• THESE

    L'étranger en situation irrégulière, soutenue en 1991 à Paris 10 sous la direction de Antoine Lyon-Caen 

  • Quentin Urban, Antoine Lyon-Caen (dir.), La crise de l'entreprise et de sa représentation, Dalloz, 2012, Thèmes et commentaires, 137 p. 

    Quentin Urban, Antoine Lyon-Caen (dir.), Le droit du travail à l'épreuve de la globalisation, Dalloz, 2008, Thèmes & commentaires ( Actes ), 128 p. 

    Quentin Urban, Antoine Lyon-Caen (dir.), Les salariés et la défaillance de l'entreprise, Dalloz, 2007, Thèmes et commentaires ( Actes ), 159 p. 

    Quentin Urban, Antoine Lyon-Caen (dir.), Le juge et la décision de gestion, Dalloz, 2006, Thèmes et commentaires ( Actes ), 171 p. 

    Quentin Urban, Jean Claude BONTRON, Agriculture specialisée dans l'aménagement des villes nouvelles: interêt économique et urbanistique, Ministère de l'agriculture circonscription d'Action régionale Région Parisienne, Atelier régional d'Etudes économiques et d'Aménagement rural. Société d'études géographiques Economiques et Sociologiques Appliquées, 1976 

  • Quentin Urban, « La réforme des articles 1833 et 1835 du Code civil par la loi PACTE. “Beaucoup de bruit pour rien” », Mélanges en l’honneur de Jean-Patrice et Michel Storck. Liber amicorum, Dalloz, 2021, pp. 773-798 

    Quentin Urban, Benjamin Dabosville, « Préserver l'imagination normative en droit du travail », Mélanges en l’honneur du Professeur Antoine Lyon-Caen, 2018 

  • Quentin Urban, Fabienne Jault-Seseke, « Insolvabilité de l'employeur : précisions et interrogations autour du transfert des contrats de travail », Revue de droit du travail, Dalloz , 2024, n°04, p. 283   

    Quentin Urban, « Les salariés, l'AGS et la réforme du droit des restructurations et de l'insolvabilité », Revue de droit du travail, Dalloz , 2022, n°02, p. 82   

    Quentin Urban, « Le droit de la responsabilité et les groupes transnationaux », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, Dalloz , 2021, n°02, p. 479   

    Quentin Urban, « Ce que dit le texte, ce que fait le juge », Revue de droit du travail, Dalloz , 2020, n°0708, pp. 476-479   

    Quentin Urban, « La représentation des salariés dans les conseils des sociétés par actions : Quel progrès ? », Revue de droit du travail, Dalloz , 2013, n°11, p. 689   

    Quentin Urban, « Christophe Ramaux, L'État social, pour sortir du chaos néolibéral, Ed. Mille et une nuits, 2012, 470 pages », Revue de droit du travail, Dalloz , 2012, n°10, p. 592   

    Quentin Urban, « Étendue du droit à l'information du comité central d'entreprise à l'occasion d'une opération de LBO (Leverage Buy Out). », Revue de droit du travail, Dalloz , 2008, n°12, p. 755   

    Quentin Urban, Ismaël Omarjee, Fabienne Jault-Seseke, « Les rapports de travail internationaux saisis par le droit européen », Revue de droit du travail, Dalloz , 2008, n°11, p. 682   

    Quentin Urban, « Le contrat première embauche, un contrat aux règles déraisonnables », Recueil Dalloz, Dalloz , 2006, n°14, p. 937   

    Quentin Urban, « Piercing the veil », Droit Social, Librairie technique et économique - Dalloz , 2000, n°04, p. 385   

    Quentin Urban, « La communauté d'intérêts, un outil de régulation du fonctionnement du groupe de sociétés », RTDCom. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, Dalloz , 2000, n°01, p. 1   

    Quentin Urban, « Le licenciement pour motif économique et le groupe », Droit Social, Librairie technique et économique - Dalloz , 1993, n°03, p. 272   

  • Quentin Urban, « Protection des données de l’entreprise et droits des travailleurs », le 02 décembre 2016  

    Organisé par l’UMR 7354 DRES - Equipe de droit social

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Yusuf Ausiandra, L'évolution institutionnelle du capital risque dans l'environnement du Web 2.0 : une étude comparative et transdisciplinaire, thèse soutenue en 2017 à Strasbourg sous la direction de Michel Storck, membres du jury : Isabelle Riassetto (Rapp.), Laurent Godon (Rapp.)    

    Le sujet développé dans cette thèse pose comme objectif de répondre à trois problématique résumables par une corrélation entre trois points principaux :(a) la relation entre l'usage des nouveaux outils des plateformes 2.0 dans l’intermédiation de la finance et l’émergence d’un nouvel archétype de financement ; (b) la distinction observée entre le capital-risque conventionnel et les financements opérant actuellement dans un environnement 2.0 et (c) l’approche optimale pour construire un environnement juridique modulé à l’évolution récente introduite par les outils 2.0 dans le financement de l’innovation. La recherche aborde la problématique en déconstruisant la dynamique institutionnelle de l’évolution économique contemporaine. Par cela la recherche tente de déterminer la nature et l’étendue des changements subis par l’économie en interaction constante avec le progrès technologique des nouvelles technologies d’information et de communication. La méthodologie du fond adoptée dans cette recherche fait partie de l’analyse économique de droit (Law and Economics). Néanmoins, l’analyse est enrichie par une référence aux outils théorétiques du courant économique néo-institutionnaliste américain et la sociologie économique critique française. Cette transdisciplinarité permet ainsi de comprendre la nature de l’évolution d’une manière plus élaborée. Le fil conducteur de cette recherche réside dans le phénomène de la financiarisation de l’économie. Cette recherche supporte l’idée selon laquelle les bouleversements du format et fonctionnement économiques actuels sont majoritairement le résultat d’un double mouvement institutionnel de nature financière et technologique. La recherche identifie trois institutions de nature économique et juridique au cœur du modèle de financement de l’innovation américain : la gouvernance par la flexibilité contractuelle fondée sur la notion du private ordering, la liquidité financière et l’externalisation du processus de l’innovation par rapport à la firme. Une analyse comparative de différents cadres règlementaires portant sur le capital risque en vigueur à travers le monde confirme la centralité de ces trois institutions. En conclusion de la recherche, il est ainsi nécessaire pour un Etat de reconnaître la nature institutionnelle du modèle de financement par lequel il compte supporter l’innovation. Pour le modèle de financement par capital-risque dominant aux Etats-Unis, un point d’équilibre entre d’une part un cadre règlementaire visant la protection des investisseurs et d’autre part des mesures favorisant la création de la liquidité financière devient indispensable. Néanmoins,l’oscillation règlementaire entre des mesures de support de liquidité et des règlements restrictifs reste en effet inévitable. L’évolution de la financiarisation de l’économie en alliance avec une concurrence pour l’innovation technologique ramènera les acteurs privés à assurer eux-mêmes la création de la liquidité. L’émergence des nouveaux types de contrats de financement par fonds propres allégés aux Etats- Unis (KISS contracts) puis reconfigurés pour le système juridique français (Contrats AIR) sert de preuve à cette hypothèse. La tâche la plus signifiante aujourd’hui pour les législateurs sera ainsi la création d’un ensemble de mesures protectrices contre les risques déraisonnables et démesurés. Ceci tout en assurant que les deux éléments irréductibles propres à l’institution du capital-risque – la spéculation conditionnelle et l’autonomie contractuelle – soient assurés par une marge de manœuvre suffisante requise pour supporter l’innovation.