Joël Mekhantar

Professeur
Droit public.
UFR Droit et Sciences Économique et Politique

Centre de Recherche et d'Étude en Droit et Science Politique

Responsabilités administratives et scientifiques :

  • Directeur du Master Droit public, mention "Droit des Ressources Humaines des Fonctions Publiques" (DRHFP)
  • THESE

    Le contrôle juridictionnel de la proportionnalité dans l'action administrative unilatérale, soutenue en 1990 à Paris 2 sous la direction de Jean-Louis de Corail

  • Joël Mekhantar, Histoire constitutionnelle et politique de la France de 1789 à 1958, MA Editions - ESKA, 2020, 169 p.  

    La 4e de couverture indique : "Cette histoire qui s'ouvre le 4 septembre 1870 (date de la proclamation de la IIIe République après la défaite du Second Empire), marque la conjonction de deux grandes idées nées entre 1789 et 1870. La première idée est celle de la République, admise dans nos institutions une première fois en septembre 1792 contre la royauté héréditaire et proclamée ensuite en 1848 avec l'avènement du suffrage universel. La seconde idée est celle du régime parlementaire introduit en France sous une forme dualiste au temps des chartes avec le retour d'Angleterre de Louis XVIII d'abord, et plus encore sous Louis-Philippe"...etc

    Joël Mekhantar, Introduction au droit public: principes constitutionnels, MA Éditions - ESKA, 2019, 317 p.  

    La 4e de couv. indique : "Cette Introduction au Droit public regroupe en 35 leçons les Principes constitutionnels qui forment la matière du premier semestre de la première année de licence, tant en droit qu'en administration économique et sociale. En partant du pouvoir politique, ce manuel aborde, dans ses deux premiers titres, toutes les notions fondamentales du droit constitutionnel telles que l'Etat, la souveraineté, la démocratie. Il présente la théorie de la séparation des pouvoirs ainsi que la typologie des régimes politiques et donne les clés pour comprendre la Constitution et la hiérarchie des actes et des normes juridiques. Cette Introduction se termine par un titre spécialement consacré aux grands systèmes constitutionnels et politiques libéraux où sont traités, d'une part, le régime parlementaire britannique et, d'autre part, le régime présidentiel américain à la lumière des évolutions les plus récentes"

    Joël Mekhantar (dir.), Fonction publique: les trente ans du statut général des fonctionnaires de l'État et des collectivités territoriales, MA éditions, 2017, 599 p.  

    Une interrogation sur les mutations du statut des fonctionnaires quant à leur recrutement, à la déontologie et à leur carrière, remettant en perspective le modèle de la fonction publique française.

    Joël Mekhantar, Raphaël Porteilla (dir.), Paix et Constitutions: actes du colloque international des 20 et 21 septembre 2012, Editions Eska, 2014, 731 p.   

    Joël Mekhantar, Finances publiques de l'Etat: la LOLF et le nouveau droit budgétaire de la France, Hachette supérieur, 2011, Les fondamentaux ( Droit ), 239 p. 

    Joël Mekhantar, Finances publiques de l'État: la LOLF et le nouveau droit budgétaire de la France, Numilog, 2011, Les Fondamentaux ( Droit ) 

    Joël Mekhantar, Finances publiques de l'Etat: la LOLF et le nouveau droit budgétaire de la France, Hachette supérieur, 2010, Les Fondamentaux ( Droit ), 223 p. 

    Joël Mekhantar, Finances publiques de l'Etat: la LOLF et le nouveau droit budgétaire de la France, Hachette supérieur, 2009, Les Fondamentaux ( Droit ), 224 p. 

    Joël Mekhantar, Finances publiques de l'État: la LOLF et le nouveau droit budgétaire de la France, Hachette supérieur, 2007, Les Fondamentaux ( Droit ), 223 p. 

    Joël Mekhantar, Finances publiques: le budget de l'État, 4e éd., Hachette, 2003, Les fondamentaux, 159 p. 

    Joël Mekhantar, Finances publiques: le budget de l'État, 3e éd., Hachette, 2001, Les fondamentaux, 159 p.   

    Joël Mekhantar, Droit politique et constitutionnel, 2e éd., Éd. Eska, 1998, Droit public et sciences politiques   

    Joël Mekhantar, Finances publiques: le budget de l'État, 2e éd., Hachette, 1996, Les fondamentaux, 160 p.   

    Joël Mekhantar, Droit politique et constitutionnel, Éditions Eska, 1996, Droit public et sciences politiques, 731 p.   

    Joël Mekhantar, Finances publiques: le budget de l'État, Hachette, 1995, Les fondamentaux, 160 p.   

  • Joël Mekhantar, Isabelle Daugareilh, Allison Fiorentino, Sylvain Niquege, Mireille Poirier [et alii], « France », in M.Ebisui, S. Cooney, C. Fenwick (dir.), Resolving individual labour disputes: A comparative overview, International Labour Organization (ILO), 2016, pp. 103-134   

    Joël Mekhantar, « Le devoir de résistance du fonctionnaire sous la IVéme et la Véme République », Le Droit de résistance à l'oppression, Seuil, 2005, pp. 119-134 

    Joël Mekhantar, « Le juge des comptes face aux nouveaux défis de l'e-administration territoriale en France », Cours régionales des comptes et bonne gouvernance locale, RABAT, 2005, pp. 99-108 

    Joël Mekhantar, Laurence Favier, « Les syndicats et la démocratie électronique », Les mutations de l'espace public, L'Esprit du livre, 2005, pp. 125-161 

  • Joël Mekhantar, « La légalité des sanctions d'un agent ayant persisté dans le refus de se soumettre au pointage biométrique mis en place par son employeur », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2013, n°06, p. 331   

    Joël Mekhantar, « Pas de solution en 2013 à des discriminations constatées en 2008 ! », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2013, n°05, p. 265   

    Joël Mekhantar, « Le contrôle minimum du juge sur le refus de titularisation d'une ingénieure stagiaire », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2012, n°05, p. 238   

    Joël Mekhantar, « Dualisme juridictionnel et déclinatoire de compétence : quelle égalité de garanties ? », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2012, n°03, p. 113   

    Joël Mekhantar, « Même prononcée dans l'intérêt du service, même concernant un militaire, une mutation peut porter atteinte au droit au respect de la vie privée et familiale », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2012, n°01, p. 26   

    Joël Mekhantar, « La lutte contre les discriminations en matière d'accès aux emplois publics », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2011, n°03, p. 146   

    Joël Mekhantar, « L'annulation des retenues effectuées sur le traitement d'un directeur d'école ayant refusé de renseigner une enquête académique », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2011, n°02, p. 89   

    Joël Mekhantar, « Le citoyen, la machine à voter et le juge », Le Genre humain , 2011, n° ° 51, pp. 125-146   

    Joël Mekhantar, « Accident de service causé par un véhicule : le juge administratif est compétent malgré la loi », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2009, n°05, p. 264   

    Joël Mekhantar, « Des mobilités des personnels à l'unité du droit social ? », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2009, n°05, p. 225   

    Joël Mekhantar, « L'utilisation controversée des messageries par les syndicats », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2007, n°06, p. 313   

    Joël Mekhantar, « L'employeur territorial et les contrats aidés », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2007, n°05, p. 271   

    Joël Mekhantar, « La limitation des compléments de service imposés aux enseignants du secondaire », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2007, n°03, p. 127   

    Joël Mekhantar, « 2007 : la fonction publique en débat », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2007, n°03, p. 113   

    Joël Mekhantar, « Manquement à l'obligation de discrétion professionnelle par courriel », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2007, n°01, p. 28   

    Joël Mekhantar, « Le droit à reconstitution de carrière d'un agent de la CCAS à temps complet. », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2006, n°04, pp. 197-199   

    Joël Mekhantar, « Les pouvoirs limités du président d'université sur les délibérations des jurys délivrant des diplômes nationaux », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2006, n°03, p. 117   

    Joël Mekhantar, « Les pouvoirs limités du président d'université sur les délibérations des jurys de diplômes nationaux », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2006, pp. 117-118 

    Joël Mekhantar, « La procédure de recouvrement des créances de l'Etat peut- elle faire obstacle aux droits fondamentaux ? », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2005, n°06, pp. 327-328   

    Joël Mekhantar, « Les effets du principe d'égalité hommes-femmes sur le CFA », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2004, n°06, p. 327   

    Joël Mekhantar, « Fonction publique et e-administration : un mariage d'amour ou de raison ? », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2004, n°06, p. 281   

    Joël Mekhantar, « Le devoir de résistance du fonctionnaire depuis 1946 », Actualité juridique Droit administratif, 2004, n°31, p. 1681   

    Joël Mekhantar, « L'exclusion illégale d'un professeur d'université de son laboratoire de recherche », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2004, n°05, p. 254   

    Joël Mekhantar, « Port du voile en service : la sanction nécessitait l'énoncé de motifs de fait », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2004, n°02, p. 88   

    Joël Mekhantar, « L'accès de ressortissants de l'UE au corps de directeur d'hôpital sans le concours de l'ENSP », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2003, n°06, p. 8   

    Joël Mekhantar, « Le champ d'application du décret concernant les agents non titulaires de l'Etat », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2003, n°04, p. 52   

    Joël Mekhantar, « Droit à une retraite de jouissance immédiate pour le père de trois enfants », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2003, n°01, p. 35   

    Joël Mekhantar, « La prise en compte d'objectifs commerciaux pour noter les fonctionnaires de La Poste », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2002, n°03, p. 26   

    Joël Mekhantar, « Un professeur ne peut être contraint de compléter son service dans une autre ville », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2002, n°03, p. 23   

    Joël Mekhantar, « Les primes accordées aux surveillants congréganistes de l'administration pénitentiaire », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2002, n°01, p. 39   

    Joël Mekhantar, « Le juge administratif requalifie un contrat emploi-consolidé en CDD de droit public », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°05, p. 53   

    Joël Mekhantar, « L'éducation à la sexualité et la liberté de conscience des enseignants », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°04, p. 45   

    Joël Mekhantar, « Responsabilité d'une commune pour non-respect du Code du travail », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°04, p. 33   

    Joël Mekhantar, « L'indemnité de chauffage des sapeurs-pompiers professionnels relève de l'employeur principal », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°04, p. 29   

    Joël Mekhantar, « Le divorce entraîne la perte du droit à pension de réversion », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°04, p. 27   

    Joël Mekhantar, « Le recours dirigé exclusivement contre la tenue du dossier individuel est irrecevable », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°03, p. 56   

    Joël Mekhantar, « Le refus d'intégration dans le corps de professeurs des écoles d'une institutrice non inspectée depuis seize ans ! », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°02, p. 15   

    Joël Mekhantar, « Le ministre n'est pas compétent pour aménager le temps de travail de ses personnels », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°02, p. 4   

    Joël Mekhantar, « Transformation d'un contrat par changement du statut de l'employeur », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2001, n°01, p. 15   

    Joël Mekhantar, « Légalité d'une réquisition de pompiers grévistes pour le 14 juillet », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°06, p. 93   

    Joël Mekhantar, « Abaissement de la notation d'un enseignant annulé pour erreur manifeste », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°06, p. 84   

    Joël Mekhantar, « Les principes généraux du droit du travail dans les fonctions publiques », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°06, p. 21   

    Joël Mekhantar, « La mise en cause de la responsabilité du régisseur d'un restaurant universitaire », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°05, p. 42   

    Joël Mekhantar, « Personnels non statutaires d'un GIP : Berkani s'applique », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°04, p. 14   

    Joël Mekhantar, « La révocation du directeur d'une régie communale peut relever du juge judiciaire », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°03, p. 54   

    Joël Mekhantar, « Le critère des effectifs dans l'appréciation du caractère représentatif des candidatures à une CAP de professeurs », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 2000, n°01, p. 33   

    Joël Mekhantar, « La responsabilité de l'Etat pour avoir privé un agent de fonctions effectives », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°06, p. 46   

    Joël Mekhantar, « Avertissement pour harcèlement sexuel », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°06, p. 43   

    Joël Mekhantar, « Les déceptions de carrière des fonctionnaires mis à disposition », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°05, p. 54   

    Joël Mekhantar, « L'employeur public et la nouvelle gestion des ressources humaines », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°05, p. 7   

    Joël Mekhantar, « L'employeur public face aux transformations du droit des personnels », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°04, p. 10   

    Joël Mekhantar, « Des transformations du droit des personnels à la nouvelle gestion des ressources humaines », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°04, p. 4   

    Joël Mekhantar, « La perte du pouvoir de suspension préalable à une sanction », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°03, p. 37   

    Joël Mekhantar, « La durée de service hebdomadaire des professeurs de lycée professionnel », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°03, p. 19   

    Joël Mekhantar, « Non-renouvellement du contrat à durée déterminée d'une femme enceinte », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°02, p. 50   

    Joël Mekhantar, « Le licenciement fautif d'un agent de GRETA engage la responsabilité de l'Etat », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°01, p. 56   

    Joël Mekhantar, « L'affectation des professeurs est une matière statutaire », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°01, p. 18   

    Joël Mekhantar, « Un chargé de mission municipal contractuel pour la sécurité », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1999, n°01, p. 10   

    Joël Mekhantar, « La grille de notation des professeurs certifiés affectés à l'université n'est qu'indicative », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1998, n°04, p. 79   

    Joël Mekhantar, « Certificat de travail : un nouveau principe général du droit de la fonction publique », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1998, n°02, p. 50   

    Joël Mekhantar, « Les principes de l'enseignement dans une société républicaine », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1998, n°01, p. 38   

    Joël Mekhantar, « La garantie des professeurs d'université à une représentation propre et authentique », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1998, n°01, p. 29   

    Joël Mekhantar, « Congé de maladie et cure thermale : un couple fragile », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°06, p. 26   

    Joël Mekhantar, « Divergences jurisprudentielles sur la suspension d'exécution des mutations d'office », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°05, p. 51   

    Joël Mekhantar, « Le droit des fonctionnaires de La Poste à être réintégrés après un congé-formation », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°05, p. 5   

    Joël Mekhantar, « Conséquences du refus par un maître auxiliaire d'une affectation hors de ses voeux », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°04, p. 49   

    Joël Mekhantar, « Un maître auxiliaire licencié avant terme a droit aux indemnités de licenciement », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°04, p. 45   

    Joël Mekhantar, « Le droit financier et les pratiques indemnitaires des collectivités territoriales », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°04, p. 29   

    Joël Mekhantar, « La jurisprudence Berkani est-elle rétroactive ? », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°04, p. 11   

    Joël Mekhantar, « Un mouvement collectif d'indiscipline des gardiens de prison devant le juge », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°03, p. 30   

    Joël Mekhantar, « Le licenciement en fin de stage d'un non-titulaire ayant perdu vocation à intégration directe », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°02, p. 53   

    Joël Mekhantar, « Surveillants de l'Education nationale cherchent conseil de discipline », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°01, p. 41   

    Joël Mekhantar, « L'accès des ressortissants européens au cadre d'assistant territorial socio-éducatif », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1997, n°01, p. 21   

    Joël Mekhantar, « Délimitation du principe de l'indépendance des professeurs », Actualité juridique Droit administratif, 1996, n°09, p. 699   

    Joël Mekhantar, « Le poids du barème dans la mutation sur demande », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1996, n°01, p. 28   

    Joël Mekhantar, « La sécurité de l'emploi, garantie des fonctionnaires », AJFP. Actualité juridique Fonctions publiques, 1996, n°01, p. 32   

  • Joël Mekhantar, « L'agent public est-il un "travailleur salarié" au sens du droit de l'Union européenne ? », Le travailleur salarié en droit de l'Union Européenne, Dijon, le 08 novembre 2018 

    Joël Mekhantar, « Le cadre constitutionnel palestinien, entre textes et réalités », Journée d'études du CREDESPO : "De quoi la Palestine est-elle (encore) le nom ?", Dijon, le 29 juin 2018   

    Joël Mekhantar, « "L'indépendance syndicale dans la société de l'information et de la connaissance: les enseignements des contentieux opposant les syndicats et les employeurs sur l'utilisation d'internet." », "Cent ans après la charte d'Amiens: la notion d'indépendance syndicale face à la transformation des pouvoirs.", Amiens, le 01 octobre 2006 

    Joël Mekhantar, « Les partis politiques et les syndicats dans la démocratie électronique. », "La démocratie fonctionne-t-elle?", Fukuoka Japan (JP), le 09 juillet 2006 

    Joël Mekhantar, « Démocratie et dispositifs électroniques: regards sur la décision, la délibération et le militantisme. », "Démocratie électronique"., Paris, le 07 décembre 2005 

    Joël Mekhantar, « L'investissement selon le droit financier public (budgétaire et comptable). », "Le concept d'investissement"., Reims, le 01 novembre 2005 

    Joël Mekhantar, « Le partenariat public/ privé en matière d'éducation: du service public à la concurrence? », "Administration publique et entreprise privée: coopération, concurrence et régulation"., Berlin Germany (DE), le 21 septembre 2005 

    Joël Mekhantar, « La démocratie à l'heure du vote électronique ( expérimentations, signification et place du vote électronique dans la théorisation de la démocratie digitale). », Communication au XXVIème congrès international des sciences administratives., Séoul China (CN), le 01 avril 2005 

    Joël Mekhantar, « Le juge des compte face aux nouveaux défis de l'e-administration territoriale en France. », Cours régionales des comptes et bonne gouvernance., Rabat Morocco (MA), le 01 janvier 2005 

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • Louis Mathevet bidini, Application des avis déontologiques des Référents Déontologues comme principe unitaire cohérent dans la Fonction Publique Territoriale, thèse en cours depuis 2022 en co-direction avec Patrice Raymond  

    Les Centres De Gestion de la Fonction Publique Territoriale se sont vus attribuer la mise en place d'un Référent Déontologue comme compétence obligatoire pour les communes affiliées. Il semble intéressant de faire un état des lieux sur les modes de fonctionnement des divers Centres De Gestion dans l'exercice de cette compétence, l'objectif premier étant donc de savoir si la déontologie s'articule de façon unitaire et cohérente sur l'ensemble du territoire. Autrement dit, nous désirons savoir si pour une même question et dans un même cas de figure l'avis d'un Référent Déontologue peut être différent. Si c'est le cas, notre objectif sera d'expliquer cette différence par la cartographie détaillée du territoire. L'objectif secondaire de notre sujet est d'essayer de mesurer le lien entre la publicité faite autour de cet agent, la sollicitation de ses avis et la finalité de l'utilisation de son avis par les personnes concernées ainsi que la place qu'il pourrait occuper en sa qualité de Référent Alerte

    Brahim Bensassi, Le statut spécial des surveillants de l'administration pénitentiaire , thèse en cours depuis 2020  

    La Loi du 24 novembre 2009 relative au service public pénitentiaire, dite Loi pénitentiaire, a certes permis une amélioration statutaire des personnels de surveillance de l'administration pénitentiaire, mais elle a surtout mis en lumière la nécessaire évolution du statut spécial des personnels de surveillance. Elle a consacré dans son article 12 que les personnels de surveillance de l'administration pénitentiaire constituent la troisième force de sécurité publique dont dispose l'État pour assurer la sécurité intérieure. La Loi pénitentiaire leur octroie donc le statut de force de sécurité publique, au même titre que les policiers ou les gendarmes. D'ailleurs, la dénomination d'officier est apparue à l'article 21 du décret n° 2006-441 du 14 avril 2006, portant statut particulier des corps du personnel de surveillance de l'administration pénitentiaire, dans le but d'harmoniser les dénominations de l'administration pénitentiaire avec celles de la police et de la gendarmerie. Cela a mis fin à l'ancienne dénomination de CSP (chef de service pénitentiaire), les CSP2 devenant les lieutenants pénitentiaires et les CSP1 devenant des capitaines pénitentiaires. On note aussi l'apparition d'un dernier grade de commandant pénitentiaire qui avait comme équivalent celui de CSP Hors Classe. Si les missions des surveillants pénitentiaires ont évolué, le statut de ces personnels n'a pas connu l'évolution nécessaire au regard de ces nouvelles missions d'escortes judiciaires, de contrôle du placement sous surveillance électronique, et enfin du renseignement pénitentiaire. En outre, si les surveillants pénitentiaires sont actuellement assermentés, cette assermentation semble ne pas être suffisante dans certains cas. Il a été constaté par exemple que le statut des surveillants pénitentiaires, issu du décret n° 2006-441 du 14 avril 2006, n'aborde pas la complexité procédurale liée à la rédaction, et notamment, la portée procédurale des écrits disciplinaires. Et pourtant, de ces écrits et plus particulièrement de leur valeur procédurale, il est apparu qu'une modification statutaire des surveillants et officiers pénitentiaires était essentielle et que la nécessité d'une évolution de leur rôle était tout aussi pertinente. Il s'agira donc de savoir sur quels fondements juridiques le statut des personnels devra évoluer et déterminer comment réformer le statut spécial des personnels de surveillance au regard de ces nouvelles missions judiciaires. Les personnels de surveillance sont prêts à cette mutation statutaire et judiciaire.

    Malik Bouguerfa, Contribution à une recherche en droit public sur la pénalisation de l'activité administrative, thèse en cours depuis 2020  

    Le pénal tient-il l'administratif en l'état ? A l'évidence, il le garde en respect ! Abstract : il convient de démontrer que l'application du droit pénal à l'administration a des conséquences fortes sur l'action administrative et le droit administratif. Le droit pénal n'est pas appliqué à l'administration sans une prise en compte des spécificités de la puissance publique. Mais cette immiscion, si elle n'est pas nouvelle, s'amplifie et modifie en profondeur les principes de la responsabilité administrative. La jurisprudence administrative se « pénalise » corrélativement à une « publicisation » de la jurisprudence pénale. Une pénalisation de l'action administrative conduit à observer un double phénomène : premièrement : la législation, la jurisprudence et les pratiques administratives s'adaptent à ce mouvement, afin de limiter les conséquences de la pénalisation sur ceux qui participent au processus de décision publique. Ils s'efforcent de faire reconnaître la spécificité de l'action administrative. Un des aspects les plus marquant de ce mouvement est le développement d'un « droit pénal préventif » par le juge administratif. Deuxièmement, et paradoxalement, on observe que l'administration devient de plus en plus collaborative du champ répressif par le développement d'un « pouvoir administratif de sanction pénale ». L'administratif supplée-t-il, voire se substitue-t-il au judiciaire ?

    Quentin Duboux, Le citoyen dans la Constitution de la Vème République , thèse en cours depuis 2019 en co-direction avec Raphaël Porteilla  

    Le contexte politique français est révélateur d'une crise de la représentation qui se mue au fil des années en une crise démocratique plus profonde. En effet, si la Constitution permet aux citoyens de s'exprimer par la voie de l'élection et du référendum, beaucoup d'entre eux demandent à ce que leurs voix puissent s'exprimer plus et par d'autres canaux. Les mouvements sociaux-politiques récents (Nuit Debout, Gilets Jaunes...) et les initiatives populaires (maisons citoyennes...) amènent à s'interroger sur la place du citoyen dans la Constitution, ainsi que sur son expression et ses modalités

    Abdoulaye Barry, Le droit du recrutement dans la fonction publique au Sénégal, thèse en cours depuis 2019  

    PROJET DE THESE : Titre de thèse : Le droit du recrutement dans la fonction publique au Sénégal Introduction L'Etat, comme toute collectivité publique a pour rôle de servir l'intérêt général. L'accomplissement de cette mission nécessite la mise en œuvre d'un ensemble d'institutions de règles et de principes mais aussi de moyens (matériel, humain et financier). Le fonctionnement d'une administration comporte plusieurs disfonctionnements qui peuvent affecter la mission du fonctionnaire. C'est pour pallier ces inconvénients que la déclaration française de 1789 dispose en son article 6 « que tous les citoyens sont admissibles à occuper des emplois publics selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leur vertu et de leur talent » . La constitution de 2001 proclame dans son préambule l'égal accès de tous au service public. Cet accès à la fonction publique se fait par une procédure de recrutement du fonctionnaire. Au Sénégal, c'est la loi du 15juin 1961 portant Statut Général des fonctionnaires qui régit la fonction publique sénégalaise. 1) Problématique A travers cette recherche, il sera question de mener une réflexion sur l'accès à la fonction publique sénégalaise, le recrutement sur concours des fonctionnaires et celui de non titulaires en tenant compte du contentieux. 2) Objectif de recherche A travers cette recherche, il sera question de mener une réflexion sur l'accès publique Sénégalaise, en particulier, s'interroger sur le droit du recrutement des fonctionnaires au Sénégal. Nous nous intéresserons particulièrement les conditions statutaires ou les conditions prévues par le statut général. En tout état de cause, il nous incombera d'identifier les procédés de recrutement dans la fonction publique sénégalaise. 3) Revue de la littérature et hypothèses : La doctrine s'est intéressée de manière générale sur la fonction publique sénégalaise. Partant de cette littérature, nous formulons des hypothèses de recherche : • Hypothèse n°1 : L'accès a la fonction publique sénégalaise • Hypothèse n°2 : Les conditions de recrutement des fonctionnaires • Hypothèse n°3 : les procédés de recrutement. • Hypothèse n°4 : Le contentieux en matière de recrutements des fonctionnaires dans la fonction publique sénégalaise. • Hypothèse n°5 : La formation et la nomination des fonctionnaires sénégalais. 1- Méthodologie de recherche : N'existant pas assez de littérature en générale sur notre objet d'étude, la méthode de recherche inductive convient au mieux. Cette méthode sera alternée avec celle exégétique et l'analyse jurisprudentielle. 2- Plan de travail détaillé de la 1ère année de thèse : Le plan de travail de la première année de thèse se présente comme suit : E Une bonne partie du travail sera consacrée à la recherche documentaire E L'exploitation des ressources bibliographies E Intervention autour de la thématique du droit de la fonction sénégalaise et en particulier le recrutement du fonctionnaire E Validation de la formation doctorale de la première année E Présentation de la première partie de la thèse 3- Bibliographie sommaire : Demba SY ; Droit Administratif, 2éme éd,2014, p420 AUBY J.M, AUBY J.B (1993). Droit de la fonction publique : Etat. Collectivités locales, hôpitaux. 2è édition, Paris : Dalloz, 303 pages. BRETON J.M (1990). Droit de la fonction publique des Etats d'Afrique francophones. Paris : Ed, 263 pages. CONAC G. (1979). Les institutions administratives des états francophones d'Afrique noire. Paris : Economica, 314 pages. DELBLOND A. (1994). L'essentiel sur la fonction publique de l'Etat. Lyon : Presses d'Edit'lmprim, 113 pages. KISSISSOU J.R (1970). Classes sociales et idéologies en Afrique centrale. Brazzaville : Ecole supérieure du parti, 157 pages LEM H. T. (!990). « La réforme administrative : outils de développement économique et social » in la Réforme administrative en Afrique francophone : le développement des 114 ressources humaines. Canada : Institut de développement international et ..de coopération, pp.19-24. MIKULOWSKI W. (1990). « Quelques p

    Cheikh Mbacke, L'influence du communisme sur le mouvement du panafricanisme et la lutte des indépendances, thèse en cours depuis 2019  

    Un des phénomènes les plus importants de la seconde moitié du XXème siècle restera sans doute l'accession du Tiers-Monde africain au premier plan de la scène internationale. L'influence des communistes est très importante dans la lutte pour l'indépendance et la libération menée par les leaders noirs et panafricanistes. Certains leaders africains qui se réclamaient du communisme ont adopté d'autres aspects du panafricanisme, notamment l'idée que les Africains partageaient des formes communes d'oppression et étaient engagés dans une lutte commune. Il défendait également l'idée des États-Unis Socialistes d'Afrique. Il faut aussi rappeler que dans la période d'entre-deux guerres, certains des leaders panafricains étaient également membres de l'Internationale Communiste, comme George Padmore, Le panafricanisme constitue pour le communisme international une occasion supplémentaire de s'immiscer dans les affaires africaines, en effet voyant dans ce mouvement l'aspect hostile à la prééminence blanche en Afrique l'URSS apporte son soutien aux initiatives panafricaines. Dans ce projet je veux apporter des réponses sur beaucoup de questions. Qu'est ce que l'Afrique ? Le communisme s'est-il développé en Afrique noire ? A t-il conquis les élites et hommes politiques ? Anime t-il certains gouvernements aujourd'hui ? A t-il l'audience du peuple ? Quel est son avenir en Afrique ? Ces interrogations sont à l'origine du panafricanisme (vaste mouvement intellectuel, politique et culturel). Ce projet s'articulera de la révolution haïtienne de 1791 à l'élection du premier président noir des Etats Unis d'Amériques en 2008 en passant par les indépendances et les premiers régimes communistes du continent noir. Les liens entre communistes et panafricains vont se renforcer lors de la conférence de Brazzaville en janvier 1944 en effet les africains qui entrèrent au parlement français étaient incontestablement attachés a l'idée d'une France juste, antiraciste et accueillante. Il convient de souligner que les communistes leur réservèrent un accueil amical qui les toucha et dont ils se souvinrent, ils ont été reçus sans aucun préjugé racial. Le rassemblement démocratique africain (RDA) fondé en 1946 à Bamako qui groupait la plupart des leaders africains de tendance socialiste et anticolonialiste et dont Felix Houphouët-Boigny était le chef et l'animateur, fut l'objet de toutes les attentions du parti communiste français et il s'apparenta d'ailleurs au groupe du parti communiste à la chambre des députés. Cette alliance va porter ses fruits sur le plan politique avec des reformes sociales comme le vote du code de travail le 15 décembre 1952 qu'étant donné que les conditions misérables du travailleur dans les pays d'Afrique noire posaient problèmes. En dehors du parti communiste français, l'union soviétique s'est aussi intéressée au continent africain et notamment le Ghana premier Etat indépendant de la côte ouest africain (sauf évidement le Liberia). Le Ghana était le centre du nationalisme africain avec Kwamé Nkrumah qui a signé le 26 aout 1960 un accord culturel et une coopération économique et technique avec Moscou. Le referendum de 1958 organisé par le général De Gaulle dans les territoires d'outre-mer d'expression française va faire connaître le leader guinéen Sékou Touré pénétré de lectures et de méthodologie marxistes il va proclamer l'indépendance de la République de Guinée le 05 octobre 1958 et trois jours après l'URSS va reconnaître le nouvel Etat. Au Mali le nouveau président Modibo Keita entreprenant et dynamique, avait été dans sa jeunesse impressionné par les succès soviétiques et séduit par la doctrine marxiste. Va quant a lui adopté un régime marxiste communiste dans un pays gangréné par la pauvreté.

    Khaled Khedim, Droit de la fonction publique algérienne , thèse en cours depuis 2018  

    Thème proposé pour la thèse : Etude et analyse du système de la fonction publique pour le développement et la modernisation de l'administration publique en Algérie Tout pays dans le monde a besoin de moyens pour lui permettre de gouverner en s'acquittant de ses tâches et de ses fonctions. C'est l'élément matériel qui représente les fonds et les biens publics et privés de l'état ; Le deuxième élément est le financement, qui est les diverses ressources financières obtenus par l'état au moyen de taxes, redevances et autres ressources ordinaires, ainsi que de ressources extraordinaires telles que les emprunts. Le troisième et dernier élément est le plus important, il s'agit du facteur humain ou des ressources humaines des administrations publiques représentante de l'état. Cet élément humain, qui a fait l'objet d'une organisation et d'un encadrement par l'état algérien à travers la plupart des textes juridiques successifs relatifs à la fonction publique, en raison de son importance et du rôle central qu'il joue dans la réussite des tâches confiées à un service quelconque. Le cadre juridique des ressources humaines en Algérie est divisé en fonction de la nature de l'administration : l'appellation de salarié est destinée à la ressource humaine rattachée au service de gestion lorsqu'il s'agit des institutions et des administrations publiques, alors que celle de travailleur pour les institutions économiques publiques. Ce texte énonce les règles juridiques de base applicables aux employés d'institutions et d'administrations publiques (loi n ° 78/12 relative au droit général des travailleurs, modifié par la loi n ° 90/11 relative aux relations de travail, Institutions économiques et publiques à caractère industriel et commercial et secteur privé. Le sujet de la fonction publique algérienne occupe donc une place importante, compte tenu des grandes tâches confiées à l'administration, liées principalement au service de l'utilité publique et du bien-être des citoyens. ce qui a dû évoluer pour se mettre à niveau relativement à l'évolutions du monde (un énorme développement scientifique et technologique). Ainsi, le champ de l'étude se limitera principalement à l'étude du droit général de la fonction publique (ordonnance 06/03), en tant que cadre général régissant la fonction publique en Algérie, et de certains des textes réglementaires publiés après cette loi qui ont été promulgués afin d'expliquer et appliquer le texte général de la fonction publique. La loi sur la fonction publique actuellement appliquée en Algérie est un système classique caractérisé par une sorte d'impasse et de complexité dans les procédures, caractéristique qui en fait une barrière au développement des fonctions de l'administration publique. Cette administration moderne et sophistiquée se distingue de l'administration traditionnelle, Ce qui pèse sur l'intérêt public des individus, et l'état en termes de volume de dépenses allouées à cette tâche dans le cadre de son budget annuel. Avec la diffusion massive du système capitaliste dans le monde, qui appelle à la liberté des individus et au retrait de l'Etat, ce qui l'oblige, face à cette situation, d'être plus intelligente dans l'emploi du secteur privé pour l'intérêt public, à travers la délégation du fonctionnement du Fonds général dans certaines conditions préalables, et la recherche à plein temps de nouvelles ressources financières pour soutenir les recettes, ce que l'on appelle désormais l'orientation. Il est nécessaire de revoir le système de service public afin de le rendre plus flexible, de simplifier les procédures, de faciliter l'amélioration des performances et de rechercher l'efficacité dans les fonctions de gestion. La loi actuelle sur la fonction publique en Algérie est un système classique caractérisé par une sorte d'impasse. Cela se reflète dans la structure organisationnelle de la Direction générale de la fonction publique et de la réforme administrative publiée par le décret exécutif n ° 14-194 du 03/07/2014, qui comprenait une direction appelée Direction de la modernisation et du

    Khaled Khedim, La Corse en droit public français. Recherche sur la notion de collectivité à statut particulier en métropole, thèse soutenue en 2008 à Dijon 

    Khaled Khedim, L'usager de l'administration électronique., thèse soutenue en 2007 à Amiens 

  • Guetwendé Gilles Sawadogo, La théorie du pouvoir constituant dans le néoconstitutionnalisme africain, thèse soutenue en 2023 à Bourgogne FrancheComté sous la direction de Raphaël Porteilla, membres du jury : Yédoh Sébastien Lath (Rapp.), Télesphore Ondo (Rapp.), Arnaud Coutant  

    Cette thèse s’attèle à étudier la réception de la théorie du pouvoir constituant dans le néoconstitutionnalisme africain en s’intéressant précisément à l’identification du titulaire du pouvoir constituant ainsi qu’à l’examen de la thèse de la souveraineté de ce pouvoir.Alors que les Etats d’Afrique noire francophone proclament et revendiquent leurs natures démocratiques, le peuple est mis en marge et de la titularité, et de l’exercice du pouvoir constituant originaire comme dérivé. C’est le « plus fort », qui est, selon le contexte, le Président de la République ou un groupe de militaires, qui détient le pouvoir constituant dans le néoconstitutionnalisme africain. Un troisième constituant émerge : le juge constitutionnel qui intervient de plus en plus dans les chantiers constitutionnels, non pas seulement en tant que contrôleur mais aussi en tant qu’ouvrier. Cette intervention est appréciable ou contestable selon son étendue et le mobile.Quant à la question de la souveraineté, on note que le pouvoir constituant est limité, qu’il s’agisse du pouvoir constituant originaire ou dérivé. Le pouvoir constituant originaire tend à la limitation quand le pouvoir constituant dérivé, insoumis, tend à l’illimitation. Les deux pouvoirs se trouvent limités par les engagements internationaux des Etats et l'Etat de droit notamment avec l’émergence de l’internationalisation du droit constitutionnel.

  • Aimen Elmanuni, Les conséquences de la transition politique en Lybie sur l'organisation administrative locale, thèse soutenue en 2017 à Bourgogne FrancheComté sous la direction de André Dauteribes  

    Depuis le 17 février 2011, la Libye est rentrée dans une période de transition politique et juridique qui n'est pas encore achevée. Le sujet de cette thèse porte sur l'étude des conséquences de cette transition sur l'organisation de l'administration locale. Les autorités politiques transitoires ont cherché à réorganiser le pays à partir de nouvellesstructures administratives locales. C'est l'objet de la loi n°59 de 2012 adoptée par le Conseil National de Transition. Mais l'application des dispositions de cette loi s'est heurtée à d'importantes difficultés dûes à l'instabilité de la situation politique libyenne. Ce travail s'intéresse à l'élaboration, au contenu et à la portée de cette loi pour parvenir à mettre en place en Libye une nouvelle organisation locale au cours de cette période politique transitoire ouverte en 2011 jusqu'à l'adoption et la signature de l'accord politique libyen à Skhirat au Maroc, le 17 décembre 2015. Une première partie de cette thèse est consacrée aux difficultés politiques rencontrées à l'occasion de l'élaboration de la nouvelle législation locale par le Conseil National de Transition, le Congrès National Général, et le Parlement. Une deuxième partie de ce travail expose les obstacles rencontrés par l'application des dispositions de cette législation en raison de la situation politique du pays marquée par les divisions politiques et la coexistence d'autorités centrales concurrentes. La réorganisation administrative locale est en cours de réalisation mais reste encore un objectif à finaliser pour reconstruire administrativement et politiquement la Libye et garantir ainsi son avenir qui demeure lié au retour d’une stabilité politique réelle.

    Aimen Elmanuni, Les conséquences de la transition politique en Libye sur l'organisation administrative locale, thèse soutenue en 2017 sous la direction de André Dauteribes, membres du jury : Marie-France Verdier (Rapp.), Malik Boumediene (Rapp.), Gilles Ferréol    

    Depuis le 17 février 2011, la Libye est rentrée dans une période de transition politique et juridique qui n'est pas encore achevée. Le sujet de cette thèse porte sur l'étude des conséquences de cette transition sur l'organisation de l'administration locale. Les autorités politiques transitoires ont cherché à réorganiser le pays à partir de nouvellesstructures administratives locales. C'est l'objet de la loi n°59 de 2012 adoptée par le Conseil National de Transition. Mais l'application des dispositions de cette loi s'est heurtée à d'importantes difficultés dûes à l'instabilité de la situation politique libyenne. Ce travail s'intéresse à l'élaboration, au contenu et à la portée de cette loi pour parvenir à mettre en place en Libye une nouvelle organisation locale au cours de cette période politique transitoire ouverte en 2011 jusqu'à l'adoption et la signature de l'accord politique libyen à Skhirat au Maroc, le 17 décembre 2015. Une première partie de cette thèse est consacrée aux difficultés politiques rencontrées à l'occasion de l'élaboration de la nouvelle législation locale par le Conseil National de Transition, le Congrès National Général, et le Parlement. Une deuxième partie de ce travail expose les obstacles rencontrés par l'application des dispositions de cette législation en raison de la situation politique du pays marquée par les divisions politiques et la coexistence d'autorités centrales concurrentes. La réorganisation administrative locale est en cours de réalisation mais reste encore un objectif à finaliser pour reconstruire administrativement et politiquement la Libye et garantir ainsi son avenir qui demeure lié au retour d’une stabilité politique réelle.