Marianne Villemonteix

Maître de conférences
Droit privé et sciences criminelles.
Faculté de droit et science politique

Institut de Recherche en Droit des Affaires et du Patrimoine
  • THESE

    Les parts et actions d'une société commerciale qui appartiennent à plusieurs personnes, soutenue en 1992 à Bordeaux 1 sous la direction de Jean Derruppé 

  • Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Fiches de droit bancaire: rappels de cours et exercices corrigés, 4e éd., Ellipses et Cyberlibris, 2023, 269 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Fiches de Droit bancaire - 3e édition: rappels de cours et exercices corrigés, 3e éd., Ellipses et Cairn, 2022, Fiches, 213 p.  

    29 fiches pour réviser tout le cours de Droit bancaire :les définitions à connaître, les erreurs à éviter, les points essentiels à retenir;des exercices corrigés pour vérifier ses connaissances;des repères bibliographiques pour aller plus loin;1 index

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Droit de la concurrence, 3e éd., Gualino un savoir faire de Lextenso et La Base Lextenso, 2022, Mémentos, 175 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Droit de la concurrence, 2e éd., Gualino un savoir faire de Lextenso, 2020, 157 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Droit de la concurrence, 20192e éd., Gualino, une marque de Lextenso, 2019, 155 p.  

    La 4e de couverture indique : "Le droit de la concurrence est incontournable pour tout acteur public-privé, qu'il exerce une activité de production, de distribution ou de service, qu'il intervienne sur le territoire national ou communautaire. Le droit de la concurrence est un droit spécial dont les règles tendent à préserver l'existence d'une concurrence libre entre entreprises sur le marché. C'est pourquoi les pratiques susceptibles de lui porter atteinte (ententes anticoncurrentielles, abus de position dominante) sont sanctionnées. Cet ouvrage présente de manière simple les règles qui encadrent le fonctionnement du marché. Ces règles poursuivent deux objectifs dont la complémentarité est souvent discutée: celui de protéger le libre jeu de la concurrence et celui de sauvegarder les intérêts particuliers des concurrents. Les développements s'articuleront autour de ces deux finalités. Cet ouvrage intègre les dispositions de la loi PACTE qui réforme le droit des pratiques restrictives de concurrence."

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Fiches de droit bancaire: rappels de cours et exercices corrigés, Ellipses, 2019 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Fiches de droit bancaire: rappels de cours et exercices corrigés, 2e éd., Ellipses, 2016, Fiches, 223 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Fiches de droit des instruments de paiement et de crédit: rappels de cours et exercices corrigés, Ellipses, 2013, Fiches, 185 p.  

    La 4e de couverture indique : "Cet ouvrage contient : 23 fiches de cours pour réviser tout le cours de Droit des instruments de paiement et de crédit : les définitions à connaître, les erreurs à éviter, les points essentiels à retenir ; des exercices corrigés pour vérifier ses connaissances : 21 questions de cours, 13 cas pratiques, 2 dissertations, 1 commentaire d'article, 1 exercice de prétoire ; des repères bibliographiques pour aller plus loin ; 1 index."

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Polycopié du cours des instruments de règlement des créances commerciales: maîtrise en droit privé, Ésprit étudiant (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2008, 201 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Cours de droit de la distribution, Ésprit étudiant (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2008, 161 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Polycopié du cours des instruments de règlement des créances commerciales: maîtrise en droit privé, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2007, 201 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Cours de droit de la distribution, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2007, 159 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Les instruments de règlement des créances commerciales: maîtrise en droit privé, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2006, 199 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Les instruments de règlement des créances commerciales: maîtrise en droit privé, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2005, 219 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Instruments de règlement des créances commerciales: maîtrise en droit privé, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2004, 211 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Droit européen du commerce: maîtrise en droit privé, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2003, 212 p. 

    Marianne Villemonteix, Marianne Lecene-Villemonteix, Instruments de règlement des créances commerciales: maîtrise en droit privé, Énergie étudiante (diffuseur) et Aquitaine d'édition, 2003, 209 p. 

  • Marianne Villemonteix, « Les procédures préventives dans l’Acte uniforme portant organisation des procédures collectives d’apurement du passif », le 09 avril 2024  

    Conférence organisée par la Chaire de Droit OHADA, IRDAP et DU de droit OHADA, Université de Bordeaux en partenariat avec / IBO (Institut bordelais de droit OHADA) / Club OHADA Provence, Aix-Marseille Université

    Marianne Villemonteix, « L'environnement juridique de l'entreprise dans l'espace OHADA », le 06 avril 2023  

    Colloque international organisé par les FUPA (Facultés universitaires privées d'Abidjan) en partenariat avec l'Irdap, Université de Bordeaux

Actualités Publications ENCADREMENT DOCTORAL
  • France Arielle Nzang ondo, La sécurisation des opérations d'affacturage dans l'espace UEMOA, thèse en cours depuis 2022 en co-direction avec Marianne Lecene-villemonteix  

    L'affacturage(aussi connu sous le nom de factoring ) est la convention par laquelle un établissement spécialisé accepte de régler les créances qu'une entreprise détient sur ses clients ,en contrepartie du transfert à son profit de ses créances et d'une rémunération. Cette équation consistera en une transformation d'un actif dormant en liquidité immédiate ayant pour but l'amélioration de la trésorerie des entreprises. Technique peu connue à l'époque de son introduction en France, l'affacturage est maintenant un produit financier entré largement dans la pratique et dont le périmètre juridique fait objet de règlementation structurelle. Si en France, le fonctionnement de l'affacturage s'effectue de façon singulière, il n'en demeure pas moins que dans l'espace sous régional africain il connaît un développement embryonnaire marginal. En effet, la loi portant sur la règlementation bancaire dans l'espace Ohada est muette donc, ne permet pas aux PME africaines d'exploiter de façon optimale les opérations d'affacturage. Il paraît donc nécessaire d'apporter un regard neuf sur cet instrument de financement alternatif qui va se révéler prodigieux dans les échanges commerciaux inter-africains des entreprises.

    Pierre Damien Fougou, La monnaie électronique dans les espaces bancaires européen, sous régionaux africains et OHADA, thèse en cours depuis 2020 en co-direction avec Marianne Lecene-villemonteix  

    Dans un environnement bancaire multiforme à l'échelle internationale et dans une évolution continue des moyens de paiement, laquelle évolution étant de plus en plus marquée par l'implication du numérique, il convient de se poser des questions sur certains secteurs à forte potentialité. Le constat de la numérisation de l'environnement bancaire est plus qu'évident. Il s'observe de prime abord par le développement par les banques, de moyens de paiement électronique (la carte bancaire) ou d'applications de suivi des comptes bancaires au profit de leurs clients, pour ne citer que ceux-ci. Toutefois, il faut relever qu'il ne s'agit là que d'outils à la disposition des banques, et que ces dernières sont soumises à des réglementations strictes en ce qui concerne leurs activités. Plus particulièrement, s'agissant de la monnaie relevant du pouvoir régalien de l'Etat, il est évident que les banques, individuellement, n'en créent pas. Elles sont, comme tout acteur économique, des intermédiaires de la circulation de la monnaie, bien qu'elles soient des intermédiaires bien particuliers. Dans cette logique de non-création de la monnaie en circulation, se pose une situation qui, si elle était inédite il y a quelques années, se banalise au fur et à mesure. Il s'agit du développement de la monnaie électronique. Au sens le plus large, la monnaie électronique est une monnaie stockée sur des mémoires électroniques avec la particularité d'être indépendante d'un compte bancaire. L'on peut donc aisément observer les problèmes qui se posent. Comment peut-on gérer des monnaies qui ont vocation à s'utiliser entre particuliers, professionnels, bref, dans la société, mais qui ne passent pas par le circuit normal de création de la monnaie et qui sont totalement sans contrôle des banques centrales. Comment les banques doivent-elles réagir à ce développement des monnaies électroniques, lequel développement étant indéniable car la seule perspective d'une monnaie électronique provoque une euphorie tant auprès des acteurs financiers que des particuliers. Il suffit d'observer la hausse fulgurante de la valeur de la crypto-monnaie Bitcoin et la place qu'occupent les monnaies électroniques tant dans les médias que dans le domaine de la bourse pour se rendre compte qu'il ne s'agit pas d'une histoire passagère, mais plutôt que la monnaie électronique, sous toutes ses formes, est destinée à s'installer confortablement dans les procédés de paiement et à perdurer dans le temps. Face à cela, ont surgit des plans d'action au profit des banques, lesquels plans ayant vocation à se peaufiner afin d'éviter que les banques restent en marge de cette source non négligeable de richesses. Afin de comprendre efficacement et de suivre cette course effrénée au profit et au contrôle des moyens de paiement, il faudra donc analyser les implications du développement de la monnaie électronique dans les espaces bancaires. Se restreindre à un seul espace bancaire desservirait une étude qui se veut optimale. De ce fait, il est apparu important de procéder à l'analyse envisagée au regard de deux espaces qui ont des cadres de réglementation différents. D'une part, l'on a un espace qui jouit d'une uniformisation de la réglementation bancaire assez stricte et donc d'une certaine stabilité des pratiques bancaires. De l'autre part, l'on retrouve un environnement sous régional qui se veut uniformisé dans le domaine du droit des affaires par le biais de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA), mais qui voit son environnement bancaire morcelé entre d'un côté l'espace UEMOA (Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine) et de l'autre, l'espace CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale). Ainsi, analyser la monnaie électronique sous le prisme du droit OHADA s'avère également être une occasion pour relancer des pistes de réflexion sur le débat portant sur l'opportunité d'un acte uniforme bancaire applicable aux pays membres de L'OHADA. Tout compte fait, l'étude des implications de la monnaie électronique dans les espaces banca

    Yvan Beligha, Réseaux de distribution et protection, thèse soutenue en 2019 à Bordeaux sous la direction de Marianne Lecene-Villemonteix et Daniel Mainguy, membres du jury : Jean-Christophe Roda (Rapp.), Frédéric Buy (Rapp.), Linda Arcelin  

    Si la réalité du réseau ne fait pas de doute, sa reconnaissance juridique peine toujours à être entérinée. Il est généralement présenté comme une somme de contrats organisant les relations entre le fournisseur et ses distributeurs. Il en résulte une double conséquence. D'un point de vue interne seul est privilégié le lien bilatéral établi entre le fournisseur et chaque distributeur, si bien que la protection dans le réseau n'équivaut qu'à la protection des parties au contrat. Reste que l'asymétrie de pouvoir entre les parties et la dépendance du distributeur peuvent faire craindre des abus de la part du fournisseur, déséquilibres que le droit des obligations et de la concurrence tentent de juguler. D'un point de vue externe, le réseau est dénué de toute consistance juridique à l'égard des tiers, cela se manifeste tout particulièrement dans le cadre du commerce parallèle pour lequel il est jugé que l'existence du réseau ne suffit pas à interdire aux tiers de revendre parallèlement. La valeur du réseau et l'atteinte qui lui est faite ne sont donc pas pris en compte. L'objectif de cette étude vise donc à intégrer l’existence du réseau au sein du régime intrinsèque et extrinsèque de protection existant. La mise en exergue de la dimension holiste du réseau nous conduira à partir du régime de protection actuel en y intégrant l’incidence et la considération du réseau.

    Aziza Ahle larbi, Le droit de la concurrence face aux ententes anticoncurrentielles nationales et internationales , thèse en cours depuis 2017 en co-direction avec Marianne Lecene-villemonteix et Jaouad El malhouf  

    Introduction: Les ententes anticoncurrentielles sont considérées comme les pratiques anticoncurrentielles les plus courantes et les plus dangereuses sur l'économie. Ces ententes peuvent porter atteinte au jeu normal de la concurrence, à l'intérêt des opérateurs économiques, notamment les petites et moyennes entreprises et ont l'intérêt des consommateurs. Les ententes peuvent se situer au niveau national comme elles peuvent se situer au niveau international. Les conséquences de ces dernières sont plus délicates sur l'économie que celles des ententes nationales. Elles peuvent toucher l'économie des pays développés ainsi que celle des pays en voie de développement. En effet, la dangerosité de ces ententes se présente plus sur l'économie des pays en voie de développement, non pas parce que ces dernières n'ont pas des conséquences sur les pays développés, mais parce que le droit de la concurrence et les mécanismes des pays en voie de développement ne sont pas assez solides pour faire face aux ententes anticoncurrentielles internationales. Donc les ententes anticoncurrentielles que se soit nationales ou internationales ont des conséquences préjudiciables sur le jeu normal de la concurrence, d'où la nécessité d'une réglementation stricte. Intérêt de l'étude: Sur le plan théorique, l'insuffisance des travaux portant sur les antennes anticoncurrentielles fonde l'intérêt de l'étude qui n'a jamais été menée de façon spécifique sous l'angle d'un droit comparé. De fait des effets préjudiciables des ententes anticoncurrentielles, la majorité des pays autour du monde ont adopté un droit de la concurrence pour surveiller ce genre de comportement. Néanmoins le Maroc et l'Union européenne sont à la traîne. Pour lutter contre les ententes anticoncurrentielles, le législateur marocain -à l'instar de celui de l'union européen a adopté un modèle de droit de la concurrence en transposant le même modèle européen et français, qui est considère le régime le plus développé au niveau mondial à côté de celui américain. Mais ce modèle de droit de la concurrence, qui a fait ces épreuves contre les ententes anticoncurrentielles en Europe et en France n'a pas réussi à faire les mêmes effets au Maroc. La problématique: Les questions principales que cette recherche essayera de trouver les réponses sont les suivantes : pourquoi ce droit de la concurrence qui fait ses épreuves face aux ententes injustifiables en Europe et en France en particulier est inefficace au Maroc ? Un tel droit transposé d'un pays développé (France) est-il adéquat aux caractéristiques du Maroc en tant qu'un pays en voie de développement ? Si tel n'est pas le cas, quels sont les solutions et les choix alternatifs ? Cette question nous renvoie à une deuxième problématique relative au droit de la concurrence face aux ententes anticoncurrentielles internationales. Aujourd'hui les ententes internationales, est un sérieux problème pour l'économie mondiale. Ces dernières ont des impacts très graves sur l'économie des pays développés comme la France, ainsi sur l'économie des pays en voie de développement comme le Maroc. Sans doute l'économie marocaine est plus exposée à la dangerosité des ententes internationales que l'économie française. Car le cadre juridique marocain de la concurrence n'est pas assez solide pour faire face aux ententes internationales. Le Maroc est parmi les meilleures destinations pour les investisseurs étrangers et les grandes sociétés Multinationales pour investir et créer de nouveaux marchés. Cependant, étant un pays en voie de développement, il est considéré comme un bon terrain pour conclure des ententes illicites internationales, malgré l'absence d'un cadre juridique solide pouvant condamner ces ententes. Au vu de tout ce qui précède, plusieurs questions se posent : Face à une situation d'absence d'un droit de la concurrence solide contre les ententes internationales, quelles sont les mesures que le Maroc doit adopter en tant qu'un pays en transition pour protéger son économie contre les préjudices nuisibles de ces ententes ?Est-ce que la France avec son r