Marie-Laure Mathieu, Études en l'honneur du professeur Marie-Laure Mathieu: comprendre : des mathématiques au droit, Bruylant, 2019, 889 p.
Marie-Laure Mathieu, Études en l'honneur du professeur Marie-Laure Mathieu, Bruylant, 2019
Marie-Laure Mathieu, Fanny Malhière, Louis Boré, Anne-Laure Cassard-Valembois, Émilie Champs [et alii], Comment rédiger une décision de justice au XXIe siècle ?, Dalloz, 2018, Thèmes et commentaires
Marie-Laure Mathieu, Logique et raisonnement juridique, 2e éd., PUF, 2015, Thémis ( Droit ), 446 p.
Marie-Laure Mathieu, Les représentations dans la pensée des juristes, IRJS éditions, 2014, Les voies du droit, 318 p.
Marie-Laure Mathieu, Droit civil: les biens, 3e éd., Dalloz, 2013, Sirey université ( Droit privé ), 382 p.
Marie-Laure Mathieu, Droit civil: les biens, 2e éd., Dalloz, 2010, Sirey université ( Droit privé ), 398 p.
Marie-Laure Mathieu, Droit civil, Sirey, 2006, Sirey université ( Série droit privé ), 413 p.
Marie-Laure Mathieu, L' égalité et le droit, Service du film de recherche scientifique, 2004, Université de tous les savoirs-la suite, 1 p.
Marie-Laure Mathieu (dir.), L' égalité et le droit, CERIMES, 2002, L'Université de tous les savoirs - la suite, 1 p.
Marie-Laure Mathieu, Le raisonnement juridique: initiation à la logique et à l'argumentation, Presses universitaires de France, 2001, Thémis. Droit privé, 439 p.
Marie-Laure Mathieu, Jean-Marc Mousseron, Pierre Mousseron, Jacques Raynard, Technique contractuelle, 2e éd., Editions Francis Lefebvre, 1999, 792 p.
Marie-Laure Mathieu, Reynald Ottenhof, Maurice Cusson, Problèmes actuels de science criminelle, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 1997, 196 p.
Marie-Laure Mathieu, L'avènement de l'engagement unilatéral en droit privé contemporain, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 1995, Institut de droit des affaires, 499 p.
Marie-Laure Mathieu, Jacques Mestre, L'avènement de l'engagement unilatéral en droit privé contemporain, 1989, 512 p.
Après avoir fait l'objet d'une vive controverse à la fin du siècle dernier, l'engagement par volonté unilatérale est désormais consacré par le droit positif. Au plan théorique, cette consécration se heurtait d'une part aux conceptions classiques relatives à la volonté et à l'obligation, et d'autre part au fait que le Code civil ne reconnait qu'une seule source volontaire d'obligations : le contrat. L'évolution actuelle des idées a permis de surmonter ces obstacles. Elle se traduit concrètement par une nette évolution législative et jurisprudentielle, sans doute encore inachevée, et qui notamment conduit le juge à procéder à un raisonnement inductif dans lequel la détermination du régime applicable précède la qualification juridique. Ce phénomène permet d'entrevoir, au-delà de l'apparition d'une nouvelle source d'obligation, une nouvelle conception de l'acte juridique, substituant à la notion d'appartenance à une catégorie juridique, le concept de proximité par rapport à un modèle. Car l'engagement unilatéral est un acte juridique : la "densité" de l'obligation pesant sur l'auteur est en étroite relation avec l'intensité de son consentement. Dès lors, le régime juridique de l'engagement unilatéral est profondément marque par la question de l'existence et de la portée du vouloir. A l'unilatéralité du consentement se superpose celle de l'obligation souscrite, ce qui incite le juge a une extrême prudence ; l'obligation est certes intangible, mais son régime juridique ne se détache que rarement de la question de l'existence de l'intention initiale : ainsi, la volonté unilatérale est pleinement, mais scrupuleusement respectée.
Marie-Laure Mathieu, Etudes en didactique des mathématiques: les réels en classe de seconde, IREM, 1977, 99 p.
Marie-Laure Mathieu, préface à Camille Gouret, L'administration fiduciaire: contribution à l'étude de la fiducie, Defrénois, un savoir-faire de Lextenso, 2022, Doctorat & notariat, 553 p.
Consacrée dans le Code civil en 2007, la fiducie est analysée en un mécanisme doublement translatif de propriété par la majeure partie de la doctrine et le législateur, au moins dans les travaux parlementaires. Le fiduciaire est alors qualifié de propriétaire, ordinaire ou imparfait, durant l'opération. Celui-ci devant uniquement agir en vue d'accomplir la mission qui lui a été confiée, son droit de propriété serait seulement limité par de multiples obligations, dont la nature varie selon les auteurs. Pourtant, élever le fiduciaire au rang de propriétaire en cours de contrat se heurte à de nombreuses objections, tant théoriques que pratiques. La présente étude tend, d'abord, à remettre en cause la ou plutôt les analyses propriétaristes, et, ensuite, proposer une nouvelle approche de la fiducie à l'aune de l'affectation. En replaçant l'affectation voulue par les parties au contrat au coeur de l'opération, il est possible, de lege ferenda, de rendre au fiduciaire sa véritable place, celle d'un administrateur de patrimoine doté de pouvoirs propres. Le fondement alternatif avancé éclaire le régime applicable en le justifiant, le complétant et en améliorant, par ailleurs, l'efficacité de la fiducie et donc son attractivité.
Marie-Laure Mathieu, préface à Mélanie Jaoul, La notion de fruits: étude de droit privé, Defrénois une marque de lextenso, 2018, Doctorat & Notariat, 493 p.
Marie-Laure Mathieu, préface à Romain Boffa, La destination de la chose, Defrénois, 2008, Doctorat & notariat, 490 p.
Marie-Laure Mathieu, préface à Isabelle Tosi, Acte translatif et titularité des droits, LGDJ, 2006, Bibliothèque de droit privé, 601 p.