Hervé Le Nabasque, Alain Couret, Marie-Laure Coquelet, Thierry Granier, Droit financier, 4e éd., Lefebvre Dalloz, 2024, Précis Dalloz ( Série Droit privé ), 1775 p.
Droit régissant la finance de marché et plus généralement, les activités liées à l'expansion extraordinaire de la sphère financière dans le monde moderne des affaires, le droit financier est aujourd'hui au coeur de l'économie. Le contexte de crise mondiale ayant accentué la mise en évidence de la financiarisation de l'économie, de plus en plus de juristes se sont intéressés aux questions financières, d'autant que les textes touchant à la matière se sont multipliés tant au plan européen qu'au plan national. Le développement des diplômes sanctionnant des études orientées vers la finance d'entreprise ou la finance de marché a stimulé l'intérêt des étudiants pour ces questions donnant également au droit financier une place significative dans l'enseignement universitaire. D'une structure simple, ce Précis a été rédigé par une équipe d'universitaires enseignant dans plusieurs grandes universités et partageant une vision commune de la matière. Les auteurs ont eu le souci de rendre accessible un domaine réputé complexe et dont la connaissance est devenue indispensable tant pour les juristes d'affaires que pour les financiers. La première édition de cet ouvrage a reçu l'Oscar du droit des sociétés et de la bourse.
Hervé Le Nabasque, Pierre-Henri Conac, Bénédicte François, Laurent Godon, Benoît Lecourt, Dominique Legeais, Nathalie Martial-Braz (dir.), Mélanges en l'honneur d'Isabelle Urbain-Parleani, Dalloz, 2023, 720 p.
Ces Mélanges offerts à Isabelle Urbain-Parleani sont le témoignage d'une double reconnaissance. C'est en premier lieu un témoignage de reconnaissance scientifique. Isabelle Urbain-Parleani est une référence incontestable et un acteur majeur du droit des sociétés. II est vrai qu'elle a été formée à bonne école. Celle des maîtres du droit des affaires de Paris 1 qu'étaient Christian Gavalda et Yves Guyon. Comment ne pas être marquée par ces figures emblématiques aux caractères si différents mais aussi talentueux l'un que l'autre. Isabelle Urbain-Parleani a fait une entrée remarquée dans la carrière avec sa thèse sur le compte courant d'associé, à laquelle l'on continue encore aujourd'hui de se reporter. Elle a « créé » scientifiquement cette institution. D'autres sujets d'étude (gouvernance, éthique...) ont suivi, sans cesse innovants. Son implication à promouvoir le droit des sociétés a été constante. Dans les différentes facultés dans lesquelles elle a enseigné, qu'il s'agisse de Paris Panthéon-Sorbonne, de Reims, de Versailles Saint-Quentin, ou de Paris Cité dans ces différentes appellations ! Elle a également contribué à son rayonnement grâce aux beaux colloques à dimension internationale qu'elle a organisés, relatifs aux thèmes structurants de la discipline, notamment celui organisé en juin 2016 sur les 50 ans de la loi du 24 juillet 1966 et celui de juin 2019 sur la loi Pacte et le droit des sociétés. C'est ensuite en tant que directrice de la Revue des sociétés des éditions Dalloz, la revue de référence en la matière et créée voici plus d'un siècle, qu'Isabelle Urbain-Parleani a montré une autre facette de son talent. Digne héritière d'Auguste-Angélique Vavasseur, de Jean Hémard et d'Yves Guyon, elle a toujours su déceler les sujets de recherche les plus porteurs. C'est enfin aujourd'hui dans le cadre très fermé du comité juridique de l'ANSA (Association Nationale des Sociétés par Actions) ou de celui du Haut Comité juridique de la Place financière de Paris, composés des meilleurs spécialistes, qu'Isabelle Urbain-Parleani exerce son talent. Ses analyses, fines et rigoureuses, et sa hauteur de vue y sont grandement appréciées. Ces Mélanges sont en second lieu un témoignage d'amitié, celui de nombre de collègues et praticiens français et étrangers qu'elle a croisés lors de son parcours universitaire. Dans le cadre de ses nombreuses missions et participations multiples à des groupes de travail internationaux, Isabelle Urbain-Parleani a eu l'occasion de faire de nombreuses rencontres qu'elle a su faire fructifier pour devenir des relations amicales et durables. La fidélité en amitié est en effet une grande qualité humaine que nul ne lui conteste et tous les contributeurs souhaitent en témoigner par leur contribution à cet ouvrage
Hervé Le Nabasque, Benoît Lecourt, Haritini Matsopoulou, Muriel Chagny, Camille Scotto d'Ardino, Ianjatiana Randrianandrasana (dir.), Mélanges en l'honneur du professeur Gilbert Parleani, IRJS Éditions, 2021, Bibliothèque de l'IRJS-André Tunc, 582 p.
Hervé Le Nabasque, Jean-Marc Moulin, Jacques Moury, Anastasia Sotiropoulou (dir.), Un juriste pluriel: mélanges en l'honneur d'Alain Couret, Dalloz et Éditions Francis Lefebvre], 2020, 1023 p.
Les Mélanges offerts au Professeur Alain Couret sont à l’image de ce grand juriste qui aura marqué le droit des affaires au tournant des XXe et XXIe siècles. Fort de soixante-cinq contributions rédigées par des auteurs majeurs d’une doctrine principalement commercialiste, ce recueil couvre en effet une vaste palette de thèmes - droit des sociétés, gouvernance d’entreprise et RSE, droit financier, droit des procédures collectives, droit des nouvelles technologies… - qui sont autant de reflets des champs qu’a sillonnés Alain Couret au cours de sa carrière universitaire. Leur dédicataire n’a par ailleurs eu de cesse d’enrichir sa pensée, toujours transcrite dans une langue déliée, non seulement en investissant d’autres domaines - singulièrement les sciences de gestion -, mais encore en scrutant d’autres cultures juridiques. Le Professeur Alain Couret est aussi un avocat de renom, ce qui lui a permis de nourrir constamment sa réflexion des réalités vécues par les entreprises. Ce trait, dont sont empreints les écrits des auteurs qui ont souhaité lui rendre ici hommage, sera apprécié à sa juste valeur par les praticiens. L’humilité et la simplicité d’Alain Couret n’ont d’égal que son élégance morale et intellectuelle. Il a de surcroît cette chance que la perception par ses interlocuteurs de la bienveillance, au sens le plus noble de ce terme, qui est sienne est encore accentuée par son bel accent toulousain…
Hervé Le Nabasque, Thierry Granier, Alain Couret, Marie-Laure Coquelet, Droit financier, 3e éd., DALLOZ, 2019, Précis Dalloz ( Série Droit privé ), 1633 p.
Droit régissant la finance de marché et plus généralement, les activités liées à l'expansion extraordinaire de la sphère financière dans le monde moderne des affaires, le droit financier est aujourd'hui au coeur de l'économie. Le contexte de crise mondiale ayant accentué la mise en évidence de la financiarisation de l'économie, de plus en plus de juristes se sont intéressés aux questions financières d'autant que les textes touchant à la matière se sont multipliés tant au plan européen qu'au plan national. Le développement des diplômes sanctionnant des études orientées vers la finance d'entreprise ou la finance de marché a stimulé l'intérêt des étudiants pour ces questions donnant également au droit financier une place significative dans l'enseignement universitaire. D'une structure simple, ce Précis a été rédigé par une équipe d'universitaires rassemblés autour du Centre Sorbonne Finance de l'Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Les auteurs ont eu le souci de rendre accessible un domaine réputé complexe et dont la connaissance est devenue indispensable tant pour les juristes d'affaires que pour les financiers. La première édition de cet ouvrage a reçu l'Oscar du droit des sociétés et de la bourse.
Hervé Le Nabasque, Thierry Granier, Alain Couret, Marie-Laure Coquelet, Droit financier, 2e éd., Éditions Dalloz, 2012, Précis ( Droit privé ), 1307 p.
Hervé Le Nabasque, Marie-Laure Coquelet, Alain Couret, Thierry Granier, Droit financier, Dalloz, 2008, Précis ( Droit privé ), 1088 p.
Hervé Le Nabasque, Thierry Bonneau, Erik Le Dolley (dir.), La sortie de l'investisseur, Litec, 2007, Colloques & débats, 218 p.
Hervé Le Nabasque, Alain Couret (dir.), Quel avenir pour le capital social ?, Dalloz, 2004, Thèmes & commentaires, 227 p.
Hervé Le Nabasque, Alain Couret, Valeurs mobilières, augmentations de capital, Éditions François Lefebvre, 2004, 444 p.
Hervé Le Nabasque, Francis Boussier, François Richen, La transmission de l'entreprise familiale, Dalloz, 1992, Réussir en affaires, 710 p.
Hervé Le Nabasque, Patrick Dunaud, Patricia Elsen, Les clauses de sortie dans les pactes d'actionnaires, Éditions Techniques, 1992, 18 p.
Hervé Le Nabasque, Le pouvoir dans l'entreprise: essai sur le droit d'entreprise, 1986, 591 p.
Hervé Le Nabasque, Jean Paillusseau, LE POUVOIR DANS L'ENTREPRISE. ESSAI SUR LE DROIT D'ENTREPRISE,, 1986
LE POUVOIR DE DIRECTION ET D'ORGANISATION DU CHEF DE L'ENTREPRISE, LOIN D'ETRE FONDE SUR LA PROPRIETE, LA THEORIE DE L'INSTITUTION OU LE CONTRAT DE TRAVAIL, EST UNE PREROGATIVE A PART ENTIERE CONCEDEE AU SUJET PAR LE DROIT OBJECTIF AFIN QU'IL SATISFASSE L'INTERET "PARTIELLEMENT DISTINCT DU SIEN". CONSTITUANT L'ATTRIBUT D'UN DROIT ORIGINAL-QUALIFIE D'ENTREPRISE-IL AIDE A PRECISER LE CONTENU DU RAPPORT QUI UNIT LE SUJET -L'ENTREPRENEUR- A L'ENTREPRISE ET LES LIMITES QUI LUI SONT ASSIGNEES. SINGULIEREMENT, IL PERMET D'APPROCHER LE CONTENU DES NOTIONS D'INTERET DE L'ENTRE- PRISE ET D'INTERET SOCIAL QUI AFFECTENT LE POUVOIR D'UNE FINALITE "ALTRUISTE" QUI LE DISTINGUE DE LA CATEGORIE DES PREROGATIVES SUBJECTIVES. CONCEDE AU SUJET PAR LA NORME OBJECTIVE, CE DROIT ORIGINAL, QUI EMPRUNTE AUX FONCTIONS SES CARACTERES ET SON REGIME, EST SUSCEPTIBLE DE REVISIONS : IL EST EN EFFET L'INSTRUMENT D'UNE "MISSION DE SERVICE ECONOMIQUE" QUI DEGAGE L'ENTREPRISE DE LA PERSONNE DE L'ENTREPRENEUR.
Hervé Le Nabasque, préface à Vincent Ramoneda, Actionnaires minoritaires et opérations sur capital dans les sociétés cotées, Mare & Martin, 2025, Bibliothèque des thèses. Droit privé et sciences criminelles, 931 p.
L’actionnaire minoritaire a toujours suscité à la fois bienveillance et défiance de la part du législateur et des juges. La question de sa protection, qui peut sembler naturelle en droit des sociétés, s’avère fondamentale à l’occasion des opérations sur capital. Celles-ci peuvent en effet altérer la consistance de l’investissement des minoritaires et bouleverser le rapport de forces entre actionnaires. L’étude des devoirs des dirigeants et des actionnaires de contrôle à l’égard des minoritaires, d’une part, et des droits de ces derniers, d’autre part, démontre que leur protection varie selon que la société est contrôlée ou non. Ce constat est prégnant dans le cas des sociétés cotées, dans lesquelles le dispositif de l’offre publique d’acquisition permet aux minoritaires de se retirer de la société à un prix équitable en cas de prise ou de changement de contrôle. Pour autant, cette protection variable de la minorité présente de nombreuses incohérences, de sorte que notre droit des sociétés gagnerait à consacrer une summa divisio assumée entre sociétés non-contrôlées et sociétés contrôlées. Cette réforme permettrait de repenser le régime de certains droits des minoritaires, parfois inadapté dans le cas de sociétés non-contrôlées. À l’inverse, ce régime pourrait être renforcé lorsque la société est contrôlée. En particulier, il serait opportun de reconnaître la notion de « minorité dissidente », à savoir la part des actionnaires qui s’est opposée à une opération spécifique, afin de lui offrir un droit de retrait réservé comme cela existe dans un certain nombre de pays étrangers.
Hervé Le Nabasque, préface à Matthieu Zolomian, Le contrôle de la gestion des sociétés cotées, L'Harmattan, 2020, Logiques juridiques, 800 p.
La 4e de couv. indique : "Les sociétés cotées se caractérisent par une grande atomisation de leur capital. De ce fait, une divergence d'intérêts peut apparaître entre les agissements des dirigeants de la société et les attentes de ses composantes. L'action des dirigeants, gestionnaires des biens de la société, peut alors être scrutée par ces différentes parties prenantes qui contrôlent, par ce biais, la gestion de la société. Un examen des activités sociales peut s'opérer avant même que des politiques ne soient conduites. Après les décisions préalables aboutissant à la nomination et à la rémunération des dirigeants sociaux, il apparaît qu'un contrôle préventif de la gestion s'applique à certaines opérations. Il est alors question de veiller à la préservation de l'intérêt social, mais aussi d'autres intérêts collectifs, tels ceux des créanciers, des salariés ou encore des marchés. Les pouvoirs des dirigeants sont alors en partie limités, notamment par le biais des autorisations. Cette modalité de vérification de l'action sociale, qui demeure limitée à certains cas, connaît un essor progressif en ce qu'elle permet de limiter l'apparition de coûteux conflits au sein des sociétés cotées. Elle ne supplante toutefois pas le contrôle de la gestion a posteriori. Après avoir pris connaissance de toutes les informations relatives à la conduite des affaires sociales et de leurs conséquences, qu'elles aient été émises par les organes sociaux ou des entités externes, l'assemblée générale peut tenter de mettre en lumière d'éventuels dysfonctionnements sociaux. Les vérifications menées par les actionnaires dépendent toutefois de leur identité et de leurs attentes, différents types d'actionnariat pouvant être distingués selon les attentes qu'ils placent dans la société cotée. Cette différence s'estompe lorsque le contrôle de la gestion sociale ainsi réalisé fait apparaître des atteintes aux intérêts poursuivis ou des graves dysfonctionnements au sein de la société. Il est alors temps de judiciariser la surveillance des activités sociales. Ce constat d'échec des procédures internes représente un droit de regard extérieur venant juger la société cotée, pouvant pâtir des agissements de ses dirigeants."
Hervé Le Nabasque, préface à Marine Michineau, La protection des droits des porteurs de valeurs mobilières donnant accès au capital, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2016, Institut de Droit des Affaires, 679 p.
Dominique Schmidt, préface à Edmond Schlumberger, Les contrats préparatoires à l'acquisition de droits sociaux, Dalloz, 2013, Hors collection Dalloz, 787 p.
La 4e de couverture indique : "Il arrive qu'un associé s'engage à racheter à terme les titres d'un minoritaire, que les statuts d'une société intègrent une clause d'agrément ou d'exclusion, ou encore qu'une société émette des titres offrant un accès futur à son capital social: toutes ces hypothèses, extrêmement fréquentes en pratique, ont pour point commun de reposer sur la technique civiliste du contrat préparatoire, plus précisément sur ses figures les plus connues que constituent la promesse unilatérale et le pacte de préférence. Si l'utilisation de ce type de conventions en matière de droits sociaux révèle la vitalité et la capacité d'adaptation de mécanismes relevant du droit commun, la détermination de leur régime soulève de nombreuses interrogations, qui tiennent au caractère atypique de leur objet. Contrairement à l'immeuble ou au fonds de commerce, les droits sociaux sont l'émanation d'un groupement qui unit ses membres autour d'un intérêt commun, de sorte que leur acquisition n'est jamais indifférente pour les autres associés. Aussi un simple renvoi aux solutions du droit commun des contrats ne peut-il suffire à dresser le régime applicable aux avant-contrats étudiés. La présente étude se propose, s'agissant de la formation comme de la vie toute entière de ces conventions, de mettre en évidence une perversion des règles de droit commun et l'intrusion d'un ordre juridique nouveau propre au droit des sociétés. A l'analyse, le droit commun voit ses règles simplement modulées en fonction du contexte sociétaire de la convention, tandis que la sollicitation des normes spéciales afférentes à la matière sociétaire exige pour sa part une mise en cause directe de l'intérêt commun des associés."
Hervé Le Nabasque, préface à Karine Grévain-Lemercier, Le devoir de loyauté en droit des sociétés, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2013, Collection de l'Institut de droit des affaires, 521 p.
Hervé Le Nabasque, préface à Claudie Lefeuvre, Le référé en droit des sociétés, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2006, 361 p.
Hervé Le Nabasque, préface à Bruno Dondero, Les groupements dépourvus de personnalité juridique en droit privé: contribution à la théorie de la personnalité morale, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2006, 699 p.
Pourtant, certains groupements se voient refuser la personnalité juridique : sociétés en participation et créées de fait, groupes de sociétés, indivisions, fonds communs de placement et de créances, copropriétés de navire (les " sociétés de quirataires "), groupements des créanciers du débiteur soumis à une procédure collective. Bien que ces groupements soient dépourvus de la qualité de sujet de droit, ils présentent les mêmes caractéristiques que les personnes morales. Ils sont dotés d'une organisation contraignante, potentiellement aussi complexe que celle des personnes morales, et qui peut comprendre le recours à la règle majoritaire et/ou à un agent commun. Cette organisation a pour effet de transformer les intérêts individuels des membres en un intérêt collectif, comparable à celui que défendent les personnes morales. Du fait de cette identité de structure, les groupements non personnifiés empruntent une grande partie des attributs des personnes morales. Ils peuvent ainsi recevoir des apports, même si l'absence de personnalité morale implique quelques différences dans la réalisation de l'apport. De même, les " créanciers du groupement " peuvent se voir reconnaître un droit de préférence sur ses actifs, tandis que les membres bénéficient parfois d'une limitation de leur responsabilité. Le groupement peut encore se voir doté d'un " état " comparable à celui des personnes morales (dénomination, siège social, nationalité). L'étude conjointe des différents groupements dépourvus de personnalité morale permet de mieux connaître une catégorie de groupements dont l'importance pratique est grande, bien qu'elle soit toujours vue comme résiduelle. S'intéresser aux groupements non personnifiés amène également à mieux connaître la notion de personnalité morale, puisque l'étude des effets de la non-personnification oblige à appréhender avec précision les conséquences de la personnification. Enfin, cette recherche permet de mettre en évidence un droit commun des groupements, composé de règles essentielles de fonctionnement, susceptibles d'être mises en ouvre dans l'ensemble des groupements de droit privé.
Philippe Portier, préface à Marie-Elisabeth Mathieu, Les services bancaires et financiers en ligne, Revue Banque édition, 2005, Droit, fiscalité, 374 p.
Henri Hovasse, préface à Rémy Gentilhomme, Démembrement de propriété et sociétés, EFE, Édition, formation, entreprise, 2003, Collection Référence première, 341 p.
Hervé Le Nabasque, « Les droits des associés », Revue des Sociétés , Dalloz , 2023, n°12, p. 767
Hervé Le Nabasque, « Solidarité résultant d'une action de concert et obligation de déposer un projet d'offre publique d'acquisition », Revue des Sociétés , Dalloz , 2015, n°03, p. 185
Hervé Le Nabasque, « Dispositions relatives à la valorisation des droits sociaux en cas de cession : réforme de l'article 1843-4 du code civil », Revue des Sociétés , Dalloz , 2014, n°11, p. 647
Hervé Le Nabasque, « Dérogation Hermès : l'excuse de légitime défense ? », Revue des Sociétés , Dalloz , 2013, n°09, p. 500
Hervé Le Nabasque, « Les fusions et les scissions transfrontalières », Revue des Sociétés , Dalloz , 2013, n°0708, p. 412
Hervé Le Nabasque, « Démembrement de propriété, renonciation (aux dividendes) et donation indirecte : la Cour de cassation rappelle les règles du jeu », Revue des Sociétés , Dalloz , 2013, n°04, p. 203
Hervé Le Nabasque, « Sévère rappel à l'ordre du jour de la Cour de cassation », Revue des Sociétés , Dalloz , 2013, n°03, p. 158
Hervé Le Nabasque, « L'ORA et la réduction de capital à zéro », Revue des Sociétés , Dalloz , 2013, n°02, p. 99
Hervé Le Nabasque, « Wendel/Saint-Gobain : confirmation par la cour d'appel de Paris de la décision de sanction de l'AMF du 13 décembre 2010 », Revue des Sociétés , Dalloz , 2012, n°10, p. 586
Hervé Le Nabasque, « L'existence d'une action de concert peut être établie par un faisceau d'indices graves, précis et concordants », Revue des Sociétés , Dalloz , 2012, n°09, p. 509
Hervé Le Nabasque, « Les programmes de rachat d'actions des sociétés non cotées », Revue des Sociétés , Dalloz , 2012, n°05, p. 271
Hervé Le Nabasque, « L'affaire Hermès, ou l'émergence de la notion de concert de fait », Revue des Sociétés , Dalloz , 2011, n°12, p. 692
Hervé Le Nabasque, « Loi Copé-Zimmerman n° 2011-103 du 27 janvier 2011 relative à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d'administration et de surveillance (de certaines sociétés) et à l'égalité professionnelle », Revue des Sociétés , Dalloz , 2011, n°0708, p. 454
Hervé Le Nabasque, « Total return swap : l'obsession du numérateur », Revue des Sociétés , Dalloz , 2011, n°04, p. 212
Hervé Le Nabasque, « Retour (d'humeur) sur l'article 1843-4 du code civil », Revue des Sociétés , Dalloz , 2011, n°03, p. 149
Hervé Le Nabasque, « Commentaire des principales dispositions de la loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 intéressant le droit des sociétés et le droit financier », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°10, p. 547
Hervé Le Nabasque, « Pour les besoins de l'application d'une clause de préemption, l'apport ne serait pas une cession », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°0506, p. 291
Hervé Le Nabasque, « Responsabilité des dirigeants », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°04, p. 230
Hervé Le Nabasque, « Assouplissement du régime applicable au rachat par l'émetteur de titres de créances ne donnant pas accès à son capital », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°04, p. 269
Hervé Le Nabasque, « Projet de loi de régulation bancaire et financière », Revue des Sociétés , Dalloz , 2010, n°01, p. 66
Hervé Le Nabasque, « Franchissement de seuils à la suite d'une fusion », Revue des Sociétés , Dalloz , 2009, n°04, p. 834
Hervé Le Nabasque, « Les fusions transfrontalières après la loi n° 2008-649 du 3 juillet 2008 », Revue des Sociétés , Dalloz , 2008, n°03, p. 493
Hervé Le Nabasque, « Les mesures de défense anti-OPA depuis la loi n° 2006-387 du 31 mars 2006 », Revue des Sociétés , Dalloz , 2006, n°02, p. 237
Hervé Le Nabasque, « Le régime juridique de la répartition des titres entre les actionnaires dans la figure de la scission partielle », Revue des Sociétés , Dalloz , 2006, n°04, p. 779
Hervé Le Nabasque, « Clause de prix insérée dans les promesses d'achats de droits sociaux : l'interrogation continue. La clause doit-elle exonérer temporairement le bénéficiaire de toute contribution aux pertes ou faut-il distinguer entre contrat d'investissement et contrat de société ? », Revue des Sociétés , Dalloz , 2005, n°03, p. 593
Hervé Le Nabasque, « L'incidence des normes européennes sur le droit français applicable aux fusions et au transfert de siège social », Revue des Sociétés , Dalloz , 2005, n°01, p. 81
Hervé Le Nabasque, « Répartition statutaire des bénéfices et renonciation aux dividendes », Revue des Sociétés , Dalloz , 2005, n°01, p. 169
Hervé Le Nabasque, « Réforme du régime des valeurs mobilières émises par les sociétés par actions : les augmentations de capital réalisées avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires », Revue des Sociétés , Dalloz , 2004, n°03, p. 491
Hervé Le Nabasque, « La représentation de la SAS : le monopole du président », Revue des Sociétés , Dalloz , 2003, n°04, p. 727
Hervé Le Nabasque, « La SAS et la loi sur les nouvelles régulations économiques », Revue des Sociétés , Dalloz , 2001, n°03, p. 589
Hervé Le Nabasque, « Les dividendes participent de la nature des fruits », Revue des Sociétés , Dalloz , 2000, n°02, p. 286
Hervé Le Nabasque, « Le rapporteur de la COB chargé de l'instruction ne peut participer au délibéré », Revue des Sociétés , Dalloz , 1999, n°03, p. 620
Hervé Le Nabasque, « Rôle et place des mécanismes fondamentaux du droit civil en droit des affaires », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, Dalloz , 1999, n°02, p. 273
Hervé Le Nabasque, « L'associé d'une société en nom collectif qui cède ses parts sans accomplir les formalités nécessaires peut être déclaré personnellement en redressement judiciaire », Recueil Dalloz, Dalloz , 1999, n°03, p. 21
Hervé Le Nabasque, « La partie cédée doit consentir à la cession conventionnelle du contrat », Recueil Dalloz, Dalloz , 1998, n°14, p. 136
Hervé Le Nabasque, « La règle de la personnalité des poursuites et des peines ne permet pas, sauf fraude, d'appliquer des sanctions aux sociétés qui sont issues d'une scission lorsque les manquements constatés sont ceux de la société scindée », Revue des Sociétés , Dalloz , 1998, n°04, p. 827
Hervé Le Nabasque, « Plan de cession d'entreprise et clause d'agrément », Revue des Sociétés , Dalloz , 1995, n°02, p. 320
Hervé Le Nabasque, « Conditions du prononcé d'une interdiction de gérer et réflexions sur le diminutif de la faillite personnelle », Revue des Sociétés , Dalloz , 1994, n°04, p. 867
Hervé Le Nabasque, « La faute de gestion consistant pour un dirigeant à poursuivre une exploitation déficitaire n'est pas subordonnée à la constatation d'un état de cessation des paiements », Revue des Sociétés , Dalloz , 1994, n°04, p. 871
Hervé Le Nabasque, « Chronique de jurisprudence des procédures collectives », Centre de Recherche Juridique de l'Ouest, Rennes : Centre de Recherche Juridique de l'Ouest et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1988, pp. 538-553
Le Nabasque Hervé. Chronique de jurisprudence des procédures collectives. In: Revue juridique de l'Ouest, 1988-3. pp. 538-553.