Robert Hanicotte, « La soucoupe, le drone et Stanislas », http://d-piav.huma-num.fr/items/show/6, , 2022, n°2018-10-01
Robert Hanicotte, « L'humour à la barre », Petites Affiches, , 2018, n°2015-06-17
Robert Hanicotte, « Restauration scolaire: "cauchemar en cuisine" », Gazette du Palais, , 2018, n°2013-09-18
Robert Hanicotte, « Bruits nocturnes, nuits blanches des maires », JCP (A), , 2018, n°2014-04-28
Robert Hanicotte, « Une nouvelle catégorie d'OVNI juridique : les drones », Gazette du Palais, , 2018, n°2014-11-13
Robert Hanicotte, « Pandore et saint-frusquin, à quand une police du textile? », JCP (A), , 2018, n°2013-07-08
Robert Hanicotte, « Sept péchés capitaux au confessionnal des sages », Politeia, , 2018, n°2015-12
Robert Hanicotte, « Les mariés, la noce et Pandore. Faut-il interdire les cortèges nuptiaux ? », Petites Affiches, , 2018, n°2017-04-25
Robert Hanicotte, « Un bipède dans la jungle urbaine Ou le marcheur citadin en quête de son droit », JCP (A), , 2018, n°2017-03-13
Trop souvent réduit à l'usager du domaine public, le marcheur citadin est une réalité juridique polysémique, à l'image du mille-pattes. Si le droit lui consacre une part croissante au sein de la ville, il souffre d'un manque de reconnaissance et se trouve dépourvu d'un véritable statut"
Robert Hanicotte, « Du bon usage de l'oubli présidentiel... À la manière de Machiavel », Politeia, , 2018, n°2017-12
Robert Hanicotte, « L'édile, la cloche et le prétoire », AJCT. Actualité juridique Collectivités territoriales, Dalloz , 2012, n°03, p. 140
Robert Hanicotte, « Visage caché, il policier », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2010, n°08, p. 417
Robert Hanicotte, « Le haut conseil des biotechnologies : l'expert, le bon grain et l'ivraie », Actualité juridique Droit administratif, Dalloz , 2009, n°26, p. 1411
Robert Hanicotte, « Le tripartisme polonais ou la coopération politique institutionnelle », Association française de science politique, Paris : Fondation nationale des sciences politiques (France), Paris : Association française de science politique et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1983, pp. 480-503
A défaut de pluralisme, la Pologne connaît une pluralité de partis politiques. Le tripartisme, qui associe au pouvoir du Parti communiste (POUP) les démocrates (SD) et le paysans (PPU), est parvenu à surmonter l'effervescence politique des années 1980 comme l'instauration de l'état de guerre. L'existence même du tripartisme répond à l'importance de couches sociales peu perméables au socialisme (paysans, commerçants, certaines formes de l'intelligentsia). La permanence du tripartisme à la polonaise s'explique par le fait qu'il est par lui-même un système institutionnel, régi par ses propres règles de conduite mais ausi par le fait qu'il constitue un système d'idéologie et d'action dirigé vers les strates de la société polonaise. Les partis tiers visent à prendre en compte une spécificité sociale en gérant les intérêts des «classes moyennes», à charge pour eux d'y diffuser et d'y entretenir l'idéologie socialiste. Ils sont un trait d'union entre le noyau dur que représente le POUP et une nébuleuse sociale toujours tentée de s'en éloigner. Le système institutionnel du tripartisme repose ainsi sur une fragile dialectique entre l'impératif idéologique et la nécessité d'une certaine autonomie au profit des partis alliés.