• THESE

    Les titres représentatifs : essai sur la représentation juridique des biens par des titres en droit privé, soutenue en 2014 à Paris 2 sous la direction de Alain Ghozi, membres du jury : Philippe Delebecque, Philippe Didier, France Drummond, Arnaud Reygrobellet et Hervé Synvet   

  • Vincent Malassigné, Caroline Houin-Bressand, Anne Rabreau, Pierre Mirguet, Florence Deboissy, Le statut de l'entrepreneur individuel, LexisNexis, 2024, Actualités de droit de l'entreprise, 132 p.  

    Sept entrepreneurs sur dix choisissent de débuter leur activité sans créer de société. - A quels régimes social et fiscal sont-ils soumis ? A quelle responsabilité s'exposent-t-ils ? - Quelle incidence peut avoir leur vie de couple sur leur vie professionnelle ? - Comment appréhender le risque accru d'une cessation d'activité ? - Comment tirer parti de la séparation des patrimoines personnel et professionnel sans perdre de vue les atouts de la constitution d'une société ? - Quelles difficultés soulève l'exercice d'une activité à l'international ? - Quel traitement retenir en cas de défaillance ? Les centres de DJCE proposent de faire un nouveau tour d'horizon sur ces sujets pluridisciplinaires situés au coeur du droit de l'entreprise.

    Vincent Malassigné, Colas Amblard, Xavier Aumeran, Clothilde Blanchon, Julien Boisson [et alii], Le financement dans tous ses états: projet associatif, Dalloz, 2021, Hors-séries Juris      

    "L’ouvrage est une réaction à un constat : la raréfaction des fonds publics combinée à celle des emplois aidés bouleverse la façon dont les associations financent leur activité. Un tour d’horizon de ces différents financements et de leurs évolutions récentes ou prévisibles était donc nécessaire. Sont ainsi étudiés par des spécialistes reconnus les cotisations, apports, restructurations, libéralités, le mécénat, les subventions, le bénévolat, le crédit, les revenus d’activité, la commande publique ou encore le financement participatif et les titres associatifs. L’ouvrage dresse donc un panorama inédit des modes de financement auxquels les associations peuvent avoir recours et comble une lacune dans la littérature dédiée aux organismes à but non lucratif".

    Vincent Malassigné, Véronique Magnier, Patrick Barban, Jérôme Chacornac, Bénédicte François [et alii], Blockchain et droit des sociétés, Dalloz, 2019, Thèmes et commentaires ( Études ), 390 p.      

    "La Blockchain constitue une application révolutionnaire et la cryptographie et de la technologie de l'information. Elle suscite de grands espoirs en terme de coûts, de liquidités, de fiabilité dans la tenue des registres et de transparence. Des acteurs majeurs du secteur financier ont commencé à recourir à cette nouvelle technologie, et certains marchés considèrent la technologie blockchain comme une nouvelle méthode pour la négociation des actions et le transfert de la propriété. Dans le même temps, une utilisation accrue de cette nouvelle technologie peut introduire de nouveaux risques sur le marché et entraîner des changements profonds dans la gouvernance des sociétés. Il revient ainsi aux institutions européennes et nationales de prendre en compte les atouts et le potentiel de la blockchain, ainsi que ses risques et dangers. Cet ouvrage évalue l'implication potentielle des blockchains dans un proche avenir sur le droit des titres et sur la gouvernance des sociétés. Le défi est double : il est nécessaire, d'une part, d'engager une réflexion prospective d'autant plus difficile que la technologie, bien qu'embryonnaire, présente un potentiel d'évolution incontournable et rapide. Il est essentiel, d'autre part, de réfléchir au niveau optimal de réglementation : droit national ou droit européen en particulier. Le sujet, très innovant, vise tout public intéressé par l'évolution du droit au regard des nouvelles technologies, en particulier les professionnels du droit, les chercheurs ainsi que les législateurs français et européen. Pour ouvrir la réflexion à un large public, l'ouvrage est rédigé en version totalement bilingue, en français et en anglais."

    Vincent Malassigné, Les titres représentatifs: essai sur la représentation juridique des biens par des titres en droit privé, Dalloz, 2016, Nouvelle Bibliothèque de Thèses, 867 p.     

    Vincent Malassigné, Alain Ghozi, Philippe Delebecque, Philippe Didier, France Drummond [et alii], Les titres représentatifs: essai sur la représentation juridique des biens par des titres en droit privé,, 2014, 925 p.  

    Il est fréquent d’affirmer qu’un titre représenterait un bien : une lettre de change représenterait une créance de somme d’argent, un connaissement représenterait une marchandise, une inscription en compte représenterait une valeur mobilière, un « depositary receipt» représenterait une action étrangère … Il s’agirait donc de « titres représentatifs ». Mais que recouvre cette formule ? Traduit-elle l’existence d’un véritable mécanisme de représentation des biens par des titres en droit privé ou s’agit-il d’un abus de langage ? Dans un premier temps, l’étude des titres représentatifs permet d’établir l’existence de la représentation juridique des biens par des titres en droit privé, qui constitue alors le pendant de la représentation des personnes. Il apparaît toutefois que ce mécanisme n’est pas unitaire et c’est pourquoi il convient de distinguer deux techniques de représentation juridique des biens par des titres : la représentation parfaite d’un bien par un titre et la représentation imparfaite d’un ensemble de biens réunis au sein d’un patrimoine d’affectation par des titres. Dans un second temps, l’analyse de la mise en oeuvre de la représentation juridique des biens par des titres en droit privé, réalisée en vue d’éprouver la pertinence de la théorie dégagée, montre qu’il n’est pas toujours possible de créer librement tout type de titres représentatifs concernant des biens de toute nature. La liberté ne joue que pour les titres représentatifs parfaits de certains biens. L’étude de la mise en oeuvre de ce mécanisme souligne par ailleurs que la création d’un titre représentatif induit des difficultés auxquelles il convient de pallier en édictant un certain nombre de règles.

  • Vincent Malassigné, « Edmond Thaller », le 12 juin 2024  

    Conférence organisée par l’Institut de recherche en droit des affaires de Paris (IRDA) dans le cadre du Cycle de conférences sur le droit des affaires en perspectives, Université Paris Panthéon-Assas sous la direction scientifique du professeur Caroline Coupet

    Vincent Malassigné, « Le statut de l'entrepreneur individuel - Morceaux choisis », le 05 avril 2024  

    Journée d'études des centres de DJCE, organisée par l'IFG, Université de Lorraine, sous la direction scientifique de Caroline Houin-Bressand, Professeur à l'Université de Lorraine, Directrice du DJCE de Nancy

    Vincent Malassigné, « Structures et usages de la blockchain », le 19 janvier 2023  

    Colloque international organisé, dans le cadre du Projet CATALYSE, sous la responsabilité scientifique de Patrick Barban, Professeur de droit privé à l’Université Le Havre Normandie, et Magali Jaouen, Professeur de droit privé à l’Université CY Cergy Paris.

    Vincent Malassigné, « Blockchain et droit des sociétés », le 05 décembre 2019  

    Journée d’étude organisée à l’occasion de la sortie de l’ouvrage éponyme aux éditions Dalloz.

    Vincent Malassigné, « La réécriture du titre IV du livre IV du code de commerce », le 04 avril 2019  

    Organisé par Anne-Sophie Choné-Grimaldi pour le CEDCACE, Université Paris-Nanterre

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Mélody Pellissier, Droit du travail et droit des sociétés : étude d'une fragmentation disciplinaire, thèse soutenue en 2023 à Université ParisPanthéonAssas sous la direction de Jean-François Cesaro, membres du jury : Gilles Auzero (Rapp.), Marie-Laure Coquelet et Grégoire Loiseau    

    Distinguer le droit du travail et le droit des sociétés est une habitude fortement ancrée chez le juriste. La relation qu'ils entretiennent est souvent décrite en termes d'opposition. Cependant, le principe de réalité invite davantage à la collaboration si l'on souhaite garantir la protection des personnes et favoriser l'efficacité des institutions. Cette coopération est d'ailleurs presque devenue impérative, car ces deux branches du droit n'ont pas été épargnées par deux phénomènes qui affectent l'ensemble des systèmes, a fortiori le système juridique : la fragmentation disciplinaire, engendrée notamment par la multiplication des niveaux de spécialisation, et le développement de rapports horizontaux entre différents droits spéciaux. Par conséquent, que ce soit dans l'élaboration de la norme sociale ou du droit des sociétés, des influences positives sont à l'œuvre et les points de connexion permanents : présence des salariés ou de leurs représentants au sein des organes sociétaires, transfert des contrats de travail en cas d'opérations sociétaires, prérogatives des instances de représentation du personnel lors d'une décision sociale, etc. L'évolution du droit du travail et du droit des sociétés se fait de plus en plus en miroir. Ce travail explore la diversité des phénomènes pouvant émerger de l'interaction entre le droit du travail et le droit des sociétés et s'attache particulièrement à décrire une possible coordination entre deux droits destinés à répondre à des objectifs parfois divergents, mais le plus souvent complémentaires.