Programme

19 Octobre

8h30 : Accueil café

9h00 : Ouverture du colloque
Hélène Cazaux-Charles, Directrice de l'INHESJ

9h15 : Introduction
Romain Sèze, Chercheur à l'INHESJ, rattaché au Groupe sociétés, religions et laïcités – EPHE/CNRS

Session 1

Tour d'horizon des politiques européennes de prévention de la radicalisation

9h30 : Le rôle de la police dans la prévention de la radicalisation en Grèce
Vassileios Theofilopoulos, Criminal Intelligence Officer. Public Safety and Terrorism Sub-Directorate

10h10 : La lutte contre les radicalités politiques en Suède
Anna Hedin Ekström, Senior Advisor to Swedish Government : The National Co-ordinator to Safeguard Democracy Against Violent extremism – Sweden

10h50 : Pause café

11h10 : Un responsable britannique ou allemand de plan de lutte contre les groupes radicaux violents
en attente de désignation et de confirmation

11h50 : Un responsable espagnol de plan de lutte contre les groupes radicaux violents
en attente de désignation et de confirmation

12h30 : Déjeuner

14h00 : Prévention de la radicalisation et désengagement en France : évolutions, enjeux et perspectives
Muriel Domenach, Secrétaire générale du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation

14h40 : L'administration pénitentiaire face aux radicalités violentes
Nadia Beddiar, Enseignante à l'Ecole nationale de protection judiciaire de la jeunesse, chercheure associée au Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales – Université de Lille 2
Dominique Bruneau, Directeur des services pénitentiaires

15h20 : Pause café

15h50 : Cadrer la droite radicale comme un problème public ? Conséquences sur le policy-making à l'aune des exemples allemand et français
Bénédicte Laumond, Post-doctorante, Centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales – Université de Versailles et Europa-Universität Viadrina

16h30 : L'action publique et les droites extrêmes et/ou radicales en Europe occidentale
Jean-Yves Camus, Chercheur à l'Institut de relations internationales stratégiques, Directeur de l'Observatoire des radicalités politiques – Fondation Jean Jaurès

17h10 : Fin de la journée

20 octobre

Session 2

Quelles reconnaissances pour les expressions politiques et religieuses radicales dans l'espace européen ? Radicalités et réponses publiques : quelles interactions ?

9h00 : Accueil café

9h30 : Dissoudre les mouvements extrémistes déradicalise-t-il la société française ? Sur l'application de la loi du 10 janvier 1936 durant la VeRépublique
Nicolas Lebourg, Chercheur associé au Centre d'études politiques de l'Europe latine – Université de Montpellier

10h10 : Engagement et rébellion. La radicalité chez les mineurs suivis par la justice
Laurent Bonelli, Maître de conférences à l'Université Paris 10
Fabien Carrié, Chargé de recherche à l'Institut des Sciences sociales du Politique

10h50 : Pause café

11h10 : La radicalité politique en audience : justification et jugement de l'engagement radical lors des procès judiciaires
Antoine Mégie, Maître de conférences, Université de Rouen

11h50 : Répression et radicalisation en contexte manifestant. Les liaisons dangereuses
Olivier Fillieule, Professeur de sociologie politique Université de lausanne et directeur de recherche CNRS, Paris 1 Sorbonne CESSP
Pascal Viot, Chercheur associé au laboratoire de Sociologie urbaine de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne

12h30 : Déjeuner

14h00 : Réflexions sur l'émergence d'interactions violentes lors de manifestations
Matthijs Gardenier, Docteur en sociologie, Attaché temporaire d'enseignement et de recherche – Université de Montpellier 3

14h40 : Une répression négociée. Le processus de démobilisation des derniers militants OAS : 1962-1965
Victor Delaporte, Etudiant à l'Ecole normale supérieure – Cachan

15h20 : Pause café

15h50 : En attente de confirmation

16h30 : Fin du colloque

Inscription : http://www.inhesj.fr Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Une pièce d'identité est nécessaire pour accéder à l'Ecole militaire