Parution de la septième édition de la revue juridique nîmoise

JCP.G n°4 du 2015-04-09 00:00:00

Parution de la septième édition de la revue juridique nîmoise

 Nicolas Font, directeur du département Droit, Économie et Gestion, université de Nîmes.


  Nicolas Font, directeur du département Droit, Économie et Gestion, université de Nîmes.

La septième édition de la Revue juri­dique nîmoise est parue aux Presses universitaires d’Aix-Marseille. À l’image des éditions précédentes, la revue s’organise autour de trois parties : colloques, jurisprudence et libre propos. Ainsi, il est à souligner deux événements majeurs qui constituent l’ossature de cette revue.

Tout d’abord, les contributions apportées dans le cadre d'une journée d'études, organisée à l'université de Nîmes, autour de la thé­matique « Les normes et les collectivités lo­cales ». Ensuite, cet opus met en lumière les contributions de la « deuxième rencontre de Droit public » qui s'est déroulée au tri­bunal administratif de Nîmes portant sur les évolutions de l’office du juge administratif. Conformément à la tradition, cette nouvelle édition de la Revue juridique nîmoise ras­semble une série de commentaires des dé­cisions les plus marquantes des juridictions relevant du ressort de l’université de Nîmes durant l'année écoulée. Cette connaissance de la jurisprudence des juridictions locales intéresse largement les avocats relevant de l’ordre près de la cour d’appel de Nîmes, qui sont une nouvelle fois des partenaires précieux pour cette nouvelle édition. Ajou­tons que la revue innove cette année en publiant les conclusions des rapporteurs publics sur les jugements du tribunal admi­nistratif de Nîmes.

Enfin, cette septième édition constitue l’occasion de signaler un passage de témoin à la direction de la revue. En effet, Emmanuel Roux qui avait pris en charge les six pre­mières éditions nous a confié une respon­sabilité dont nous espérons être à la hau­teur de l’héritage.

Une revue étant un perpétuel recommen­cement, la huitième édition se prépare. Nous invitons les collègues universitaires à proposer des contributions pour lesquelles ni le volume ni les objets de recherche ne sont limités.