Georges Virassamy, Alain Laguerre (dir.), Droit des affaires et sécurité alimentaire: workshop de mars 2017, Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2019, Travaux du CERJDA, 208 p.
Georges Virassamy, Alain Laguerre, Bruno Steinmann (dir.), La lutte contre la vie chère par la régulation économique, Presses universitaires d'Aix-Marseille et Impr. Université Aix-Marseille, 2015, Travaux du CERJDA, 126 p.
Georges Virassamy (dir.), Les conflits d'intérêts: colloque du 25 novembre 2011, Presses Universitaires d'Aix-Marseille, 2015, Travaux du CERJDA, 228 p.
Georges Virassamy, Alain Laguerre (dir.), L'implantation commerciale: colloque du 26 novembre 2010, l'Harmattan, 2013, Travaux du CERJDA, 174 p.
La 4e de couverture indique : "L'implantation commerciale est pour toute entreprise un acte fort, qui exprime nécessairement la confiance en soi et dans l'avenir. Toute implantation suppose en effet des investissements humains et matériels dont l'amortissement, au moins pour les derniers d'entre eux, n'est jamais garanti. L'entreprise accepte ainsi de courir le risque du succès ou de l'échec de sa stratégie. Sa pérennité et parfois plus simplement son développement peuvent s'en trouver confortés ou compromis. Il ne s'agit donc pas d'une décision dépourvue de conséquences. A l'origine, le choix d'implantation reposait sur des considérations industrielles ou commerciales : l'entreprise entendait se rapprocher de son marché ou de ses sources d'approvisionnement. Dans ces conditions, ce choix procédait d'une rationalité économique peu discutable. Depuis quelque temps cependant, les pouvoirs publics tant nationaux que régionaux ont introduit en la matière des éléments de décision dont il n'est pas exagéré de dire qu'ils pervertissent la rationalité du choix d'implantation. Préoccupées par les difficultés économiques et les pertes d'emplois qui en résultent, les Régions se livrent désormais à une véritable concurrence d'implantation au moyen d'incitations fiscales notamment, offrant ainsi aux entreprises des opportunités, voire de véritables «aubaines». Le problème est que, dans un tel contexte, l'enracinement de l'entreprise dans le territoire considéré n'est nullement assuré, surtout une fois épuisé l'effet d'aubaine. Dans le même temps, ces incitations sont contrebalancées par des contraintes qui réduisent et même suppriment tout désir ou toute liberté d'implantation. Les contraintes environnementales, d'urbanisme, l'encadrement de la concurrence et de l'activité économique (copropriété, centres commerciaux...), la volonté d'assurer la mixité des commerces dans les quartiers... sont autant d'éléments qui interviennent dans une décision d'implantation. Sans aucunement contester leur intérêt voire leur nécessité, il est indéniable qu'ils invitent à s'interroger sérieusement sur l'étendue et la réalité de la liberté d'implantation. Finalement, entre contraintes et incitations, l'implantation commerciale doit constamment concilier pouvoir public de volonté et pouvoir privé de volonté."
Georges Virassamy (dir.), Entreprises et loi de modernisation de l'économie: [actes du] colloque du 27 novembre 2009, l'Harmattan, 2011, Travaux du CERJDA, 228 p.
La 4e de couverture indique : "Moderniser l'économie. Voilà l'ambition de la loi du 4 août 2008, suivie de nombreux décrets et ordonnances. Et il faut bien avouer que sur différents points, une réforme s'imposait. Que dire en effet du régime des sanctions et des incapacités professionnelles ? Trop souvent, peines accessoires, elles frappaient des dirigeants sans que les juges eux-mêmes sachent qu'elles étaient attachées à la peine principale qu'ils prononçaient. Que dire du système dualiste d'autorités de la concurrence que connaissait la France qui confiait la mise en oeuvre de ce droit au Conseil de la concurrence et au ministre de l'économie, alors que la majorité des pays de l'Union européenne a opté pour un système unitaire ? Que dire des lourdeurs administratives qui entravent la création d'entreprises... ? Il fallait effectivement réformer dans un souci de modernisation. Mais la réforme devait-elle être celle de l'économie ou ne devait-elle pas d'abord être celle de l'entreprise ? L'économie est-elle en effet susceptible de modernisation quand nombreux sont les économistes qui enseignent que les lois de l'économie sont immuables et qu'il existerait même une main invisible du marché qui lui permettrait de s'autoréguler ? On connaît sur ce point les théories de l'Ecole de Chicago et de Milton FRIEDMANN. Il n'échappera toutefois à quiconque que répondre que l'économie ne pouvait être modernisée aurait été pour les pouvoirs publics un aveu d'impuissance bien malvenu en ces temps de volontarisme affiché. Dans le même temps, n'est-ce pas l'entreprise qui devrait être au centre de l'attention des pouvoirs publics et de leur volonté modernisatrice ? En permettant, sans toujours en mesurer les conséquences ou les inconvénients, l'apparition d'auto-entrepreneurs, en réglementant les délais de paiement... le législateur reconnaît implicitement mais nécessairement que sa loi de modernisation de l'économie ne pouvait ignorer que l'acteur essentiel de l'économie c'est bien l'entreprise. Il n'est pas de modernisation de l'économie qui n'aille de pair avec celle des entreprises. C'est pourquoi il est heureux qu'à la modernisation des outils, la loi de modernisation de l'économie ait ajouté celle des acteurs et de la police de l'activité."
Georges Virassamy (dir.), La fixation de ses prix, L'Harmattan, 2011, Travaux du CERJDA, 246 p.
La 4e de couverture indique : "La liberté d'entreprendre implique bien évidemment celle de choisir son activité et son organisation juridique. Implique-t-elle celle de définir sa politique de prix? Cette liberté-là est essentielle puisqu'elle détermine les profits de l'entreprise et donc les investissements à venir et la rémunération des apporteurs de capitaux. On s'attendrait par conséquent à une liberté totale de l'entreprise sur ce point. En réalité, fixer le prix de ses produits ou de ses services est pour elle une décision particulièrement délicate dans laquelle sa part de liberté est largement soumise à contraintes, si bien que l'on peut parler de liberté surveillée en dépit du principe affirmé par le Code de commerce. C'est d'abord vrai dans ses relations avec sa clientèle. Un prix trop élevé peut signifier un risque de perte de clientèle et donc de parts de marché et, sur un temps plus ou moins long, poser la question de la pérennité de l'entreprise. Cela est d'autant plus certain que la concurrence par les prix, surtout à l'heure de la publicité comparative, continue de primer la concurrence par les mérites que l'on tente de promouvoir, sans grand résultat jusqu'à ce jour. Le prix demeure l'élément qui fait la différence lorsque le consommateur ou l'acheteur prend la décision d'acheter. Aucune entreprise ne peut faire litière de cette réalité, sauf à être en situation de monopole ou de position dominante. Mais c'est tout aussi vrai dans ses relations avec ses concurrents. Discipliner la concurrence, voire l'éradiquer au moyen d'une politique de prix appropriée, voilà ce que toute entreprise souhaiterait pouvoir réaliser. Reste que le législateur encadre sa décision de fixer ses prix en lui imposant de tenir compte de considérations économiques (coûts de production, de transport, d'assurance, et intégration des taxes... notamment et prix de revient). Cela conduit à la prohibition des prix abusivement bas et de la revente à perte. Il lui interdit également de faire un prix moyen d'élimination de la concurrence. C'est l'interdiction des fameux prix prédateurs... Finalement, loin d'être un acte de souveraineté, la décision de fixer ses prix est pour l'entreprise d'abord et avant tout une décision de gestion mêlant à la fois considérations économiques et stratégie, le tout faisant néanmoins l'objet d'un encadrement juridique qui tempère le principe de liberté des prix et de la concurrence officiellement affirmé."
Georges Virassamy (dir.), La notation d'entreprises: colloque du 28 novembre 2008, L'Harmattan, 2010, Travaux du CERJDA, 208 p.
Georges Virassamy (dir.), L'entreprise face à l'éthique du profit, L'Harmattan, 2008, Travaux du C.E.R.J.D.A., 177 p.
La 4e de couverture indique : "La vocation normale de l'entreprise est, selon une opinion générale, de réaliser des bénéfices et donc plus largement des profits. Elle en a vivement besoin, ne serait-ce que pour continuer et développer son activité, embaucher du personnel et créer des emplois, et investir. Or, à l'ensemble des contraintes qui pèsent déjà sur elle, voilà que vient s'ajouter la préoccupation d'éthique de son profit. L'entreprise ne doit plus se contenter, si l'on ose écrire, de réaliser des profits. Encore faut-il que ces derniers procèdent d'un comportement éthique. Dans un premier temps, on peut être conduit à s'interroger sur la pertinence de cette exigence. Mais à la réflexion, l'actualité économique et juridique révèle des faits et des pratiques qui ne peuvent laisser indifférents mêmes les plus ardents défenseurs de la liberté d'entreprendre. Une entreprise peut-elle en effet réaliser des profits colossaux et en même temps procéder à de nombreux licenciements ? Un président de conseil d'administration peut-il demander et obtenir des stock-options pour plusieurs millions d'euros tandis que les salariés et mêmes les actionnaires doivent se contenter de primes et de dividendes ridicules ? Le même peut-il obtenir des millions d'euros à titre de prime de départ quand l'entreprise a accumulé des pertes non moins considérables ? Et même lorsque l'entreprise développe une activité normale, une prime de départ du président peut-elle, sans susciter la perplexité, avoisiner les cinquante millions d'euros ? Ces questions étaient à l'évidence suffisamment troublantes pour justifier l'intervention du législateur qui a récemment réglementé la pratique des " parachutes dorés " ou donné au commerce équitable une place en droit français. Probablement devra-t-il de nouveau intervenir pour éviter une affaire comparable au scandale qui a récemment frappé la Société Générale, qui révèle que la recherche de profits faciles a conduit à d'invraisemblables paris sur des indices boursiers, au risque d'exposer la troisième banque française à la faillite en raison du montant des positions prises."
Georges Virassamy (dir.), Entreprise et patriotisme économique: [actes du ]colloque organisé le 30 novembre 2007, L'Harmattan, 2008, Travaux du CERJDA, 272 p.
La 4e de couverture indique : "La mondialisation est désormais un phénomène bien connu qui affecte très largement l'activité des entreprises. Elle s'est traduite par de nombreuses délocalisations préjudiciables à l'emploi et à l'aménagement du territoire, les entreprises souhaitant très logiquement s'implanter dans des lieux offrant des coûts de production moins élevés. Elle s'est également traduite par la circulation des hommes, essentiellement des cadres, ces expatriations faisant généralement suite au déplacement des entreprises. S'y ajoute une circulation de plus en plus massive de capitaux qui a cette conséquence que des entreprises nationales passent ou risquent de passer sous contrôle étranger. L'apparition plus récente des fonds souverains, dont la puissance financière est annoncée comme devant dépasser les 12.000 milliards de dollars dans les années prochaines, aggrave cette tendance. On comprend dès lors que la plupart des pays soient tentés de protéger leurs entreprises, la différence entre eux portant surtout sur la méthode et le vocabulaire. En France, y compris parmi les plus hautes autorités de l'Etat, on fait référence au patriotisme économique pour justifier la résistance à la prise de contrôle d'entreprises françaises prestigieuses. D'autres pays européens, telles l'Allemagne ou la Russie, sans s'y référer expressément, ont aussi adopté des mesures de préservation de leurs entreprises ou de secteurs de leur économie. Cette préoccupation est ou tend à devenir générale. La difficulté tient à la légalité des procédés employés, que ce soit au regard des règles de liberté du commerce posées par l'Organisation mondiale du commerce (OMC), ou par rapport à celles du droit communautaire (liberté d'établissement et liberté de circulation des capitaux...). Il reste qu'au-delà de la légalité discutée du patriotisme économique, qui constitue en réalité trop souvent une forme de protectionnisme, il est incontestable qu'aucun pays, quel qu'il soit, ne peut accepter que certains domaines ou secteurs économiques stratégiques passent sous contrôle étranger, mettant ainsi en jeu sa sécurité ou son indépendance. Le tout est alors de les délimiter le plus clairement et le plus précisément possible pour concilier le besoin de sécurité et la liberté du commerce."
Georges Virassamy (dir.), L'entreprise confrontée aux risques naturels: colloque du 25 novembre 2005, l'Harmattan, 2007, Travaux du CERJDA, 174 p.
La 4e de couverture indique : "L'activité d'entreprendre n'est pas dépourvue de risques les plus divers. Risques industriels, risques commerciaux, risques technologiques, risques financiers... C'est d'ailleurs cela qui fait sa noblesse et qui légitime le profit, parfois considérable, qui peut en résulter. Mais il y a un risque auquel l'entreprise est de plus en plus fréquemment confrontée ainsi qu'en témoigne l'actualité récente. Il s'agit des risques naturels (tremblements de terre, cyclone, glissement de terrain, éruption volcanique, tsunami...). Ces risques sont tantôt prévisibles, tantôt imprévisibles, mais ils sont le plus souvent insurmontables. Cette confrontation peut être lourde de conséquences, puisqu'aux pertes matérielles et financières considérables pouvant conduire dans le pire des cas à la disparition de l'entreprise, peuvent s'ajouter des pertes humaines. Se pose dès lors et en premier lieu la question de la prévention de ces risques particuliers, ce qui conduit à s'interroger sur les moyens mis en oeuvre pour y parvenir et sur ceux qui en ont la charge. Se pose ensuite celle de la gestion du sinistre que constitue l'événement naturel, analysée sous l'angle des responsabilités civile et pénale, des assurances et du régime juridique des aides à la reconstruction ou à la replantation. C'est sous ce double questionnement que le CERJDA a analysé la confrontation de l'entreprise aux risques naturels, sans se douter que deux ans plus tard, en août 2007, la Martinique devait subir d'important dégâts occasionnés par l'ouragan Dean. C'est dire l'actualité et l'importance de ces réflexions."
Georges Virassamy, Alain Laguerre (dir.), L'entreprise et la commande publique: colloque du 26 novembre 2003, L'Harmattan, 2005, Travaux du CERJDA, 140 p.
Georges Virassamy (dir.), L'entreprise face au bicentenaire du code civil: colloque du 26 novembre 2004, l'Harmattan, 2005, Travaux du CERJDA, 204 p.
La 4e de couverture indique : "L'année 2004 a marqué le bicentenaire du Code civil et les célébrations officielles n'ont pas manqué, tout comme ont été nombreuses les publications scientifiques. Le CERJDA a entendu s'associer à ces manifestations en organisant fin novembre 2004 à la Faculté de droit et d'économie de la Martinique un Colloque qui a porté sur " l'entreprise face au bicentenaire du Code civil ". " L'entreprise face ou bicentenaire du Code civil ". Voilà un rapprochement qui peut paraître particulièrement surprenant au premier abord, dès lors que l'entreprise relève normalement du droit commercial qui a ses règles propres, parfois exclusives de celles du Code civil. Et de fait, le réflexe premier est de se référer au Code de commerce pour y chercher les règles applicables. Mais en réalité, cette première approche est trompeuse, les liens entre l'entreprise et le Code civil étant plus nombreux qu'il n'y paraît. Le Code civil a en effet été la source de l'encadrement juridique de l'activité, à la fois en ce qui concerne les moyens (contrat, propriété...) et les acteurs (personnes physiques et personnes morales). Il est donc erroné de croire que l'entreprise a rompu tout lien avec le Code civil. Aussi l'objet de ce colloque a-t-il été de rechercher, du double point de vue des acteurs et de leurs moyens, quelle a été l'évolution du Code civil entre 1804 et 2004, la réflexion finale portant sur la pérennité de ce Code comme source de l'encadrement juridique de l'activité des entreprises."
Georges Virassamy, Gérard Gabriel Marion (dir.), Recherches individuelles et intérêt collectif, l'Harmattan, 2005, Annales de la Faculté de droit et d'économie de la Martinique, 383 p.
Georges Virassamy (dir.), L'entreprise insulaire, L'Harmattan, 2004, Travaux du CERJDA, 240 p.
La 4e de couverture indique : "Comme son nom l'indique, l'entreprise insulaire doit être définie comme celle installée dans une île. Or, entreprendre en milieu insulaire présente d'incontestables particularités : étroitesse du marché, éloignement, difficultés d'approvisionnement, coût du transport... A cela s'ajoute le phénomène redoutable que constitue la mondialisation de l'économie qui conduit les économies insulaires à se livrer une sévère concurrence d'implantation pour attirer les investisseurs. La situation des entreprises insulaires connaît par conséquent une alternance d'éléments qui peuvent apparaître comme favorables (étudiés dans l'ouvrage au titre des moyens), et d'autres qui le sont moins (les contraintes). L'ambition du colloque du CERJDA, dont les actes sont ici publiée, se limitait en premier lieu à attirer l'attention sur la singularité de l'acte d'entreprendre en milieu insulaire, et en second lieu à esquisser une définition et un régime juridique de l'entreprise insulaire."
Georges Virassamy (dir.), L'entreprise et l'illicite: colloque des 29 et 30 novembre 2001, L'Harmattan, 2003, Travaux du C.E.R.J.D.A, 176 p.
Georges Virassamy (dir.), Droit et pratiques syndicales en matière de conflits collectifs du travail: actes du colloque des 18 et 19 décembre 2000 [organisé à la Faculté de droit et d'économie de la Martinique], L'Harmattan, 2002, Travaux du CERJDA, 178 p.
Georges Virassamy, Martine Behar-Touchais, Les contrats de la distribution, LGDJ, 1999, Traité des contrats, 938 p.
Georges Virassamy, « La biodiversite : entre protection et exploitation », 2017
Introduction Le droit de l’environnement est un droit relativement neuf, qui témoigne de l’intérêt contemporain porté à la préservation de notre cadre de vie. Il n’est pourtant pas inutile de relever que nous n’avons en réalité pas le monopole de ces préoccupations. Très tôt en effet, des dirigeants avaient pris des initiatives en ce sens. C’est ainsi que le Pharaon AKHENATON avait créé la première réserve naturelle en 1370 avant J. C. De même, l’empereur indien Asoka avait rédigé dès le IIIe...
Georges Virassamy, « S'agissant d'un contrat conclu pour une durée déterminée qui a été régulièrement dénoncé avant son expiration, le concédant n'a pas à tenir compte des investissements réalisés par le concessionnaire et il n'est pas tenu de motiver sa décision », Recueil Dalloz, 1995, n°25, p. 355
Georges Virassamy, « Caducité d'une offre de vente du fait du silence du bénéficiaire pendant un délai raisonnable », Recueil Dalloz, 1993, n°34, p. 493
Georges Virassamy, « Il y a erreur sur les qualités substantielles d'actions objet d'une cession lorsque les cessionnaires ignoraient que, par une précédente convention affectée d'une condition suspensive, la société avait vendu son fonds de commerce », Recueil Dalloz, 1992, n°15, p. 190
Georges Virassamy, « Le tiers qui paye la dette d'autrui a un recours contre le débiteur bien que non subrogé aux droits du créancier », Recueil Dalloz, 1991, n°37, p. 538
Georges Virassamy, « La révélation du passif fiscal d'une société postérieurement à la cession des parts sociales, ne constitue pas un vice caché de ces parts », Recueil Dalloz, 1991, n°23, p. 333
Georges Virassamy, « Clause de réserve de propriété : les parties n'ont pas la possibilité de stipuler une présomption d'identité des marchandises détenues par l'acheteur en faillite », Recueil Dalloz, 1991, n°10, p. 130
Georges Virassamy, « Le décès du pollicitant rend caduque l'offre adressée par ce dernier à un tiers », Recueil Dalloz, 1990, n°24, p. 365
Georges Virassamy, « Le caractère spécifique du produit réalisé, critère du contrat d'entreprise », Recueil Dalloz, 1990, n°17, p. 246