Olivier Vernier, Marc Ortolani (dir.), Un espace géopolitique: chroniques consulaires à Nice sous l'Ancien régime, ASPEAM, Serre éditeur et Impr. Serre, 2024, 188 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Bénédicte Decourt Hollender (dir.), Études sur la loi, expression de la souveraineté, face aux autonomies dans les États de Savoie, 1e éd., Serre éditeur, 2024, Mémoires et travaux de l'Association méditerranéenne d'histoire et d'ethnologie juridiqueN° 1e série, 324 p.
Olivier Vernier, Miscellanées sur l'enseignement du droit à Nice à l'époque contemporaine (1937-1965), Lefebvre Dalloz, 2024, 589 p.
Olivier Vernier, Yannick Marec, Antony Kitts, La pauvreté et sa prise en charge en France: 1848-1988, Éditions Atlande, 2022, Clefs concours ( Histoire ), 323 p.
Une préparation au sujet 2022-2023 de l'épreuve d'histoire et géographie du monde contemporain de l'agrégation externe de sciences économiques et sociales. Avec un rappel des concepts et de leur histoire, le décryptage des enjeux du programme, des définitions, des dates et de nombreuses références.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Françoise Briegel, Sylvain Milbach (dir.), Etudes sur l'administration en tension: les relations entre Turin et les périphéries dans les Etats de Savoie, XVIIIe-XIXe siècles, 1e éd., Serre Editeur, 2022, Mémoires et travaux de l'Association méditerranéenne d'histoire et d'ethnologie juridiqueN° 1ère série, 304 p.
Olivier Vernier, Jacques Poumarède, Frédéric Audren, Jean-Marie Augustin, Mircea-Dan Bocşan [et alii], Histoire de l'histoire du droit, Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, Presses de l'Université de Toulouse 1 sciences sociales et OpenEdition, 2021
Faire l'histoire de l'histoire est une démarche qui, depuis trente ans, est solidement installée au coeur des sciences historiques. Toutefois, jusqu'à présent, un domaine n'a guère fait l'objet de recherches historiographiques : l'histoire du droit. Cette discipline née dans l'enceinte des facultés de droit, a longtemps cultivé un « splendide isolement » à l'égard des courants qui ont traversé la « fabrique de l'Histoire », au nom d'une spécificité dont se réclament volontiers les juristes. Mais l'indispensable effort de réflexivité a fini par imposer ses exigences épistémologiques et c'est la vénérable Société d'Histoire du droit - fondée en 1913 - qui a mis à l'ordre du jour de ses Journées internationales, tenues à Toulouse en juin 2005, Thistoriographie de la discipline. Les 35 contributions réunies dans cet ouvrage explorent les racines anciennes de l'étude historique du droit, sa laborieuse introduction dans les facultés au cours du xixe siècle, l'invention et le développement de ses méthodes, de ses pratiques, comme de ses institutions propres (revues, sociétés savantes) au xxe siècle. Elles campent quelques figures notables qui l'ont illustrée et grâce à la participation de spécialistes espagnols, portugais, italiens, belges, néerlandais et roumain, elles offrent des comparaisons avec la situation française, et permettent de tracer un panorama d'ensemble très riche et, somme toute, d'une remarquable homogénéité
Olivier Vernier, Régis Bertrand, Anne Carol, Frédéric Bertrand, Diego Carnevale [et alii], Aux origines des cimetières contemporains: les réformes funéraires de l'Europe occidentale, XVIIIe-XIXe siècle, Presses universitaires de Provence et OpenEdition, 2021
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Christophe Roux (dir.), 1848 dans les Etats de Savoie. Un pas vers la modernité politique: un pas vers la modernité politique, 1e éd., Serre éditeur, 2020, Mémoires et travaux de l'Association méditerranéenne d'histoire et d'ethnologie juridiqueN° 1ère série, 278 p.
Le colloque « 1848 dans les États de Savoie. Un pas vers la modernité politique », tenu à Science Po. Menton et à Villa Hanbury en 2018, est la douzième rencontre organisée dans le cadre du P.R.I.D.A.E.S. (Programme de Recherche sur les Institutions et le Droit des Anciens États de Savoie). 1848 constitue dans l’histoire française un retour à la République après les périodes impériales et des Chartes. Pour le royaume de Piémont-Sardaigne, il s’agit d’un moment fondateur : celui d’un tournant inédit, rompant avec le régime de Restauration, vers le constitutionnalisme, l’affirmation des libertés publiques, le recours aux élections et l’essor des partis politiques. 1848 est donc un moment décisif pour l’apprentissage de ce qui fonde la modernité politique. Trois parties articulent ce volume. La première est relative à l’évolution du contexte idéologique et politique que connaît le royaume durant les années précédant 1848 : l’émergence d’idées nouvelles et d’aspirations démocratiques, qui confine parfois à l’antagonisme politique. Certaines contributions envisagent la question sous l’angle idéologique, culturel ou diplomatique, pour illustrer les effets de l’accélération de l’histoire à laquelle on assiste avant le premier texte constitutionnel appelé Statuto. D’autres l’envisagent au contraire au plus près des revendications libérales et de leurs moyens, notamment la presse. La deuxième partie est davantage centrée sur la profonde innovation institutionnelle que concrétise le Statuto, permettant de mesurer le subtil équilibre qu’il réalise entre continuité et rupture et d’apprécier à sa juste mesure l’œuvre de Charles-Albert, roi réformateur, par la suite imitée, interprétée voire orientée. Quant au contenu du texte, largement connu, il est abordé ici à travers l’un de ses aspects les plus innovants, la question électorale. Cela sert de transition vers la troisième partie, où sont recensés les signes de l’émergence d’une nouvelle culture politique. On y évoque les premières expériences électorales, la fonction des élus et la construction des élites politiques, mais également les divers chemins de la modernité dans lesquels s’est engagée la monarchie piémontaise (liberté d’association, liberté de la presse, milices communales ou éducation politique).
Olivier Vernier, Rosine Cleyet-Michaud, Henri Bresc, Marie-Louise Carlin, Geneviève Étienne, Mireille Massot, Sylvie de Galleani (dir.), 1388, la dédition de Nice à la Savoie: actes du colloque international de Nice, septembre 1988, Éditions de la Sorbonne, Publications de la Sorbonne et OpenEdition, 2019, Publications de la Sorbonne ( Histoire ancienne et médiévale )
Les actes du Colloque international qui a commémoré le sixième centenaire de la dédition de Nice à la Savoie envisagent l'événement de 1388 jusque dans son historiographie et dans ses conséquences modernes. Ils se placent dans une perspective pluridisciplinaire, unissant les approches historique, politique, philologique et symbolique et dans un horizon géographique aux dimensions des ambitions et des pouvoirs des dynasties angevines et savoisienne. Le particularisme niçois est né de ce bouleversement, il trouve son origine dans le choix dynastique de Charles III de Duras et se renforce dans les liaisons entre parti duraciste et défenseurs du pape romain, dans une conjoncture marquée par le schisme, les insurrections des Tucchins et par les premières interventions des Valois et des Orléans en Italie du Nord. La déditlon volontaire de 1388 signale la réussite d'un État moderne, le comté de Savoie, "Prusse alpine" aux structures fortes et souples, et l'échec de la principauté provençale, dont l'effondrement laisse des traces profondes : la frontière du Var, les solidarités entre Nice, Coni et Turin, la circulation des milieux nobiliaires, des administrateurs et des juristes à travers les Alpes, et jusqu'aux irrédentismes d'hier et aux familiarités d'aujourd'hui
Olivier Vernier, La Société des Amis du musée Masséna. Entre amateurs éclairés et constitutions des collections 1920-1955,, 2019, 197 p.
Olivier Vernier, Bruno Dumons, Gilles Pollet, Frédéric Audren, Xavier Boniface [et alii], La fabrique de l'honneur: les médailles et les décorations en France (XIXe-XXe siècles), Presses universitaires de Rennes et OpenEdition, 2019
Depuis longtemps, la pérennisation du pouvoir royal s'était appuyée sur un ensemble de techniques, de dispositifs et de pratiques de gouvernement parmi lesquelles se distinguait l'attribution d'une médaille ou d'une décoration qui permettait de mettre à l'honneur un sujet. Si les révolutionnaires de 1789 ont décrété la suppression de ces ordres royaux, l'Assemblée nationale de 1791 a considéré qu'il y avait toujours lieu d'attribuer des marques d'honneur aux citoyens. Bonaparte reconnaît au Conseil d'État en 1802 qu'une telle technique n'est pas incompatible avec l'idéal républicain : « Je défie qu'on me montre une République ancienne ou moderne dans laquelle il n'y a pas eu de distinctions... » Ainsi, l'honneur devient une affaire de mérite, rationalisable et génératrice d'un nouveau modèle d'élites.Recevoir une décoration, c'est donc être mis à l'honneur publiquement par l'institution qui la décerne. L'individu récompensé incarne un exemple de « vertu » et de « mérite ». L'attribution d'une médaille appartient à une logique de « distinction » et devient progressivement une « technique de gouvernement ». Dès le début du XIXe siècle, un véritable engouement pour les médailles et les décorations s'empare d'ailleurs de la nouvelle société bourgeoise. L'Empire et la République mais également l'Église ont distribué chacun à profusion ces marques de reconnaissance. Cette inflation de récompenses honorifiques qui ne se dément pas jusqu'au milieu du XXe siècle, et dans une large mesure jusqu'à nos jours, appelle une réflexion générale et une analyse socio-historique qui n'a jusqu'alors guère suscité l'intérêt des chercheurs en sciences sociales.Préalablement considéré comme poussiéreux et futile, réservé aux numismates et aux érudits, cet objet d'étude peut être revisité sous une double approche qui envisage la médaille et la décoration comme une technique relevant des « sciences de gouvernement » et un outil de fabrication des nouvelles élites. Pour la première fois, une confrontation entre politistes, juristes et historiens a permis d'envisager, à partir de synthèses et d'études de cas empiriques, les multiples aspects qui entourent cette « technique de gouvernement » et les différents profils d'élites générés et légitimés par la « pratique décorative » d'État
Olivier Vernier, Marc Ortolani (dir.), Les députés du pays niçois à la Chambre subalpine de Turin (1848-1860): Un itinéraire historique et juridique, Editions ASPEAM et Serre éditeur, 2019, 325 p.
Olivier Vernier, Les contributions des historiens du droit des facultés provençales à l'histoire régionale. Jalons pour une recherche (1843-1965), 2019, 415 p.
Olivier Vernier, Le "Magistrat" des citrons à Menton: une institution "sociale" au XIXè siècle entre légende dorée et dirigisme pragmatique (1814-1848), Editions la Mémoire du Droit, 2018, 319 p.
Olivier Vernier, Une infraction rare mais symbolique du XIXe siècle: le port illégal de costume officiel (1810-1914), L'Harmattan, 2017, 287 p.
Olivier Vernier, A propos du Baiser de paix de la cathédrale de Nice: de l'objet de culte à l'objet d'art religieux dans les Alpes-Maritimes (1801-1930), Serre éditeur, 2017, 349 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Karine Deharbe (dir.), Intendants et intendance en Europe et dans les États de Savoie, XVIIe-XIXe siècles: actes du colloque international de Nice, 25-27 octobre 2012, 1e éd., Serre éditeur et ASPEAM, 2016, Actual, 483 p.
Olivier Vernier, Note sur une contribution provençale à l'histoire de la pensée politique sous les Cent-Jours: les réflections sur l'acte additionnel aux constitutions de l'Empire du 22 avril 1815 de Joseph-Victor Aubernon, L'Harmattan, 2016, 615 p.
Olivier Vernier, La représentation de la justice du travail en France aux XIXe et XXe siècles: costumes, insignes, jetons et médailles des conseils de prud'hommes, Edition Panthéon Assas, 2015, 413 p.
Olivier Vernier, La politique des distinctions honorifiques civiles du régimes de Vichy: (1940-1944), Classiques Garnier, 2015, 442 p.
Olivier Vernier, Jean-Marc Giaume, Michel Bottin, Roberte Dallo, Jean-Paul Potron [et alii], Les 400 ans du Sénat de Nice : 1614-2014 ,, 2014, 22 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Michel Bottin (dir.), Protection et valorisation des ressources naturelles dans les États de Savoie du Moyen Âge au XIXe siècle, 1e éd., Serre éditeur, 2014, Mémoires et travaux de l'Association méditerranéenne d'histoire et d'ethnologie juridiqueN° 1ère série, 445 p.
Olivier Vernier, Michel Laroque, Sources et témoignages: en souvenir du professeur Paul Durand, pionnier de l'enseignement de la sécurité sociale, Comité d'histoire de la sécurité sociale, 2014, 106 p.
Olivier Vernier, Le renouveau de l'héraldique des collectivités locales sous le régime de Vichy: une initiative rhodanienne (1941-1944), Éditions la Mémoire du droit, 2014, 895 p.
Olivier Vernier, L'histoire du droit social, Classique Garnier, 2014, 456 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Michel Bottin, Bruno Berthier (dir.), Consentement des populations, plébiscites et changements de souveraineté, 1e éd., Serre éditeur, 2013, [Actual], 493 p.
Olivier Vernier, Delphine Rauch, Un consentement orienté et un plébiscite sous surveillance: le cas de La Sarre en 1935,, 2013, 451 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Michel Bottin (dir.), Propriété individuelle et collective dans les États de Savoie: actes du colloque international de Turin, les 9-10 octobre 2009, 1e éd., Serre éditeur, 2012, [Actual], 316 p.
Olivier Vernier, Les étapes de la protection sociale des gens de mer et des marins militaires dans les aires provençale et niçoise à l'époque contemporaine (de la fin de la IIIème à la IVème République),, 2012, 93 p.
Olivier Vernier, En marge de la protection sociale: note sur les ex-voto marins en méditerranée, {CRAM Sud Est}, 2012, 27 p.
Olivier Vernier, Célébrer les mérites civils aux débuts des trente Glorieuses: les ordres ministériels sous la IVème République (1948-1958), Editions du CTHS, 2012, 173 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Michel Bottin (dir.), Commerce et communications maritimes et terrestres dans les États de Savoie: actes du colloque international d'Imperia, 9-10 janvier 2009, 1e éd., Serre éd., 2011, Actual, 284 p.
Olivier Vernier, Les étapes de la codification du travail maritime sous la Troisième République: 1898-1938, Presses universitaires de Rennes, 2011, 113 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Michel Bottin, Louis Gassin, Président du Conseil général (1926-1931): un grand avocat au service du département,, 2011, 385 p.
Olivier Vernier, Entre Empire et République,, 2011, 213 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani, Michel Bottin (dir.), Pouvoirs et territoires dans les États de Savoie: actes du colloque international de Nice, 29 novembre-1er décembre 2007..., 1e éd., Serre éd., 2010, [Actual], 580 p.
Olivier Vernier, Stéphane Caporal, Jörg Luther (dir.), Documents constitutionnels de la France, de la Corse et de Monaco 1789-1848, De Gruyter, 2010, Constitutions of the World from the late 18th century to the middle of the 19th century, 279 p.
Olivier Vernier, Entre historiographie, nostalgie et revendications: FERT, la revue des Italiens de souche savoyarde et niçoise (1910-1966), Académie florimontane, Académie salésienne et Amis du Vieil Annecy, 2010, 319 p.
Olivier Vernier, Quand l'état décore le travail de la IIIe à la Ve République: 1883-1963, Charvet imprimeurs, 2010, 143 p.
Olivier Vernier, Michel Bottin, Marc Ortolani (dir.), Études d'histoire du droit privé en souvenir de Maryse Carlin, la Mémoire du droit, 2008, 868 p.
Olivier Vernier, De Charles III à Louis II , Caisse régionale d'assurance maladie du Sud-est, 2008, 7 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani (dir.), La justice administrative à Nice, 1800-1953, 1e éd., Serre, 2006, Mémoires et travaux de l'Association méditerranéenne d'histoire et d'éthnologie juridiqueN° 1ere série, 228 p.
Olivier Vernier (dir.), Fleurs et fruits dans les Alpes-Maritimes: catalogue de l'exposition [présentée aux Archives municipales de Nice en 1996] et actes de la journée d'études, ASPEAM, 2004
Olivier Vernier, Bernard Gibaud, David Lamoureux, Gérard Mermet, Histoire de la Mutualité dans les Alpes-Maritimes de 1832 à nos jours,, 2004, 117 p.
Olivier Vernier, Marc Ortolani (dir.), Le temps et le droit, Éd. Serre, 2002, Actual, 257 p.
Olivier Vernier (dir.), Du Comté de Nice aux Alpes-Maritimes, Nice, 2000, Collection Actual, 250 p.
Olivier Vernier, D'espoir et d'espérance, Éd. Serre, 1993, Collection Actual, 542 p.
Olivier Vernier, Charles Delormeau, Robin Avillach, Le protestantisme à Nice au XIXe siècle, Academia Nissarda, 1991
Olivier Vernier, Marie-Louise Carlin, L'assistance privée dans les Alpes-Maritimes au XIXe siècle 1814-1914: bienfaisance et entraide sociale, 1987, 858 p.
Au XIXe siècle les Alpes-Maritimes (le comté de Nice sous souveraineté sarde et l'arrondissement de grasse sous souveraineté française) offrent l'image d'un monde clos dépendant d'un relief hostile qui sépare l'arrière-pays du littoral. Depuis des siècles une relative pauvreté s'y perpétue mais le bouleversement économique et social engendre par le tourisme provoque l'exploitation de la mendicité ainsi que de nouvelles formes de bienfaisance. La tradition dans le domaine de la charité se marque par la place de la religion et le rôle des évêques, des congrégations religieuses. Les œuvres de bienfaisance sont caractérisées par la diversité de leurs actions ; les notables occupent des fonctions charitables et apportent leur soutien financier par leurs libéralités et leurs souscriptions. L'évolution se traduit par les manifestations empreintes de l'œcuménisme mondain des colonies étrangères d'hivernants. Tous les pouvoirs publics incitent et canalisent charité, philanthropie et altruisme au point de faire des Alpes-Maritimes un exemple remarquable de prise en charge d'une mission de service public par des particuliers. Les habitants ne se contentent pas d'être assistés, ils témoignent également d'entraide sociale en maintenant monts-de-piété et confréries de pénitents et en insérant les Alpes-Maritimes dans le nouveau monde de l'économie sociale : mouvement mutualiste, institutions d'épargne et coopération.
Olivier Vernier, Paul-Louis Malausséna, Les fondations pieuses dans le Comté de Nice, 1979, 89 p.