paris, le 11 janvier 2022 

    Jean-Christophe Galloux, « Les dessins et modèles communautaires, vingt ans après... », le 02 décembre 2021  

    Colloque européen sur les 20 ans du règlement N°6/2002 du 12 décembre 2001 sur les dessins et modèles communautaires : bilan et perspectives, organisé par la Faculté de droit Julie-Victoire Daubié, Université Lumière Lyon 2

    Jean-Christophe Galloux, « Le droit contractuel des auteurs et des artistes-interprètes après la directive du 17 avril 2019 », Le droit contractuel des auteurs et des artistes-interprètes après la directive du 17 avril 2019, Paris, le 18 juin 2021  

    Organisé par l’IRPI, Paris II Panthéon-Assas

    Jean-Christophe Galloux, « L'équilibre en propriété intellectuelle », L'équilibre en propriété intellectuelle, Paris, le 12 avril 2021    

    Webinaire organisé par l’IRPI, Université Paris II Panthéon-Assas

    Jean-Christophe Galloux, « L’accès aux données : un nouveau droit de propriété intellectuelle ? », Circulation des données et propriétés intellectuelles, Paris, le 26 septembre 2018    

    Organisé par l’IRPI, Institut de Recherche en propriété Intellectuelle de l’Université Paris II Panthéon-Assas

    Jean-Christophe Galloux, « Le juge et la sauvegarde procédurale de l'innovation », Dialogues du juge et de l'innovation, Paris, le 19 septembre 2019  

    Colloque annuel de l'Institut de recherche en propriété intellectuelle.

    Jean-Christophe Galloux, « La gestation pour autrui : états juridiques des lieux et perspectives », le 11 juin 2018  

    Colloque organisé par la Cour de Cassation et l’ENM

    Jean-Christophe Galloux, « Les secrets d’affaires : de la directive à sa transposition », le 06 juin 2018  

    Organisé par le Centre Paul Roubier, sous la direction scientifique de Thomas Bouvet, Avocat et Edouard Treppoz, Professeur de droit privé avec le soutien du Centre de recherche sur le droit international privé (CREDIP – EDIEC) Univ. Jean Moulin Lyon 3

    Jean-Christophe Galloux, « La prescription des actions en nullité des titres de propriété industrielle », le 15 mars 2018 

    Jean-Christophe Galloux, « La prescription extinctive en droit de la propriété industrielle », le 26 janvier 2018  

    Organisé sous la direction scientifique de Nicolas Bouche, MCF en droit privé et sciences criminelles, avec le soutien du Service général de la recherche et du CREDIP – EDIEC, de l’Univ.Jean Moulin Lyon 3

    Jean-Christophe Galloux, « Le règlement européen d'application du Protocole de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques », le 12 décembre 2017  

    Organisé sous la présidence de Jean-Christophe Galloux, Professeur à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Président de l’IRPI

    Jean-Christophe Galloux, « Vers la caractérisation d’une lex pharmaceutica ? », le 08 décembre 2017  

    Colloque labellisé par l'Association française de droit de la santé organisé par le CREDIMI, FRE 2003 CNRS-UB et l'Unité Mixte de Développement continu santé (UDMC-UFR Santé, Dijon)

    Jean-Christophe Galloux, « Les inventions mises en œuvre par ordinateur : pratiques et perspectives », le 24 novembre 2017  

    Proposé par l’Association des Anciens du Centre d’Études Internationales de la Propriété Intellectuelle (AACEIPI), en partenariat avec le CEIPI

    Jean-Christophe Galloux, « Les 20 ans du D@NTE », le 29 septembre 2017  

    A l'occasion de la célébration de ses 20 ans, le laboratoire de droit des affaires et des nouvelles technologies (D@NTE) a le plaisir de vous convier à son colloque : "L'interdisciplinarité : l'influence des nouvelles technologies sur le droit"

    Jean-Christophe Galloux, « Marques, dessins et modèles, appellations d’origine et certificats d’obtention végétale », Brexit et propriété industrielle : perspectives et réalités, Paris, le 05 avril 2017   

    Jean-Christophe Galloux, « Vers de nouvelles humanités ? », le 23 mars 2017  

    Organisé par Valérie Lasserre, Prof. Droit Privé à l'Univ. du Maine, co-directrice du Labo Thémis-UM. Un colloque scientifique, philosophique et juridique avec l’Ass° française de philosophie du droit et la Cité des sciences et de l’industrie

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • Lucas Jelonek, Le droit de priorité en propriété intellectuelle , thèse en cours depuis 2023  

    Le projet de thèse vise à étudier le droit de priorité en propriété intellectuelle dans ses aspects de droit interne, mais avant tout de droit international. L'étude se propose de déterminer l'objet du droit de priorité et d'en étudier ses effets, mais aussi de comparer les positions jurisprudentielles faites par différentes juridictions nationales sur de les problématiques que pose ledit droit. Cette étude essaiera aussi de définir juridiquement le droit de priorité, en tant que tel, tout en observant ses rapports avec les autres droits de propriété intellectuelle. Le projet de thèse s'intéressera aussi à l'appréhension faite par les offices de propriété intellectuelle du droit de priorité et des problématiques qu'il peut poser tout en essayant de dégager des pistes de réflexion, voire d'harmonisation entre les différentes approches et jurisprudences. Le projet de recherche sera mené dans le cadre d'une CIFRE au sein de la Direction juridique de l'Institut national de la propriété industrielle.

    Hanen Mahjoub, La gestion de droit d'auteur et droits voisins en Tunisie sous l'influence de nouvelles technologies., thèse en cours depuis 2023  

    L'objet de la recherche ne traitera que de la propriété littéraire et artistique, et uniquement sous l'angle de l'influence de nouvelles technologies (Etude comparative). Cette recherche trouve sa justification dans la révolution technologique qui a profondément transformé la manière dont les oeuvres créatives sont produites, diffusées et consommées. Ce qui a engendré de nouveaux défis et opportunités pour le domaine du droit d'auteur et droits voisins. Il est impératif de comprendre comment les DA et les DV évoluent pour protéger les créateurs, promouvoir l'innovation et maintenir un équilibre entre les intérêts des titulaires de droits et du public. Cette recherche examinera la manière dont les nouvelles technologies ont remis en question les lois sur le droit d'auteur et se penchera sur les enjeux spécifiques liés à la gestion de ces droits en Tunisie. Cette thèse aura comme objectif l'examen des fondements juridiques et leur évolution en Tunisie, l'analyse des nouvelles technologies, l'étude des problèmes liés à la protection de DA et DV dans un environnement en évolution constante, l'évaluation des opportunités offertes par ces nouvelles technologies pour les créateurs, l'analyse des réponses législatives et jurisprudentielles aux problèmes émergents en la matière, l'enquête sur les pratiques et les mécanismes de gestion de ces droits en Tunisie pour en finir par des recommandations pour une réforme législative éventuelle. La problématique de cette thèse : Comment adapter et moderniser le cadre juridique et les pratiques de gestion des DA et DV en Tunisie pour répondre aux défis posés par les avancés rapides des nouvelles technologies?

    Karina Lucila Castro Alvarado, Deux harmonisations régionales de droits des marques, thèse soutenue en 2023 à Université ParisPanthéonAssas, membres du jury : Jean-Luc Piotraut (Rapp.), Pascale Tréfigny (Rapp.), Marie Malaurie-Vignal et Julien Canlorbe  

    Les principes du droit des marques consacrés par la Convention d’Union de Paris (CUP) du 20 mars 1883 ont été repris dans le monde entier. Les dispositions de l’Union européenne (UE) ont imposé ces principes dans leurs propres termes : la directive communautaire n° 89/104/CEE qui a été remplacée par la directive communautaire n° 2008/95/CE du 22 octobre 2008, laquelle a été ensuite remplacée par la directive de l’UE n° 2015/2436 du 16 décembre 2015. Quant à la Communauté andine des Nations (CAN), elle a aussi pris en compte ces principes dans ses « décisions andines », lesquelles se sont succédées : la décision andine n° 85 de 1974, la décision andine n° 311 de 1991, la décision andine n° 313 de 1992, la décision andine n° 344 de 1993 et la décision andine n° 486 de 2000. Néanmoins, l’adoption des principes du droit des marques de la CUP par l’Union européenne et par la Communauté andine des Nations a été différente. Comme tout processus d’intégration, la Communauté andine des Nations a dû surmonter des obstacles. Une fois créée, la CAN a établi des normes visant non seulement à rassembler quatre pays (Bolivie, Colombie, Équateur et Pérou), mais aussi à la rapprocher des pays européens. Ainsi, l’Espagne est désormais un membre observateur de la CAN. La norme andine visant le rapprochement est le régime commun de la propriété industrielle de la Décision andine n° 486. Cette décision andine présente plus d’une différence avec les directives de l’UE. De plus, chaque pays membre de la CAN lui a donné une interprétation et une application différente parce que chacun a essayé d’adapter ladite décision andine à son contexte culturel et à son droit national constant.

    Sébastien Haon, Le certificat complémentaire de protection et la technique , thèse en cours depuis 2022  

    Le projet de thèse se résume par une étude de la notion de certificat complémentaire de protection (CCP), un titre de propriété industrielle qui n'a été que très peu étudié et dont l'intérêt pratique est particulièrement intéressant pour le domaine pharmaceutique. Pour ce faire, le projet s'intéressera aux modalités de délivrance de ce titre, au regard de la technique. En effet, les sciences pharmaceutiques dont je suis diplômé, permettent de mieux interpréter les décisions judiciaires concernant ce titre. Les pays mènent des politiques variables à son sujet. Le CCP arrive dans le prolongement d'un brevet, et est délivré si il est estimé que l'inventeur d'un médicament n'a pas eu le temps d'exploitation nécessaire pour recouvrir ses investissements. Cette dernière condition est très libre d'interprétation, nonobstant que le juge et l'office de propriété intellectuelle vont s'appuyer sur des éléments concrets (essais cliniques supplémentaires, essais pédiatriques...). Ainsi, ce droit de propriété industrielle va se confronter au droit pharmaceutique, notamment celui encadrant l'accès au marché des médicaments, et celui des essais cliniques. De surcroît, l'hétérogénéité de ces derniers va entrainer de fait une délivrance erratique du certificat complémentaire de protection de la part des Etats. C'est pourquoi, en réussissant à montrer les écarts jurisprudentiels, et en mettant en exergue les comportements plus ou moins offensifs des laboratoires génériques vis à vis des molécules princeps, nous pourrons dessiner une vision globale de la notion de CCP. Cette vision fait souvent défaut aux praticiens de ce titre de propriété industrielle.

    Radmila Chapuis, Noms de domaine et modes alternatifs de règlement de conflits, thèse soutenue en 2021 à Paris 2, membres du jury : Pierre-Emmanuel Moyse (Rapp.), Pascal Kamina (Rapp.), Caroline Le Goffic, Jean-Baptiste Racine et Frédéric Sardain  

    Afin de régler les litiges relatifs aux noms de domaine, l’ICANN, entité gouvernant le DNS, crée en 1999 la procédure UDRP (Uniform Domain Name Dispute Resolution Policy, en français : règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine). Il s’agit du plus connu mais également du plus controversé des modes alternatifs de règlement de conflits en ligne. Il s'inscrit dans un millefeuille procédural au sein duquel l’ICANN superpose un grand nombre de procédures destinées à prévenir ou résoudre des litiges relatifs aux noms de domaine. Cette obscure et complexe matrice que l’ICANN qualifie d’ « administrative », n'organise cependant ni le rapport de ces procédures entre elles ni avec le droit étatique. Ces dernières années, une augmentation stratosphérique des litiges sur les noms de domaine est observée, résultant de la multiplication exponentielle de l'utilisation d'Internet par l'ensemble de la population mondiale suite à la crise sanitaire. Dans ce contexte, la sécurité juridique des titulaires de droits de propriété intellectuelle invite à repenser l'organisation du règlement des litiges relatifs aux noms de domaine en le faisant bénéficier d’une réforme unificatrice. Elle offre non seulement l'opportunité de créer un système de règlement de litiges unique mais également d’en préciser la nature et de clarifier les concepts à prouver. À cette fin, nous proposons de transformer le système actuel, historiquement extrajudiciaire et par nature privé, en un processus d'arbitrage avec l'objectif d'établir un lien procédural entre le système extrajudiciaire de l’ICANN et le droit étatique ainsi que d’assurer davantage de garanties procédurales aux parties.

    Charles Suire, Abus de droit fiscal et propriété intellectuelle, thèse en cours depuis 2020  

    L'activité des entreprises au cœur d'une économie de la connaissance est marquée par un primat croissant des droits de propriété intellectuelle (droits d'auteur, marques, dessins et modèles, brevets, indications d'origine et signes de qualité) et autres actifs immatériels (en particulier les secrets d'affaires) sur les éléments qui composent le fonds de commerce. Les actes d'exploitation et de transferts exercés par les opérateurs économiques sur ces actifs sont impactés par des règles fiscales multiformes qui oscillent entre des mesures d'incitation à l'innovation et la création particulièrement médiatisées (à l'image du crédit d'impôt recherche ou du crédit d'impôt innovation), et des hypothèses de droit commun de l'imposition sur le fonds de commerce qui emportent l'application de régimes distincts plus ou moins favorables que les titulaires de droits de propriété intellectuelle tentent d'optimiser au prisme de la qualification des actifs concernés. Or, l'administration fiscale dispose d'un pouvoir de contrôle et de sanction sur de telles opérations au travers de plusieurs outils et, au premier rang, l'abus de droit fiscal. La volonté exprimée par les titulaires d'actifs immatériels d'optimiser au mieux leurs opérations apparaît comme un exercice périlleux dès lors que les règles fiscales qui leur sont applicables relèvent de qualifications élaborées par une législation et une doctrine administrative qui échappent, la plupart du temps, au champ de compétence des juristes spécialisés en propriété intellectuelle, et que la présente étude se propose de clarifier.

    Ibrahim HAGE CHAHINE, Les applications connectées en droit privé, thèse en cours depuis 2020  

    L' application connectée est le plus souvent appréhendée comme un seul et unique objet. Ceci est particulièrement vrai pour l'utilisateur de l'application connectée. Cependant l'approche du droit est tout à fait différente. Celui-ci fractionne l'application connectée en de nombreux segments. En effet, une application connectée se compose d'un logiciel et d'une base de données qui est reliée au réseau par le biais d'une interface. Cette segmentation juridique conduit à l'application de régimes juridiques particuliers. Par ailleurs, l'application connectée peut faire l'objet de divers contrats notamment de cession et de licence et peut même servir de plateforme pour la conclusion d'autres contrats tel que des contrats de consommation dans le cadre du commerce électronique, des contrats de partage, qui permettent de mettre à disposition à l'utilisateur un espace de stockage aux fins d'échanges d'informations et peut même servir de plateforme pour l'achat d'espaces publicitaires. Se pose dès lors la question de la protection des données personnelles et de la vie privé des utilisateurs de l'application connectée. La thèse se propose ainsi d'étudier les différentes règles de droit privé applicables aux applications connectées.

    Salomé Rouquié, Étude comparative de la lutte contre la contrefaçon en droit français et anglais, thèse soutenue en 2020 à Paris 2, membres du jury : Philippe Nélidoff (Rapp.), Laurence Usunier (Rapp.), William Swadling  

    D’après le rapport 2019 de l’OCDE et de l’OUEPI, la contrefaçon représente 3,3 % du commerce international et 6,8% des importations de l’Union européenne. Cette activité illicite infiltre l’ensemble de l’économie mondiale, en n’épargnant aucun secteur d’activité et ses bénéfices constituent la première source de revenus des organisations criminelles. Face à ce fléau, une amélioration du dispositif juridique national et européen s’impose. Une démarche comparatiste, menée à partir d’une analyse approfondie des droits français et anglais, conduit à porter un regard critique sur les règles actuelles en matière de lutte contre la contrefaçon, ainsi qu’à proposer des pistes d’amélioration. Au stade de l’identification des éléments constitutifs de ce délit civil, s’inspirer du modèle anglais pour abandonner la classification traditionnelle des droits de propriété intellectuelle proposée par la doctrine française ouvre la voie à de nouveaux rapprochements et permet de renforcer l’objectivité des qualifications juridiques. Cette méthode d’analyse met aussi en lumière les stratégies procédurales des justiciables afin d’accroître leurs chances de succès devant les tribunaux. Elle conduit à en dénoncer les dérives dans la jurisprudence française. Ainsi, le concept de parasitisme, tel qu’il est mis en œuvre par nos juridictions, apparaît délimité de façon moins rigoureuse que le « tort of passing off » élaboré par les magistrats anglais. La comparaison franco-britannique invite enfin à envisager le secret des affaires comme un instrument privilégié de lutte contre la contrefaçon, auquel les entreprises françaises devraient être incitées à recourir, en association ou en substitution aux droits privatifs. Alors que les droits français et anglais convergent sur le rôle central dévolu aux douanes au stade de la sanction de la contrefaçon, ils divergent sur l’organisation judiciaire. La comparaison entre les deux systèmes nous incite à proposer, sur le modèle anglais, des juridictions spécialisées dans la défense des droits de propriété intellectuelle, la création d’un corps de magistrats dédié, une nouvelle répartition des dépens entre les parties et l’introduction des dommages et intérêts punitifs. Par ailleurs, convaincue de l’importance de l’harmonisation européenne pour l’instauration d’un dispositif efficace de sanction et de dissuasion à l’encontre des contrefacteurs, nous nous interrogerons sur les conséquences du Brexit. Toutefois, pour les juristes anglais et français, on doit constater la complexité de contrer la contrefaçon et ses conséquences économiques. Nous rechercherons les raisons essentielles de ces difficultés en envisageant la contrefaçon de chaque droit de propriété intellectuelle. Notre objectif est de mettre en exergue le caractère polymorphe de ce phénomène qui rend d?autant plus difficile l'appréhension de l'élément matériel par les magistrats français et anglais.

    Lara Cramer, Changement de paradigme dans l’innovation pharmaceutique et la distribution officinale : analyse comparative des droits français, allemand et suisse, thèse soutenue en 2020 à Paris 2, membres du jury : Antoine Leca, Emmanuelle Claudel, Jacques de Werra et Marie-Christine Belleville  

    L’innovation pharmaceutique et la distribution officinale sont aujourd’hui soumis à un changement de paradigme de natures scientifique, économique et réglementaire dont les caractéristiques et l'intensité apparaissent variables en France, Allemagne et Suisse. Ces évolutions, disruptives, sont susceptibles d’affecter l’interdépendance entre ces étapes déterminantes pour l’approvisionnement des patients en médicaments innovants. La question de la correspondance ou de la dissociation de ces évolutions rend nécessaire d’analyser en détail les aides à la recherche, au développement et à l'innovation bénéficiant aux entreprises de ce secteur.

    Manon Tchebanoff, L'impact du certificat complémentaire de protection sur le droit de la santé, thèse en cours depuis 2018 en co-direction avec Nicolas Bouche 

    Chantal Dagher, Analyse comparée franco-américaine de la protection des œuvres par le droit d’auteur, thèse soutenue en 2017 à Paris 2, membres du jury : Pascal Kamina (Rapp.), Jean Lapousterle (Rapp.), Célia Zolynski  

    L’appel au renforcement de la protection du droit d’auteur dans le but de mieux lutter contre la contrefaçon, surtout avec l’avènement et le développement incessant des nouvelles technologies, est-il justifié ? Le bilan des efforts déployés récemment sur la scène internationale pour réaliser un tel renforcement, ayant débouché sur l’élaboration du très controversé ACTA, démontre que la réponse à cette question ne peut être ni simple ni immédiate. Evaluer l’opportunité et déterminer la nécessité de renforcer cette protection ne peuvent se faire qu’après un examen approfondi des solutions juridiques, existantes déjà dans les dispositifs nationaux des deux Etats qui assurent chacun une protection efficace des droits des auteurs, tout en adoptant des approches diamétralement opposées en la matière à savoir, la France et les Etats-Unis. Une fois ces deux droits comparés, une inégalité dans le niveau de protection ressort, appelant des améliorations qui passent par une intégration d’institutions juridiques « venues d’ailleurs ». Cette intégration qui aura pour résultat d’harmoniser ces deux droits, dans le respect des particularismes nationaux, pourra se réaliser à l’aide du droit comparé. L’harmonisation des droits nationaux dans le respect de leurs différences est aussi l’oeuvre du droit international surtout lorsqu’il s’agit d’une matière qui ne peut être traitée qu’à l’échelle internationale, voire mondiale. Pour pouvoir comprendre les raisons de la persistance des différences entre les deux droits menant à cette inégalité, l’examen des instruments internationaux adoptés en la matière, censés harmoniser la protection du droit d’auteur, est indispensable. Le bilan de cet examen s’avère mitigé dans la mesure où, les spécificités nationales l’emportent, bloquant ainsi le processus d’harmonisation. Or, le droit comparé a comme rôle principal de préparer un terrain favorable à une harmonisation internationale réussie, en dégageant des solutions concrètes, pratiques et surtout adaptées puisque ne heurtant pas les traditions juridiques nationales qu’il aura réussi à identifier.

    Nilce Ekandzi, La protection des savoirs traditionnels médicinaux par le droit de la propriété intellectuelle dans l’espace OAPI, thèse soutenue en 2017 à Paris 2, membres du jury : Hélène Gaumont-Prat, Jean-Pierre Clavier, Pierre Crocq et Begona Venero Aguirre  

    Les savoirs traditionnels médicinaux c’est-à-dire l’aspect de la médecine traditionnelle portant sur des connaissances relatives au médicament traditionnel à base de plantes, qui part de la collecte des végétaux jusqu’au produit final, constituent un élément important dans la réalisation de la couverture des besoins de santé publique. En Afrique, les savoirs traditionnels médicinaux contribuent selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à hauteur de 80% des besoins de santé des populations. Les savoirs traditionnels médicinaux représentent une source d’informations notamment dans la perspective d’une éradication des maladies endémiques du continent africain. L’OMS, et l’Union africaine (UA) voient dans les savoirs traditionnels médicinaux une piste de recherche en vue du développement de nouveaux médicaments à des prix abordables. Leur importance est aussi constatée au niveau de l’industrie du médicament où ils représentent 30% de la recherche dans l’industrie pharmaceutique et l’essentiel des informations dans le secteur des phytomédicaments. Cette appétence pour les savoirs traditionnels médicinaux ainsi que la médiatisation des actes de biopiraterie, ont contribué à renforcer leur valeur (sur les plans scientifique, économique, social et politique) et à justifier la nécessité de les protéger. Cependant, contrairement à la tendance actuelle des pays africains, l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), à travers son Accord de Bangui révisé, ne dispose pas de mécanismes de propriété intellectuelle permettant une protection satisfaisante des droits des détenteurs de savoirs traditionnels médicinaux (tradipraticiens, familles, communautés autochtones et locales). Face à ce qui s’apparente à un vide juridique, il convient de s’interroger sur le régime juridique à mettre en place. Autrement dit, quel système sui generis de protection des savoirs traditionnels médicinaux faut-il envisager pour les pays membres de l’OAPI? C’est à cette interrogation que la présente étude se propose d’apporter des éléments de réponses. L’objectif visé sera de démontrer, dans le cadre d’une démarche prospective prenant appui notamment sur les droits de l’homme, le droit international de la propriété intellectuelle, le droit civil, le droit de la biodiversité, et les lois nationales, en particulier, celles de la République du Congo (Brazzaville), qu’il est possible d’établir au sein de l’OAPI un régime juridique cohérent et adapté à même de répondre aux besoins et attentes des différents acteurs intervenant dans l’exploitation de ces créations intellectuelles.

    Agnès Ryo-Hon Koh, La société familiale cotée : l'exemple des sociétés chaebol coréennes, thèse soutenue en 2015 à Paris 2, membres du jury : France Drummond, Véronique Magnier et Gilbert Parleani  

    Les sociétés familiales sont les plus anciennes, les plus nombreuses et les plus importantes de notre économie. Pourtant, elles ne font l’objet d’aucune définition légale et n’ont que rarement suscité l’intérêt du juriste. Nous avons donc cherché à caractériser la société familiale en nous intéressant plus particulièrement à certaines d’entre elles, les sociétés cotées sur le marché financier. La société cotée familiale combine deux univers, la famille et le marché, qui sont fondés sur des valeurs et des modes de fonctionnement diamétralement opposés. Cette opposition nous permet de mieux distinguer les spécificités, mais également les risques attachés aux sociétés familiales. C’est à travers l’exemple des chaebol, des conglomérats familiaux coréens, que cette étude a été menée. L’analyse emprunte une méthode comparative où les sociétés chaebol sont opposées aux sociétés familiales françaises. Notre étude a permis de mettre en évidence l’impact du contrôle familial sur le fonctionnement de la société cotée. Elle souligne également l’échec relatif du transfert des normes américaines dans l’environnement coréen, confirmant ainsi la théorie de la dépendance au sentier. Parallèlement, cette étude invite à réfléchir sur la réception possible du droit français, plus proche de la réalité coréenne

    Mathieu Dhenne, Technique et droit des brevets, thèse soutenue en 2013 à Paris 2, membres du jury : Jacques Raynard (Rapp.), Bertrand Warusfel (Rapp.), Laurent Pfister, Thierry Revet et Hanns Ullrich  

    Le droit des brevets a pour objet l’appropriation d’enseignements techniques nouveaux afin d’encourager le développement de la recherche dans le domaine de la technique. Ainsi, la technicité constitue une condition fondamentale de l’apparition du droit de brevet. Cependant, la définition de ce qu’est la technique en droit des brevets exige, au préalable, de déterminer quelle est sa fonction normative. Cette fonction varie selon la conception de la propriété retenue. L’approche matérialiste de la propriété en fait une limite à l’appropriation tandis que l’approche idéaliste en fait un critère d’appropriation de la chose. Selon la première approche, la propriété ne concerne que des choses corporelles et des droits. L’invention est alors confondue avec une chose corporelle dont elle autorise la réalisation. La technicité est le critère de la corporéité, c’est une limite à l’appropriation. Cette approche se traduit par l’établissement d’un domaine de la brevetabilité défini par une énumération des choses non appropriables et par une appréciation de la technicité au niveau d’une chose corporelle que la réalisation de l’invention permet. Selon la seconde approche, qui emporte notre conviction, la propriété peut porter sur des choses corporelles et sur des choses incorporelles. La technicité constitue un critère de l’appropriation. Cette approche se traduit par la suppression du domaine de la brevetabilité et par une appréciation de la technicité au niveau de la chose incorporelle de l’invention.

    Bhumindr Butr-Indr, La contrefaçon des droits de propriété intellectuelle : étude comparative en droits français et thaïlandais, thèse soutenue en 2012 à Paris 2, membres du jury : Bertrand Warusfel (Rapp.), Jean Lapousterle (Rapp.), Laure Marino et Guillaume Blanc-Jouvan  

    La contrefaçon est un phénomène de dimension internationale qui constitue aujourd’hui plus qu’hier un véritable fléau. Il apparaît que les principaux pays de provenance des contrefaçons saisies dans l’Union Européenne sont les pays d’Asie,notamment la Thaïlande. Cette recherche a pour but d'étudier les problèmes juridiques relatifs à la contrefaçon des droits de propriété intellectuelle. Ceci nous amène à poursuivre la recherche suivant deux axes. La première partie a pour but de mettre en évidence la comparaison de la définition de la contrefaçon en France et en Thaïlande. Elle se décompose en deux sous-parties, la première s'attachant à décrire la qualification de l’atteinte constitutive de contrefaçon selon les droits concernés (le terme « contrefaçon » en lui-même, tant en France qu’en Thaïlande, désignant différentes formes d’atteintes à un droit patrimonial de propriété intellectuelle). Pour identifier les atteintes constitutives de contrefaçon, notamment l’élément matériel, nous mettons l’accent sur 4 points: l’existence de la création, la diffusion de la création, l’usage de la création et la participation à l’action contrefaisante. S’agissant de l’élément intentionnel de contrefaçon, il semble présenter de multiples facettes. La seconde définit la preuve de la contrefaçon. On observe alors les moyens de preuve de la contrefaçon : la loi prévoit deux séries de mesures principales que nous pouvons regrouper en moyens de preuve en matière civile et pénale. Par ailleurs, il y a des moyens de preuve alternatifs entre les deux régimes. Ce sont des procédures douanières.La seconde partie a pour objet la prise en considération de la répression par les juridictions civiles et pénales. Elle se décompose donc en deux sous-parties : la première concerne les sanctions prononcées par les juridictions pénales. Nous avons déjà étudié la procédure pénale et les sanctions applicables à la contrefaçon. Il se trouve que la situation en Thaïlande est totalement différente de la situation française, notamment concernant la jurisprudence en matière pénale. Il semblerait que la majorité des décisions soient des sanctions prononcées par les juridictions pénales. La seconde sous-partie concerne quant à elle la réparation des atteintes à la propriété intellectuelle. Nous constatons que le préjudice subi, en France tout comme en Thaïlande constitue en un gain manqué . En outre l’évaluation du préjudice en France et en Thaïlande est difficile (préjudice subi en matière de marque, préjudice moral et fixation de l’indemnisation de peine privée).

    Yan Bai, La Réforme du Droit de la Concurrence en Chine : inspiration du Système Européen, thèse soutenue en 2011 à Paris 2, membres du jury : Marie Malaurie-Vignal (Rapp.), Louis d' Avout (Rapp.), Laurence Idot et François Souty  

    Après 30 ans de réforme économique et juridique, la Chine a enfin adopté sa loi nationale en matière de concurrence: la Loi antimonopole du 30 août 2007, entrée en vigueur le 1er août 2008. Cette thèse porte sur l’effort que le Gouvernement chinois a consacré à réformer le droit de la concurrence pour établir et protéger son économie de marché socialiste afin de permettre aux entreprises nationales et étrangères de participer au jeu de la concurrence sur la base de principes d’égalité, de liberté et de transparence. Dans cette thèse, une étude comparée est menée selon deux dimensions : verticale et horizontale. Dans la dimension verticale, le droit chinois de la concurrence montre une continuité dans le temps de la culture juridique traditionnelle remontant à plus de 2000 ans, tandis qu’horizontalement, il se place dans le sillage du droit de la concurrence de l’Union européenne qui constitue une source inépuisable d’inspiration. La loi antimonopole de la Chine comprend notamment une interdiction des pratiques anticoncurrentielles (l’interdiction des ententes et celle de l’abus de position dominante), un contrôle des concentrations et des monopoles administratifs, des règles institutionnelles et des règles de la responsabilité juridique de l’infraction à la loi. Il est à noter que le périmètre de la réforme du droit de la concurrence en Chine ne se borne pas qu’au droit antitrust au sens propre, elle implique aussi le développement du droit contre la concurrence déloyale et l’évolution de la relation entre le droit de la concurrence et le droit de la propriété intellectuelle.

    Olivier Bustin, Le juge en droit de la propriété intellectuelle , thèse soutenue en 2010 à Paris 2  

    L’autorisation, faite par la loi, de régler un différend par les voies de la justice alternative ne suffit pas à faire de l’évitement du juge étatique une réalité. En pratique, l’évitement du juge étatique suppose la réunion de circonstances favorables au rapprochement des parties en conflit. L’évitement du juge est ainsi peu envisageable lorsque, au vu d’une situation litigieuse, le justiciable souhaite obtenir dans l’urgence le prononcé de mesures préventives et exécutoires de plein droit. Par ailleurs, s’agissant de la résolution définitive d’un différend, l’évitement du juge, acteur du procès, est quasiment indissociable de la prévisibilité et de la dissuasion du juge, créateur de jurisprudence. En effet, lorsque les contradictions jurisprudentielles laissent croire aux parties en conflit qu’elles peuvent chacune obtenir satisfaction auprès du juge et qu’à défaut, le débouté de leurs prétentions ne prêtera pas à de graves conséquences, l’entente avec l’adversaire devient difficile à concevoir. Les actions en justice sont encouragées, sans que le législateur ait les moyens d’inverser seul cette tendance. Le processus de désengorgement des juridictions ne peut donc pas s’opérer sans le concours du juge. Il en ressort que la prévisibilité des décisions de justice est un rouage essentiel de l’articulation entre la justice étatique et la justice alternative. C’est le constat auquel conduit l’analyse du contentieux né de l’exercice des actions en contrefaçon et en nullité de titres de propriété intellectuelle.

    Valentina Simonenko, Le refondement du droit d'auteur russe à la lumière de l'expérience française, thèse soutenue en 2007 à Paris 2  

    Le droit de la propriété intellectuelle en général et le droit d'auteur en particulier est actuellement un droit en mutation. L'intensification des échanges commerciaux des créations littéraires et artistiques de ces dernières décennies en est l'une des conséquences. Or, l'accroissement du marché des oeuvres de l'esprit multiplie le situations conflictuelles, d'autant plus qu'une législation spéciale ne semble pas en mesure de remédier à toutes les crises. Pour saisir l'enjeu de ces conflits, la clarification de la nature et des fondements des droits mis en cause est indispensable. De nombreux concepts ont été élaborés afin de mettre en lumière la nature du droit d'auteur : apparu comme un simple monopole, il a été ensuite associé à la propriété corporelle, avant d'être proclamé comme droit "sui generis". Cependant, aucune de ces théories ne nous a convaincus. C'est donc la raison qui nous a conduits à proposer notre propre vision de la nature des droits accordés aux auteurs : la qualification en termes de propriété. Afin de justifier ce choix, il nous a fallu prouver que l'institution de propriété, conservatrice par excellence, est susceptible d'accueillir les meubles incorporels que sont les oeuvres de l'esprit. Nous avons montré qu'économiquement cela était le cas depuis longtemps. Or, juridiquement, l'institution de propriété est traditionnellement réservée aux biens corporels. Le dépassement de l'analyse traditionelle nous a donc été imposé. Le qualificatif de propriété, engagé par le commerce moderne ainsi que par le souci d'assurer la meilleure protection aux créateurs, constitue un moyen idéal pour rassurer les auteurs et, par cela, favoriser l'activité créatrice. Dans la deuxième partie de la présente recherche nous avons montré quelles sont les opportunités qui se présentent quant au recours éventuel au droit commun permettant de combler les lacunes de la législation spéciale et de remédier aux crises qui se produisent.

    Mohammad-Reza Parvin, Les aspects juridiques de la brevetabilité des inventions biotechnologiques , thèse soutenue en 2007 à Paris 2  

    Le droit de la propriété industrielle tel qu’il existe actuellement trouve son origine vers le milieu du XIXe siècle, durant la grande période d’industrialisation des pays occidentaux où il s’avérait alors nécessaire de créer des « outils juridiques » de façon à encourager l’innovation dans le domaine industriel. Le progrès de la bioscience et le développement des nouvelles technologies clés qui en résulte, notamment celles développées au cours de trente dernières années, ont placé ce droit et plus particulièrement le droit des brevets face à des défis considérables. En réalité, le développement technique de la génétique et des premières manipulations de gène sur des cellules humaines, animales ou végétales, ont ouvert un nouveau ère d’inventions dans le domaine de la biotechnologie dont les caractéristiques particulières ont rendu difficile leur intégration dans la « boîte conceptuelle » du droit des brevets. Le droit des brevets a connu cette dernière décennie de profondes mutations au niveau international, avec notamment la signature de l’accord sur les ADPIC qui assure une très large protection aux inventions réalisées dans tous les domaines technologiques. Néanmoins, les spécificités des organismes vivants ont rendu plus nécessaire une adaptation juridique du droit des brevets, tout en ayant, dans certains cas, conduit à des modifications au moyen de règles ou de dispositions plus appropriées. Malgré une tendance croissante à la brevetabilité des inventions biotechnologiques, les diverses approches juridiques adoptées par les pays, tels que les Etats-Unis, le Japon, les pays de l’Europe et les pays du Moyen et Proche Orient, représentent un grand nombre de nuances et de différences en la matière.

    Jean-Bernard Pourre, Les conditions de la formation du contrat sur Internet, thèse soutenue en 2003 à VersaillesSt Quentin en Yvelines  

    La Thèse soutenue par Monsieur Jean-Bernard POURRE, le 30 septembre 2003, consacrée aux conditions de formation du contrat sur Internet se propose d’examiner comment se forme l’acte juridique qu’est le contrat au moyen d’Internet. Suivant l’analyse traditionnelle, cette thèse destinée aux praticiens présente selon deux parties, l’expression du consentement sur Internet, puis l’existence d’un échange de consentements. La première partie analyse les modalités d’expression du consentement au travers des instruments électroniques : l’offre et l’acceptation. La seconde partie, après avoir évoqué la question de la loi applicable à la validité et à la preuve du contrat développe la problématique du formalisme probatoire relatif au consentement et la validité de l’échange des consentements. La thèse s’attache particulièrement aux aspects techniques d’Internet et à la signature électronique tant comme moyen d’expression du consentement que comme élément de preuve de l’existence du consentement.

    Xavier Bouard, Le dépôt d'échantillons biologiques aux fins d'obtention de droits de propriété industrielle, thèse soutenue en 2002 à VersaillesSt Quentin en Yvelines  

    D'une manière générale, décrire simplement par écrit de la matière biologique n'est pas la méthode idéale. Il est grandement préféragle à cette fin d'en observer un échantillon matériel. Or, l'obtention de titres de propriété industrielle passe nécessairement par la description des innovations candidates, y compris lorsqu'elles sont en rapport avec de la matière biologique. Que le système de protection juridique ait été dès le départ conçu pour protéger une catégorie d'innovations biologiques, comme le certificat d'obtention végétale (COV), ou adapté au domaine des innovations biologiques, comme le brevet, la prise en compte de l'impératif de description est dans les deux cas passée par la création de mécanismes de dépot et de mise à disposition d'échantillons représentatifs de la matière biologique en rapport avec l'innovation à protéger. L'échantillon biologique ainsi déposé a une double nature juridique. Il est à la fois une chose matérielle sur laquelle le déposant prétend à un droit de propriété industrielle. Dans le système du COV, les échantillons sont uniquement remis aux services officiels chargés de délivrer le titre de protection, ce qui ne soulève aucun problème d'ordre stratégique. Dans le système de brevets au contraire, les échantillons sont destinés à être remis au public, ce qui, notamment en Europe où est pratiquée la publication des demandes non exanminées avec accessibilité des échantillons dès cet instant, a nécessité un certain nombre d'aménagements du mode de remise.

    Thomas Bouvet, La protection juridique de l'innovation végétale, thèse soutenue en 2000 à VersaillesSt Quentin en Yvelines  

    La présente thèse étudie l'ensemble des régimes juridiques susceptibles d'être utilisés, à quelque titre que ce soit, pour protéger la création de nouvelles plantes ou la recherche de nouvlles applications industrielles pour des substances végétales. La première partie de la thèse est consacrée à l'étude des droits de propriété industrielle spécifiques à l'innovtion végétale. La raison d'être de ces régimes est étudiée sur le plan scientifique, économique et juridique. Suit une étude détaillée des deux régimes applicables en France, à savoir du certificat d'obtention végétale et du régime de protection communautaire d'obtention végétale. La seconde partie de la thèse traite de la protection de l'innovation végétale par les régimes de droit commun. Le droit des brevets d'invention fait naturellement l'objet d'une attention particulière. Mais le recours au droit des obligations, aux marques, aux labels et à la certification, aux appellations d'origine ou de provenance, aux dessins et modèles et au droit d'auteur est également envisagé. Cette approche globale permet une étude critique et comparée du droit d'obtention végétale et des brevets d'invention, qui sont le fondement de la protection de l'innovation végétale. Elle permett aussi d'examiner le rôle joué par ces deux régimes dans l'environnement économique de l'innovation végétale et la façon dont ils peuvent être associés à d'autres régimes de droit commun pour compléter la protection.

    Sylvia Morvan, Les flux transfrontières de produits biologiques d'origine humaine, thèse soutenue en 2000 à Dijon en co-direction avec Noël-Jean Mazen  

    La communauté des préleveurs-greffeurs qui s'intéresse aux flux transfrontières de produits biologiques d'origine humaine n'est plus le groupe de praticiens replié sur lui-même et gouverné essentiellement par les règles éthiques qui organisaient les premiers échanges. Aujourd’hui, les activités internationales relatives aux prélèvements et aux différentes utilisations des produits biologiques d'origine humaine se professionnalisent jusqu'à intégrer le phénomène de mondialisation. Ces flux, qui hier relevaient de l'exceptionnel, sont aujourd'hui une nécessité devenue courante. Les produits biologiques d'origine humaine sont intégrés à la catégorie des « valeurs », objets d'échanges internationaux et l'organisation artisanale des premières importations est aujourd'hui insuffisante pour honorer la demande croissante de produits toujours plus sophistiqués. Les différentes communautés qui organisent ces échanges se sont dans un premier temps organisées spontanément en réseaux. Des relations privilégiées se sont ainsi créées entre les différents opérateurs animés par un esprit de solidarité particulièrement intense.

    Olivier Yacoub, Les principaux contrats de la production audiovisuelle, thèse soutenue en 1999 à VersaillesSt Quentin en Yvelines  

    La @fabrication d'oeuvres audiovisuelles nécessite d'importants moyens techniques et humains d'où une multiplicité d'intervenants qui seront lies à un personnage pivot : le producteur. Celui-ci est défini en droit positif comme prenant l'initiative et la responsabilité de la réalisation de l'œuvre audiovisuelle. C'est donc par son intermédiaire que chaque participant va connaître et négocier ses droits et devoirs dans la production d'une oeuvre audiovisuelle. Les principaux contrats conclus par le producteur afin de réaliser une oeuvre audiovisuelle sont l'objet de cette étude qui distingue les contrats conclus avec les auteurs de ceux qui n'en sont que les auxiliaires, c'est-à-dire ceux conclus avec les artistes-interprétes et les techniciens pour la partie créative et ceux conclus avec des commanditaires et d'autres producteurs pour la partie économique. L'ensemble contractuel ainsi dégagé révèle des qualifications complexes et donc de régimes applicables. Malgré cette diversité un droit commun doit être pris en compte, celui de la propriété littéraire et artistique car une oeuvre audiovisuelle n'est pas une marchandise comme les autres. L'étude de ces contrats ponctuant les interventions successives contribuant à la production d'une oeuvre audiovisuelle permet ainsi d'aider à mieux comprendre cette activité de nature économique mais par essence créative et qui tend à devenir le modèle de toutes les productions culturelles.

    Valéry Mariage, Le secret et le droit , thèse soutenue en 1999 à VersaillesSt Quentin en Yvelines  

    Cette étude se propose d'analyser l'influence et les effets du secret sur la scène du droit afin de savoir s'il est possible d'étabir un lien entre cette notion et celle d'information. Or, à première vue il peut sembler tout aussi paradoxal d'envisager le secret à l'heure des technologies de l'information que de croire en son utilité à un moment où l'opinion revendique encore plus de transparence dans les affaires publiques. En partant toutefois de l'idée que la frontière qui sépare la notion de secret de celle de transparence résulte bien souvent d'une nécessaire conciliation entre des préoccupations contradictoires, la première partie de cette thèse, entièrement consacrée à la réalité juridique du secret, s'attache à préciser non seulement le rôle et les conséquences de la mise en oeuvre de cette notion dans les différentes branches du droit mais aussi les modalités du contrôle auquel elle donne lieu en de multiples occasions. La deuxième partie de ce travail est consacrée à la caractérisation du secret dans l'ordre juridique. A l'aide des catégories existantes du droit, cette étude conduit à s'interroger sur sa nature juridique et à se demander si le secret ne pourrait pas être d'une quelconque utilité dès lors qu'il s'agit d'appréhender les nouvelles difficultés nées de la présence de l'insaisissable notion d'information dans la sphère du droit.

    Laurent Mordefroy, Le dommage génétique, thèse soutenue en 1997 à Dijon en co-direction avec Noël-Jean Mazen  

    Le gène, élément basique du monde vivant, est agress2 lors de nombreuses activités humaines, industrielles ou médicales. Ces altérations du gène, dont l'importance résulte de la multiplicité des victimes potentielles ainsi que des liens biologiques qui les unissent, peuvent être appréhendées par le juriste à travers le concept de dommage, dans une approche prospective de la responsabilité civile. Situé à l'intersection des dommages corporel et écologique, le dommage génétique est soumis à des incertitudes scientifiques qui imposent de retenir une acception large de ce nouveau concept. Celui-ci répond sur le plan juridique aux récentes données fournies par la génétique. Dans son régime, le dommage génétique est impute à un individu, sur qui pèse la charge de la réparation en raison d'une faute par lui commise, ou en raison d'une présomption d'imputabilité établie par le législateur ou la jurisprudence. Face aux limites de l'imputabilité, et en raison de la volonté sociale d'indemnisation dont bénéficient les dommages aux êtres vivants, il convient de se tourner vers les mécanismes instaures par la collectivité. Ces derniers permettront d'assurer une compensation du dommage génétique mais seront également à même de prévenir la survenance d'un tel préjudice.

  • Julien Douillard, La privation de propriété comme sanction de la contrefaçon : essai sur le sort des marchandises de contrefaçon, thèse soutenue en 2019 à Nantes sous la direction de Jean-Pierre Clavier, membres du jury : Nicolas Binctin (Rapp.), Blandine Mallet-Bricout (Rapp.), Isabelle Després  

    Dans le cadre de l’action en contrefaçon, le législateur a prévu des sanctions s’appliquant aux objets portant atteinte à un droit de propriété intellectuelle. Ces sanctions, qualifiées de privation de propriété, ont pour effet de limiter l’usage, voire de faire perdre la propriété de ces objets qualifiés de contrefaisants. Or, il apparaît que l’encadrement, tant législatif que judiciaire, de ces mesures fait défaut. Les juges ont tendance à ne pas motiver cette sanction pourtant facultative. Par ailleurs, la destruction des marchandises peut être réalisée par les douanes en dehors de toute intervention du juge. Lorsqu’elle est ordonnée à titre provisoire, pour des actes seulement argués de contrefaçon, cette sanction peut paralyser une activité en définitive légitime. La privation de propriété n’apparaît pourtant pas systématiquement nécessaire pour assurer le respect d’un droit de propriété intellectuelle. La contrefaçon ne faisant jamais perdre que l’exclusivité, une mesure d’interdiction peut suffire à faire respecter le droit de propriété intellectuelle. Il s’agit alors de voir comment mettre en œuvre de telles sanctions afin de concilier au mieux les deux propriétés, à une période où les droits fondamentaux gagnent toujours plus en influence.

    Patricia Mariller, L'encadrement juridique de la thérapie génique, thèse soutenue en 2013 à Dijon sous la direction de Noël-Jean Mazen et Jean-René Binet, membres du jury : Nicolas Mathey et Bénédicte Bévière-Boyer  

    La thérapie génique est une recherche biomédicale qui a rencontré un certain succès, notamment la mise sur le marché du premier médicament en 2013. La thérapie génique souffre d’un encadrement juridique complexe en raison d’une disparité des règles applicables. L’encadrement des recherches biomédicales met à la charge du promoteur et de l’investigateur des obligations strictes visant à assurer la sécurité et la protection du patient. Cependant, on ne peut pas parler de droit spécial des recherches biomédicales, les rapports entre le patient et l’investigateur possèdent toutes les caractéristiques classiques de la relation médicale ordinaire. Bien que largement critiquée par la doctrine, la qualification des rapports entre l’investigateur et le patient ne peut être autre que celle de contrat médical. En conséquence, l’uniformisation du droit administratif et du droit civil est nécessaire en matière médicale. La reconnaissance du contrat médical dans les établissements de soins privés et publics est la première étape de cette uniformisation. Outre les rapports contractuels existants entre le médecin et le patient, la loi fournit une protection nécessaire au patient contre les manipulations génétiques. Parfois insuffisante, cette protection mérite discussion.

  • Christine Chignagué, La brevetabilité du vivant, thèse soutenue en 2005 à Bordeaux 4 sous la direction de Jean Hauser  

    Dans le cadre du développement de la Communauté, la brevetabilité du vivant est incontournable. Suite à l'accord ADPIC, le législateur communautaire pour protéger les inventions du vivant, a adapté le droit des brevets au travers de deux volets : domaine et conditions. Alors que quant au domaine du brevet, la définition de l'invention s'est élargie, l'exclusion relative à l'ordre public a pu faire craindre la limitation de la brevetabilité au monde inerte. Le brevet est au carrefour du juridique, du scientifique, de l'économie et , nouveauté, de l'éthique. Même si le droit des brevets n'a pas pour vocation d'interdire des créations réprouvées par l'opinion publique, l'éthique doit nécessairement être prise en considération. Les questions éthiques fondamentales doivent faire l'objet d'un consensus cependant délicat à obtenir. Ainsi, la transposition d'une directive est l'objet de résistances. Des ajustements ont été et seront encore nécessaires car tout le vivant n'est pas brevetable.

    Christine Noiville, Les régimes juridiques des ressources génétiques marines , thèse soutenue en 1996 à Dijon sous la direction de Marie-Angèle Hermitte 

    Maria Paula Marçal Grilo Lobato de Faria, Données génétiques informatisées , thèse soutenue en 1996 à Bordeaux 4 sous la direction de Jean-Marie Auby  

    Apres une description des dangers poses a la vie privee des personnes par la "nouvelle genetique" et l'informatique, cette these aboutit a la conclusion, par le biais d'une analyse des regimes juridiques portugais, dans une perspective de droit compare, du droit a la confidentialite, du secret medical et des lois de protection des donnees personnelles, que le droit contemporain aura besoin d'un statut special de confidentialite des donnees genetiques personnelles de sante, a defaut duquel les droits fondamentaux de la personne humaine seront menaces

  • Charlemagne-Gilles Hounsa, Première approche juridique des nanotechnologies, thèse soutenue en 2021 à Université Clermont Auvergne 2021 sous la direction de Rose-Marie Borges et Bérengère Legros, membres du jury : Sophie Paricard (Rapp.), Gilles Raoul-Cormeil (Rapp.)    

    Par quels mécanismes, les nanotechnologies, ces technologies émergentes et protéiformes pourraient-elles être saisies unitairement par le droit et insérées dans le système juridique ? C’est à cette principale question à laquelle la thèse tente de répondre.Un essai de mise en ordre juridique des nanotechnologies a conduit à l’exploration d’une pluralité de branches du droit au sein des législations française et de l’Union européenne. Cette exploration a révélé que la saisie des nanotechnologies par le droit est réalisée de manière éclatée sans couvrir toutes les problématiques juridiques associées à ces technologies génériques. La recherche d’une unité des nanotechnologies pour organiser leur saisie dans un filet juridique unique a été envisagée. Elle a conduit à une proposition de définition a minima des nanotechnologies qui a été complétée par un essai de systématisation de ces technologies émergentes. C’est dans ce cadre que les nanotechnologies ont d’abord été envisagées comme une catégorie juridique puis comme en branche du droit.Un essai de dépassement du droit positif a permis la proposition d’une pluralité de natures et régimes juridiques des nanotechnologies. La nature juridique d’universalité de fait a été démontrée, retenue et conduit à la proposition de la nature juridique ex-nihilo de « dispositif nanotechnologique » à l’image des dispositifs médicaux. Des simulations de contentieux en matière de consommation, de concurrence, de santé et d’environnement a montré le rôle majeur du juge dans l’accélération de la construction du droit en matière de nanotechnologies au côté du législateur.

    Brenda Salas Pasuy, Protection de la mode en droit colombien : le recours aux dessins et modèles, thèse soutenue en 2017 à Paris 2 sous la direction de Alain Ghozi, membres du jury : Nicolas Binctin et Vanessa Jimenez Serrania  

    Le design et la production d’un article de mode impliquent le talent et le savoir-faire du styliste. La définition de la matière première, la finalité et le produit qui incorpore le dessin ou modèle de mode sont autant d’éléments que le styliste doit prendre en compte pour réaliser une création. C’est pourquoi le processus intellectuel engagé dans l’élaboration de leurs créations se doit d’être protégé par le système juridique. Au vu de la propriété intellectuelle, de nombreux droits permettent de la protéger, comme les marques, le droit d’auteur et les dessins ou modèles industriels. La législation colombienne a opté pour le régime des dessins ou modèles industriels. L’étude conjointe du secteur de la mode en tenant compte de la création est très importante car sa définition apportera au styliste une garantie juridique quant à l’objet de protection ainsi que la portée du droit. Le dynamisme de la mode montre néanmoins que la législation actuelle est inadaptée. La thèse présente ainsi les problèmes existants et les solutions offertes par d’autres régimes juridiques pour la protéger de manière adéquate.

    Olivier Hubert, Aspects procéduraux de la contrefaçon de brevet d'invention, thèse soutenue en 2015 à Lyon 3 sous la direction de Nicolas Bouche, membres du jury : Yves Strickler (Rapp.), Jacques Raynard (Rapp.), Michel Vivant    

    Le droit procédural de l’action en contrefaçon de brevet d’invention n’est pas un droit autonome. En effet, si l’action en contrefaçon de brevet dépend majoritairement de règles procédurales qui lui sont propres, elle repose également sur une multitude de règles appartenant à des systèmes normatifs plus généraux, tels que, notamment, le droit judiciaire privé, le droit des biens, le droit des contrats, ou encore les droits fondamentaux. L’instance en contrefaçon de brevet, qui relève pour sa part essentiellement du droit judiciaire privé général, intègre un certain nombre de règles spécifiques qui lui confèrent ainsi une physionomie originale. Seule l’étude des rapports existant entre ces différents systèmes normatifs, à chaque étape de l’action et de l’instance, permet de clarifier les aspects procéduraux de l’action en contrefaçon de brevet d’invention et de sécuriser les justiciables dans l’exercice de leurs droits.

    Hélène Skrzypniak, La réservation du savoir-faire : l'apport du contrat, thèse soutenue en 2014 à Lille 2 sous la direction de Édith Blary-Clément, membres du jury : Marie Malaurie-Vignal (Rapp.), Étienne Vergès (Rapp.), Nicolas Dissaux    

    La réservation du savoir-faire : l'apport du contrat

    Koffi Ahiaku Sadia, Les instruments internationaux de lutte contre la contrefaçon, thèse soutenue en 2011 à Poitiers sous la direction de Henri-Jacques Lucas  

    Jusqu'au début des années 1990, les conventions internationales classiques de la propriété intellectuelle se sont essentiellement préoccuppées de la de la protection purement normative des droits en la matière. Compte tenu de ces lacunes, la lutte contre la contrefaçon relevait de mesures nationales alors que le fléau n'a jamais cessé de s'internationaliser. En prévoyant un impressionnant dispositif procédural et douanier destiné à lutter contre la contrefaçon, le nouveau droit conventionnel, principalement l'accord ADPIC a adopté une approche plus moderne et surtout plus fonctionnelle de la protection des droits de propriété intellectuelle. Cependant de tels progrés n'ont pas suffit à garantir l'efficacité de la protection conventionnelle, celle-ci demeurant réduite par de nombreuses pesanteurs et résistances. Les premières tiennent au contenu même du droit conventionnel, c'est à dire , avant tout, à la manière dont les règles conventionnelles sont définies, mais aussi à la persistance d'accords bilatéraux léonins qui aboutissent à modifier l'équilibre interne des traités internationaux. D'autres sont des conséquences , sur la lutte contre la contrefaçon, de la logique de libre concurrence qui domine le nouveau droit conventionnel. Les secondes découlents de facteurs externes, qu'ils soient liés aux écueils de l'intégration effective du droit conventionnel dans les droits nationnaux, ou aux règlements des différends entre États et à l'exécution des décisions issues de ces mécanismes. Une évolution du droit conventionnel, envisageable, requiert notamment, d'une part, des améliorations d'ordre normatif touchant aux règles matérielles - procédurales et aux dommages-intérêts de nature punitive - ainsi qu'aux règles de droit international privé, véritable parent pauvre du droit conventionnel. Elle nécessite, d'autre part, des améliorations d'ordre structurel relatives à la défense - juridictionnnelle ou non - des droits ainsi qu'à la surveillance et l'exécution des engagements des États.

    Quentin Azou Goyema, Données génétiques et médicales , thèse soutenue en 2009 à Dijon sous la direction de Noël-Jean Mazen  

    Les données génétiques humaines, du fait de leur polymorphisme tant scientifique que juridique, révèlent au droit des rivages inconnus. Elles sont présentées comme des données de nature médicale mais il ne s'agit pas de données médicales quelconques dans la mesure où elles expriment la part la plus intime de l'individu. Leur connaissance est nécessaire au progrès de la médecine afin d'assurer le traitement voire la prévention de certaines pathologies familiales. Elles présentent une spécificité qui justifie l'élaboration de normes juridiques appropriées. En raison de leur ambivalence intrinsèque, les données génétiques et médicales ne constituent pas des données personnelles car, source d'identification de la personne, elles cessent de l'être au moment même où elles perdent leur capacité de stigmatisation. Le recueil et la circulation des données génétiques et médicales constituent un défi juridique majeur pour les années à venir. La règle de droit devant permettre l'utilisation de ces données doit garantir une confidentialité nécessaire au respect de la vie privée. La définition de cet équilibre entre la part intime et la part universelle des données génétiques soulève de délicats problèmes : intérêt public et intérêt privé, universalité et individualité. Quels que soient les noms qu'on leur donne, la distinction a traversé, de part et d’autre, les contributions et les débats nourris. La comparaison des approches européenne et africaine reflète ce partage entre la protection et la divulgation des données génétiques et médicales. Elle révèle la diversité des techniques éthiques et juridiques existantes, explique la différence des traditions socioculturelles d'où notre volonté de porter à la connaissance du public, tant les contributions écrites que les nombreuses discussions qui les ont suivies. Ce travail se subdivise en deux parties : données génétiques et identification de la personne humaine(I) ; données génétiques et risques de discrimination (II).

    Clotilde Jourdain-Fortier, Santé et commerce international , thèse soutenue en 2004 à Dijon sous la direction de Éric Loquin  

    Comme le constatait il y a dix ans B. Oppetit, l’objet du droit du commerce international s’élargit sans cesse, à mesure que des choses et des activités qui étaient jusqu’alors en dehors des échanges économiques les intègrent. C’est le cas des produits et services de santé, qui permettent à l’homme d’être ou de rester en bonne santé et qui constituent les « supports » de la santé, valeur non marchande : en dépit de leur spécificité, ces produits – notamment les éléments et produits issus du corps humain – et services sont progressivement entrés dans le commerce juridique international, et dans l’échange marchand. On constate ainsi aujourd’hui l’existence d’un véritable « marché international de la santé », sous l’effet de l’évolution des législations et de la méthode des conflits de lois dont les solutions s’avèrent inadaptées pour affirmer les frontières de l’extra commercialité et de l’illicite dans les relations internationales. Mais l’intégration de ces produits et services dans le champ des échanges commerciaux internationaux n’est pas sans conséquence sur le plan de la santé. En effet, le droit du commerce international n’a pas a priori pour finalité la protection de la santé : droit de la nature économique, il a pour but la protection des intérêts des marchands, non pas celle des populations. Pourtant cette exclusion doit être relativisée. On constate en effet non seulement une certaine convergence des finalités entre le droit du commerce international et le droit sanitaire international, mais également une ouverture du droit du commerce international à la question de la protection de la santé, et notamment à celle, spécifique, de l’accès aux médicaments. Santé et commerce international ne sont donc pas liés par rapport systématique d’opposition ou d’exclusion

    David Jacotot, La notion de sécurité sanitaire , thèse soutenue en 1999 à Dijon sous la direction de Éric Loquin et Noël-Jean Mazen  

    La sécurité sanitaire, notion récente apparue en 1993, est fréquemment employée depuis l'épisode du sang contaminé. Elle est le maitre-mot de plusieurs articles du code de la santé publique et de la loi du 1er juillet 1998. Le droit de la santé a pour objet de régir les rapports dans lesquels une des parties est qualifiée de professionnel de la santé - critère organique - dans le but de protéger la santé des personnes physiques - critère finalisé -. La sécurité sanitaire modifie en profondeur la substantifique moelle du droit de la santé. Elle se définit comme un ensemble de règles d'ordre public, portant sur des produits de santé, inspirée de l'idée de précaution, dont le contenu évolue, s'étoffe au rythme de l'évolution des connaissances scientifiques et ayant pour but de promouvoir la sécurité de ces produits. La sécurité sanitaire ne construit pas une utopique exigence de sécurité absolue des produits de santé, mais une sécurité optimale de ces derniers. Elle assoit, dans le droit de la santé, un impératif de sécurité des produits de santé, qui emporte un double phénomène : le renforcement du critère finalisé et l'aménagement du critère organique du droit de la santé.

    Stéphane Prieur, La disposition par l'individu de son corps, thèse soutenue en 1998 à Dijon sous la direction de Éric Loquin  

    L’objet de la présente étude est d'apporter une clarification de la notion de disposition "corporelle", ou disposition de son propre corps, de qualifier juridiquement l'aptitude de l'individu à disposer de son corps, et d'analyser son encadrement ou son conditionnement en droit positif. Lorsque la disposition est juridique, l'expression "disposer de son corps" doit être employée dans le sens qui est le sien : celui d'un acte juridique unilatéral d'autorisation donnée à autrui de porter une atteinte à sa propre intégrité physique. La disposition "corporelle" n'est pas celle des choses, car le corps n'est pas une chose. Une analyse patrimoniale du mécanisme de la disposition conduirait à une réification du corps, ce dont la dignité de la personne humaine ne saurait se satisfaire. La catégorie des droits de la personnalité aide à maintenir la disposition de son propre corps dans l'extra patrimonialité, ce malgré la tendance actuelle à attribuer à ces droits une part de patrimonialité. La disposition "corporelle" comme droit de la personnalité n'est pas concernée par ce dédoublement : on ne tire pas un profit pécuniaire de la disposition de son propre corps, comme on pourrait tirer profit de l'exploitation de sa vie privée, de son image ou de son nom. La dignité est le lien indéfectible qui unit droit de disposer de son propre corps et droit de la personnalité. La même dignité commande un encadrement de l'exercice du droit subjectif de disposition juridique "corporelle", au sein d'un ordre public "corporel" protecteur de la personne disposante. Cet encadrement concerne aussi bien l'adulte majeur capable que la personne incapable de droit : ce dernier est alors assiste dans la disposition juridique de son corps.

    Bénédicte Touyeras-Paulze d'Ivoy, L'expertise en droit des sociétés, thèse soutenue en 1993 à Paris 10 sous la direction de Marie-Jeanne Campana  

    On peut constater qu'il existe dans une société des intérêts collectifs et des intérêts individuels, et que le droit met à la disposition des entreprises différentes expertises telles que l'expertise de gestion, l'expertise in futurum, les différents experts du comité d'entreprise ou l'expert charge de déterminer un prix de cession de droits sociaux. La première partie de cette thèse est consacrée a la conciliation entre expertises et intérêts existant dans la société. Ainsi, on peut rapprocher l'article 226 d'intérêt collectif tel que l'intérêt social, l'article 145 du NCPC sera plus à même de défendre l'intérêt individuel d'un associe, les experts du comité d'entreprise sont lies a l'intérêt salarial et les experts charges de déterminer un prix à l'intérêt individuel d'un associe souhaitant quitter la société. Cette première partie permet de mettre en lumière l'extrême souplesse des conditions de mise en œuvre de différentes expertises, qui permet de taire de l'expertise un véritable instrument de défense des intérêts. Par ailleurs, l'analyse des différents intérêts d'une société montre que l'on ne doit plus parler de société mais d'entreprise. L'entreprise est en effet la seule entité qui permet de prendre en compte l'intérêt salarial. Dans une deuxième partie, il est démontré que l'expertise oblige l'entreprise a une transparence aux yeux des tiers, ainsi l'entreprise ne peut plus être la chose des associes. En effet, des tiers à l'entreprise (la cob, le ministère public) peuvent demander une expertise, et donc s'immiscer dans la gestion de la société. Enfin, l'expertise fait ressortir la prééminence du comité d'entreprise qui bénéficie de l'expertise de gestion, de l'expertise in futurum et de différentes expertises qui lui sont propres.