• THESE

    Les expériences étrangéres de privatisation, soutenue en 1992 à Paris 2 sous la direction de Jean-Claude Venezia 

  • Valérie Nicolas, Les Questions au Gouvernement dans la pratique parlementaire française, 1985 

  • Valérie Nicolas, « Droit public et libertés à l'ère du numérique », le 21 novembre 2019  

    Journée des doctorants organisée par l’IRENEE, Université de Lorraine sous la direction de Carlos Odjaga, Serigne Moussa Yali Sarr et Aboubacar Kader Sanogo, doctorants IRENEE / UL

    Valérie Nicolas, « La télévision : les libertés en images », le 17 octobre 2019  

    Organisée par le centre Thucydide de l'université Paris 2 Panthéon-Assas et le Centre de recherches en histoire du XIXe siècle (EA 3550) de Sorbonne-Université

    Valérie Nicolas, « Les OAP, de l'outil juridique au projet », le 07 décembre 2018  

    Matinée d'atelier débat sur les orientations d'aménagement et de programmation (OAP). Organisée par l'Université de Cergy-Pontoise et le Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement (CAUE) du Val d'Oise

    Valérie Nicolas, « Droit(s) du Bio », le 23 mars 2018  

    Organisé dans le cadre du marathon du droit de l’Université Toulouse 1 Capitole, l’Institut Maurice Hauriou et IEJUC

    Valérie Nicolas, « Les enjeux territoriaux des documents d’urbanisme », le 20 novembre 2017 

    Valérie Nicolas, « La liberté de la presse écrite au XXIe siècle », le 11 octobre 2016  

    La Journée des Libertés est une Initiative conjointe du Centre Thucydide de l'Université Panthéon-Assas et du Centre d'histoire du XIXè Siècle de l'Université Paris-Sorbonne.

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Mohammad noor-ul-azeem Fakira, La Liberté d'expression à l'ère des NTIC , thèse en cours depuis 2019  

    L'évolution des outils et services numériques telles que YouTube, Facebook, Twitter et autres, a motivé le gouvernement actuel de l'ile Maurice à voter plusieurs amendements aux lois existantes. Le premier ministre mauricien, pendant le débat parlementaire sur ces amendements, a affirmé qu'ils ont pour but, la protection de l'intérêt des citoyens et de mettre un frein au dénigrement sur les réseaux sociaux. Néanmoins, ces amendements n'ont pas fait l'unanimité sur l'île. Les partis politiques de l'opposition pensent que ces dispositions sont des outils au service de ceux au pouvoir pour une vendetta politique. Les acteurs majeurs de la presse voient également ces amendements comme des restrictions à la liberté de la presse. Quant au peuple, la réflexion est mitigée. Une de ces dispositions est le « Judicial and Legal Provisions bill », promulgué en 2018, qui amende le code pénal afin de punir de 10 ans de prison ferme les auteurs de messages électroniques vexants, menaçants, pouvant déranger ou agacer un autre individu. En conséquence, l'objectif de ma recherche est de considérer à quel point la loi et la pratique à l'ile Maurice, en terme de « mass média », nécessite une reforme afin qu'il soit compatible avec le concept de la liberté d'expression et des droits humains dans une démocratie moderne tels que la France.