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  • THESE

    Le droit de préemption, soutenue en 2015 à Paris 2 sous la direction de Michel Grimaldi, membres du jury : Solange Becqué, François Collart Dutilleul, Thomas Genicon et Hugues Périnet-Marquet   

  • Arnaud Walravens, Colas Amblard, Xavier Aumeran, Clothilde Blanchon, Julien Boisson [et alii], Le financement dans tous ses états: projet associatif, Dalloz, 2021, Hors-séries Juris  

    "L’ouvrage est une réaction à un constat : la raréfaction des fonds publics combinée à celle des emplois aidés bouleverse la façon dont les associations financent leur activité. Un tour d’horizon de ces différents financements et de leurs évolutions récentes ou prévisibles était donc nécessaire. Sont ainsi étudiés par des spécialistes reconnus les cotisations, apports, restructurations, libéralités, le mécénat, les subventions, le bénévolat, le crédit, les revenus d’activité, la commande publique ou encore le financement participatif et les titres associatifs. L’ouvrage dresse donc un panorama inédit des modes de financement auxquels les associations peuvent avoir recours et comble une lacune dans la littérature dédiée aux organismes à but non lucratif".

    Arnaud Walravens, Michel Grimaldi, Solange Becqué, François Collart Dutilleul, Thomas Genicon [et alii], Le droit de préemption,, 2015, 444 p.  

    Droit de propriété et liberté contractuelle fondent le droit pour tout propriétaire de choisir la personne à laquelle il souhaite, le cas échéant, vendre son bien. Il est pourtant des hypothèses où le législateur a accordé d’autorité à certaines personnes un droit de préemption qui leur permet d’être préférées à d’autres lors de la conclusion du contrat de vente. Cela étant, le droit de préemption demeure une institution mal connue et discutée. En effet, le législateur a institué de très nombreux droits de préemption en fonction de ses ambitions politiques, en dotant chacun d’eux d’un régime juridique spécifique. Le fait qu’il ne se soit guère préoccupé de conférer une quelconque cohérence à cet ensemble génère de nombreux conflits entre droits de préemption ou entre un droit de préemption et une autre institution juridique. Par ailleurs, l’intérêt général qui justifie le droit de préemption et exige que le domaine de celui-ci soit cantonné au strict nécessaire ainsi que l’octroi de garanties aux personnes concernées, ne dissuade pas le législateur de renforcer constamment l’emprise de cette institution. Ces données, qui illustrent les finalités du droit de préemption, influencent nécessairement la notion. Elles conduisent en effet à considérer que la prestation attendue du vendeur, à savoir proposer par priorité l’acquisition de son bien au bénéficiaire, constitue l’essence du droit de préemption. Le régime et l’effectivité de tous les droits de préemption reposent sur cette prestation. Il est alors possible de suggérer une nouvelle définition du droit de préemption et d’établir sa nature juridique à partir du droit des biens. Deux critères de délimitation du droit de préemption peuvent également être proposés, le premier reposant sur sa source légale, le second résultant de la détermination du moment de son intervention, ce qui n’est pas sans conséquence pratique.

  • Arnaud Walravens, Etienne Casimir, « Le sort de la commission de l’agent immobilier face à l’exercice des droits de préemption », Bulletin du Cridon de Paris, Cridon, 2017, n°23, p. 6 

  • Arnaud Walravens, « Les droits de préemption en matière rurale », le 01 octobre 2021  

    Organisée par l'Antenne de Droit - Laval, Le Mans Université dans le cadre du Cycle de conférences Droit de la terre : « 60 ans de droit rural : rétrospectives et perspectives » en partenariat avec l’AFDR Pays de la Loire

    Arnaud Walravens, « L'immeuble et le droit des procédures collectives », le 10 novembre 2017  

    Organisé par le Centre d'étude du droit de l'insolvabilité de l'Université d'Aix-Marseille, en collaboration avec l'EA 7311 Patrimoine et Entreprises

    Arnaud Walravens, « Le droit de préemption au XXIe siècle », le 19 mai 2017  

    Colloque co-organisé par le CUREJ et le CRIDON de Paris sous la direction scientifique de Charles Gijsbers