• Philippe de Lara, Vincent Descombes, Exercices d'humanité: dialogue avec Philippe de Lara, les Petits Platons, 2013, Les dialogues des Petits Platons, 183 p.   

    Philippe de Lara (dir.), Naissances du totalitarisme, les Editions du Cerf, 2011, Cerf politique, démocratie ou totalitarisme, 254 p.    

    La 4e de couverture indique : « La question totalitaire n'est pas close. Les révolutions communiste, fasciste et nazie forment un phénomène unitaire. Le fait est désormais à peu près accepté, mais il reste encore à le dompter dans la pensée. Philosophes et historiens se livrent ici ensemble à ce travail. Le totalitarisme ne se limite pas aux systèmes stalinien et nazi dans leur maturité. Dès les premiers pas du bolchevisme et du fascisme apparaît une combinaison inédite de violence politique et de foi révolutionnaire. Des observateurs lucides en eurent l'intuition dès les années trente (Bernard Bruneteau). Emilio Gentile montre le totalitarisme originaire du fascisme, dès la naissance du " parti milice " de Mussolini en 1919. Ce mélange de terreur et de ferveur défie les notions habituelles d'idéologie et de tyrannie. L'idéologie est-elle le coeur des régimes totalitaires ? La question divise toujours les historiens. Révolution du nihilisme, religion politique, contre-religion : Thierry Gontier, Philippe Raynaud et Paul Thibaud discutent ces interprétations. Pourquoi la Russie, pourquoi l'Italie, pourquoi l'Allemagne ? L'anthropologie renouvelle la question des origines : le totalitarisme est une réaction extrême à la modernisation, dans des pays où elle a été tardive et brutale (Philippe de Lara). À la fois réactions passéistes et surenchères futuristes, les totalitarismes sont partie intégrante de la modernité. »

    Philippe de Lara, Le rite et la raison: Wittgenstein anthropologue, Ellipses, 2005, Philo, 165 p.   

    Philippe de Lara, L'expérience du langage: Wittgenstein philosophe de la subjectivité, Ellipses, 2005, [Philosophie anthropologique], 151 p.   

    Philippe de Lara (dir.), La liberté des modernes, 2e éd., Presses universitaires de France, 1999, Philosophie morale, 308 p.   

    Philippe de Lara, Guy Laforest (dir.), Charles Taylor et l'interprétation de l'identité moderne: [colloque du Centre culturel international de Cerisy-la-Salle, 1996], Cerf et les Presses de l'Université Laval, 1998, Passages, 372 p.   

  • Philippe de Lara, « Prendre le droit soviétique au sérieux », Société de législation comparée, Paris : Société de législation comparée et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 2013, pp. 879-903    

    Le droit soviétique n’était à proprement parler ni du droit au sens courant ni le simple paravent d’un pouvoir arbitraire, mais plutôt un droit «de type nouveau », caractérisé par une tension structurelle entre dépérissement du droit et édification d’un droit socialiste. Sa fonction était de rendre compatible le contrôle intégral de la vie sociale par le parti et le besoin d’une régulation juridique de l’économie et de la société. La vie quotidienne (ici les contrats entre entreprises) n’était ni absorbé par le pouvoir idéologique ni dotée d’une dynamique indépendante. Cette analyse éclaire la question de la longue durée, faite de changements et de continuités, du régime soviétique. L’article est basé sur le droit comparé occidental de l’URSS et discute en annexe l’oeuvre de Harold Berman (1918-2007), un important représentant de la théorie «réaliste » du droit aux États-Unis.

    Philippe de Lara, Marcel Hotterbeex, Jean-Pierre Faure, Victor Leduc, Yves Galifret [et alii], « Discussion. Colloque de Dourdan », Paris : Editions rationalistes et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1976, pp. 29-64    

    Hotterbeex Marcel, Faure Jean-Pierre, Lara Philippe de, Leduc Victor, Galifret Yves, Leclerc Marc, Radjavi Kazem, Gohau Gabriel, Huron Roger, Marchand Jacqueline, Bureau Jean-Louis, Hincker François, Brunet Gilbert, Hémard Albert, Hémond, Joly Roger. Discussion. Colloque de Dourdan. In: Raison présente, n°37, Janvier – Février – Mars 1976. Marxisme et rationalisme. pp. 29-64.

  • Philippe de Lara, F. Dupuy, J.-C. Thoenig, la Loi du marché : l'électroménager en France, aux États-Unis et au Japon, 1986, Paris : Dunod et PERSÉE : Université de Lyon, CNRS & ENS de Lyon, 1989, pp. 138-141    

    Lara Philippe de. F. Dupuy, J.-C. Thoenig, la Loi du marché : l'électroménager en France, aux États-Unis et au Japon, 1986. In: Sociologie du travail, 31ᵉ année n°1, Janvier-mars 1989. pp. 138-141.

  • Philippe de Lara, « Liberté, République, Démocratie », le 27 juin 2024  

    Colloque en l'honneur du professeur Philippe Raynaud, organisé par le Centre Thucydide, Université Paris Panthéon-Assas sous la direction scientifique de Jean-Vincent Holeindre, Centre Thucydide et François Saint-Bonnet, Institut Michel-Villey

    Philippe de Lara, « Lectures de... N° 5 : lectures croisées de Le droit à l'ombre de la croix gammée (M. Stolleis) et de Justifier l’injustifiable, l’ordre du discours juridique nazi (O. Jouanjan) », le 12 avril 2018  

    Table-ronde organisée le 12 avril 2018 à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne par Pierre Bonin et Nader Hakim, avec l’assistance de l’Institut de Recherches Juridiques de la Sorbonne (Paris 1). Textes à paraître dans A. Gaillet et X. Godin (éd.), Pousser les frontières franco-allemandes. Hommage au Professeur Michael Stolleis, Numéro hors-série de la Revue d’histoire des Facultés de droit.

    Philippe de Lara, « Asile, immigration, le “en même temps” à l’épreuve », le 08 mars 2018  

    « Le Rendez-vous des politistes » du Département de droit public et de sciences politiques de l'Université Paris Il Panthéon-Assas

    Philippe de Lara, « H.L.A. Hart, le droit et la morale », le 19 avril 2013  

    Colloque organisé par l'Institut Michel Villey pour la Culture juridique et la Philosophie du Droit et la Maison française d’Oxford

  • Philippe de Lara, making sense of the "ukraine crisis": origins, interpretations, and (possible) consequences  

ActualitésPublicationsENCADREMENT DOCTORAL
  • Oleksiy Sigov, Етика свідчення : герменевтичний підхід, thèse soutenue en 2019 à Lyon sous la direction de Françoise Lesourd et Victor Malakhov, membres du jury : Oleksandr Filonenko (Rapp.), Yevheb Bystrycky, Jean-Philippe Pierron et Oleh Bylyi    

    Cette thèse tente de décrire les éléments clés du phénomène du témoignage, les éléments qui en font une partie inhérente de la culture occidentale contemporaine. Elle tente également de déterminer dans quelle mesure l'attention portée à ces éléments peut contribuer à la formation d’une nouvelle éthique de la mémoire dans une société post-soviétique, en Ukraine en particulier.La recherche est centrée sur la triade témoin (l’agent) – récit (l’objet) – auditeur (le destinataire). L’interconnexion de ces trois phénomènes clés du témoignage révèle une différence structural selon le type de discours: historique, juridique, littéraire, religieux, philosophique ou médiatique. Il y a néanmoins une caractéristique fondamentale qui est présente dans tous ces discours mentionnés: il s’agit de l’événementialité du témoignage, de ce qui ne permet pas de le réduire à un fait.En commençant par la reconnaissance de sa nature événementielle, on essaye de montrer comment une analyse herméneutique du phénomène du témoignage aide à créer des «lunettes» qui pourraient sensibiliser un citoyen européen (notamment un ukrainien) contemporain à reconnaitre l’importance de l’histoire orale (oral history) dans sa vie quotidienne, ainsi que dans sa perception des événements du passé (en particulier des catastrophes du XXe siècle qui on eu lieu en Ukraine). En d'autres termes, on cherche à décrire comment une rencontre avec le témoin permet de redécouvrir la question de l’identité.Dans notre analyse, on établi une distinction entre le témoignage sur un événement et le témoignage en tant qu'événement. On définit des critères de présence et d’influence du témoignage dans la culture et on traite la question de l’objectivité du témoignage. Ainsi on distingue trois domaines de recherche. Le premier domaine peut être qualifié en tant généalogique: il s’agit d’une analyse de l’évolution de l’idée du témoignage dans la culture occidentale. Le deuxième domaine est de l’ordre phénoménologique: c’est une analyse de la théorie du sujet par le biais de l’attestation (la notion d’attestation permet d’articuler le lien entre la dimension transcendantale du témoignage et sa dimension empirique). Le troisième domaine est pratique: il s’agit de considérer le témoignage en tant qu’un événement qui a un grand potentiel éthique (le témoignage étant un facteur clé pour la recherche d’une compréhension mutuelle).

    Cécile Gonçalves, Estado Novo salazariste et « sortie de la religion », thèse soutenue en 2015 à Paris EHESS sous la direction de Marcel Gauchet  

    Cette thèse constitue une tentative de définition de la nature du système politique mis en place par Antonio Oliveira Salazar dans le sillage du coup d'État militaire survenu en 1926 au Portugal. Le régime salazariste partage de nombreuses similitudes avec le régime mussolinien (exaltation de la nation, parti unique, goût prononcé pour les uniformes, haine farouche du communisme). Pourtant, il n'en constitue pas moins une forme différente de recomposition du « primat ordonnateur du politique ». La recomposition qu'il réalise a envisagé de renouer une alliance entre les autorités séculière et spirituelle en vue de constituer un « État fort ». L'analyse de cette alliance entre État et Église a constitué le fil directeur de notre travail dans Ia perspective d'une comparaison avec le totalitarisme ou « religion séculière ». Si l'Estado Novo est bien un produit de la crise de la démocratie de l'entre-deux-guerres, il demeure différent par la nature des totalitarismes nazi et fasciste en ce qu'il espérait non pas revenir à l'unité primordiale entre structurations religieuse et politique propre aux sociétés sans État mais voulait revenir au stade de la collaboration entre pouvoirs politique et spirituel propre à l'époque de Ia première modernité c'est-à-dire la monarchie absolue. Notre idée est donc que « l'art de gouverner » salazariste est davantage redevable au régalisme du marquis de Pombal qu'à Ia révolution anthropologique orchestrée par les régimes fasciste et nazi.

  • Camille Dejardin, John Stuart Mill, libéral utopique, thèse soutenue en 2018 à Paris 2 sous la direction de Philippe Raynaud et Pierre Manent, membres du jury : Alan S. Kahan (Rapp.), Claude Habib (Rapp.), Frédéric Brahami  

    Comment rendre compte de la richesse syncrétique, souvent mésestimée, de la pensée politique de John Stuart Mill ? Nous soutenons que celle-ci est cohérente et que sa clé d'unification se trouve dans sa conception du Progrès, conçu à la fois comme nature et comme destination humaine, qui permet de subsumer la diversité de ses théories au sein d'une utopie d'un type nouveau, libérale et centrée sur les conditions de sa production et de son maintien. En ce sens, la Partie I s’attache à identifier les différents apports idéologiques qui nourrissent ses écrits, entre libéralisme, socialisme et conservatisme, ainsi que leurs limites respectives. La Partie II propose le concept de « libéralisme transcendantal » pour décrire la relation et la complémentarité de ces différentes influences au sein d’une doctrine unifiée sous l'hégémonie du libéralisme, promouvant avec exigence l’autonomie humaine à l’échelle individuelle comme à l'échelle collective en s'attachant toujours à ses conditions de possibilité, aux fins du Progrès. La Partie III s'intéresse alors aux ressorts matériels, moraux et politiques de ce Progrès : développement indéfini des individualités et de « l'art de vivre », c'est-à-dire bonheur dynamique, dans un état économique et démographique pourtant « stationnaire », et sous des institutions représentatives vouées à cultiver l'excellence dans le respect du pluralisme. Au terme de cette reconstitution théorique, les Perspectives proposent des éléments pour une refondation de la pensée progressiste, en particulier écologique et éducative, émancipée des clivages partisans contemporains, dans l'esprit de John Stuart Mill.

    Pierre Rigoulot, Une critique du totalitarisme. Méthode et enjeux, thèse soutenue en 2015 à Paris 2 sous la direction de Philippe Raynaud, membres du jury : Bernard Bruneteau, Gil Delannoi et Gérard Grunberg  

    Quatre ouvrages sont retenus dans le cadre de cette thèse sur travaux. Le Siècle des Camps s’interroge sur les raisons qui font du siècle précédent la période de l’histoire connaissant la plus grande extension de systèmes concentrationnaires. Il propose une typologie des camps liée à la fonction qu’ils exercent dans les différents systèmes politiques. Corée du Nord, Etat voyou examine la genèse d’un Etat dont on affirme souvent qu’il est la forme la plus achevée du totalitarisme. Cette affirmation est endossée ici, avec des nuances qui tiennent à un fonctionnement sectaire et à une idiosyncrasie idéologique spécifique. Coucher de Soleil sur La Havane propose une histoire de la formation volontariste d’un Etat au fonctionnement totalitaire, de ses rapports avec le monde extérieur et des illusions qu’il a suscitées. Georges Albertini, biographie d’un socialiste pacifiste des années 1930 devenu Collaborateur tout en se revendiquant de la gauche et de la révolution oblige à s’interroger sur les rapports entre certaines acceptions du socialisme avec le nazisme. Ces travaux renvoient tous en effet à des réalités totalitaires et à quelques-uns des problèmes que pose l’utilisation du concept de totalitarisme en science politique. Ils sont aussi l’occasion d’une réflexion sur les rapports entre une oeuvre conçue par leur auteur comme « militante » et l’objectivité exigible de tout effort d’acquisition de connaissances. L’engagement éthique et politique préalable n’a-t-il pas valeur heuristique ? Il détermine une approche qui privilégie l’attention au sort des individus et aux droits humains – ce que précisément refusent de prendre en compte les idéologies ou les institutions totalitaires.

    Liliana Beatriz Ponce, Cornelius Castoriadis et la question de la temporalité dans le domaine social-historique , thèse soutenue en 2014 à Paris EHESS sous la direction de Vincent Descombes  

    A partir de la lecture et de l’interprétation de l’œuvre de Cornélius Castoriadis, cette thèse aborde la question de l’histoire et de la temporalité comme composantes essentielles des pratiques humaines. Elle se propose la relecture des sources philosophiques et socio-anthropologiques mobilisées par la pensée de Castoriadis en vue de comprendre les principales catégories d’analyse posées par l’auteur de l’une des philosophies les plus originales de la fin du XXe siècle. En faisant de la philosophie un discours militant, Castoriadis annonce un mode de faire de la philosophie une pratique où la réflexion ontologique, la réflexion épistémologique et la pensée politique ont leur place. Notre travail s’est fait en trois temps : une exploration des principales catégories employées afin d’élucider la « conception héritée » du « domaine social-historique » comme « mode d’être » propre à l’homme. Par la suite, nous avons tenté d’avancer les dérivations logiques, épistémologiques et politiques de la « philosophie de l’histoire » traditionnelle et son rapport avec la pratique politique. Enfin, nous avons développé les principales thèses castoriadiennes sur l’historicité et sur la temporalité afin de récupérer le soubassement imaginaire de toute pratique théorique et politique. Le propos de notre thèse a été de redécouvrir les problèmes de l’ontologie et de l’épistémologie politique sous la lumière des nouvelles catégories qui permettraient de rendre compte des « domaines de l’homme » comme « domaine de l’altérité ».

    Daniel Ramirez Ibanez, Identité culturelle et dimension éthique. Une réflexion à partir de la pensée de Charles Taylor, thèse soutenue en 2012 à Paris 4 sous la direction de Alain Renaut, membres du jury : Jean-Marc Ferry    

    Cette thèse est une recherche des moyens de formuler une éthique des identités culturelles appropriée aux sociétés multiculturelles dans le monde diversifié du présent. Elle prend appui sur l’appareil conceptuel du philosophe Charles Taylor, principalement sur sa conception de l’identité du moi, dialogique et enchâssée dans des cadres de signification historico-culturels. Une exploration des diverses identités culturelles qui s’expriment dans le monde à l’âge séculier nous montre la pertinence de la question de la reconnaissance des cultures et de la nécessité d’approfondir des méthodes de compréhension de l’autre, inspirées, dans le cas de Taylor, de l’herméneutique gadamérienne. Pour cela, une mise à distance de l’ethnocentrisme et une volonté d’ouverture à la différence culturelle, semblent indispensables. L’application pratique que déploie dans ses travaux la Commission des accommodements culturels du Québec montre que cela est possible et constitue peut-être une voie d’avenir pour des sociétés démocratiques où la différence culturelle pourrait être vécue d’une façon apaisée, posant les bases d’une éthique des identités culturelles.

    Fabrice Louis, Activité et intentionnalité : le cas de l'Education Physique et Sportive, thèse soutenue en 2010 à Nancy 2 sous la direction de Roger Pouivet, membres du jury : Bertrand During, Eirick Prairat et Gérard Sensevy    

    Quel intérêt une enquête de nature philosophique peut-elle avoir pour l'Education Physique et Sportive (EPS) ? Quels objets d'étude l'EPS peut-elle fournir à la philosophie ? Cette thèse a pour ambition de répondre à ces deux questions. La démarche retenue consiste d'une part à faire émerger l'arrière plan philosophique qui influence le plus souvent implicitement les options pédagogiques des enseignants de manière à initier un programme de recherche en épistémologie de l'EPS. Ceci nous a conduit d'autre part à éclairer le champ d'investigation de l'EPS (l'action, la connaissance, ...) dans la perspective de l'externalisme. C'est en effet en dissociant le langage des causes et des raisons que nous pouvons comprendre ce que fait quelqu'un lorsqu'il agit. L'importance accordée au sens de l'action nous pousse alors à décrire les usages que l'agent pourrait faire de sa motricité dans d'autres situations que celles où nous le voyons agir. Sous l'influence de L.Wittgenstein, c'est à une conception linguistique des apprentissages que nous sommes conduits. Par conséquent, on considérera qu'il faut éviter de rechercher les facteurs limitant l'apprentissage en se fondant uniquement sur une étude internaliste de l'agent. Dans de nombreux cas, il sera plus judicieux d'essayer de comprendre pourquoi le sujet agit ainsi. Nous avons par conséquent identifié un nouveau contenu d'enseignement : apprendre à identifier l'action que je réalise lorsque j'agis dans le cadre d'un apprentissage. Le champ d'investigation de l'EPS ainsi éclairé par la perspective externaliste nous incite à reconsidérer la notion de limite du sujet pour prendre en compte la dimension impersonnelle de son identité.