Philippe Raynaud, Victor Hugo: La révolution romantique de la liberté, Éditions Gallimard, 2024, Des Hommes qui ont fait la France, 116 p.
Philippe Raynaud (dir.), De la démocratie en Amérique, Flammarion et Cairn, 2023, G.F., 302 p.
« J'avoue que dans l'Amérique j'ai vu plus que l'Amérique ; j'y ai cherché une image de la démocratie elle-même, de ses penchants, de son caractère, de ses préjugés, de ses passions. » La gloire de Tocqueville n'est pas seulement celle d'un analyste politique exceptionnel ; c'est aussi, depuis la redécouverte de son œuvre, celle d'un philosophe politique qui serait en même temps un classique de la sociologie, et qui pourrait aider à comprendre les problèmes qui se posent constamment dans les démocraties modernes. L'égalité des conditions, l'individualisme, le « despotisme » démocratique, les relations entre maîtres et serviteurs, l'esprit de liberté et l'esprit de religion, autant de notions qui dessinent aujourd'hui encore les contours d'une philosophie de la démocratie
Philippe Raynaud, Le juge et le philosophe: Essais sur le nouvel âge du droit, Armand Colin et Cyberlibris, 2022, 320 p.
Sommes-nous entrés dans un nouvel âge du droit ? L'échec des idéologies qui ont endeuillé le XXe siècle en niant le droit, ou en l'instrumentalisant au service de la violence (de classe, de race, d'État), a conduit à la reconnaissance de la valeur absolue des droits de l'homme et de l'État de droit. Ce tournant a eu des effets profonds et durables, mais il fait apparaître de nouveaux défis. Dans l'ordre interne, le progrès du droit semble incontestable, mais le sentiment de l'impuissance du politique n'a sans doute jamais été aussi fort ; quant au système international, l'idée d'un effacement des logiques de puissance devant le règne du droit est fortement remise en question par les nouveaux conflits. Quelle place occupera le droit dans la démocratie au XXIe siècle ? Pour Philippe Raynaud, il ne s'agit pas d'opposer le droit à la politique, mais plutôt d'étudier les relations complexes qui les unissent. Il examine la pensée des auteurs anciens (Platon, Aristote), modernes (Hobbes, Kant) ou contemporains (Kelsen, Dworkin, Habermas), tout en proposant une analyse éclairante des controverses actuelles, en Europe et aux États-Unis, sur l'indépendance et le pouvoir des juges, la repentance et la mémoire ou encore l'émergence de nouveaux droits. Cette nouvelle édition a été augmentée d'une importante contribution sur la question du scepticisme comme fondement de la démocratie
Philippe Raynaud, La laïcité: Histoire d'une singularité française, Cairn et Gallimard, 2021, L'esprit de la cité
C'est un mot qui passe pour intraduisible et qui renvoie aux traits distinctifs de notre histoire nationale. Les origines de la laïcité remontent aux guerres de Religion, où la puissance royale commence à s'émanciper de l'autorité de l'Église. C'est de cette crise originelle que part ce livre. L'Édit de Nantes impliquait qu'on pouvait être bon Français sans être catholique. C'est cette brèche que Louis XIV va tenter de refermer avec la Révocation. Mais la monarchie absolue tire sa légitimité moins de ses fondements religieux que de sa rationalité administrative et de son pouvoir civilisateur. Avec la Révolution, la France cesse d'être un royaume catholique pour emprunter la voie qui mène à l'État laïque, dégagé de toute conception théologique. Le conflit entre France catholique et France républicaine se poursuivra au XIXe siècle, où la IIIe République s'engage dans une laïcité militante, avant d'aboutir à la loi de 1905. Il prendra d'autres formes pour s'épuiser en 1984 avec la tentative avortée d'intégrer l'école privée catholique dans l'enseignement public. Cependant, depuis les années 1960, l'évolution des mœurs érodait progressivement le consensus moral qui unissait croyants et incroyants, pour déboucher sur les controverses autour du « mariage pour tous» et de la procréation médicalement assistée. À ces dissensions s'est ajouté un nouveau défi, l'émergence d'une religion, l'islam, qui pose à la laïcité des problèmes inédits et introduit au sein même de l'opinion laïque des divisions profondes
Philippe Raynaud, Max Weber et les dilemmes de la raison moderne, Cairn et Presses Universitaires de France, 2020, Recherches politiques
Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique, parfois ancien, conservé au sein du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres indisponibles du XXe siècle. Le but de cet essai est de montrer l'unité et la cohérence des divers aspects de la pensée de Max Weber. « Copyright Electre »
Philippe Raynaud, La laïcité: Histoire d'une singularité française, Gallimard, 2019, L'esprit de la cité, 242 p.
La 4ème de couv. indique : "C'est un mot qui passe pour intraduisible et qui renvoie aux traits distinctifs de notre histoire nationale. Les origines de la laïcité remontent aux guerres de Religion, où la puissance royale commence à s'émanciper de l'autorité de l'Église. C'est de cette crise originelle que part ce livre. L'Édit de Nantes impliquait qu'on pouvait être bon Français sans être catholique. C'est cette brèche que Louis XIV va tenter de refermer avec la Révocation. Mais la monarchie absolue tire sa légitimité moins de ses fondements religieux que de sa rationalité administrative et de son pouvoir civilisateur. Avec la Révolution, la France cesse d'être un royaume catholique pour emprunter la voie qui mène à l'État laïque, dégagé de toute conception théologique. Le conflit entre France catholique et France républicaine se poursuivra au XIXe siècle, où la IIIe République s'engage dans une laïcité militante, avant d'aboutir à la loi de 1905. Il prendra d'autres formes pour s'épuiser en 1984 avec la tentative avortée d'intégrer l'école privée catholique dans l'enseignement public. Cependant, depuis les années 1960, l'évolution des mœurs érodait progressivement le consensus moral qui unissait croyants et incroyants, pour déboucher sur les controverses autour du «mariage pour tous» et de la procréation médicalement assistée. À ces dissensions s'est ajouté un nouveau défi, l'émergence d'une religion, l'islam, qui pose à la laïcité des problèmes inédits et introduit au sein même de l'opinion laïque des divisions profondes."
Philippe Raynaud, Arnaud Sorosina (dir.), De la démocratie en Amérique, Maury impr. et Flammarion, 2019, GF, 272 p.
Philippe Raynaud, L'esprit de la V: L'histoire, le régime, le système, Cairn et Éditions Perrin, 2019, Synthèses Historiques
De l'hyper-présidence au retour des partis. Comprendre la Ve République et, pour ce faire la raconter en conjuguant récit enlevé et analyse politique et institutionnelle, tel est le pari relevé avec maestria par Philippe Raynaud dans cette synthèse originale et brillante, indispensable à lire à l'aube de la prochaine élection présidentielle. Décryptant les politiques et les hommes, les lignes de forces et les ruptures, l'auteur axe sa réflexion autour de la question nodale du pouvoir exécutif. En réconciliant l'idée républicaine avec une présidence forte, De Gaulle tranche le nœud gordien noué par les coups d'état de Brumaire et du 2 décembre 1851 et donne un coup d'arrêt au parlementarisme absolu qui a précipité les IIIe et IVe Républiques dans l'abîme. Philippe Raynaud explique et raconte le développement et les succès de ce régime avant de s'attacher à son déclin puis à sa décomposition. Loin des explications tranchées des idéologues, l'historien-politologue offre une grille d'explications à la fois exhaustive et souvent novatrice tout en restant d'un accès aisé pour le lecteur profane. Un futur classique
Philippe Raynaud, Emmanuel Macron : une révolution bien tempérée, Desclée de Browers, 2018, 200 p.
Philippe Raynaud, L'esprit de la Ve République: L'histoire, le régime, le système, Éditions Perrin, 2017, 288 p.
La 4e de couv. indique : " Faire comprendre la Ve République en conjuguant récit enlevé et analyse politique et institutionnelle, tel est le pari relevé avec maestria par Philippe Raynaud dans cette synthèse originale, indispensable à lire à la veille de la prochaine élection présidentielle. Décryptant les politiques et les hommes, les lignes de forces et les ruptures, l'auteur part de la question nodale du pouvoir exécutif pour analyser la dynamique paradoxale du régime né en 1958. En réconciliant l'idée républicaine avec une présidence forte, de Gaulle tranche le noeud gordien noué par les coups d'État de Brumaire et du 2 décembre 1851 et donne un coup d'arrêt au parlementarisme absolu qui a précipité les IIIe et IVe Républiques dans l'abîme ; ce faisant, il ouvre la voie à des évolutions libérales et européennes qui s'éloignent à plus d'un titre de son projet originel"
Philippe Raynaud, François Furet, Antoine Liniers, Terrorisme et démocratie, Cairn et Fayard, 2016, Fondation Saint-Simon
Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique, parfois ancien, conservé au sein du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres indisponibles du XXe siècle. Des analyses historiques en profondeur et le témoignage inédit d'un ancien responsable de la Gauche prolétarienne
Philippe Raynaud, Michel Foucault: philosophie, histoire, politique et littérature,, 2016, 15 p.
Philippe Raynaud (dir.), Opuscules sur l'histoire, Flammarion, 2014, GF, 245 p.
Philippe Raynaud, Alain Blondiaux, Jean-Michel Helvig, Jean-Pierre Le Goff, Pascal Perrineau [et alii], Où va notre démocratie ?, Éditions de la Bibliothèque publique d’information et OpenEdition, 2014
Nul ne songerait en Occident à contester la démocratie pour instituer une autre forme de régime : dans son principe, la démocratie est aujourd'hui indiscutable et triomphante. Et pourtant au nom de ce principe même, on reproche à son fonctionnement de n'être pas assez « démocratique ». Le système représentatif est en crise, comme en témoignent la dépolitisation croissante des citoyens, la montée de l'abstention, la défiance envers le discours politique, le sentiment d'éloignement vis à vis des institutions. Notre monde change : le rôle croissant de l'économie y réduit l'influence du politique, la société civile s'autonomise et se fragmente en une somme d'individus défendant leurs intérêts particuliers, le sens du collectif tend à se perdre, les affrontements traditionnels qui fondaient les identifications partisanes se diluent, la séparation s'efface entre sphère publique et sphère privée. Au cœur de ces mutations, la démocratie fait l'objet de revendications croissantes : protection individuelle, reconnaissance de droits nouveaux, participation plus directe à la décision politiques, prise en charge des questions économiques, sociales, sociétales... Face à ces transformations, à ces remises en cause, où va notre démocratie ? Comment se répartissent les rôles entre société civile et institutions politiques ? Quel impact ont les médias, les sondages, l'opinion ? Une nouvelle citoyenneté doit-elle être imaginée, rééquilibrant représentation et participation ? La démocratie peut-elle se bâtir dans le cadre européen ?
Philippe Raynaud (dir.), De la force du gouvernement actuel de la France et de la nécessité de s'y rallier Des réactions politiques Des effets de la Terreur , Flammarion, 2013, Champs ( Classiques ), 206 p.
Philippe Raynaud, La politesse des Lumières: les lois, les moeurs, les manières, Gallimard, 2013, L'Esprit de la cité, 294 p.
Philippe Raynaud (dir.), L'Humaine condition, Gallimard, 2012, Quarto, 1049 p.
Les quatre ouvrages réunis abordent la question de l'action avec sa signification philosophique et ses implications politiques. L'action peut toujours être source de résistance face aux processus de destruction parmi lesquels le totalitarisme moderne. ©Electre 2018
Philippe Raynaud, Claude Habib (dir.), Malaise dans la civilité ?, Perrin, 2012, Collection tempus, 202 p.
Philippe Raynaud, Gil Delannoi, Pascal Hintermeyer, Pierre-André Taguieff (dir.), Julien Freund: La dynamique des conflits, Berg International Éditeurs, 2011, Dissonances, 314 p.
Philippe Raynaud, L'extrême gauche plurielle: entre démocratie radicale et révolution, Perrin, 2010, Collection Tempus, 272 p.
Philippe Raynaud (dir.), De la démocratie en Amérique, GF Flammarion, 2010, G.F., 302 p.
Philippe Raynaud (dir.), De la force du gouvernement actuel de la France et de la nécessité de s'y rallier Des réactions politiques Des effets de la Terreur , Flammarion, 2009, Champs ( Classiques ), 188 p.
Philippe Raynaud, Trois révolutions de la liberté: Angleterre, Amérique, France, Presses universitaires de France, 2009, Léviathan, 386 p.
La 4e de couverture indique : « Trois révolutions de la liberté propose les éléments d’une histoire politique comparée des trois grandes traditions politiques — anglaise, américaine, française —, d’où est sorti le monde de la « démocratie libérale ». La voie anglaise doit d’abord être comprise à partir des particularités du droit anglais, qui a fait naître un type original de rationalisation du droit et du pouvoir étatique. Elle s’est traduite aussi par une histoire religieuse originale et par la découverte précoce de ce que les divisions partisanes pouvaient apporter à une société libre. Depuis Tocqueville, les États-Unis apparaissent classiquement comme le laboratoire de la démocratie moderne, dont les effets se déploieraient pleinement du fait de l’absence d’héritage aristocratique et de la prédominance de l’esprit « démocratique » sur l’esprit « révolutionnaire » mais l’Amérique a dû elle aussi affronter, au moment de la guerre de Sécession, une crise violente qui a fait apparaître des oppositions comparables à celles qui ont déchiré la France révolutionnaire et c’est des États-Unis démocratiques que sont sortis, à la fin du XXe siècle, de nouveaux courants radicaux. Avant d’être celle de la Terreur, la Révolution française est celle des droits de l’homme mais, comme l’avait bien vu Hegel, son développement heurté et tragique peut lui-même être interprété comme l’expression d’une dialectique qui est déjà présente dans les principes et dans le « superbe lever de soleil » de 1789. Pour le meilleur et pour le pire, la démocratie française est donc bien toujours l’héritière de la Révolution — et de l’Ancien Régime : on verra ici que, sur des questions non négligeables pour l’humanité moderne, cet héritage violent a pu aussi être la source d’une modération paradoxale, et d’une version civilisée du progrès démocratique. L’histoire des révolutions démocratiques est donc une histoire vivante, et l’inépuisable dialogue entre les traditions qui en sont issues est une des conditions de notre liberté»
Philippe Raynaud, Le juge et le philosophe: essais sur le nouvel âge du droit, Armand Colin, 2008, Le temps des idées, 288 p.
Philippe Raynaud, Pierre C Bellanger, Jamil Dakhlia, Bénédicte Delorme-Montini, Christian Delporte [et alii], Penser la société des médias, Gallimard, 2006, 192 p.
Philippe Raynaud, L'extrême gauche plurielle: entre démocratie radicale et révolution, Autrement, 2006, Collection CEVIPOF-Autrement, 201 p.
Philippe Raynaud, Stéphane Rials (dir.), Dictionnaire de philosophie politique, 3e éd., Presses universitaires de France, 2003, Quadrige ( Dicos poche ), 892 p.
Philippe Raynaud, Mona Ozouf, Alain Finkielkraut, Les aveux du roman, Tricorne et France culture, 2002, Répliques, 63 p.
Philippe Raynaud, Patrick Brantlinger, Yves Darcourt Lézat (dir.), Le multiculturalisme en quête d'universalité ?, Editions Sapientia, 2002, 131 p.
Philippe Raynaud, Élisabeth Zoller (dir.), Le droit dans la culture américaine: [actes d'un colloque organisé par le Centre de droit américain de l'Université Panthéon-Assas (Paris II), le 16 mars 2001], Éd. Panthéon-Assas et diff. LGDJ, 2001, Droit comparé, 177 p.
Philippe Raynaud (dir.), Philosophie politique, PUF, 1999, 156 p.
Philippe Raynaud, Les nouvelles radicalités, Fondation Saint-Simon, 1999, Notes de la Fondation Saint-Simon, 49 p.
Philippe Raynaud (dir.), Philosophie ancienne, PUF, 1999, 142 p.
Philippe Raynaud, Philippe Raynaud, Stéphane Rials, Stéphane Rials (dir.), Dictionnaire de philosophie politique, 2e éd., Presses universitaires de France, 1998, 776 p.
Philippe Raynaud, Max Weber et les dilemmes de la raison moderne, Presses universitaires de France, 1996, Quadrige, 217 p.
Philippe Raynaud, La démocratie saisie par le droit, Fondation Saint-Simon, 1995, Notes de la Fondation Saint-Simon, 36 p.
Philippe Raynaud, Régis Debray, Marc Fumaroli, Yan Thomas, Alain Guéry [et alii], Dictature de l'image?, Gallimard, 1993, 192 p.
Philippe Raynaud, Stéphane Rials (dir.), Une prudence moderne ?, Presses universitaires de France, 1992, Politique d'aujourd'hui, 154 p.
Philippe Raynaud, Louis Dumont, Tzvetan Todorov, Mary Douglas, Vincent Descombes [et alii], Philosophie et anthropologie: [Séminaire tenu à Paris, au Centre Georges-Pompidou], Centre Georges Pompidou, 1992, Espace international philosophie, 190 p.
Philippe Raynaud (dir.), Opuscules sur l'histoire, GF Flammarion, 1990, GF, 245 p.
Philippe Raynaud, Paul Thibaud, La fin de l'école républicaine, Calmann-Lévy, 1990, Liberté de l'esprit, 228 p.
Philippe Raynaud (dir.), De la forme du gouvernement actuel de la France ..., Champs, 1988
Philippe Raynaud, Max Weber et les dilemmes de la raison moderne, Presses universitaires de France, 1987, Recherches politiques, 217 p.
Philippe Raynaud, LES PROTHESES DENTAIRES MIXTES, LES COURONNES SUPPORT DE CROCHET,, 1986, 142 p.
Philippe Raynaud, François Furet, Antoine Liniers, Terrorisme et démocratie, Fayard, 1985, 226 p.
Philippe Raynaud, Les origines intellectuelles du terrorisme, Fondation Saint-Simon, 1983, Notes de la Fondation Saint-Simon (Dossier), 83 p.
Philippe Raynaud, Recherche sur le texte et l'avant-texte: édition critique et genèse de "Diegopolis" de Y. Buin (1975),, 1976
Philippe Raynaud, « Ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre », Ouvrage collectif sous la direction de Pascal Perrineau, Le vote clivé. Les élections présidentielle et législatives d’avril et juin 2022, PUG - Presses Universitaire de Grenoble, 2022, pp. 285-296
Philippe Raynaud, « Introduction », Ouvrage collectif sous la direction de Deborah Furet, L'Abécédaire de François Furet, Éditions de l'Observatoire, 2022, pp. 15-30
Philippe Raynaud, « Libéralisme et républicanisme en France et aux États-Unis », Ouvrage collectif sous la direction de Denis Maillard, Gilles Clavreul, Jean-François Dunyach et Nathalie Wolff, Laurent Bouvet, portrait d'un intellectuel engagé, Éditions de l'Observation, 2022, pp. 157-172
Philippe Raynaud, « John Stuart Mill et la question de l’institution de la liberté », Article du colloque "Les équivoques de l’institution : normes, individu et pouvoir" organisé par l'Institut Michel Villey, Université Paris II - Panthéon-Assas le 31 mai et 1er juin 2018., Les Équivoques de l’institution Normes, individu et pouvoir, Classiques Garnier, 2021, pp. 305-318
Philippe Raynaud, « Préface. »: Poésie et philosophie, Ouvrage de Allan Bloom, avec la collaboration de Harry V. Jaffa, La pensée politique de Shakespeare, Armand Colin, 2021, pp. 5-23
Philippe Raynaud, « Réflexions sur la question populiste », Ouvrage collectif sous la direction de Piero Ignazi et Dominique Reynié, La vie politique. Pour Pascal Perrineau, Presses de Sciences Po, 2021, pp. 227-239
Philippe Raynaud, Ph Raynaud, St Rials, Jean-Marc Ferry, « La subjectivité », in PUF (dir.), Dictionnaire de philosophie politique, 1996
Philippe Raynaud, Ph Raynaud, St Rials, Jean-Marc Ferry, « La rationalisation habermassienne de la prudence », in PUF (dir.), Une Prudence moderne ?, 1992