Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland (dir.), Séparations conjugales: transitions privées, dispositifs publics, Caisse nationale des allocations familiales et CAIRN, 2022, 147 p.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland (dir.), Justice et inégalités au prisme des sciences sociales, Mission de recherche droit et justice, 2020, 180 p.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, Gouverner la vie privée, 2019
L’implication de l’État dans la vie privée pose problème : les individus ont davantage de droits que par le passé, mais certains de leurs comportements, jugés problématiques pour la collectivité, justifient un interventionnisme renouvelé, dans lequel acteurs privés et mécanismes de marché occupent une place croissante. En tension entre libéralisme et normalisation, cette action publique participe aux recompositions des rapports sociaux, entre les classes sociales, entre les genres, ainsi qu’entre la population majoritaire et les personnes racisées. Objet de vifs débats et de réformes récurrentes, la régulation par le droit des séparations conjugales est un observatoire précieux de ces recompositions, ici analysées à partir de trois enquêtes collectives, qualitatives et quantitatives, menées des deux côtés de l’Atlantique. En France comme au Québec, l’accès aux procédures, les interactions avec les professionnel.les et l’encadrement des modes de vie sont les trois dimensions constitutives du gouvernement de la vie privée. Cependant, chacun des contextes n’articule pas de la même manière inégalités de classe et inégalités de genre. En scrutant la production institutionnelle des inégalités privées, cet ouvrage invite à imaginer des voies alternatives, dans la sphère privée comme dans la sphère publique, pour que la politique des droits tienne ses promesses émancipatrices. For both governments and citizens, the role of the State in private life is tricky: individuals have more rights than in the past; however since some behaviors are seen as problematic for the community, they stimulate new forms of interventionism. In addition, the goal of reducing public spending increases the role of private actors. Through their own ambiguities, such policies play a major part in shaping class, gender and race relations. To analyse this unequal dynamic in the regulation of breakups, this book draws on several empirical studies, which were conducted collectively, over a long period of time and with a comparative approach. In France, as in Quebec (Canada), access to services, interactions with professionals and the management of lifestyles are the three constitutive dimensions of this governance of family life. However, each jurisdiction differs regarding the intersection of class and gender inequalities. By examining the institutional shaping of private inequalities, this book invites us to imagine alternative ways, in both the private and public spheres, for the politics of rights to fulfil its emancipatory promises.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland, La fonction publique territoriale, Cairn et La Découverte, 2019, Repères, 127 p.
La 4e de couv. indique : "Forte de 2 millions d'agents, soit plus du tiers des effectifs totaux de la fonction publique, la fonction publique territoriale est présentée par les promoteurs de la décentralisation et de la réforme de l'État comme l'avant-garde de la modernisation publique. Pour aller au-delà de cette rhétorique réformatrice, cet ouvrage conjugue les apports de la sociologie du travail et de l'emploi et ceux de la sociologie politique des administrations. il rend compte des dynamiques sociales et politiques qui animent ce segment de l'emploi public (de la féminisation à la politisation, en passant par la contractualisation et des rapports changeants aux territoires). Ce faisant, il montre que la fonction publique territoriale est au coeur des compromis institutionnels entre État et collectivités locales depuis la IIIe République, tout en prenant part aux mutations contemporaines du marché du travail."
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland, Gouverner la vie privée: l’encadrement inégalitaire des séparations conjugales en France et au Québec, ENS Éditions et OpenEdition, 2019, Gouvernement en question(s), 257 p.
L’implication de l’État dans la vie privée pose problème : les individus ont davantage de droits que par le passé, mais certains de leurs comportements, jugés problématiques pour la collectivité, justifient un interventionnisme renouvelé, dans lequel acteurs privés et mécanismes de marché occupent une place croissante. En tension entre libéralisme et normalisation, cette action publique participe aux recompositions des rapports sociaux, entre les classes sociales, entre les genres, ainsi qu’entre la population majoritaire et les personnes racisées. Objet de vifs débats et de réformes récurrentes, la régulation par le droit des séparations conjugales est un observatoire précieux de ces recompositions, ici analysées à partir de trois enquêtes collectives, qualitatives et quantitatives, menées des deux côtés de l’Atlantique. En France comme au Québec, l’accès aux procédures, les interactions avec les professionnel.les et l’encadrement des modes de vie sont les trois dimensions constitutives du gouvernement de la vie privée. Cependant, chacun des contextes n’articule pas de la même manière inégalités de classe et inégalités de genre. En scrutant la production institutionnelle des inégalités privées, cet ouvrage invite à imaginer des voies alternatives, dans la sphère privée comme dans la sphère publique, pour que la politique des droits tienne ses promesses émancipatrices. For both governments and citizens, the role of the State in private life is tricky: individuals have more rights than in the past; however since some behaviors are seen as problematic for the community, they stimulate new forms of interventionism. In addition, the goal of reducing public spending increases the role of private actors. Through their own ambiguities, such policies play a major part in shaping class, gender and race relations. To analyse this unequal dynamic in the regulation of breakups, this book draws on several empirical studies, which were conducted collectively, over a long period…
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland, Gabrielle Schütz (dir.), Justice familiale et inégalités sociales: dossier, L.G.D.J.-Lextenso, 2017, 1 p.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland, Fabien Desage (dir.), France / Québec: (se) comparer, De Boeck, 2017, 225 p.
Emilie Biland-Curinier, Lorenzo Barrault-Stella, Céline Bessière, Émilie Curinier-Biland, Sibylle Gollac [et alii], Quand les classes supérieures s'arrangent avec le droit, SciencesPo, les presses, 2017, 159 p.
Ce dossier invite à explorer les usages du droit par les classes supérieures. Quelle "conscience du droit" spécifique ont-elles, précisément du fait de leur position ? Camille Herlin-Giret révèle que la sous-évaluation des biens pratiquée par les assujettis à l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), loin d’être un calcul utilitariste solitaire, procède d’une coordination collective. Alexis Spire, lui, observe la façon dont le rituel judiciaire est utilisé par les prévenus de quatre procès pour fraude fiscale pour faire valoir leurs mérites, euphémiser leur délit et se présenter comme victimes de l’arbitraire de l’administration. C’est dans l’espace à huis clos des cabinets de notaires et d’avocats que Céline Bessière et Sibylle Gollac pénètrent. Elles dévoilent à quel point le travail dans l’entre-soi de ces professionnels avec une clientèle choisie facilite des stratégies de transmission patrimoniale, fortement genrées, au service de la reproduction du capital économique, et aux dépens d’une administration fiscale domestiquée. Cette proximité sociale et la dimension genrée de ces arrangements sont aussi au cœur du travail d’Émilie Biland et Muriel Mille. Leur enquête sur les séparations de couples québécois fortunés, mais très inégalitaires, démontre qu’au cours de ces ruptures, les femmes sont conduites à faire davantage de concessions que les hommes. Ce sont enfin des classes supérieures moins fortunées, mais suffisamment dotées pour s’accommoder avec succès des règles juridiques, que suit Lorenzo Barrault-Stella dans leurs pratiques de contournement de la carte scolaire par l’usage de fausses adresses.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, Inside the Castle. Law and the Family in 20th Century America, J. L. Grossman et L. M. Friedman, 2016
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland, La fonction publique territoriale, Cairn et La Découverte, 2012, Repères, 125 p.
Forte de 2 millions d'agents, soit plus du tiers des effectifs totaux de la fonction publique, la fonction publique territoriale est présentée par les promoteurs de la décentralisation et de la réforme de l'État comme l'avant-garde de la modernisation publique. Pour aller au-delà de cette rhétorique réformatrice, cet ouvrage conjugue les apports de la sociologie du travail et de l'emploi et ceux de la sociologie politique des administrations. Il rend compte des dynamiques sociales et politiques qui animent ce segment de l'emploi public (de la féminisation à la politisation, en passant par la contractualisation et des rapports changeants aux territoires). Ce faisant, il montre que la fonction publique territoriale est au cœur des compromis institutionnels entre État et collectivités locales depuis la IIIe République, tout en prenant part aux mutations contemporaines du marché du travail
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, Le façonnage des élites de la République, Culture générale et haute fonction publique, C. Oger, 2010
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, Villes de banlieues , 2010
Emilie Biland-Curinier, Émilie Curinier-Biland (dir.), La fonction publique territoriale, la Documentation française, 2009, 117 p.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, « Une convergence divergente », SociologieS, 2019
La massification des séparations conjugales et son corolaire, la libéralisation du droit au divorce, sont observées dans la plupart des pays d’Europe et d’Amérique du Nord. À partir d’enquêtes collectives menées durant plusieurs années en France et au Québec, cet article analyse la portée de ces changements sur les inégalités de classe et de genre. Dans ces deux contextes, l’action publique visant les séparations conjugales joue un rôle majeur dans le renouvellement contemporain du gouvernement de la vie privée. Toutefois, la France et le Québec sont caractérisés par des régimes partiellement distincts de reproduction institutionnelle des rapports sociaux. Ceci s’explique notamment par le caractère limité des circulations transnationales, débouchant sur une « convergence divergente » entre ces deux juridictions. The high incidence of breakups, along with the liberalization of divorce law, have occurred in most European and North-American countries for the last decades. This article assesses the scope of these social and legal changes regarding class and gender inequalities. This analysis is based on empirical studies that were collectively conducted over several years in France and Quebec (Canada). In both jurisdictions, judicial policies play a major part in the contemporary government of intimacy. However, France and Quebec differ regarding the intersection of class and gender inequalities. Such national patterns are due to limited cross-national circulation, which leads to a "divergent convergence" between these two contexts. Una convergencia divergente: separaciones maritales y desigualdad social en Francia y en QuebecLa masificación de las separaciones conyugales y su corolario, la liberalización del derecho al divorcio, se observan en la mayoría de los países de Europa y en América del Norte. A partir de investigaciones colectivas efectuadas a lo largo de varios años en Francia y Quebec, este artículo analiza el alcance de estos cambios respecto a las desigualdades de clase y género. En ambas jurisdicciones, la acción pública dirigida a la separación conyugal desempeña un papel importante en la renovación contemporánea del gobierno de la vida privada. Sin embargo, Francia y Quebec se caracterizan por regímenes parcialmente distintos de reproducción institucional de las relaciones sociales. Esto puede explicarse en particular por la limitada circulación transnacional, que resulta en una "convergencia divergente" entre estas dos jurisdicciones.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, « Local Civil Service: », Travail et emploi, 2014
In contrast to their peers working for the State, the trajectories of local government employees have long been marked by stability instead of spatial mobility. This article re-examines this local hiring and career model and analyses its contemporary critiques, through a quantitative and qualitative analysis of the personnel files of a small city. The rising importance of geographical mobility is concomitant with the increasing rarity of social mobility over the course of one’s working life, and yet the majority of this city’s public employees remain locally rooted. To understand the limited progress of the effort to make professional careers mobile, the article identifies the unequal costs and benefits of mobility according to generational, social, and gendered factors. Au contraire de leurs homologues de l’État, les trajectoires des agents des collectivités territoriales ont longtemps été marquées par la stabilité, plutôt que par la mobilité spatiale. Cet article revient sur ce modèle de recrutement et de carrière au local et analyse sa remise en cause contemporaine, au moyen d’une analyse quantitative et qualitative de dossiers du personnel d’une petite ville. La montée en puissance de la mobilité géographique est concomitante de la raréfaction de la mobilité sociale en cours de vie active. Toutefois, la majorité des agents publics de cette ville demeurent ancrés localement. Pour comprendre la percée limitée de cette mise en mobilité des carrières professionnelles, l’article repère ses coûts et bénéfices inégaux selon des facteurs générationnels, sociaux et genrés.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, « Fonction publique territoriale : de la mobilité interne à la mobilité spatiale ? », Travail et emploi, 2012
Au contraire de leurs homologues de l’État, les trajectoires des agents des collectivités territoriales ont longtemps été marquées par la stabilité, plutôt que par la mobilité spatiale. Cet article revient sur ce modèle de recrutement et de carrière au local et analyse sa remise en cause contemporaine, au moyen d’une analyse quantitative et qualitative de dossiers du personnel d’une petite ville. La montée en puissance de la mobilité géographique est concomitante de la raréfaction de la mobilité sociale en cours de vie active. Toutefois, la majorité des agents publics de cette ville demeurent ancrés localement. Pour comprendre la percée limitée de cette mise en mobilité des carrières professionnelles, l’article repère ses coûts et bénéfices inégaux selon des facteurs générationnels, sociaux et genrés. Unlike national civil servants, who are known as frequent movers, the history of the local civil service has demonstrated that local employees often have strong links with the territory where they work. This sociological approach assesses the accurateness of this analysis to describe the current local public employment. As it uses quantitative and qualitative data gathered in a French town, it shows that space mobility has been increasing whereas social mobility has been decreasing since the 1970s and 1980s. Indeed, the former is a growing requirement to the latter. This overall trend is scrutinised through social, gendered and generational patterns that differentiate public servants. Eventually, one should be convinced by the interest of career analysis to understand the managerial trend of public policies.
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, « Fonction publique territoriale : de la mobilité interne à la mobilité spatiale ? », 2011
« Si vous n’êtes pas nommés trois mois après avoir réussi le concours, la France vous tend les bras ! Les concours ont valeur nationale et on ne pourra pas vous muter d’autorité comme dans la Fonction Publique de l’État. Et la Savoie est belle ! » Prononcés avec enthousiasme par un haut fonctionnaire du conseil général de Savoie lors du salon de l’emploi public organisé en 2007, ces paroles sont emblématiques des encouragements contemporains à la mobilité spatiale dans la fonction publique t...
Emilie Biland-Curinier, Émilie Biland, « Les ambiguïtés de la sélection par concours dans la fonction publique territoriale : une institutionnalisation inachevée », Sociologie du travail, 2010
Cet article examine le processus de construction de la fonction publique territoriale (FPT) au travers des concours sélectionnant les agents publics locaux. Après avoir étudié les logiques politiques et administratives qui président, depuis les années 1970, à l’institutionnalisation de concours qui ne remettent pas en cause les prérogatives des élus-employeurs, il montre que le processus inachevé de bureaucratisation de la FPT structure le déroulement des concours lui-même. Le « devoir de réserve » des fonctionnaires est évalué, mais par les élus, membres des jurys. La « personnalité bureaucratique » est valorisée, mais tempérée par des attentes inspirées par le référentiel managérial contemporain. Les concours territoriaux sont proches de leurs homologues étatiques mais sont aussi illustratifs d’une volonté de s’en distinguer. Ces ambiguïtés témoignent de la faiblesse du dispositif concourant, au moment où celui-ci fait l’objet de critiques tous azimuts, encore amplifiées dans une fonction publique territoriale (FPT) historiquement éloignée du modèle méritocratique français. The process of constructing a civil service in France at the local and regional levels (function publique territoriale) is examined by focusing on selective examinations for recruiting and promoting personnel. The political and administrative rationales are described that have, since the 1970s, institutionalized these examinations, which do not challenge the prerogatives of the elected officials to fill the employer’s role. The incomplete process of bureaucratization in local and regional administrations affects how these examinations take place. The duty of civil servants to avoid expressing opinions in public is evaluated but by the elected officials who serve on the panels that select applicants. Although the “bureaucratic personality” is prized, expectations stemming from the current reference to managerial criteria moderate this emphasis. Though similar to examinations conducted in the central government’s civil service, the selective examinations for local and regional government employees illustrate a determination to stand apart. These ambiguities show how weak the procedures related to these examinations are at a time when they have come under wide-ranging criticisms. The latter are amplified in local and regional administrations which, historically, differ significantly from the French Republic’s merit-based model.
Emilie Biland-Curinier, « Moderniser les ressources humaines dans une petite ville française : appropriations et contournements des normes juridiques et gestionnaires », Pyramides, 2009
Observe-t-on, dans les collectivités locales françaises, récemment instituées en laboratoires de la modernisation publique, un recours croissant à des outils traduisant l’influence de savoirs gestionnaires voire de références issues du nouveau management public ? Pour répondre à cette question, cette contribution s’appuie sur une enquête ethnographique réalisée dans une petite ville, qui étudie les transformations des modes de recrutement et de gestion du personnel depuis le milieu des années 1990. Si la ville enquêtée n’est pas coupée des dynamiques qui traversent l’ensemble du marché du travail, l’adoption de tels outils est loin de s’imposer unilatéralement aux employeurs locaux : elle est conditionnée par les dynamiques internes du gouvernement municipal et dépend, en outre, de la chronologie propre à ce segment du marché du travail. On observe aujourd’hui un cumul de normes juridiques et de normes gestionnaires qui délégitiment les recrutements locaux et assistanciels, qui encouragent la convergence des pratiques des employeurs locaux et accentuent la bureaucratisation formelle.
Emilie Biland-Curinier, « Réseau international de l’innovation en Justice (RIIJ) », le 15 novembre 2023
Colloque organisé par le Réseau international de l’innovation en Justice, l'IERDJ, l’Institut québécois de réforme du droit et de la justice (IQRDJ), et soutenu par la Commission permanente de coopération franco-québécoise (CPCFQ)
Emilie Biland-Curinier, « Droit et temporalités », le 14 avril 2021
Organisées par Charles Reveillere - CSO, Lus Prauthois - IRISSO, CSO et Jérôme Pélisse - CSO, Science Po
Emilie Biland-Curinier, « Syndicalisme, pouvoirs et politiques dans les services publics territoriaux (XXe-XXIe siècles) », le 12 septembre 2019
Organisé par le laboratoire Triangle, Lyon, Paris 1 Panthéon-Sorbonne, le CNRS, Sciences Po Lyon, Université Jean Monnet Saint-Etienne…
Emilie Biland-Curinier, « Public / Privé. Des frontières sous tension », le 03 juin 2019
Organisé par le pôle Gouvernance de la Maison des Sciences de l’Homme en Bretagne, Rennes
Emilie Biland-Curinier, « Quelle gestion des ressources humaines pour l'emploi public local ? », le 16 novembre 2016
Organisée par le laboratoire ERMES CDG 06 et le Centre de gestion des Alpes-Maritimes
Emilie Biland-Curinier, « Sociologie du droit et de l’action publique », le 04 juin 2015
Emilie Biland-Curinier, « Faire parler le Parlement », le 13 octobre 2010