• THESE

    La notion d'obligation fondamentale : comparaison franco-anglaise, soutenue en 1997 à Paris 1 sous la direction de Jacques Ghestin 

  • Ruth Sefton-Green (dir.), « Démoulages »: du carcan de l'enseignement du droit vers une éducation juridique, Société de législation comparée, 2015, Collection de l'UMR de Droit comparé de Paris, 255 p. 

    Ruth Sefton-Green, Laurence Usunier (dir.), La concurrence normative: mythes et réalités, Société de législation comparée, 2013, Collection de l'UMR de droit comparé de Paris (Université de Paris 1 / CNRS - UMR 8103), 298 p. 

    Ruth Sefton-Green, Ruth Sefton-Green (dir.), Mistake, Fraud and Duties to Inform in European Contract Law, Cambridge University Press, 2005, The Common Core of European Private Law, 414 p.  

    An examination of twelve case studies about mistake, fraud and duties to inform reveals significant differences about how contract law works in thirteen European legal systems and, despite the fact that the solutions proposed are often similar, what divergent values underlie the legal rules. Whereas some jurisdictions recognise increasing duties to inform in numerous contracts so that the destiny of mistake and fraud (classical defects of consent) may appear to be uncertain, other jurisdictions continue to refuse such duties as a general rule or fail to recognise the need to protect one of the parties where there is an imbalance in bargaining power or information. Avoiding preconceptions as to where and why these differences exist, this book first examines the historical origins and development of defects of consent, then considers the issues from a comparative and critical standpoint.

    Ruth Sefton-Green, La notion d'obligation fondamentale: comparaison franco-anglaise, LGDJ et Impr. France Quercy, 2000, Bibliothèque de droit privé, 391 p.   

    Ruth Sefton-Green, La Notion d'inégalité entre parties contractantes en droit français et en droit anglais comparés, l'auteur, 1992, 30 p. 

  • Ruth Sefton-Green, Horatia Muir Watt, « Fitting the frame: an optional instrument, party choice and mandatory/default rules », in Hans-Wolfgang Micklitz, Fabrizio Cafaggi (dir.), European private law after the Common Frame of Reference, Edward Elgar Publishing, 2010, pp. 201-219 

    Ruth Sefton-Green, « Le défi d'un droit commun des obligations », Variations autour d'un droit commun. Premières Rencontres de l'UMR de droit comparé, Société de législation comparée, 2002, pp. 443-466 

  • Ruth Sefton-Green, « La croisée des savoirs - Moins de droit. Propositions pédagogiques subversives », Les Cahiers de la justice, Dalloz , 2017, n°04, p. 721   

    Ruth Sefton-Green, Alexandre Guigue, « Royaume-Uni : Angleterre et pays de Galles. Introduction générale au système juridique », Jurisclasseur, , 2015, p. 26 

    Ruth Sefton-Green, « Juger ailleurs, juger autrement - Vices et vertus de la motivation judiciaire : comparaisons anglo-françaises », Les Cahiers de la justice, Dalloz , 2011, n°02, p. 89   

    Ruth Sefton-Green, « Les codes manqués », RTDCiv. Revue trimestrielle de droit civil, Dalloz , 2005, n°03, p. 539   

    Ruth Sefton-Green, « Compare and Contrast : Monstre à deux têtes », Société de législation comparée, Paris : Société de législation comparée et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2002, pp. 85-95    

    Cet article critique l'affirmation selon laquelle les juristes venant d'un pays de tradition de common law et les juristes de tradition civiliste ne pourraient pas vraiment se comprendre. Cette dernière idée vient d'une réflexion plus générale sur le droit comparé, identifiant le droit comme une culture. L'investigation sur l'utilisation du droit comparé comme un outil pour rechercher le rapport entre droit et culture s'organise selon trois lignes directrices : premièrement, il s'agira de tenter de définir le sens du mot « culture ». On proposera comme point de départ l'idée que chaque pays a une culture multi-facettes et que droit et culture ne se reflètent pas forcément. Deuxièmement, on examinera les différences de mentalité, alléguées, entre juristes et cultures juridiques des deux systèmes. On suggérera qu'une approche « contextualiste » et culturelle, destinée à faire ressortir les différences, est peut-être nécessaire mais qu'elle est réductrice. Troisièmement, en réponse aux éventuelles allégations selon lesquelles les compara-tistes ne passent pas suffisamment de temps à théoriser sur le droit, on suggérera que le droit comparé comporte inévitablement des objectifs méthodologiques et théoriques. En conséquence, plutôt que de se concentrer sur une recherche exclusive, dans une perspective biaisée consistant à décrire des similitudes ou des différences, on proposera que l'art de la comparaison est (selon la phrase anglaise) de compare and contrast : voilà notre monstre à deux têtes !

  • Ruth Sefton-Green, Lydie Reiss. Le juge et le préjudice : étude comparée des droit français et anglais, Société de législation comparée, Paris : Société de législation comparée et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2004, pp. 1027-1029    

    Sefton Green Ruth. Lydie Reiss. Le juge et le préjudice : étude comparée des droit français et anglais. In: Revue internationale de droit comparé. Vol. 56 N°4,2004. pp. 1027-1029.

  • Ruth Sefton-Green, Alexandre Guigue, « Royaume-Uni : Angleterre et pays de Galles. Introduction générale au système juridique », Jurisclasseur Droit comparé, Lexisnexis, 2021 

  • Ruth Sefton-Green, « Pédagogiquement Vôtre 3 ! », le 02 juillet 2020  

    Visioconférence organisée par la Faculté de Droit de l'Université Catholique de Lille

    Ruth Sefton-Green, « Comment sont motivées les décisions de justice ? », le 29 novembre 2019  

    Organisé dans le cadre des Transversales, Université Lyon 2 sous la direction scientifique de V. Goesel-Le Bihan et J. Heymann

    Ruth Sefton-Green, « Pédagogiquement vôtre 2 ! », le 02 juillet 2019  

    Journée non conventionnelle dont le but est de partager des expériences de pédagogie innovante, pouvant être utilisées dans l’enseignement.

    Ruth Sefton-Green, « Les transformations du droit et du savoir juridique : quelles conséquences pour la formation juridique ? », le 13 juin 2015 

    Ruth Sefton-Green, « Éducation juridique : Le « livre à venir » dans les facultés de droit », le 26 septembre 2014 

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Isabelle Alvarez, Essai sur la notion d'exécution contractuelle, thèse soutenue en 2014 à Montpellier 1 sous la direction de Daniel Mainguy, membres du jury : Sébastien Pimont (Rapp.), Nicolas Ferrier  

    L'exécution constitue la cause impulsive de l'établissement du contrat qui paradoxalement est un mécanisme trop familier pour être bien connu. Qu'il s'agisse de la notion ou des divers aspects qu'elle endosse, l'exécution contractuelle suscite maintes interrogations, parfois insoupçonnées. Adopter une méthode d'analyse alternative permet d'esquisser une définition de cette notion juridique, tout en s'évertuant à maintenir l'équilibre entre les considérations théoriques et les mutations contemporaines de la réalité contractuelle. Cette étude propose ainsi une approche dynamique des échanges contractualisés, orientés vers la réalisation satisfactoire de l'opération économique, démontrant que cette phase exécutoire recèle un panel étendu de perspectives.