Présentation de l’éditeur
S’ils sont porteurs de formidables progrès au sein des relations professionnelles, les outils numériques sont également sources de risques pour les travailleurs numériques, qu’ils soient salariés ou indépendants : contrôle numérique, gestion algorithmique, communication virtuelle, dépendance à un donneur d’ordre… Actant les limites du droit positif, la thèse invite à concevoir la protection du travailleur numérique par les droits fondamentaux. L’étude envisage la mise en oeuvre des droits fondamentaux des travailleurs numériques salariés et indépendants, tant par l’insertion de modifications ponctuelles dans le Code du travail que par l’enrichissement du Code de commerce d’un régime juridique protégeant le travailleur numérique indépendant.
Préface de Laurence Fin-Langer, Professeur à l'université de Caen Normandie.
Prix de thèse 2023 de l'Institut caennais de recherche juridique (ICReJ)