Guillaume Drago, Samy Benzina, Gustavo Zagrebelski, Ariane Vidal-Naquet, Michel Troper [et alii], La doctrine et le Conseil constitutionnel, Lefebvre Dalloz et Dalloz, 2024, Thèmes et commentaires ( Actes ), 439 p.
Le Conseil constitutionnel a toujours été scruté par des professeurs de droit. Au gré des mutations de l'institution et de ses pouvoirs, leur relation a néanmoins évolué en profondeur depuis soixante-cinq ans. Le recul historique permet désormais d'en restituer la complexité et les ambivalences sur la longue durée. Ont été réunis, dans cette perspective, des professeurs et des praticiens issus de traditions doctrinales et de pays divers, afin qu'ils examinent sous un jour nouveau les individus, les générations, les méthodes et les échanges intellectuels qui ont contribué à tisser ce lien singulier et changeant. Ainsi se dessine, au fil de ces pages, un tableau original, propre à renouveler la réflexion sur la manière française d'étudier et de rendre la justice constitutionnelle, ainsi plus généralement que sur la contribution respective des professeurs et des juges à la formation de la culture constitutionnelle française.
Guillaume Drago, Joël Hautebert, Christophe Eoche-Duval (dir.), Pandémie, droit et cultes, mare & martin, 2023, Droit & science politique, 147 p.
L’épisode des confinements et déconfinements résultant de la propagation du Covid-19 a été marqué par de fortes restrictions des libertés fondamentales des citoyens. La liberté des cultes fut parmi les plus touchées. Les mesures drastiques prises par les pouvoirs publics à son encontre sont un indicateur puissant du fonctionnement de nos institutions et des relations entre le politique et le religieux aujourd’hui, tandis que l’acceptation massive des restrictions par les citoyens et les fidèles interroge. En s’appuyant sur la théorie et la pratique juridiques, en recourant également à la philosophie politique et à la théologie, cet ouvrage apporte sa contribution à la compréhension de ces événements.
Guillaume Drago, Samy Benzina, Olivier Beaud, Damien Fallon, Mathilde Heitzmann-Patin [et alii], Le Conseil constitutionnel est-il le gardien des libertés ?: actes du colloque de Poitiers, 25 octobre 2019, Université de Poitiers, Presses universitaires juridiques et LGDJ Lextenso, 2021, Collection de la Faculté de droit et des sciences sociales de Poitiers. Actes & colloques, 234 p.
Le Conseil constitutionnel est-il le gardien des libertés ? Une question classique, peut-être même inconvenante aujourd'hui tant le rôle de gardien des libertés semble être naturellement associé à l'institution autant par une partie de la doctrine ou des médias que par le Conseil constitutionnel lui-même dans sa communication. Toutefois, la période actuelle ne permet plus de s'en tenir aux mirages de la communication. La résurgence de la menace terroriste et la survenance d'une menace sanitaire conduisent le législateur français à retenir une approche de plus en plus sécuritaire qui menace les droits et libertés. Au coeur des institutions présidentialistes françaises, le Conseil constitutionnel apparaît comme l'un des rares remparts face aux poussées de fièvre liberticides des gouvernants. Une étude systématique des méthodes et de la jurisprudence du juge constitutionnel français est ainsi apparue indispensable pour évaluer la solidité de cette digue qu'est censé être le Conseil constitutionnel. Les auteurs ont donc entrepris, chacun sous un angle déterminé, de répondre de manière scientifiquement informée à la question de savoir si le Conseil constitutionnel est le gardien des libertés. Cet ouvrage réunit l'ensemble des contributions issues des travaux du colloque, organisé par l'Institut du droit public (IDP), qui s'est tenu le 25 octobre 2019 à la Faculté de droit de Poitiers.
Guillaume Drago, Contentieux constitutionnel français, 5e éd., puf, 2020, Thémis ( Droit ), 846 p.
Guillaume Drago, Hippolyte Fierobe, La séparation des pouvoirs dans la jurisprudence du Conseil constitutionnel , 2020
La séparation des pouvoirs n’est plus seulement un concept issu de la doctrine ou une règle d’art politique, comme Charles Eisenmann et Jean-Jacques Chevallier l’ont décrite. Le Conseil constitutionnel participe activement, directement ou indirectement, volontairement ou malgré lui, à un mouvement de redéfinition du sens de ce principe fondamental du constitutionnalisme moderne. En adoptant certaines exigences fondées ou non sur le « principe de la séparation des pouvoirs » comme principes directeurs propres à la jurisprudence constitutionnelle, le Conseil confère un contenu positif (théorique et normatif) à la séparation des pouvoirs, que ce contenu se conforme à son sens profond ou qu’il aboutisse à son appauvrissement, voire à sa dénaturation.
Guillaume Drago, Pierre-Yves Gahdoun, Emmanuel Piwnica, Le contentieux constitutionnel, Lextenso, 2018, 291 p.
Guillaume Drago, Emmanuel Tawil (dir.), France & Saint-Siège: accords diplomatiques en vigueur, les Éditions du Cerf, 2017, Cerf Patrimoines, 181 p.
Guillaume Drago, Contentieux constitutionnel français, 4e éd., puf, 2016, Thémis ( Droit ), 792 p.
Guillaume Drago, Bénédicte Fauvarque-Cosson, Marie Goré (dir.), L'accès au juge de cassation: colloque du 15 juin 2015, Société de législation comparée, 2015, Collection Colloques, 310 p.
Guillaume Drago, Contentieux constitutionnel français, 3e éd., Presses universitaires de France, 2011, Thémis ( Droit ), 683 p.
Guillaume Drago, Dominique Chagnollaud, Jérôme Benzimra-Hazan (dir.), Dictionnaire des droits fondamentaux, Dalloz, 2010, 751 p.
Guillaume Drago (dir.), L'application de la Constitution par les cours suprêmes: Conseil constitutionnel, Conseil d'État, Cour de cassation, Dalloz, 2007, Thèmes et commentaires ( Actes ), 234 p.
Guillaume Drago, Contentieux constitutionnel français, 2e éd., Presses universitaires de France, 2006, Thémis ( Droit ), 759 p.
Guillaume Drago, Dominique Chagnollaud (dir.), Dictionnaire des droits fondamentaux, Dalloz, 2006, Dictionnaires Dalloz, 751 p.
Guillaume Drago, Martine Lombard (dir.), Les libertés économiques, Éditiions Panthéon-Assas, 2003, Droit public, 169 p.
Guillaume Drago, Bastien François, Nicolas Molfessis (dir.), La légitimité de la jurisprudence du Conseil constitutionnel: colloque de Rennes, 20 et 21 septembre 1996, Economica, 1999, Études juridiques, 415 p.
Depuis plus d'un quart de siècle, le contrôle de constitutionnalité connaît un développement sans précédent en France. Désormais, la Constitution, à laquelle le Conseil constitutionnel apporte sa jurisprudence, n'est plus seulement un texte visant à l'organisation et au fonctionnement des pouvoirs publics ; elle est aussi et surtout une source de droits fondamentaux, supérieurs à la loi et applicables par l'ensemble des juridictions. Pourtant les fondements de la jurisprudence du Conseil constitutionnel sont-ils si certains que les conditions de son insertion dans l'ordre juridique ne doivent plus être discutées ? Faut-il croire réellement que son importance retentit dans l'ensemble des branches du droit, en droit public aussi bien qu'en droit privé ? Plus largement encore, la jurisprudence constitutionnelle a-t-elle fait la preuve de sa nécessité, de son caractère indispensable au bon fonctionnement de l'ordre juridique français, mais aussi plus largement, à la démocratie ? Voici posée la question de " la légitimité de la jurisprudence du Conseil constitutionnel ". De la jurisprudence et non de l'institution, c'est-à-dire de l'oeuvre accomplie plus que de son auteur. Le présent ouvrage, parce qu'il permet, de façon inédite, une discussion à plusieurs voix, un échange de vues et de compétences entre politistes, publicistes et privatistes, un dialogue entre les pro et les contra, entre les thuriféraires et les agnostiques, apporte une contribution essentielle aux interrogations multiples que soulève la jurisprudence du Conseil constitutionnel
Guillaume Drago, Contentieux constitutionnel français, Presses universitaires de France, 1998, Thémis ( Droit public ), 580 p.
Guillaume Drago, Jean Foyer, Yves Gaudemet, Roland Drago, François Terré [et alii], Les abus du juridisme: colloque, Palais de l'Institut, 1997, Institut
Guillaume Drago, L'exécution des décisions du Conseil constitutionnel: l'effectivité du contrôle de constitutionnalité des lois, Economica et Presses Universiatires d'Aix-Marseille, 1991, Collection Droit public positif, 403 p.
Guillaume Drago, Yves Gaudemet, L'exécution des décisions du Conseil Constitutionnel, Atelier national de reproduction des thèses, Université Lille 3, 1989, Lille-thèses
Le développement de la jurisprudence du conseil constitutionnel est aujourd'hui un phénomène majeur au regard de l'ordonnancement normatif. Les décisions du Conseil Constitutionnel doivent être considérées comme une des sources du droit, ce qui implique que toutes les autorités publiques doivent en tenir compte dans les actes qu'elles sont amenées à édicter. L'article 62 de la Constitution pose le principe selon lequel "les décisions du conseil constitutionnel s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles". L'objet de la recherche entreprise est d'expliciter la notion d'autorité des décisions du conseil et de montrer comment ces décisions sont exécutées par le parlement, le gouvernement, l'administration et les juridictions, la référence au droit comparé constituant un des éléments de la recherche.
Guillaume Drago, Le Phénomène Magnaud et la philosophie du droit, 1984
Guillaume Drago, préface à Julien Padovani, Essai de modélisation de la justice constitutionnelle: pour une approche téléologique du contentieux constitutionnel, LGDJ, un savoir-faire de Lextenso, 2022, Bibliothèque constitutionnelle et de science politique, 606 p.
Peut-on encore penser la justice constitutionnelle à travers les modèles ? Cette question est à l'origine de l'étude, qui propose d'y répondre par l'affirmative, à rebours d'une forme de renoncement doctrinal en la matière. À visée exploratoire, l'ouvrage expose une modélisation théorique dans une perspective descriptive, se présentant comme un outil susceptible de permettre de mieux connaître les systèmes de justice constitutionnelle. Prolongeant, tout en la reformulant, la proposition de Francisco Rubio Llorente (1996), la thèse suggère de s'intéresser aux finalités de la justice constitutionnelle. Dans une première partie, l'étude approfondie du contentieux constitutionnel français permet de systématiser sa reconfiguration autour des droits et libertés et fournit une grande part du matériau utile à la construction théorique. Appréhendés comme des idéaux-types, à vocation universelle, deux modèles sont élaborés, dans une seconde partie : le modèle de justice constitutionnelle ayant pour finalité prioritaire la préservation de la séparation des pouvoirs et celui ayant pour priorité la protection des droits et libertés. À l'appui d'une étude de droit comparé (Allemagne, Espagne, Italie, Belgique), la thèse permet de conforter l'idée selon laquelle le contentieux constitutionnel, généralement institué pour préserver les sphères de compétences, tend à se recentrer progressivement vers la protection des droits et libertés dans les États de droit contemporains. Cette évolution met en évidence celle de la nature du contrôle juridictionnel, reformulant la problématique de la légitimité de la justice constitutionnelle
Guillaume Drago, préface à Jérémy Martinez, Conseil constitutionnel et économie, L'Harmattan, 2021, Lauréats-prix scientifique L'Harmattan, 527 p.
L'objectif de cette recherche a été de définir les droits et libertés économiques en tâchant de reconstituer le raisonnement suivi par le Conseil constitutionnel lors des phases préparatoires de ses décisions. L'étude inédite de ces documents a permis de mettre en évidence que les droits et libertés économiques n'étaient pas issus d'une adhésion par le juge constitutionnel à une idéologie économique, libérale ou socialiste, mais découleraient plutôt de la construction de l'office d'un juge empirique. L'identification de ce positionnement atypique de l'institution du Conseil constitutionnel a permis de dégager une nouvelle définition des droits et libertés économiques : ce sont des droits et libertés fondamentaux interprétés à l'aune de l'anticipation de leur application dans un marché, et ayant pour objet la protection d'intérêts économiques. À partir de cette définition centrée sur le marché, il a alors été possible de procéder à une nouvelle systématisation de la jurisprudence constitutionnelle. Toute l'originalité de ces droits et libertés réside ainsi dans leur association avec le marché. Cette association explique l'extension des droits et libertés économiques dans la jurisprudence constitutionnelle. "Cette méthodologie au microscope est passionnante en ce qu'elle permet de comprendre, génération après génération dans la composition du Conseil constitutionnel, comment le Conseil se saisit des questions économiques pour les rapporter à une règle constitutionnelle." Guillaume Drago, Université Paris II Panthéon-Assas
Guillaume Drago, préface à Olivier Gohin, Robert Andersen, Camille Broyelle, Martin Collet, Samira Hamdi [et alii], Justice administrative et Constitution de 1958, LexisNexis, 2020, 94 p.
Guillaume Drago, préface à Anne-Virginie Madeira, Nationaux et étrangers en droit public français, Librairie générale de droit et de jurisprudence, une marque de Lextenso, 2018, Bibliothèque de droit public, 427 p.
La question de la relation entre nationaux et étrangers en droit public connaît un certain nombre de mutations caractérisées par un apparent rapprochement des deux statuts juridiques et par leur définition. La question est bien celle de la place que le droit public peut ou doit accorder à ceux qui vivent au sein de l'État mais n’en possèdent pas la nationalité et donc celle de l’actuelle signification donnée au lien de nationalité en droit public français. Cette signification semble dépendre à la fois du mode de distinction entre les concepts de national et d’étranger, c'est-à-dire de l’exercice de la souveraineté de l'État dans ce choix, et des statuts qui leur sont ensuite attachés en tant qu’ils sont liés par un élément primordial : la présence sur un même territoire. Ainsi, l’étranger, s’il n’est pas attaché à l'État par le lien de nationalité, est tout de même soumis au pouvoir étatique du fait de sa présence sur le territoire de l'État. Le droit relatif à la nationalité et à l’extranéité est avant tout un droit d’exclusion et de restriction qui conduit à reconnaître à l’étranger moins de droits qu’au national et qui codifie cette différence. Mais ce droit est aussi, en parallèle, un droit d’intégration car il définit un statut de l’étranger dans l'État où il réside et en fait un sujet du droit de cet État. L’enjeu d’une étude des relations entre « nationaux » et « étrangers » est donc de questionner l’actuelle distinction juridique des deux concepts. Il s’agirait ainsi à la fois de réconcilier en la matière les deux expressions du pouvoir étatique : le pouvoir de commandement unilatéral fondé sur la contrainte et la conservation de l’autonomie et de la liberté reconnue à l’individu dans la société, et d’assurer l’équilibre entre une nécessaire différenciation des statuts, en raison de l’existence d’une communauté nationale qui fonde le pacte constitutionnel et qui est à distinguer de la simple société civile, et le respect des libertés individuelles au sein de l'État.
Guillaume Drago, préface à Samy Benzina, L'effectivité des décisions QPC du Conseil constitutionnel, LGDJ, une marque de Lextenso, 2017, Bibliothèque constitutionnelle et de science politique, 746 p.
Guillaume Drago, préface à Charles-Édouard Sénac, L'office du juge constitutionnel: étude du contrôle de constitutionnalité par les juridictions françaises, LGDJ-Lextenso éditions, 2015, Bibliothèque constitutionnelle et de science politique, 613 p.
Guillaume Drago, préface à Diane Khair, Unité de l'État et droits des minorités: étude constitutionnelle comparée du Proche-Orient, Fondation Varenne et diff. LGDJ, 2011, Collection des thèses, 601 p.
Guillaume Drago, préface à Anne-Sophie Michon-Traversac, La citoyenneté en droit public français, Fondation Varenne et diff. LGDJ, 2009, Collection des thèses, 655 p.
Résumé de l'éditeur "Notion essentielle du droit public français, la citoyenneté n'a paradoxalement jamais autant échappé au droit pour être saisie par la société. Alors que les " comportements citoyens " sont recensés, les " blogs citoyens " exhortent le " citoyen- consommateur " à devenir " éco-citoyen ". Par ces dérives et abus de langage, la citoyenneté est devenue une formule magique. Une dictature citoyenne s'esquisse : tout ce qui est citoyen interdit la critique et ne peut que susciter l'adhésion. Le langage juridique contribue également à l'appauvrissement de cette notion. De nouvelles dimensions sociales ou économiques viendraient prolonger la citoyenneté, qui doit alors être qualifiée de politique pour être identifiée. Dans le langage commun comme dans le langage du droit, la citoyenneté est ainsi devenue un vocable incantatoire, l'éloignant de son sens juridique, allant même jusqu'à le contredire. L'étude de la citoyenneté en droit public français ne peut pas être l'étude de cet inexorable déclin mais doit être la voie ouverte vers sa reconquête par le droit. Véritable notion juridique, la citoyenneté se définit en premier lieu par les droits politiques de vote et d'éligibilité. Elle s'affirme dans les textes constitutionnels depuis la Révolution, signe de sa consécration pérenne dans le temps. Parallèlement, c'est pourtant l'instabilité qui n'a cessé de caractériser ses conditions d'octroi et d'exercice. La citoyenneté se définit en second lieu par la communauté politique dans laquelle elle s'exerce. L'émergence contemporaine de citoyennetés au-delà et en deçà de l'Etat remet en cause l'exclusivité de la citoyenneté nationale sur le territoire français. Si les citoyennetés de l'Union européenne et de la Nouvelle-Calédonie sont à plusieurs égards imparfaites et marquées par leurs singularités, elles permettent de mesurer l'adaptation du droit français qui postulait l'unicité de Lu citoyenneté. Les citoyennetés du droit public français conduisent à l'analyse du cadre renouvelé dans lequel doit désormais s'étudier la citoyenneté. Chemin faisant, la réflexion conduit à étudier l'octroi des droits politiques aux étrangers. Ce thème reflète en effet clairement les tensions auxquelles la citoyenneté est exposée, hésitant entre la revendication des intérêts particuliers et la valorisation de principes communs à l'ensemble des citoyens."
Guillaume Drago, Jérémy Martinez, « Manifestations - La doctrine économique du Conseil constitutionnel », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2024, n°04, p. 656
Guillaume Drago, « Une année dense au Conseil constitutionnel », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2022, n°08, p. 425
Guillaume Drago, « Le droit à la santé : un droit constitutionnel effectif ? », Rennes : Centre de Recherche Juridique de l'Ouest et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2015, pp. 17-34
Drago Guillaume. Le droit à la santé : un droit constitutionnel effectif ?. In: Revue juridique de l'Ouest, N° Spécial 2015. 20 ans de législation sanitaire. Bilan et perspectives. Colloque organisé par l Association des Etudiants en Droit de la Santé (AEDS) pour les 20 ans du Master "Droit, Santé, Ethique" (1994-2014) pp. 17-34.
Guillaume Drago, « La loi et l'étendue du contrôle du Conseil constitutionnel », Revue française de droit administratif, Sirey - Dalloz , 2013, n°05, p. 936
Guillaume Drago, Gweltaz Eveillard, Aurélie Duffy-Meunier, Laetitia Janicot, Agnès Roblot-Troizier, « Libre administration des collectivités territoriales », Les nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel, Conseil constitutionnel, 2012, n°36, p. 172
Guillaume Drago, Julien Boudon, Julie Benetti, Lucie Cluzel-Metayer, Mathieu Disant, « Observatoire de jurisprudence constitutionnelle. Chronique no 8 Octobre-Décembre 2011 », Les nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel, Conseil constitutionnel, 2012, n°2
Guillaume Drago, « Contentieux des validations législatives et des lois rétroactives », Les Cahiers du Conseil constitutionnel, Dalloz, Conseil constitutionnel, 2011, n°32, p. 202
Guillaume Drago, Norbert Foulquier, Frédéric Rolin, « Une université sans mémoire ? », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2011, n°18, p. 985
Guillaume Drago, « L'économie saisie par la Constitution », Justice et cassation : Revue annuelle des avocats au Conseil d'État et à la Cour de cassation, Dalloz , 2010, n°06, p. 229
Guillaume Drago, « Principes directeurs d'une charte constitutionnelle de l'environnement », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2004, n°03, p. 133
Guillaume Drago, « Fonction consultative du Conseil d'Etat et fonction de Gouvernement : de la consultation à la codécision », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2003, n°18, p. 948
Guillaume Drago, « Expérimentation, la pire ou la meilleure des réformes », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2002, n°15, p. 989
Guillaume Drago, « Ethique et déontologie du juge constitutionnel français », Recueil Dalloz, Dalloz , 1999, n°25, p. 263
Guillaume Drago, « Le principe de subsidiarité comme principe de droit constitutionnel », Société de législation comparée, Paris : Société de législation comparée et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1994, pp. 583-592
Drago Guillaume. Le principe de subsidiarité comme principe de droit constitutionnel. In: Revue internationale de droit comparé. Vol. 46 N°2, Avril-juin 1994. pp. 583-592.
Guillaume Drago, « La conciliation entre principes constitutionnels », Recueil Dalloz, Dalloz , 1991, n°39, p. 265
Guillaume Drago, « Regard juridique sur la religion en démocratie libérale », le 26 février 2024
Colloque franco-japonais coorganisé par l'Université Paris Cité et l'Université Kwansei Gakuin (Japon) sous la direction scientifique du Pr Thierry Rambaud, Université Paris Cité et du Pr Takeshi Inoue, Université Kwansei Gakuin
Guillaume Drago, « La législation gouvernementale : quelles légitimités ? », le 06 février 2024
Colloque organisé par l'ISJPS, l'IRJS - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et le CRLD - Université d'Evry-Paris Saclay, sous la direction scientifique de Julien Padovani, Florian Poulet et Emilien Quinart.
Guillaume Drago, « Le contrôle de constitutionnalité des lois financières », le 19 janvier 2024
Colloque conclusif du séminaire itinérant de la Société française de Finances publiques, organisé avec le Conseil constitutionnel.
Guillaume Drago, « Le droit naturel, une ressource pour notre temps », le 25 novembre 2023
Colloque organisé par l'UCO, Juristes pour l’Enfance et l'Association Famille et Liberté
Guillaume Drago, « Une « doctrine économique » des juges français ? », le 23 novembre 2023
Colloque organisé par le Master 2 droit public de l'économie (Université Paris-Panthéon-Assas), le Master "Contrats et marchés publics" (Université de Montpellier), le Centre de recherches en droit administratif (Université Paris-Panthéon-Assas) et l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Guillaume Drago, « La doctrine et le Conseil constitutionnel », le 11 mai 2023
Colloque organisé par l'Institut de recherche Carré de Malberg - IRCM, Université de Strasbourg et l'Institut de droit public - IDP, Université de Poitiers sous la responsabilité scientifique de Samy Benzina, Professeur à l’université de Poitiers et Julien Jeanneney, Professeur à l’université de Strasbourg.
Guillaume Drago, « Autour de l'ouvrage de Benoît Plessix, "Le droit public" », le 30 novembre 2022
Séminaire général de l’École Doctorale Georges-Vedel - ED7, Université Paris-Panthéon-Assas
Guillaume Drago, « La doctrine économique des juges français », le 17 juin 2022
Organisé par le réseau des Masters en droit Public de l'Economie de Montpellier, Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Paris Assas
Guillaume Drago, « Les principes inhérents à l'identité constitutionnelle de la France », le 14 juin 2022
Séminaire général de l’École Doctorale Georges-Vedel - ED7, Paris Panthéon-Assas
Guillaume Drago, « Pandémie et cultes », le 24 mars 2022
Journée organisée par l'Ecole doctorale Georges Vedel (Université Paris-Panthéon-Assas) et le Centre Jean Bodin (Université d'Angers).
Guillaume Drago, « Contentieux constitutionnel comparé : Une introduction critique au droit processuel constitutionnel », le 20 octobre 2021
Séminaire général de l’école doctorale Georges-Vedel - ED7 co-organisé avec le Centre d'études constitutionnelles et politiques (CECP)
Guillaume Drago, « L'effectivité de la collégialité dans la juridiction administrative », le 07 juin 2021
Séminaire général de l'École doctorale Georges Vedel - droit public interne et comparé, science administrative et science politique (ED7).
Guillaume Drago, « Changer de culture normative », le 26 novembre 2020
Organisé par le Conseil national d’évaluation des normes et LexisNexis France sous la direction scientifique de Pierre de Montalivet, Professeur à l’Université Paris-Est Créteil (Paris XII).
Guillaume Drago, « Obliger l’Etat ? », le 10 mars 2020
Organisé par le Master 2 Droit public approfondi de l'Université Paris 2 Panthéon-Assas
Guillaume Drago, « Le Conseil constitutionnel, gardien des libertés ? », le 25 octobre 2019
Organisé par l’Institut de droit public (IDP-EA 2623) sous la direction scientifique de Samy Benzina, Professeur à l’Université de Poitiers
Guillaume Drago, « Ordre juridique et légitimité », le 11 avril 2019
Organisé par le Master 2 DPA, en collaboration avec le Centre d’études constitutionnelles et politiques de l’Université Panthéon-Assas Paris II, avec l’assistance de l’Institut Cujas de l’Université Panthéon-Assas Paris II
Guillaume Drago, « 8e Journée doctorale de la Jeune recherche en Droit constitutionnel », le 22 mars 2019
Organisée par la Commission de la Jeune recherche constitutionnelle de l'Association française de droit constitutionnel en partenariat avec la Revue du droit public et de la science politique en France et à l’étranger et Jurisdoctoria, revue doctorale de
Guillaume Drago, « Justice administrative et Constitution de 1958 », le 10 janvier 2019
Colloque organisé dans le cadre des Journées décentralisées 2018 de l’Association française de droit constitutionnel (AFDC) portant sur le thème : Justice(s) et Constitution.
Guillaume Drago, « Vers l'instauration d'une procédure d'exécution des décisions du Conseil Constitutionnel », le 18 octobre 2018
Guillaume Drago, « Le "droit à l'enfant" et la filiation en France et dans le Monde », le 18 mai 2018
Organisé par le CEJESCO, l’Université de Reims Champagne-Ardenne et le Conseil supérieur du notariat sous la présidence d’Alain Sériaux, Professeur à l’Université d’Aix-Marseille
Guillaume Drago, « Droit public et raison d'Etat », le 15 février 2018
Guillaume Drago, « L'esprit de la Ve République », le 05 mai 2017
Guillaume Drago, « Le juge et les questions de société », le 17 mars 2017
Colloque annuel du M2 Droit public approfondi, organisé par l'Association des étudiants du Master Droit public approfondi de l'université Paris 2 Panthéon-Assas
Guillaume Drago, « 6ème Journée de la jeune recherche constitutionnelle », le 15 février 2017
Organisé par Pierre-Emmanuel Pignarre et Séverine Taisne
Guillaume Drago, « Le droit étranger à l’épreuve des contrôles de constitutionnalité et de conventionnalité », le 23 septembre 2016
Colloque organisé par la Société de législation comparée, à la Grand'Chambre de la Cour de Cassation
Guillaume Drago, « L’œuvre scientifique de Jean Gaudemet », le 26 janvier 2012