Pierre-Yves Chicot, Paméla Obertan (dir.), La régionalisation à l'aube de l'évolution législative de la décentralisation : méthodologie(s) et vision(s) prospective(s) de régions stratèges, L'Harmattan, 2021, Collection GRALE, 283 p.
"La région apparait à la faveur de la loi du 5 juillet 1972 portant création et organisation des régions sous le statut d'établissement public dont la caractéristique juridique première est le principe de spécialité. Il faut attendre la loi du 2 mars 1982 relative aux libertés des communes, des départements et des régions pour que celles-ci deviennent, dans son principe, une collectivité territoriale, au même titre que les communes et les départements. - C'est subséquemment à la loi du 10 juillet 1985 qui fixe le mode de scrutin que les régions sont véritablement considérées comme des collectivités. La réforme constitutionnelle du 28 mars 2003 relative à l'organisation décentralisée de la République va parachever sa maturation juridique, et dés lors, la région poursuit sa montée en puissance, voyant sa place et son rôle affermis dans l'architecture institutionnelle nationale. - Le raisonnement ne serait pas complet si on n'évoque pas la considération que lui voue l'Union européenne. C'est vraisemblablement pour cette raison que la région devient le dépositaire des politiques publiques nationale et européenne. En France, la situation est somme toute particulière parce que les régions sont formées par l'agglomération de départements. Il ne faut jamais oublier que l'institution départementale date de la Révolution française et représente à la fois, le creuset de l'unité de l'Etat et la production idéale des politiques locales de proximité, au même titre que les communes. - L'histoire perpétuellement en mouvement nous révèle aujourd'hui que la région n'est pas un obstacle à l'unité nationale. Elle constitue même un niveau d'intervention de choix pour délester l'Etat central et inscrire les territoires locaux dans la dynamique de la globalisation des marchés domestiques. Pour ne pas être simplement une circonscription administrative de l'Etat, mais bien une puissance publique locale ayant la capacité de déterminer l'intérêt public local à l'intérieur et à l'extérieur des frontières nationales, il est loisible de penser que les régions peuvent être des stratèges. - C'est l'articulation centrale de cet ouvrage. La pensée universitaire voulant converger avec la pensée de l'action territoriale, le présent ouvrage propose une lecture pluridisciplinaire de(s) (l')action(s) régionale(s) et, partant, également, une réflexion sur la transformation de l'Etat. - En effet, les débats foisonnants sur la réorganisation territoriale aussi bien du point de vue des territoires locaux que du point de vue des services déconcentrés placent indéniablement la région au premier plan. Le modèle étatique français pourrait le cas échéant évoluer vers un Etat dit "régional" ou vers un Etat fédéral. Dans ce dernier cas, la projection est bien entendu, plus hypothétique."
Pierre-Yves Chicot, Paméla Obertan (dir.), La régionalisation à l'aune de l'évolution législative de la décentralisation: méthodologie(s) et vision(s) prospective(s) de régions stratèges, l'Harmattan et l'Harmattan, 2021
"La région apparait à la faveur de la loi du 5 juillet 1972 portant création et organisation des régions sous le statut d'établissement public dont la caractéristique juridique première est le principe de spécialité. Il faut attendre la loi du 2 mars 1982 relative aux libertés des communes, des départements et des régions pour que celles-ci deviennent, dans son principe, une collectivité territoriale, au même titre que les communes et les départements. - C'est subséquemment à la loi du 10 juillet 1985 qui fixe le mode de scrutin que les régions sont véritablement considérées comme des collectivités. La réforme constitutionnelle du 28 mars 2003 relative à l'organisation décentralisée de la République va parachever sa maturation juridique, et dés lors, la région poursuit sa montée en puissance, voyant sa place et son rôle affermis dans l'architecture institutionnelle nationale. - Le raisonnement ne serait pas complet si on n'évoque pas la considération que lui voue l'Union européenne. C'est vraisemblablement pour cette raison que la région devient le dépositaire des politiques publiques nationale et européenne. En France, la situation est somme toute particulière parce que les régions sont formées par l'agglomération de départements. Il ne faut jamais oublier que l'institution départementale date de la Révolution française et représente à la fois, le creuset de l'unité de l'Etat et la production idéale des politiques locales de proximité, au même titre que les communes. - L'histoire perpétuellement en mouvement nous révèle aujourd'hui que la région n'est pas un obstacle à l'unité nationale. Elle constitue même un niveau d'intervention de choix pour délester l'Etat central et inscrire les territoires locaux dans la dynamique de la globalisation des marchés domestiques. Pour ne pas être simplement une circonscription administrative de l'Etat, mais bien une puissance publique locale ayant la capacité de déterminer l'intérêt public local à l'intérieur et à l'extérieur des frontières nationales, il est loisible de penser que les régions peuvent être des stratèges. - C'est l'articulation centrale de cet ouvrage. La pensée universitaire voulant converger avec la pensée de l'action territoriale, le présent ouvrage propose une lecture pluridisciplinaire de(s) (l')action(s) régionale(s) et, partant, également, une réflexion sur la transformation de l'Etat. - En effet, les débats foisonnants sur la réorganisation territoriale aussi bien du point de vue des territoires locaux que du point de vue des services déconcentrés placent indéniablement la région au premier plan. Le modèle étatique français pourrait le cas échéant évoluer vers un Etat dit "régional" ou vers un Etat fédéral. Dans ce dernier cas, la projection est bien entendu, plus hypothétique."
Pierre-Yves Chicot (dir.), Tourisme mémoriel et développement territorial : l'exemple d'une communauté d'agglomération en Guadeloupe, l'Harmattan et Impr. Corlet numérique, 2019, GRALE, 210 p.
Pierre-Yves Chicot (dir.), Mutation des communes , L'Harmattan, 2016, Grale, 443 p.
Pierre-Yves Chicot, À propos de la collectivité unique : comprendre le fonctionnement des collectivités territoires de la Guyane et de la Martinique en 30 questions et réponses, Éditions Nestor, 2015, 88 p.
Pierre-Yves Chicot, Education, formation, recherche : quelle place pour les collectivités territoriales ?, Le Moniteur, 2014, 694 p.
La 4e de couv. indique : "Droit et gestion des collectivités territoriales (DGCT) décrypte l’ensemble des évolutions législatives, réglementaires et jurisprudentielles de l’année échue dans le domaine des collectivités territoriales. La 1ere partie présente des études consacrées aux actions des collectivités territoriales dans les domaines de l’éducation, de la formation et de la recherche. Leurs formes sont variées, allant de l’exercice de compétences pleines (formation professionnelle) à des concours et à des politiques nationales (recherche). Sont envisagés : le tissu des écoles rurales, les communes face à la pluralité des temps éducatifs (entretien), la gestion des locaux scolaires, la gestion comptable des EPLE (entretien), les politiques éducatives outre-mer, l’évolution vers un service public régional d’orientation et de formation, les enseignements artistiques, la décentralisation des formations sanitaires et sociales, l’aménagement du territoire universitaire et l’investissement des collectivités territoriales dans la recherche. La 2e partie traite de l’actualité législative, réglementaire et jurisprudentielle de l’année au travers de chroniques thématiques qui détaillent l’administration territoriale et les aspects territorialisés de l’action publique (fonction publique territoriale, urbanisme, environnement, finances et fiscalité, etc.). Destiné aux acteurs publics locaux – services déconcentrés de l’État, élus locaux, agents territoriaux, opérateurs publics, établissements scolaires et universitaires, organismes de formation professionnelle –, aux avocats, aux magistrats, aux enseignants-chercheurs et aux étudiants, le DGCT 2014, véritable encyclopédie de la décentralisation, fournit toutes les clés pour apprécier la portée des réformes institutionnelle"
Pierre-Yves Chicot, Libres propos civiques en pays français d'Amérique : Guadeloupe - Guyane - Martinique, 2009-2014, Editions Nestor, 2014, 231 p.
Pierre-Yves Chicot (dir.), Décentralisation et proximité, Dalloz, 2013, Thèmes & commentaires ( Actes ), 290 p.
La 4e de couverture indique : "On observe, au regard de la montée en puissance de la proximité, objet d'étude interdisciplinaire de ce colloque, une plus grande territorialisation de l'action publique. Sur le plan juridique, c'est bien d'une territorialisation du droit dont il s'agit, dès lors que la création normative devient l'apanage de l'échelon local. La gestion de proximité est-elle devenue l'outil privilégié de l'administration territoriale de la République ou n'est-elle qu'une simple variable d'ajustement d'un État moins interventionniste ? Comment ce modèle est-il organisé selon le champ disciplinaire dans lequel on s'inscrit ?"
Pierre-Yves Chicot, Robert Etien, Pierre Teisserenc (dir.), L'influence des régimes juridiques des collectivités territoriales d'outre-mer sur l'évolution de l'Etat français: actes du colloque organisé les 3 & 4 novembre 2011, Cujas, 2013, Actes & études, 269 p.
Pierre-Yves Chicot, Pierre Teisserenc, Robert Etien (dir.), La recomposition territoriale, un défi pour la Guadeloupe, Publibook et Presses de l'Université des Antilles et de la Guyane, 2011, EPU, Éditions Publibook université, 256 p.
Pierre-Yves Chicot, La compétence internationale des collectivités territoriales françaises: l'action extérieure des départements-régions des Antilles et de la Guyane, L'Harmattan et Numilog, 2005, 361 p.
La 4e de couverture indique : "L'irruption des collectivités locales françaises sur la scène internationale a bouleversé des modes de fonctionnement publics bien établis. L'implication des personnes publiques locales dans les relations internationales a abouti à la perte du monopole de l'Etat en la matière. Longtemps assimilée à un acte de souveraineté, la politique extérieure devient aussi, en vertu de normes nationales et internationales l'apanage des autorités territoriales. Malgré cette concurrence entre le niveau central et l'échelon périphérique dans le champ des affaires internationales il n'existe pas pour autant de symétrie puisque l'Etat conserve la prééminence. En d'autres termes toute action extérieure locale doit veiller scrupuleusement à ne pas interférer défavorablement avec la politique étrangère étatique. L'autorisation délivrée aux collectivités locales françaises d'entretenir des liens durables avec des collectivités locales étrangères sur la base de conventions, grâce à la loi d'administration territoriale de la République du 6 février 1992, peut être interprétée comme l'exercice de la compétence internationale locale. L'intérêt public local n'est donc plus circonscrit au strict espace national. En ce qui concerne les départements-régions d'Outre-Mer, et singulièrement les départements-régions d'Amérique, l'exercice de cette compétence internationale semble beaucoup plus affirmé. En effet en plus de la possibilité de passer des conventions avec leurs homologues étrangers, ceux-ci sont admis à participer aux travaux d'organisations internationales à vocation régionale, privilège réservé en principe aux sujets de droit international. La loi d'orientation pour l'outre-mer du 13 décembre 2000 vient conforter l'idée de l'amorce d'un début de décentralisation diplomatique, en conférant de nouvelles prérogatives aux collectivités départementales et régionales ainsi qu'à leurs exécutifs locaux."
Pierre-Yves Chicot, « L'action publique départementale dans la gestion de la crise sanitaire liée à la COVID-19 : l'exemple du département-région de la Guadeloupe », RDSS. Revue de droit sanitaire et social, 2022, n°3, p. 460
Pierre-Yves Chicot, « Dialogue entre un tribunal administratif et le Conseil d'Etat à propos du droit à la vie », Actualité juridique Droit administratif, 2020, n°21, p. 1178
Pierre-Yves Chicot, « XI. Le renouvellement de l’État territorial : le prisme de la décentralisation autonomique », 2017, pp. 187-198
Chicot Pierre-Yves. XI. Le renouvellement de l’État territorial : le prisme de la décentralisation autonomique. In: Droit et gestion des collectivités territoriales. Tome 37, 2017. Les territoires de l’Etat. pp. 187-198.
Pierre-Yves Chicot, « L'adaptation de la loi et du règlement par une région d'outre-mer », Actualité juridique Droit administratif, 2016, n°16, p. 1178
Pierre-Yves Chicot, « L'épandage aérien de pesticides dans les cultures de bananes : les citoyens protecteurs du droit de l'Union européenne », Revue de l'Union européenne, 2015, n°591, p. 507
Pierre-Yves Chicot, « La fondamentalisation de la protection de l’environnement : conversations entre sociétés chrétiennes mystiques et sociétés autochtones à propos de la nature », 2015
L’adage ubi societas ubi jus témoigne de la prégnance de la règle juridique dans la recherche de la régulation sociale. D’un point de vue fondamental, le droit de l’environnement procède de la protection et de la préservation de la nature. Il signifie, au fond, le respect qui doit lui être voué car elle a précédé l’homme. Le droit de l’environnement introduit mutatis mutandis un rapport hiérarchique entre l’homme et la nature. Dans cette relation homme/nature marquée par une asymétrie, l’avan...
Pierre-Yves Chicot, « Droit positif et sacré : l’exemple du droit de propriété inspiré de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen », 2014
Tel qu’il se trouve consigné dans les Écritures, le normativisme divin détermine les comportements collectifs et individuels. Il suffit pour s’en rendre compte d’examiner les codes de régulation sociale dont certaines dispositions trouvent leur origine dans la morale originelle. Par exemple, dans les pays de confession chrétienne le droit pénal puise par endroit sa source dans le décalogue. Figurant parmi les dix commandements, l’injonction comminatoire « tu ne tueras point », emporte pour co...
Pierre-Yves Chicot, « V. La contribution des collectivités régionales régies par l'article 73 de la Constitution à la politique d'éducation nationale », 2014, pp. 123-138
Chicot Pierre-Yves. V. La contribution des collectivités régionales régies par l'article 73 de la Constitution à la politique d'éducation nationale . In: Droit et gestion des collectivités territoriales. Tome 34, 2014. Éducation, formation, recherche. Quelle place pour les collectivités territoriales ? pp. 123-138.
Pierre-Yves Chicot, « L’autochtonie sur les territoires du Canada et de la France : analyse juridique comparée du droit des minorités culturelles », 2011, pp. 109-128
La France et le Canada présente la particularité d’avoir au sein de leur communauté nationale des populations autochtones. Par contre, si les autochtones canadiens sont présents sur le seul territoire d’Amérique du Nord du Canada, ceux de France sont situés dans les territoires ultramarins de la République (Nouvelle-Calédonie et Guyane française). Dans les deux cas, le droit national a des défis à relever qui concernent essentiellement la satisfaction de revendications culturelles et foncières. La présence d’autochtones au Canada et en France interpelle le chercheur sur plusieurs points : la notion de peuple, l’intégration de communautés particulières à la communauté nationale, l’élaboration d’un droit des autochtones au Canada et en France. À ce propos la démarche comparée est intéressante dans la mesure où la France est un État unitaire décentralisé alors que le Canada est un État fédéral. La question n’est pas traitée de manière identique, et les solutions proposées de part et d’autre sont dignes d’intérêt pour les deux pays.
Pierre-Yves Chicot, « La notion d'ordre social dans la pensée de Maurice Hauriou », Revue française de droit administratif, 2009, n°03, p. 419
Pierre-Yves Chicot, Isabelle Hidair, « Coopération internationale locale et politique éducative en Guyane », 2008
Faut-il parler des compétences internationales locales, des compétences externes des communes, des départements et des régions françaises ? La réponse ne fait pas l’objet d’une affirmation tranchée même si le débat a bien évolué depuis vingt ans. On peut considérer que depuis la légalisation de la coopération internationale décentralisée les collectivités territoriales sont titulaires d’une compétence internationale au même titre que l’État (Chicot, 2005). La base textuelle est le titre IV de...
Pierre-Yves Chicot, « L'immigration clandestine en Guyane française. Entre contestation et nécessité d'adaptation du droit », 2008, pp. 76-89
Située en Amérique du Sud, mais institutionnellement associée à un territoire du Nord, la Guyane possède dans les faits les traits d'un pays en développement. La présence de pays pauvres aux frontières de ce département français a pour effet de décupler le phénomène de l'immigration clandestine.
Pierre-Yves Chicot, « L'actualité du principe du règlement pacifique des différends : essai de contribution juridique à la notion de paix durable », 2003, pp. 5-35
La régulation de la société internationale repose sur la création et l’application du droit international dont l’un des principes fondamentaux est le règlement pacifique des différends. La paix, définie comme l’absence de guerre constitue depuis longtemps un des grands défis que doit relever le droit international. Bien que la guerre soit consubstantielle à l’humanité, la paix apparaît toutefois comme s’inscrivant dans le champ du toujours possible. En effet, il existe des valeurs qui font l’objet de consensus universel, telle la protection des droits de l’homme. Par ailleurs, la tentative de communautarisation des intérêts de la société internationale met en évidence les efforts déployés par la communauté internationale des États pour garder intacte le caractère juridique contraignant du principe du règlement pacifique des différends de façon à maintenir la guerre dans l’espace du «hors la loi». Le passage de la nature (de guerre) à la culture (de la paix) implique la mise en oeuvre de voies et moyens largement identifiables et identifiés. Il s’agit de maintenir et de renforcer la catégorie des normes du jus cogens tout en les assortissant de moyens efficaces en vue de garantir leur respect. Le désarmement ainsi que la juridictionnalisation croissante de la vie internationale, à travers notamment la Cour internationale de Justice et la Cour pénale internationale participent de la consistance de la notion de paix durable.
Pierre-Yves Chicot, « Le principe d’indivisibilité de la République et la question des minorités en Guyane française, à la lumière du cas amérindien », 2000
“ Je lutte pour que nous (les amérindiens) ne soyons pas seulement un patrimoine de l’humanité ” Rigoberta MENCHU, Prix Nobel de la Paix, 1992 L’initiative d’une réflexion relative aux minorités à partir du contexte géographique de la Guyane française, vise à prendre en compte la mesure d’une réalité humaine, qui semble avoir été supplantée par le droit établi. L’approche choisie est celle d’un recours à l’une des multiples ramifications des sciences humaines : les sciences juridiques. On par...
Pierre-Yves Chicot, « Droit et théories a-juridiques : Influence ou hybridation ? », le 20 novembre 2023
Colloque organisé sous l’égide du Centre de Recherche en Economie et en Droit du développement Insulaire (CREDDI).
Pierre-Yves Chicot, « La coopération transfrontalière locale et régionale en matière de gestion des eaux », Table ronde, La coopération transfrontalière locale et régionale en matière de gestion des eaux Regard croisés France / Québec, Saint-Martin-d'Hères [Grenoble], le 15 décembre 2022
Organisée par Laëtitia Ndota-Ngbale, doctorante en droit public, en partenariat avec le CRJ et le Centre d’études canadiennes de Grenoble
Pierre-Yves Chicot, « Un aménagement de la fonction externe de l'Etat nécessaire à l'insertion de la France dans l'espace régional ultra-marin : exemple de la Guadeloupe », Constitution et droit des collectivités territoriales, Nice, le 14 novembre 2019
Organisé par le CERDACFF pour l’AFDCL avec le soutien du Conseil départemental des Alpes maritimes, de la région PACA et de la Métropole Nice Côte d’Azur, partenaires du projet DITER
Pierre-Yves Chicot, « Regards sur l'actualité du contentieux de l'action publique territoriale », Regards sur l'actualité du contentieux de l'action publique territoriale, Toulouse (Université de Toulouse 1 Capitole), le 24 mai 2018
Organisé sous la direction scientifique de Florence Crouzatier-Durand, Institut Maurice Hauriou