Une année universitaire marquée par la reprise de toutes nos activités en présentiel (enseignements, examens, colloques, réunions), un soulagement pour tous après deux années très difficiles.
Du 27 au 29 janvier la Conférence des doyens des facultés de droit était notre invitée. La procédure de sélection pour entrer en Master a été l'un des sujets traités. En l'absence d'une procédure nationale dont la mise en œuvre a été reportée d'une an née par le MESRI, nous avons amélioré le système local : 3 vœux hiérarchisés, parmi les 16 mentions (sur 43 parcours en formation initiale), en publiant les attendus et les « taux de pression » par parcours.
Avec le Conseil de faculté, nous avons beaucoup travaillé sur le projet de faire évoluer notre faculté, actuellement Unité de Formation et de Recherche, vers une École de droit (C. éduc., art. L. 713-9). L'objectif, préconisé par le dernier rap port HCERES et repris dans les axes stratégiques de l'établissement est de donner à notre faculté, à l'instar des économistes et des gestionnaires, une plus grande autonomie et agilité, dans un contexte de structuration complexe du deuxième pôle universitaire de France qu'est Toulouse. La future École de droit devrait comprendre 4 départements : Formations, Recherche, Partenariats et Politique internationale.
Après l'annonce faite à la mi-février de la reconnaissance du statut de Grand établissement à TSE, nos réflexions actuelles portent aussi sur la création d'un Établisse ment Public Expérimental (EPA) qui aurait vocation à rassembler le droit, la science politique, l'économie et la gestion. Les discussions sont animées, au pays de Claude Nougaro. Nous espérons contribuer à une solution permettant d'affirmer la place des juristes sur notre site universitaire