Jean-Louis Harouel, Les Mensonges de l'égalité: Ce mal qui ronge la France et l'Occident, L'Artilleur, 2023, 248 p.
Jean-Louis Harouel, L'islam est-il notre avenir ?, la Nouvelle librairie éditions et Impr. Présence graphique, 2021, Dans l'arène, 269 p.
Jean-Louis Harouel, Alfred Dufour, Florent Garnier (dir.), Pensée politique et propriété: actes du Colloque international de l'AFHIP, 17 et 18 mai 2018, Faculté de droit et de science politique de Toulouse 1 Capitole, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2019, Histoire des idées politiques, 483 p.
La 4e de couverture indique: "Dès la pensée grecque, la propriété devient un thème de réflexion jusqu'à devenir la clé d'un projet utopique avec Platon. À l'époque moderne, la propriété demeure un objet de la pensée politique et juridique (les deux n'étant jamais disjoints sur ce sujet) du courant du droit naturel moderne qui débute avec l'École de Salamanque. Les penseurs qui n'appartiennent pas à ce courant, de Hobbes à Rousseau, s'appuient sur un contrat social qui garantit à chaque individu des droits sur les choses, traitent également de façon fondamentale la question de la propriété. Les Lumières, à la suite de Locke, conjuguent propriété et liberté et les physiocrates érigent le citoyen propriétaire en seul titulaire des droits politiques. Quant aux rédacteurs du Code civil, influencés par la philosophie sensualiste, ils font de la propriété « l'âme universelle de la législation ». Depuis la Révolution française et la DDHC, repris par les textes internationaux et la constitution de 1958, la propriété est l'un des « piliers » du droit. Mais sans doute parce que ce concept clé qui a maturé, au long des siècles, désigne une situation fondée en droit, elle n'a pas manqué de susciter la question de sa légitimité. Siècle d'or de la propriété, le XIXe siècle connaît des théories visant soit à son abolition radicale (cf. Proudhon) soit à sa collectivisation chez les penseurs socialistes ou communistes (cf. Cabet, Fourier, Marx et Engels). Quant aux juristes, ils ont toujours cherché à distinguer les choses qui étaient objet de propriété communautaire, gérées par l'État, et les choses susceptibles d'appropriation privée dont l'individu ne peut être privé (hormis par l'expropriation). Somme toute, la propriété, par ses conséquences politiques (et économiques), par son importance sociale, ne peut jamais être ignorée par le pouvoir. Dès lors, il semble opportun de l'envisager dans une perspective d'histoire des idées politiques."
Jean-Louis Harouel, Libres réflexions sur la peine de mort, Desclée de Brouwer, 2019, 208 p.
Jean-Louis Harouel, Jacques Annequin, Jean-Philippe Feldman, Le «Tarif» à l'heure des négociations transatlantiques, Presses universitaires de France, 2018, 243 p.
Jean-Louis Harouel, Droite-gauche: ce n'est pas fini, Desclée de Brouwer, 2018
Jean-Louis Harouel, Droite-gauche: ce n'est pas fini, Desclée de Brouwer, 2017, 280 p.
La 4e de couverture indique : « Existe-t-il une différence de nature entre la droite et la gauche ? Les clivages politiques historiques ont-il encore une raison d'être ? [...] Derrière des conflits d'idées que l'on pense de nature purement séculière et remontant tout au plus à deux siècles, se cachent des conflits religieux millénaires dont le souvenir est perdu pour la plupart des protagonistes. Développant cette thèse originale, l'auteur défend l'idée que la gauche est l'héritière des grandes hérésies chrétiennes comme la gnose et le millénarisme tandis que la droite reste l'héritière sécularisée du christianisme légitime. Un essai vigoureux et argumenté à la jonction de la philosophie politique, de la sociologie, du droit et de l'histoire. »
Jean-Louis Harouel, Ettore A. Albertoni, Alfred Dufour (dir.), Pensée politique et religion: actes du [XXVe] colloque international de l'AFHIP, 15 et 16 septembre 2016 - université d'Aix-Marseille, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2017, Collection d'histoire des idées politiques, 552 p.
Jean-Louis Harouel, David Deroussin, Denis Reynaud, Le jeu, puf, 2017, 262 p.
Jean-Louis Harouel, Les droits de l'homme contre le peuple, Desclée de Brouwer, 2016, 143 p.
La 4e de couverture indique : «Lorsque les pays occidentaux font des droits de l'homme le centre de la politique, ils s'enferment dans une impuissance collective. Cet ouvrage n'est pas un livre contre les droits de l'homme bien évidemment, mais contre cette idéologie, cette nouvelle religion séculière centrée sur l'obsession de la non-discrimination, qui paralyse la politique de certains pays occidentaux et particulièrement de la France dans une période où l'équilibre sociétal du pays est menacé et où la conquête silencieuse de l'islam s'opère sous la protection des droits de l'homme. C'est avec une logique implacable que l'ouvrage démonte les ressorts de ce mécanisme pervers. Nous ne sommes plus dans le cas de figure des droits d'un peuple face à son Etat, nous dit-il avec force, mais du droit d'un peuple d'être défendu par son Etat.»
Jean-Louis Harouel, Jean Bart, Alfred Dufour (dir.), Pensée politique et famille: actes du colloque international de Dijon, 21-22 mai 2015, Université de Bourgogne, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2016, Collection d'histoire des idées politiques, 495 p.
Jean-Louis Harouel, La grande falsification: l'art contemporain, J.-C. Godefroy, 2015, 176 p.
La 4e de couverture indique : "Le néant artistique abusivement appelé art contemporain est la lointaine suite de la crise de la peinture déclenchée par le progrès technique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Sous l'effet de cette crise, la religion de l'art inventée par le romantisme s'est trouvée privée de sens. La délirante sacralisation de l'artiste par la philosophie allemande, qui lui conférait le statut de voyant, de messie, de philosophe, a basculé au XXe siècle dans l'absurde, le dérisoire, voire l'abject. Tel est le prétendu art contemporain: une religion séculière de la falsification de l'art, où l'adoration de l'art a fait place à celle du soi-disant artiste, et où l'œuvre d'art se trouve remplacée par n'importe quoi pourvu qu'il ne s'agisse pas d'art. Aussi bien tout cela est-il aujourd'hui très vieux. Dès les débuts du XXe siècle, les figures les plus radicales des avant-gardes avaient été au bout de la logique du remplacement de l'art par n'importe quoi. Tout ce qui s'est fait depuis dans ce sens n'est qu'une fastidieuse rabâcherie. Né de la volonté politique de la classe dirigeante américaine au temps de la guerre froide, le succès mondial du prétendu art contemporain est à beaucoup d'égards un accident de l'histoire. Il n'en reste pas moins que l'aberrant triomphe de cet ersatz d'art renvoie les sociétés occidentales actuelles à leur profonde déculturation."
Jean-Louis Harouel, Revenir à la nation, Jean-Cyrille Godefroy, 2014, 166 p.
Jean-Louis Harouel, Alfred Dufour, Jacques Krynen (dir.), Justice et État: actes du [23e] Colloque international d'Aix-en-Provence, 12-13 septembre 2013, Faculté de droit et de science politique, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2014, Collection d'histoire des idées politiques, 519 p.
Jean-Louis Harouel, Alfred Dufour, Tomàs de Montagut i Estragués (dir.), La dynamique du changement politique et juridique, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2013, Collection d'histoire des idées politiques, 463 p.
Jean-Louis Harouel, Le vrai génie du christianisme: Laïcité - Liberté - Développement, Jean-Cyrille Godefroy, 2012, 269 p.
Jean-Louis Harouel, La grande falsification: l'art contemporain, J.-C. Godefroy, 2009, 171 p.
La 4e de couverture indique : "Le néant artistique abusivement appelé art contemporain est la lointaine suite de la crise de la peinture déclenchée par le progrès technique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Sous l'effet de cette crise, la religion de l'art inventée par le romantisme s'est trouvée privée de sens. La délirante sacralisation de l'artiste par la philosophie allemande, qui lui conférait le statut de voyant, de messie, de philosophe, a basculé au XXe siècle dans l'absurde, le dérisoire, voire l'abject. Tel est le prétendu art contemporain: une religion séculière de la falsification de l'art, où l'adoration de l'art a fait place à celle du soi-disant artiste, et où l'œuvre d'art se trouve remplacée par n'importe quoi pourvu qu'il ne s'agisse pas d'art. Aussi bien tout cela est-il aujourd'hui très vieux. Dès les débuts du XXe siècle, les figures les plus radicales des avant-gardes avaient été au bout de la logique du remplacement de l'art par n'importe quoi. Tout ce qui s'est fait depuis dans ce sens n'est qu'une fastidieuse rabâcherie. Né de la volonté politique de la classe dirigeante américaine au temps de la guerre froide, le succès mondial du prétendu art contemporain est à beaucoup d'égards un accident de l'histoire. Il n'en reste pas moins que l'aberrant triomphe de cet ersatz d'art renvoie les sociétés occidentales actuelles à leur profonde déculturation."
Jean-Louis Harouel (dir.), L'idée contractuelle dans l'histoire de la pensée politique: actes du [XIXe] colloque international de l'AFHIP, 6-7 septembre 2007, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2008, Collection d'histoire des idées politiques, 614 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions de l'époque franque à la Révolution, 11e éd., Presses universitaires de France, 2006, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 646 p.
Jean-Louis Harouel (dir.), Productivité et richesse des nations, Gallimard, 2005, Collection Tel, 626 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions de l'époque franque à la Révolution, 10e éd., Presses universitaires de France, 2003, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 628 p.
Jean-Louis Harouel, Culture et contre-cultures, 2e éd., Presses universitaires de France, 2002, Quadrige ( Essai ), 329 p.
La 4e de couverture indique : "RENOUER avec la tradition quasi perdue de la culture personnelle, de la cultura animi, est sans doute la plus extraordinaire des aventures individuelles qui puissent être tentées à notre époque. En tout cas, c'est la plus authentique démarche de liberté qui puisse se concevoir. La seule manière d'échapper au despotisme feutré mais réel de l'opinion, à la " pression immense de l'esprit de tous sur l'intelligence de chacun " qui caractérise au plus haut point nos sociétés."
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions de l'époque franque à la Révolution, 9e éd., Presses universitaires de France, 2001, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 628 p.
Jean-Louis Harouel, Histoire de l'expropriation, Presses universitaires de France, 2000, Que sais-je ?, 126 p.
Jean-Louis Harouel, Aux origines du droit français de l'expropriation, utilité publique et juste indemnisation avant la révolution, Dalloz, 2000, 759 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions de l'époque franque à la Révolution, 7e éd., Presses universitaires de France, 1998, Droit fondamental. Droit politique et théorique, 591 p.
Jean-Louis Harouel, Jacques Lafon, Marie-Bernadette Bruguière (dir.), Hommage à Romuald Szramkiewicz, Litec, 1998, 600 p.
Jean-Louis Harouel, Culture et contre-cultures, Presses universitaires de France, 1998, Quadrige, 313 p.
Jean-Louis Harouel, Les républiques soeurs, Presses universitaires de France et Impr. des PUF, 1997, Que sais-je ?, 127 p.
Jean-Louis Harouel, Gérard Sautel, Histoire des institutions publiques depuis la Révolution française, 8e éd., Dalloz, 1997, Précis Dalloz ( Droit public, science politique ), 522 p.
Jean-Louis Harouel, Gérard Sautel, M. Sautel, Bibliographie en langue française d'histoire du droit concernant l'année 1994, Université Panthéon-Assas, Centre d'Histoire du droit, 1997, Bibliographie en langue française d'histoire du droit, 245 p.
Jean-Louis Harouel, Histoire de l'urbanisme, 4e éd., Presses universitaires de France, 1995, Que sais-je ?, 127 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions: de l'époque franque à la Révolution, 6e éd., Presses universitaires de France, 1994, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 591 p.
Jean-Louis Harouel, Culture et contre-cultures, Presses universitaires de France, 1994, Politique d'aujourd'hui, 303 p.
Jean-Louis Harouel, L'embellissement des villes: l'urbanisme français au XVIIIe siècle, Picard, 1993, Villes et sociétés, 335 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions: de l'époque franque à la Révolution, 5e éd., Presses universitaires de France, 1993, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 591 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions: de l'époque franque à la Révolution, 3e éd., Presses universitaires de France, 1992, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 591 p.
Jean-Louis Harouel, Histoire de l'urbanisme, 3e éd., PUF, 1990, Que sais-je ?, 127 p.
Jean-Louis Harouel (dir.), Histoire du droit social: mélanges en hommage à Jean Imbert, Presses universitaires de France, 1989, 572 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions de l'époque franque à la Révolution, 2e éd., Presses universitaires de France, 1989, Droit fondamental. Droit politique et théorique, 591 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Éric Bournazel, Jacqueline Thibaut-Payen, Histoire des institutions de l'époque franque à la Révolution, Presses universitaires de France, 1987, Droit fondamental ( Droit politique et théorique ), 591 p.
Jean-Louis Harouel, Histoire de l'urbanisme, 2e éd., Presses universitaires de France, 1985, Que sais-je ?, 127 p.
Jean-Louis Harouel, Essai sur l'inégalité, Presses universitaires de France, 1984, Politique d'aujourd'hui, 287 p.
Jean-Louis Harouel, Histoire de l'urbanisme, Presses universitaires de France, 1981, Que sais-je ?, 127 p.
Jean-Louis Harouel, Jean Fourastié, Club français de la médaille, 1981, 22 p.
Jean-Louis Harouel, Les désignations épiscopales dans le droit contemporain, Presses universitaires de France, 1977, Travaux et recherches de l'Université de droit, d'économie et de sciences sociales de Paris ( Série Sciences historiques ), 142 p.
Jean-Louis Harouel, Le Régime juridique des désignations épiscopales,, 1975, 174 p.
Jean-Louis Harouel, Le droit de la construction et de l'urbanisme dans la France du XVIIIe siècle, l'auteur, 1974, 655 p.
Jean-Louis Harouel, "Les 40 000 heures", Fourastié: analyse critique..., Hatier, 1973, Profil d'une oeuvre ( Sciences humaines ), 79 p.
Jean-Louis Harouel, Les 40,000 [i.e. Quarante mille] heures Fourastié: analyse critique, avant-propos de Jean Fourastié, Hatier, 1973, Profil d'une oeuvre ; 209, 79 p.
Jean-Louis Harouel, Les ateliers de charité dans la province de Haute-Guyenne, Presses Universitaires de France, 1969, Travaux et recherches de la Faculté de droit et des sciences économiques de Paris ( Série sciences historiques ), 119 p.
Jean-Louis Harouel, Les ateliers de charité dans la province de Haute-Guyenne, 1968, 175 p.