Alice Mazeaud

Maître de conférences
Science politique.
Faculté de Droit, de Science Politique et de Management

Centre d'Études Juridiques de la Rochelle

Responsabilités administratives et scientifiques :

  • THESE

    La fabrique de l'alternance : la « démocratie participative » dans la recomposition du territoire régional, Poitou-Charentes 2004-2010, soutenue en 2010 à La Rochelle sous la direction de Brigitte Gaïti, membres du jury : Loïc Blondiaux (Rapp.), Rémi Lefebvre (Rapp.), Pierre Sadran et Pierre Mazet   

  • Alice Mazeaud (dir.), Pratiques de la représentation politique: [colloque, 4 et 5 avril 2013, à Bordeaux, Presses universitaires de Rennes et OpenEdition, 2019, 307 p.  

    "Succès du Front National, recul des partis de gouvernement, niveau élevé de l'abstention, la « crise de la représentation » fut de nouveau un point de passage obligé de l'exégèse électorale des élections municipales et européennes de 2014. Cet ouvrage entend rompre avec les jugements de valeurs qui alimentent cette thématique récurrente du débat public pour éclairer les pratiques de la représentation politique. Le parti pris est ici de réinsérer la représentation politique issue du suffrage universel dans l'espace de la compétition permanente pour la représentation des intérêts sociaux. L'élection est ainsi envisagée comme une modalité et une temporalité, spécifique mais non exclusive, de désignation des représentants et de légitimation des groupes qu'ils prétendent représenter. Ainsi, cet ouvrage construit sur la base de trois parties thématiques – la représentativité de l'élu : discours et pratiques ; l'organisation du travail de la représentation politique ; la mise en forme des intérêts et des groupes sociaux – offre une analyse globale et actualisée de la représentation politique telle qu'elle se pratique face aux demandes sociales et aux logiques de la concurrence politique. Si les travaux sont centrés sur le cas français, l'attention accordée aux échelles multiples (locale, nationale, européenne) de la représentation politique, les contrepoints apportés par des cas étrangers et la variété des terrains et des méthodes d'enquête (travaux quantitatifs, suivi embarqué d'élus...) permettent un éclairage plus large des « rouages de la représentation politique »."[source : site de l'éditeur]

    Alice Mazeaud, Guillaume Gourgues (dir.), L’action publique saisie par ses « publics »: Gouvernement et (dés)ordre politique, Presses universitaires du Septentrion et OpenEdition, 2019  

    Les politiques publiques ciblent, produisent, catégorisent des « publics ». C'est là une évidence. Pourtant ces opérations sont rarement au cœur de l’analyse de l’action publique. À partir de textes originaux sur des sujets variés (immigration, vaccination, participation, open-data, régulation bancaire...), cet ouvrage collectif démontre le potentiel heuristique d’une approche de l’action publique « par les publics ». Comment les politiques publiques ciblent-elles leurs « bénéficiaires » ? Jusqu’où l’opinion publique, les identités peuvent-elles être considérées comme des produits de l’action publique ? Dans quelle mesure l’action publique participe-t-elle à la mise en forme de l’ordre social via la catégorisation des individus et des groupes ? Comment les gouvernants se représentent-ils les publics et leurs comportements ? Autant de questions qui soulignent l'intérêt d'une telle approche, visant à étudier la contribution de l’action publique à la production et à l’entretien de l’ordre politique

    Alice Mazeaud, Magali Nonjon, Le marché de la démocratie participative, Éditions du Croquant, 2018, Sociopo, 365 p.  

    La 4e de couv. indique : "Aujourd'hui la démocratie participative ne s'affiche plus seulement dans les discours, elle s'incarne dans des règles juridiques, des dispositifs participatifs, des services administratifs, des échanges marchands, etc. Les militants d'hier sont pour l'essentiel concurrencés par des professionnels (agents publics, consultants, salariés de grandes entreprises d'aménagement) qui vivent de l'offre de participation et ont, à ce titre, intérêt à l'entretenir. La demande de participation tend ainsi désormais à devenir la finalité et l'alibi de ce que les auteures qualifient de marché de la démocratie participative. En s'intéressant à la construction savante de l'impératif participatif, aux luttes d'expertises professionnelles qui l'ont accompagnée tout comme à la sociologie et aux pratiques concrètes de ces acteurs auxquels les autorités publiques ont confié la charge d'animer, d'organiser ou encore d'évaluer des dispositifs participatifs, cet ouvrage rappelle combien la qualité démocratique ne peut à elle seule expliquer le développement des politiques participatives en France. Les dynamiques de professionnalisation y ont joué un rôle majeur. C'est ce que montre cet ouvrage qui éclaire également les logiques sociales et politiques de la sophistication croissante des technologies de gouvernement et plus largement l'ambivalence politique du tournant participatif contemporain. Remise en cause sur le plan symbolique par la promotion du citoyen-expert et des formes participatives de légitimation politique, la division du travail politique entre le professionnel et le profane semble en pratique plus solide que jamais"

    Alice Mazeaud, Guillaume Gourgues (dir.), L'action publique saisie par ses "publics": gouvernement et (dés)ordre politique, Presses universitaires du Septentrion, 2018, Espaces politiques, 214 p.  

    La 4e de couv. indique : "Les politiques publiques ciblent, produisent, catégorisent des « publics ». C'est là une évidence. Pourtant ces opérations sont rarement au cœur de l’analyse de l’action publique. À partir de textes originaux sur des sujets variés (immigration, vaccination, participation, open-data, régulation bancaire...), cet ouvrage collectif démontre le potentiel heuristique d’une approche de l’action publique « par les publics ». Comment les politiques publiques ciblent-elles leurs « bénéficiaires » ? Jusqu’où l’opinion publique, les identités peuvent-elles être considérées comme des produits de l’action publique ? Dans quelle mesure l’action publique participe-t-elle à la mise en forme de l’ordre social via la catégorisation des individus et des groupes ? Comment les gouvernants se représentent-ils les publics et leurs comportements ? Autant de questions qui soulignent l’intérêt d’une telle approche, visant à étudier la contribution de l’action publique à la production et à l’entretien de l’ordre politique."

    Alice Mazeaud, Céline Laronde-Clérac, Agnès Michelot (dir.), Les risques naturels en zones côtières: Xynthia : enjeux politiques, questionnements juridiques, Presses universitaires de Rennes, 2015, L'univers des normes, 210 p.   

  • Alice Mazeaud, François Bénitez, Anaïs Ridel, Arno Bringer, Christine Plumejeaud [et alii], « Governance and public policies of coastal water quality in the « Pertuis Charentais » », ISTE publishing, 2020   

  • Alice Mazeaud, Guillaume Gourgues, Magali Nonjon, « Du tournant participatif des administrations à la bureaucratisation de la démocratie participative : étude à partir du cas français », Revue internationale des sciences administratives, 2022, n°4, pp. 921-936   

    Alice Mazeaud, Guillaume Gourgues, Magali Nonjon, « From the participatory turn of administrations to the bureaucratisation of participatory democracy: study based on the French case », International Review of Administrative Sciences, 2021, p. 002085232110031 

    Alice Mazeaud, Guillaume Gourgues, Héloïse Nez, Jessica Sainty, Julien Talpin, « Les Français veulent-ils plus de démocratie ? Analyse qualitative du rapport des citoyens à la politique », 2021  

    Depuis quelques années en France, les aspirations des citoyens à une refonte des institutions démocratiques sont âprement débattues tout en demeurant ambivalentes. D’un côté, la revendication du référendum d’initiative citoyenne (RIC) portée par une large partie du mouvement des Gilets jaunes ou la récente tenue de la Convention citoyenne sur le climat laissent penser que ces aspirations gagnent la population française. D’un autre côté, les chiffres toujours plus élevés de l’abstention électo...

    Alice Mazeaud, « Le recours à la justice administrative dans la prévention de la submersion marine en Charente-Maritime : un retour de l’État ? », 2019  

    Introduction En février 2010, la tempête Xynthia a lourdement frappé le littoral atlantique avec pour conséquence des submersions marines ayant provoqué la mort de 59 personnes et d’importants dégâts matériels (estimés à plus de 2,5 milliards d’euros). Cette catastrophe naturelle, l’une des plus importantes des dernières décennies en métropole, a fortement marqué les esprits et attiré l’attention sur l’ampleur des risques littoraux dans le contexte du changement climatique. Suite à cette cata...

    Alice Mazeaud, « Rénover la démocratie au lycée par le budget participatif », 2016, pp. 121-124    

    À l’heure où la démocratie lycéenne cherche son souffle, l’expérience du «budget participatif des lycées» ouvre des perspectives qui méritent d’être explorées.

    Alice Mazeaud, Marie Hélène Sa Vilas Boas, Karim Berthome, « Penser les effets de la participation sur l'action publique à partir de ses impensés. », Participations - Revue de sciences sociales sur la démocratie et la citoyenneté, 2012, n°1, pp. 5-29 

    Alice Mazeaud, « La modernisation participative vue d’en bas : entre militantisme et malaise identitaire », 2009  

    Dans un contexte de double crise de la représentation et du service public, la découverte d’une « affinité élective » entre modernisation et participation suscite l'enthousiasme des partisans de la démocratie participative (Sintomer et al., 2008). Par cette expression, les spécialistes soulignent que les dispositifs participatifs, et notamment les budgets participatifs qui institutionnalisent l’inclusion des citoyens ordinaires dans les processus décisionnels, sont souhaitables d’un point de ...

  • Alice Mazeaud, « Les transitions agricoles : quelle place pour le droit ? », le 30 novembre 2023  

    Colloque annuel national 2023 de la SFDE organisé par l’Université de Picardie Jules Verne et le CURAPP-ESS sous la direction de Florence Jamay, MCF en droit public, Doyenne de l’UFR de droit et de science politique et Marine Fleury, MCF en droit public

    Alice Mazeaud, « Décentralisation et territoire(s) », le 30 mars 2023  

    Organisé par l'IRJI Rabelais, Université de Tours

    Alice Mazeaud, « Localiser l’épreuve démocratique », le 14 novembre 2019  

    Colloque international du GIS Démocratie et Participation

    Alice Mazeaud, « Humanisme et société », le 12 septembre 2019  

    Colloque international de jeunes chercheurs, organisé par le CEIR, Université de La Rochelle

    Alice Mazeaud, « La démocratie environnementale », le 29 avril 2019  

    Organisé par le CEJEP, Faculté de droit, de science politique et de gestion, Université de La Rochelle.

    Alice Mazeaud, « Les élu·e·s aiment-ils la démocratie ? », le 15 novembre 2018 

    Alice Mazeaud, « Cinquièmes journées doctorales sur la participation du public et la démocratie participative », le 12 janvier 2018  

    Organisé par le GIS Participation du public, décision, démocratie participative. Ces journées vont permettre à l'ensemble des doctorants de se rencontrer, d'exposer leurs travaux, de confronter leurs hypothèses, leurs méthodes et leurs résultats

    Alice Mazeaud, « Ce dont la gouvernance est le nom », le 11 février 2016  

    Quels changements dans le gouvernement des sociétés ? Instruments, rhétoriques et techniques du pouvoir aujourd’hui. Colloque organisé par le CHERPA (EA4261, Sciences Po Aix) avec la participation du CERIC (UMR 7318 DICE, CNRS - AMU) et du GIS « Démocrati

  • Alice Mazeaud, Colloque international "Décentralisation et territoires(s)" - 31 Mars après midi 

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • Marin Minard, Les inégalités environnementales au crible du champ associatif , thèse en cours depuis 2024 en co-direction avec Grégory Salle  

    Indicateurs et classements démontrent que la région Hauts-de-France est fortement touchée par les inégalités environnementales et plus largement le dérèglement climatique, tant sur le plan intrarégional qu'interrégional. Bien que thématisée précocement dans notre région, la question des inégalités environnementales peine à s'imposer en tant que telle comme un enjeu saillant, y compris au sein de la société civile organisée. Pour mieux le comprendre, cette thèse portera sur le rôle du monde associatif dans la formulation, le cadrage et la lutte contre les inégalités environnementales, dans le contexte de la transition écologique. Elle consiste en une recherche qualitative et quantitative (entretiens individuels et collectifs, observations directes et participantes, enquête par questionnaire), adossée à une comparaison interrégionale entre la MEL (Hauts-de-France) et Bordeaux Métropole (Nouvelle-Aquitaine). L'investigation porte sur cinq facettes du secteur associatif : centres sociaux et socioculturels, associations d'éducation populaire, collectifs d'habitants ou de riverains, associations engagées dans la « fresque du climat » et assimilées, associations impliquées dans l'économie circulaire. Réinterroger l'influence des corps intermédiaires qui structurent la société civile dans la « démocratie environnementale » permettra d'éclairer un pan crucial de l'éducation environnementale et de mieux saisir les clivages et contradictions qui entravent la conversion écologique.

    Paul Davanne, Initiatives citoyennes et offres publiques de participation dans la production de la ville (littorale) durable., thèse en cours depuis 2023 en co-direction avec Nicolas Becu  

    A partir d'une analyse localisée sur le territoire rochelais, la thèse visera à cartographier et à analyser dans une perspective comparative les différentes formes de participation citoyenne (mobilisations conflictuelles, offres publiques de participation, expérimentations citoyennes) qui contribuent à la production urbaine afin de comprendre si et en quoi elles font système et favorisent, ou pas, une transition vers un ordre urbain plus durable.

    Anna Guillem, Construction et déconstruction du désir de rivage dans un contexte des changements globaux, thèse en cours depuis 2023 en co-direction avec Didier Vye  

    En France, le « désir de rivage » (Corbin, 1988) s'est progressivement construit autour de la mise en tourisme des littoraux (Duhamel et Violier 2009), des lifestyle migrations (Benson et O'Reilly 2009) et des politiques d'aménagement du territoire (Mazé et Vye 2020). Cela a conduit à une forte attractivité touristique et résidentielle des zones côtières. Parallèlement, l'exposition croissante des côtes aux risques dans le contexte du dérèglement climatique n'a, pour le moment, que des effets limités sur les marchés fonciers et immobiliers (Cazaux 2022). Cependant, le principe de « relocalisation des activités et des biens » (Cousin 2011), discuté à défaut d'être réellement concrétisé, est devenu une modalité possible de l'action publique nationale et locale dans le cadre de politiques d'adaptation au changement climatique. Dans le champ du tourisme, des stratégies de démarketing territorial émergent ces dernières années afin de réguler la fréquentation d'espaces écologiquement sensibles (ex : île d'Aix, Calanques). Ces évolutions récentes visent de manière plus ou moins explicite à déconstruire le désir de rivage. De plus, la saturation des marchés de l'immobilier en bord de mer engendre des stratégies de repli résidentiel vers l'intérieur des terres (Grandclement 2020) que la crise sanitaire a peut-être amplifié au nom du « désir d'espace » et de la recherche des « lieux à l'endroit » (Latour 2021). Ces inflexions plus ou moins prononcées questionnent le fait d'habiter à proximité de la mer et plus largement le processus de littoralisation des sociétés.

  • Fanny Rodier, Fabriquer la transition écologique et solidaire entre Etat et projets de territoire : étude de trois Contrats de Transition Ecologique (CTE) en territoire de montagne, thèse soutenue en 2023 à Université Grenoble Alpes sous la direction de Céline Granjou et Gwenola Le Naour, membres du jury : Gilles Pinson (Rapp.), François-Mathieu Poupeau (Rapp.), Simon Persico  

    La transition écologique constitue un mot d'ordre aujourd'hui largement relayé par les politiques, visant à réarticuler des objectifs de durabilité dans un contexte social et écologique qui s'est profondément modifié depuis l'émergence de l'idée de développement durable dans les années 1980. Les injonctions à la sortie de modèles de production et de consommation fondés sur les hydrocarbures, le développement des mouvements de décentralisation et de territorialisation ainsi que la multiplication d’initiatives citoyennes marquent le contexte de mise à l’agenda de la « transition » dans l’action publique environnementale.Le Contrat de Transition Écologique (CTE) constitue un nouvel instrument d'action publique mis en place à l’échelle des intercommunalités dans l’optique d’accompagner les territoires dans tous les aspects d’une transition écologique voulue, génératrice d’activités économiques et d’opportunités sociales. Il ne s’accompagne pas d’une enveloppe financière dédiée, mais se veut facilitateur des projets portés par les acteurs des territoires.La thèse s’intéresse à la manière dont le dispositif des CTE peut contribuer à construire et concrétiser certaines conceptions de la notion de transition écologique dans l’action publique, et notamment autour des rôles respectifs de l’État et des territoires dans la fabrique de la transition. Nous faisons l’hypothèse que s’opposent au moins deux types de conception de la transition, qui engagent deux visions différentes des relations État/territoire. Tandis que le mouvement des Transition Towns promeut la relocalisation et la création d’une communauté d’appartenance territoriale, l’institutionnalisation de la transition, telle qu’analysée par Semal (2017), témoigne plutôt d’une relation où l’État reste maître de la définition et de la mise en œuvre de la transition. Sans tenter de nous insérer dans l’une ou l’autre de ces conceptions, nous cherchons plutôt à identifier précisément celles à l’œuvre dans les CTE. Nous interrogeons alors : Quelles conceptions de la transition sont construites dans le dispositif des CTE ? Et dans quelle mesure contribuent-elles à renouveler l’action publique, notamment en ce qui concerne les rôles de l’État et des territoires ?Nous nous intéressons à travers cette question de recherche au passage du vocabulaire de développement durable à celui de transition écologique, notamment à travers une analyse de l’évolution du nom associé au ministère de l’environnement ainsi qu’en identifiant les récits de la transition dans la genèse du CTE à l’échelle nationale. Nous montrons que dans les conceptions de la transition, les territoires et leurs relations avec l’État y sont centrales. Ensuite, nous étudions plus précisément trois territoires, leurs caractéristiques, leur récit de la transition et le rôle des acteurs majeurs dans leur CTE : Grenoble Métropole associée au Trièves, le Briançonnais, Écrins, Guillestrois et Queyras et le Royans Vercors. Enfin, nous identifions et décrivons un nouveau type de gouvernement (hybride du gouvernement à distance, à crédit et de la gouvernance territoriale) que nous appelons gouvernement par délégation, dans lequel l’État tente de piloter à distance la transition mais sans moyens et sans définition claire, il tend surtout à déléguer aux territoires qui peuvent alors se réapproprier le dispositif sous réserve d’ingénierie et de portage politique.Pour y répondre, la thèse déploie une enquête incluant une soixantaine d’entretiens semi-directifs avec des représentant·es du ministère de la Transition écologique, des élu·es, des technicien·nes et des parties prenantes nationales et locales (de trois territoires de montagne) ; un travail de revue de presse et des observations de réunions et d’interactions, que nous analysons via une approche par les « récits ».