Présentation
L'année 2018 a été marquée par la dénonciation, parfois virulente, de pratiques qualifiées de “violences gynécologiques et obstétricales”. Ce dénominatif recouvre une grande variété d'actes et de comportements. Un projet de recherche propose de recenser et de catégoriser ces situations dans le champ du droit. L'objectif est de clarifier le cadre normatif existant, de permettre de fonder les recours éventuels de patientes et de sécuriser les pratiques professionnelles.
Programme
12h30 : Intervention de Anne Simon, Maître de conférences en droit pénal à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle est membre du département de droit pénal de l'Institut de recherche juridique de la Sorbonne. Ses travaux portent sur les atteintes à l'intégrité des personnes vulnérables
et
Elsa Supiot, Maître de conférences en droit privé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle co-dirige le Centre de recherche normes, sciences et techniques de l'Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne (ISJPS) qui a pour axe général d'étude les rapports entre sciences, techniques et normes juridiques
13h30 : Fin
Contact : christophe.quezel-ambrunaz@univ-smb.fr
Inscription gratuite, mais obligatoire : https://framaforms.org/inscription-les-violences-gynecologiques-et-obstetricales-saisies-par-le-droit-dejeuners-du-droit-du
Déjeuners du droit du dommage corporel organisé dans le cadre du projet IUF « Standardisation de la Réparation du Dommage Corporel », Université Savoie-Mont Blanc