Didier Poracchia, Alain Couret, Hervé Le Nabasque, Marie-Laure Coquelet, Thierry Granier [et alii], Droit financier, 4e éd., Lefebvre Dalloz, 2024, Précis Dalloz ( Série Droit privé ), 1775 p.
Droit régissant la finance de marché et plus généralement, les activités liées à l'expansion extraordinaire de la sphère financière dans le monde moderne des affaires, le droit financier est aujourd'hui au coeur de l'économie. Le contexte de crise mondiale ayant accentué la mise en évidence de la financiarisation de l'économie, de plus en plus de juristes se sont intéressés aux questions financières, d'autant que les textes touchant à la matière se sont multipliés tant au plan européen qu'au plan national. Le développement des diplômes sanctionnant des études orientées vers la finance d'entreprise ou la finance de marché a stimulé l'intérêt des étudiants pour ces questions donnant également au droit financier une place significative dans l'enseignement universitaire. D'une structure simple, ce Précis a été rédigé par une équipe d'universitaires enseignant dans plusieurs grandes universités et partageant une vision commune de la matière. Les auteurs ont eu le souci de rendre accessible un domaine réputé complexe et dont la connaissance est devenue indispensable tant pour les juristes d'affaires que pour les financiers. La première édition de cet ouvrage a reçu l'Oscar du droit des sociétés et de la bourse.
Didier Poracchia, Jean-Michel Marmayou, Fabrice Rizzo, Frédéric Buy, Droit du sport, 7e éd., LGDJ, un savoir faire de Lextenso, 2023, Manuel, 949 p.
Devenu omniprésent dans notre société, le sport ne peut que susciter l'intérêt du droit et des juristes. Qu'est-ce qu'une fédération sportive ? Qu'est-ce qu'un agent sportif ? Quel est le rôle du Tribunal arbitral du sport ? Comment qualifier une opération de transfert d'un joueur ? Qui est propriétaire du spectacle sportif ? Autant de questions, et bien d'autres encore, qui constituent le coeur du droit du sport et auxquelles ce manuel de référence s'efforce de répondre. Cette sixième édition tient compte des nombreuses évolutions législatives et jurisprudentielles qui ont touché la matière depuis 2018. En outre, même si l'approche des auteurs est demeurée identique, notamment la volonté de traiter l'ensemble des aspects du sport amateur, professionnel et de loisirs, la dimension internationale des problématiques abordées a encore été renforcée. La première partie de l'ouvrage fixe le cadre juridique du sport, en présentant les législateurs, les lois et la justice du sport. La deuxième partie décrit les acteurs du sport, en s'intéressant aux sportifs, aux groupements sportifs et aux autres acteurs. La troisième partie a pour objet l'activité sportive, envisagée à travers son théâtre, ses manifestations et compétitions, ses responsabilités et assurances. Enfin, la quatrième partie décrit le système de financement du sport dans ses composantes publiques et privées. Au fil de ces développements, le lecteur, qu'il soit étudiant, praticien du droit ou bien encore acteur du monde du sport, découvrira non seulement que le sport ne vit pas en marge des principes essentiels de notre droit, mais encore que le droit sait, lorsqu'il le faut, s'adapter aux particularismes du sport.
Didier Poracchia, François-Xavier Lucas, Manuel de droit commercial, 3e éd., puf, 2023, Droit fondamental ( Manuels ), 414 p.
Ce manuel constitue une introduction approfondie au droit commercial, dont il permet de maîtriser les notions fondamentales, de façon à comprendre comment le droit appréhende et encadre l'activité économique et permet aux entreprises d'évoluer dans un environnement aussi propice que possible à leur développement. En dix leçons sont successivement représentés : le cadre général du droit commercial, la liberté d'entreprendre, la notion d'acte de commerce et de commerçant, la réglementation de la concurrence, le fonds de commerce, le bail commercial et les contrats de distribution, la réglementation des pratiques commerciales ainsi que le règlement des litiges commerciaux et des difficultés des entreprises.
Didier Poracchia, François-Xavier Lucas, Manuel de droit commercial, 2e éd., PUF, 2021, Droit fondamental ( Manuels ), 386 p.
Ce manuel constitue une introduction approfondie au droit commercial, dont il permet de maîtriser les notions fondamentales, de façon à comprendre comment le droit appréhende et encadre l'activité économique et permet aux entreprises d'évoluer dans un environnement aussi propice que possible à leur développement. En dix leçons sont successivement représentés : le cadre général du droit commercial, la liberté d'entreprendre, la notion d'acte de commerce et de commerçant, la réglementation de la concurrence, le fonds de commerce, le bail commercial et les contrats de distribution, la réglementation des pratiques commerciales ainsi que le règlement des litiges commerciaux et des difficultés des entreprises
Didier Poracchia, Frédéric Buy, Jean-Michel Marmayou, Fabrice Rizzo, Droit du sport, 6e éd., LGDJ, un savoir faire de Lextenso, 2020, Manuel, 878 p.
"Devenu omniprésent dans notre société, le sport ne peut que susciter l'intérêt du droit et des juristes. Qu'est-ce qu'une fédération sportive ? Qu'est-ce qu'un agent sportif ? Quel est le rôle du Tribunal arbitral du sport ? Comment qualifier une opération de transfert d'un joueur ? Qui est propriétaire du spectacle sportif ? Autant de questions, et bien d'autres encore, qui constituent le coeur du droit du sport et auxquelles ce manuel de référence s'efforce de répondre. Cette sixième édition tient compte des nombreuses évolutions législatives et jurisprudentielles qui ont touché la matière depuis 2018. En outre, même si l'approche des auteurs est demeurée identique, notamment la volonté de traiter l'ensemble des aspects du sport amateur, professionnel et de loisirs, la dimension internationale des problématiques abordées a encore été renforcée. La première partie de l'ouvrage fixe le cadre juridique du sport, en présentant les législateurs, les lois et la justice du sport. La deuxième partie décrit les acteurs du sport, en s'intéressant aux sportifs, aux groupements sportifs et aux autres acteurs. La troisième partie a pour objet l'activité sportive, envisagée à travers son théâtre, ses manifestations et compétitions, ses responsabilités et assurances. Enfin, la quatrième partie décrit le système de financement du sport dans ses composantes publiques et privées. Au fil de ces développements, le lecteur, qu'il soit étudiant, praticien du droit ou bien encore acteur du monde du sport, découvrira non seulement que le sport ne vit pas en marge des principes essentiels de notre droit, mais encore que le droit sait, lorsqu'il le faut, s'adapter aux particularismes du sport"
Didier Poracchia, Thierry Granier, Alain Couret, Hervé Le Nabasque, Marie-Laure Coquelet [et alii], Droit financier, 3e éd., DALLOZ, 2019, Précis Dalloz ( Série Droit privé ), 1633 p.
Droit régissant la finance de marché et plus généralement, les activités liées à l'expansion extraordinaire de la sphère financière dans le monde moderne des affaires, le droit financier est aujourd'hui au coeur de l'économie. Le contexte de crise mondiale ayant accentué la mise en évidence de la financiarisation de l'économie, de plus en plus de juristes se sont intéressés aux questions financières d'autant que les textes touchant à la matière se sont multipliés tant au plan européen qu'au plan national. Le développement des diplômes sanctionnant des études orientées vers la finance d'entreprise ou la finance de marché a stimulé l'intérêt des étudiants pour ces questions donnant également au droit financier une place significative dans l'enseignement universitaire. D'une structure simple, ce Précis a été rédigé par une équipe d'universitaires rassemblés autour du Centre Sorbonne Finance de l'Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Les auteurs ont eu le souci de rendre accessible un domaine réputé complexe et dont la connaissance est devenue indispensable tant pour les juristes d'affaires que pour les financiers. La première édition de cet ouvrage a reçu l'Oscar du droit des sociétés et de la bourse.
Didier Poracchia, François-Xavier Lucas, Manuel de droit commercial, puf, 2018, Droit fondamental ( Manuels ), 368 p.
Didier Poracchia, Frédéric Buy, Jean-Michel Marmayou, Fabrice Rizzo, Droit du sport, 5e éd., LGDJ, une marque de Lextenso, 2018, Manuel, 842 p.
Didier Poracchia, Frédéric Buy, Jean-Michel Marmayou, Fabrice Rizzo, Droit du sport, 4e éd., LGDJ et Lextenso, 2015, Manuel, 752 p.
Didier Poracchia, Raymonde Crête, Martin Côté, Isabelle Riassetto, van Dai Do, Lamiaa Kheir Bek, Amanda Björklund, Michel Storck, Amal Abdallah, Wolf-Georg Ringe, François-Denis Poitrinal, Guillaume Hecketsweiler, Marie-Eve Pancrazi, Denis Mouralis, Virgine Mercier, Véronique Rouit, Paul Le Cannu, Jean-Christophe Roda, Frédéric Marty, Hugues Bouthinon-Dumas, Olivier Debat, Nicolas Ginestier (dir.), Les Fonds d'investissement, LAMY, 2013
Didier Poracchia, Thierry Granier, Alain Couret, Hervé Le Nabasque, Marie-Laure Coquelet [et alii], Droit financier, Éditions Dalloz, 2012, Précis
Didier Poracchia, Frédéric Buy, Jean-Michel Marmayou, Fabrice Rizzo, Droit du sport, 3e éd., LGDJ et Lextenso, 2012, 832 p.
Didier Poracchia, Frédéric Buy, Jean-Michel Marmayou, Droit du sport, LGDJ, 2006, Manuel, 795 p.
Didier Poracchia, Fabrice Rizzo (dir.), Lamy Droit du sport: acteurs et structures, fiscalité et droit social, financements et contrats, responsabilités et assurances, contentieux, Lamy, 2003
Didier Poracchia, La réception juridique des montages conçus par les professionnels, Presses universitaires d'Aix-Marseille, Faculté de droit et de science politique d'Aix-Marseille, 1998, Institut de droit des affaires, 519 p.
Didier Poracchia, Jacques Mestre, Recherche sur les montages conçus par les professionnels du droit, 1997, 539 p.
Abordant l'étude du montage, nous avons montré que ce terme est connu du droit. Il renvoie à un assemblage d'éléments et plus précisement, à une combinaison d'actes juridiques imaginée pour réaliser une opération juridique particulière. Le montage juridique suppose la combinaison et l'exécution de divers actes et le droit contractuel offre un cadre adapté à cette notion. Le droit des contrats reconnait la double spécificité du montage. D'une part, il reçoit l'organisation préalable d'actes en vue de la réalisation d'une opération, et cela confère à celle-çi une force obligatoire. D'autre part, il donne avec le droit de la propriété littéraire et artistique et le droit de la responsabilité civile délictuelle, un cadre juridique à la réservation du savoir-faire du monteur, source de la combinaison originale d'actes qu'il représente. Ainsi, le montage, dont les instruments constituent des créations de l'esprit protégeables, peut etre défini comme un assemblage d'actes juridiques, en principe indivisibles, définit dans un contrat-cadre qui, fixant le principe de ces actes et la manière de les agencer, oblige les parties à les former en vue de la réalisation d'une opération déterminée. Cependant, cette organisation doit être conforme au système juridique. Accepté par le droit, le montage est encadré. Cela ne signifie pas qu'il est systématiquement invalide ni que l'imagination des monteurs est bornée par une règle impérative générale. Le principe reste la validité du montage. Neanmoins, il doit être, en toutes ses composantes et tous ses effets, confrome aux normes impératives. Par ailleurs, les objectifs poursuivis par les parties ne doivent pas entrer en conflit avec les finalités de l'ordre juridique. Les parties ne sont pas tenues au respect d'une morale élevée, les montages doivent seulement permettre de réaliser des opérations économiques, sociales ou financières réelles et équilibrées. Le respect d'une certaine ethique dans le montage permet d'éviter la suspicion engendrée par ce terme et rend cette figure contractuelle sûre. Cela renforce aussi la force obligatoire du montage et impose aux parties un comportement coopératif lors de sa réalisation. En définitive, loin de renvoyer à un phénomène illicite, le montage est une notion accueillie par notre droit et participe au renouveau de la liberté contractuelle
Didier Poracchia, préface à Bastien Brignon, Les sociétés d'exercice libéral, 2e éd., LexisNexis, 2024, Droit & professionnels, 457 p.
La loi du 31 décembre 1990 a offert aux professionnels libéraux la possibilité d'adopter, pour l'exercice de leur activité, la forme de société commerciale à travers la société d'exercice libéral. Véritable révolution dans le paysage des structures d'exercice, la SEL ouvre des perspectives remarquables : régime fiscal avantageux, possibilité d'avoir pour associées d’autres sociétés, possibilité de créer une société unipersonnelle, constitution de société holding, etc. Depuis la loi du 28 mars 2011, et surtout depuis la loi Macron / Croissance du 6 août 2015, le champ des possibles s'est encore élargi, la voie vers l'interprofessionnalité d'exercice étant aujourd'hui toute ouverte : non seulement les professionnels du droit peuvent s'associer dans de véritables structures d'exercice, mais encore peuvent-ils s'associer avec des professions techniques et également avec leurs homologues ressortissants de l'Union européenne. L'ordonnance du 8 février 2023, abroge les lois de 1966 et 1990 et met à plat tout le droit des sociétés des professions libérales réglementées, en le simplifiant et en le rendant plus lisible. Mais elle crée également des nouveautés, notamment le droit de retrait dans les SEL, tout en portant une atteinte sérieuse aux sociétés d'exercice de droit commun. Comment les professionnels libéraux doivent-ils appréhender les SEL et SPFPL ? La SEL est-elle plus avantageuse que la SCP ? Quels montages légaux sont les plus profitables ? Les SPFPL sont-elles toujours viables depuis l'arrêt du 19 octobre 2023 ? Quid des rémunérations techniques des associés depuis les dernières évolutions du Bofip ? Autant de questions auxquelles répond cet ouvrage exhaustif et didactique qui guidera le lecteur dans les rouages des SEL. Il intéressera ainsi tous les praticiens confrontés à ces sociétés d'exercice, pour eux-mêmes ou leurs clients, les enseignants-chercheurs et les étudiants qui souhaitent comprendre la mécanique des SEL, et, plus généralement, l'esprit des sociétés des professions libérales réglementées qui restent gouvernées par le principe d'indépendance.
Didier Poracchia, préface à Clémence Cathelain-Collon, La manipulation des compétitions sportives: essai de conceptualisation et encadrement juridique en droit français, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2023, Collection Centre de droit du sport, 606 p.
La manipulation des compétitions sportives est une notion apparue au sein du mouvement sportif et des États avec l'émergence du marché mondial des paris sportifs. Si un instrument juridique international a été élaboré spécifiquement pour cette problématique d'intégrité sportive, il n'existe pas de concept juridique clairement identifié. Persiste alors un flou juridique tenant à son contenu et son périmètre. Plusieurs critères cumulatifs et complémentaires constitutifs de ladite tricherie sportive pourraient faciliter sa qualification. Une lutte nationale est indispensable puisque la manipulation des compétitions sportives porte atteinte aux valeurs fondamentales du sport, mais aussi à l'ordre public et des criminels peuvent être impliqués ou des paris misés. L'organisation matérielle et structurelle de cette lutte est singulière en France. Il existe des règles de prévention, de détection et des sanctions en lien direct ou indirect avec la tricherie sportive. Des acteurs hétéroclites, à l'instar des organisations sportives, des autorités publiques et des opérateurs de paris, se structurent afin de créer de nouveaux modes de coopération. Néanmoins, bien qu'elle soit avancée, la lutte française contre la manipulation des compétitions sportives demeure perfectible
Didier Poracchia, préface à Jean-Noël Stoffel, Le projet d'acte juridique: (étude de droit privé), Presse Universitaires d'Aix-Marseille, 2020, Collection de l'Institut de Droit des Affaires, 592 p.
Le projet d’acte juridique, comme diverses figures, apparaît dans des textes de loi, la jurisprudence et le langage des praticiens sans pour autant recevoir une quelconque définition. Usuel, son sens semble aller de soi, sans qu’il s’avère nécessaire d’y prêter une plus grande attention. De prime abord, ce constat peut trouver une explication dans l’idée selon laquelle il ne serait pas digne d’intérêt, puisqu’il n’est pas un acte juridique. Pour autant, il n’en est rien. En diverses occasions, le projet se voit attacher des effets de droit applicables aux parties ou à des tiers. Il constitue ainsi un fait juridique original, en tant que manifestation de volonté pré-acte juridique ne pouvant être assimilée à aucune autre notion. Par conséquent, il existe en l’occurrence un décalage évident entre le droit savant et la pratique du droit dont une voie toute tracée émerge. Dans un premier temps, cette thèse a vocation à définir une notion de projet d’acte juridique, actuellement en gestation. Dans un second temps, elle a pour objet d’identifier le régime juridique qui lui est propre. Par ce biais, il s’agit plus généralement de montrer en quoi le concept de projet, emblématique et transversal dans notre société moderne, reçoit une traduction particulière en droit.
Didier Poracchia, préface à Joachim Wathelet, La loyauté en droit de la propriété intellectuelle, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2019, Collection de l'institut de droit des affaires, 684 p.
La loyauté occupe une place dans notre droit que l’on ne peut plus ignorer. Les références à la loyauté n’ont cessé de se multiplier. En droit de la propriété intellectuelle, ce sont d’autres mécanismes correcteurs tels que la fraude ou l’abus qui ont occupé jusqu’ici le devant de la scène. Or, la loyauté ne peut être réduite à l’absence d’abus ou de fraude. Elle est une notion autonome dotée de critères et de fonctions qui lui sont propres. L’ambition de cette étude est de démontrer que la loyauté, sous ses différentes formes, investit l’ensemble du droit de la propriété intellectuelle et est mobilisée pour répondre à des problématiques actuelles de la matière. D’une part, le devoir de loyauté renforce la protection des titulaires. Il complète le monopole d’exploitation, conditionne ses limites et impose un devoir de coopération aux cocontractants ou aux plateformes Internet. D’autre part, le devoir de loyauté encadre le droit de propriété intellectuelle. Il module l’exercice du droit de propriété intellectuelle afin que celui-ci se déploie dans de justes limites et tienne compte des intérêts des contractants, des concurrents, voire de présumés contrefacteurs. Par l’application d’un droit de propriété intellectuelle efficace, raisonnable et équilibré, le devoir de loyauté contribue à la légitimité de ce droit. Il permet de répondre à certaines critiques opposées au droit de la propriété intellectuelle et de lutter contre le déclin, parfois annoncé, de la matière.
Didier Poracchia, préface à Bastien Brignon, Les sociétés d'exercice libéral, LexisNexis, 2016, Droit & professionnels, 305 p.
Didier Poracchia, préface à Alexis Albarian, Jocelyne Cayron, Actualité jurisprudentielle 2011-2012: droit des sociétés commerciales, droit commercial, Lamy, 2012, Axe droit, 507 p.
Didier Poracchia, préface à Claude-Albéric Maetz, La notoriété: essai sur l'appropriation d'une valeur économique, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2010, Collection de l'Institut de droit des affaires, 610 p.
Didier Poracchia, préface à Gaylor Rabu, L'organisation du sport par le contrat: essai sur la notion d'ordre juridique sportif, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2010, Centre de droit du sport, 644 p.
Didier Poracchia, préface à Virginie Mercier, L'apport du droit des valeurs mobilières à la théorie générale du droit des biens, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2005, 524 p.
Didier Poracchia, préface à Thibaut Lefebvre, L'expertise face à la production d'informations financières des sociétés, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2004, Institut de droit des affaires, 511 p.
Didier Poracchia, « L'attestation de la société cédée comme condition suspensive d'une cession de droits sociaux », Bulletin Joly Sociétés, Joly edition , 2023, n°1, pp. 16-20
Didier Poracchia, Alexandre Naudeau, Gaspard-Etienne Bats, « La possible exécution volontaire d'un acte nul par la désignation d'un arbitre chargé de fixer le prix de cession définitif de parts sociales », Revue des Sociétés , Dalloz , 2022, n°10, p. 551
Didier Poracchia, Léa Marion, « Climate change litigation : Liability for board of Directors », Revue trimestrielle de droit financier, Thomson transactive - Lexbase , 2022, pp. 60-68
Didier Poracchia, Jean-Noël Stoffel, « Panorama sur le nouveau statut d'entrepreneur individuel », Bulletin Joly Sociétés, Joly edition , 2022, n°9, pp. 52-73
Didier Poracchia, « La concurrence normative des fédérations sportives », Les cahiers de droit du sport, Centre de droit du sport Aix-Marseille ; Éditions droitdusport.com (DDS) , 2022, n°61, pp. 6-11
Didier Poracchia, « Cession forcée des actions dont le prix est déterminable par le tiers expert de l'article 1592 du code civil ordonnée en référé », Revue des Sociétés , Dalloz , 2021, n°04, p. 243
Didier Poracchia, « La mise en réserve systématique des bénéfices distribuables n'est pas nécessairement abusive », Revue des Sociétés , Dalloz , 2020, n°12, p. 675
Didier Poracchia, « Le sort du tiers acquéreur d'actions d'une SAS confronté à l'exercice, critiqué, d'un droit de préemption prévu dans les statuts », Revue des Sociétés , Dalloz , 2016, n°0708, p. 422
Didier Poracchia, « L'efficacité des déclarations d'exactitude dans les garanties d'actif et de passif », Revue des Sociétés , Dalloz , 2015, n°11, p. 659
Didier Poracchia, « L'action en comblement de l'insuffisance d'actif ne peut sanctionner que les fautes commises par le dirigeant de la personne morale en cette qualité », Revue des Sociétés , Dalloz , 2015, n°0708, p. 468
Didier Poracchia, « LBO et faute de gestion ayant contribué à l'insuffisance d'actif », Revue des Sociétés , Dalloz , 2015, n°06, p. 391
Didier Poracchia, Bastien Brignon, « Cession de parts de SCI non publiée : la connaissance personnelle par le tiers suffit-elle à la lui rendre opposable ? », Revue des Sociétés , Dalloz , 2014, n°03, p. 175
Didier Poracchia, « Péril imminent et instrumentalisation de la société », Revue des Sociétés , Dalloz , 2014, n°02, p. 88
Didier Poracchia, Thierry Granier, Julien Gasbaoui, « Observations sur les relations entre le Haut Conseil du Commissariat aux comptes (H3C) et la Compagnie Nationale des Commissaires aux comptes (CNCC) », Revue de jurisprudence commerciale. Les cahiers du chiffre et du droit, Thomson Reuters France , 2013, n°1, pp. 22-28
Didier Poracchia, « Regard sur l'intérêt social », Revue des Sociétés , Dalloz , 2012, n°09, p. 475
Didier Poracchia, Bastien Brignon, « La désignation d'un administrateur provisoire à l'épreuve de la notion de péril imminent », Revue des Sociétés , Dalloz , 2012, n°05, p. 289
Didier Poracchia, « Le devoir de l'avocat de mener sa mission de secrétariat juridique de manière efficace », Revue des Sociétés , Dalloz , 2011, n°04, p. 223
Didier Poracchia, Gaylor Rabu, Bastien Brignon, « Droits fondamentaux et normes privées internationales », Revue de la Recherche Juridique - Droit prospectif, Presses Universitaires d'Aix-Marseille (PUAM) , 2011, n°25, p. 2233
Didier Poracchia, « La solidarité des parties à une opération d'apport partiel d'actif placé sous le régime des scissions », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°08, p. 443
Didier Poracchia, « Conditions de nomination d'un administrateur provisoire représentant des actions démembrées », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°04, p. 219
Didier Poracchia, « Injonction de dépôt des comptes : l'ordonnance liquidant l'astreinte doit être signée par un greffier », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°02, p. 90
Didier Poracchia, « Rémunération d'un directeur général délégué/directeur financier et conventions réglementées », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°04, p. 823
Didier Poracchia, « Vente forcée de parts de sociétés civiles et procédure d'agrément », Revue des Sociétés , Dalloz , 2009, n°02, p. 366
Didier Poracchia, « Pacte de préférence et cession d'un bouquet de participations », Revue des Sociétés , Dalloz , 2009, n°04, p. 786
Didier Poracchia, « Le gérant d'une société en participation, dépourvue de personnalité morale, est, en sa qualité de mandataire des associés, responsable des fautes commises à leur égard dans sa gestion », Revue des Sociétés , Dalloz , 2008, n°03, p. 618
Didier Poracchia, « Non-efficacité d'un pacte extra-statutaire instituant un droit de préférence », Revue des Sociétés , Dalloz , 2008, n°02, p. 330
Didier Poracchia, « L'appel public à l'épargne des sociétés anonymes sportives », Revue des Sociétés , Dalloz , 2007, n°01, p. 41
Didier Poracchia, « La solidarité en cas d'apport partiel d'actif soumis au régime des scissions », Revue des Sociétés , Dalloz , 2007, n°01, p. 76
Didier Poracchia, « Le dirigeant de fait personne morale par l'intermédiaire d'une personne physique administrateur à titre personnel », Revue des Sociétés , Dalloz , 2007, n°04, p. 900
Didier Poracchia, « Délit matériel et faute séparable des fonctions », Revue des Sociétés , Dalloz , 2006, n°03, p. 548
Didier Poracchia, Claude-Albéric Maetz, « Cession de marque constituée par un patronyme notoire et déceptivité », Recueil Dalloz, Dalloz , 2006, n°30, p. 2109
Didier Poracchia, « Action en comblement de passif et direction de fait par personne interposée », Revue des Sociétés , Dalloz , 2006, n°02, p. 398
Didier Poracchia, « L'apporteur en industrie ne peut reprendre son apport à l'occasion de la liquidation de la société », Revue des Sociétés , Dalloz , 2006, n°01, p. 111
Didier Poracchia, « Dette de contribution aux pertes de chaque associé, exigible annuellement en application des statuts : non-application de la prescription quinquennale de l'article 2277 du code civil », Revue des Sociétés , Dalloz , 2006, n°04, p. 820
Didier Poracchia, « Abus de biens sociaux et transfert des sportifs », Recueil Dalloz, Dalloz , 2006, n°04, p. 304
Didier Poracchia, « Le commissaire à l'exécution du plan n'est pas compétent pour exiger d'un associé qu'il libère ses apports », Revue des Sociétés , Dalloz , 2005, n°01, p. 219
Didier Poracchia, Claude-Albéric Maetz, « Insertion du nom notoire dans une dénomination sociale et dépôt de marque », Recueil Dalloz, Dalloz , 2005, n°12, p. 845
Didier Poracchia, « L'apporteur en industrie est un associé au titre de l'article 1844-5 du code civil relatif à la dissolution d'une société unipersonnelle », Revue des Sociétés , Dalloz , 2005, n°04, p. 855
Didier Poracchia, Fabrice Rizzo, Alexandre Durand, « Lamy droit du sport », Lamy, 2003, p. -
Didier Poracchia, « Le rôle de l'intérêt social dans la société par actions simplifiée », Revue des Sociétés , Dalloz , 2000, n°02, p. 223