Jean-Paul Pancracio, Dictionnaire de la diplomatie, 5e éd., Levad éditions, 2024, 584 p.
Dictionnaire proposant 330 rubriques portant sur le langage, le droit et la vie des institutions diplomatiques et consulaires, par exemple : accréditation, bonne foi, embassade de plein exercice, consul, corps diplomatique, dignité de l'agent diplomatique, diplomatie (numérique, préventive, secrète...), éloquence, étiquette, excellence, fonctionnaire international, goûteur, état de guerre, immunités, lettres, négociation, note, protocole, valise diplomatique etc.
Jean-Paul Pancracio, La vie du littoral: définir, protéger, aménager, Presses universitaires de Rennes, 2023, Collection Épures, 138 p.
Jean-Paul Pancracio, Laisses de mer, Levad éditions, 2021, 326 p.
Jean-Paul Pancracio, Dictionnaire de la diplomatie, 3e éd., Jean-Paul Pancracio, 2019, 701 p.
La 4e de couv. indique : "A travers un parcours de 480 rubriques, cette troisième édition du Dictionnaire de la Diplomatie propose une vision vivante et actuelle du fonctionnement des institutions diplomatiques, à la fois françaises et étrangères. Dans les grandes fonctions qui sont les leurs - représenter, informer, négocier, protéger - le personnel et les institutions diplomatiques n'ont cessé de s'adapter à l'évolution du monde. Outil de mise en oeuvre de la politique étrangère de l'Etat, la diplomatie repose sur un système universel d'échanges mis en place au fil des siècles. Il n'a cependant cessé de s'adapter pour répondre aux exigences relationnelles de chaque époque, comme par exemple le quadruplement du nombre d'Etats depuis 1945 et l'évolution marquante des techniques de communication. Conçu dans une optique pratique, ce dictionnaire est illustré de centaines d'exemples. Son ambition est d'être utile aux praticiens mais aussi à tous ceux qui, à un moment donné, ont besoin ou simplement le désir de se renseigner sur ces institutions dont le rôle, loin de faiblir, est plus que jamais essentiel dans le monde d'aujourd'hui. Il sollicite pour cela une pluralité de disciplines : linguistique, histoire, droit, science administrative."
Jean-Paul Pancracio, Philippe Chapleau, La piraterie maritime: droit, pratiques et enjeux, Vuibert et INHESJ, 2014, 223 p.
La 4e de couv. indique : "Après avoir sévi dans l’océan Indien, les pirates font désormais des ravages dans les mers et détroits d’Asie et dans le golfe de Guinée. Décider de combattre le phénomène, c’est accepter de mettre en oeuvre un arsenal juridique, technologique et humain cohérent. Lutter efficacement contre le phénomène, c’est accepter de déployer, dans la durée, des moyens financiers et matériels au profit des États côtiers et des navigateurs. C’est aussi reconnaître les limites des actions multilatérales de prévention, qu’elles soient politiques ou tactiques. Les actions multilatérales n’ayant que modérément réussi à enrayer le développement du phénomène, le recours à des solutions privées s’est développé : fortification des navires, installation d’équipements de dissuasion non létale et, surtout, embarquement d’équipes armées fournies par des sociétés spécialisées. Cette dernière mesure, efficace comme en témoignent les chiffres et désormais acceptée par de nombreux États, est-elle juridiquement viable et en harmonie avec le droit de la mer ? Doit-elle s’effectuer en dehors du cadre d’intervention de l’État ou bien, à l’inverse, s’inscrire dans une délégation multilatérale de services de protection armée, la sécurité des mers restant une fonction en partage et du ressort exclusif des États ? Des États qui, comme d’autres acteurs (compagnies d’assurances, sociétés de sécurité), semblent trouver un intérêt individuel à lutter contre la piraterie. « La qualité de cet ouvrage, fait de rigueur et de hauteur de vue, préfigure ce que doit devenir l’analyse des problématiques de sûreté des entreprises, c’est-à-dire une tâche rassemblant toutes les compétences par-delà des clivages usés et inaptes à offrir un discours crédible dans le siècle d’une mondialisation aux multiples visages, tantôt enthousiasmants, tantôt inquiétants. » (extrait de la préface d’Éric Delbecque) "
Jean-Paul Pancracio, Pierre-Henri Guignard, Protocole et cérémonial: l'ordre de la République, Ed. Pedone, 2012, 218 p.
Jean-Paul Pancracio, Droit de la mer, Dalloz, 2010, Précis ( Droit public, science politique ), 520 p.
Jean-Paul Pancracio, Stéphane Kotovtchikhine, Alain Wijffels (dir.), Les acteurs de la guerre: actes du colloque international, 12 et 13 mars 2009, Dijon, Centre Georges Chevrier, 2010, 296 p.
Jean-Paul Pancracio, Le défi de la piraterie maritime et de son traitement judiciaire, CEREM, 2009, 75 p.
Jean-Paul Pancracio, Droit et institutions diplomatiques, Pédone, 2007, Ouvertures internationales, 268 p.
Jean-Paul Pancracio, Dictionnaire de la diplomatie, Dalloz et Éd. Micro Buss de Bussac, 2006, 684 p.
Jean-Paul Pancracio, Chroniques de droit international public, Armée de Terre, Direction générale de l'enseignement et de la recherche, Centre de recherche des écoles de Saint-Cyr Coe͏̈tquidan, 2005, 247 p.
Jean-Paul Pancracio, Dictionnaire de la diplomatie, Éd. Micro buss, 1998, 697 p.
Jean-Paul Pancracio, Droit international des espaces: air, mer, fleuves, terre, cosmos, A. Colin, 1997, U ( Droit ), 281 p.
Jean-Paul Pancracio, Cours de droit international public, Université de Clermont-Ferrand I, 1988, 303 p.
Jean-Paul Pancracio, Les groupes publics en France et en Italie, 1981, 1012 p.
Jean-Paul Pancracio, « La protection de la biodiversité au-delà des zones sous juridiction nationale », 2016, pp. 541-563
La conservation et l’utilisation durables de la biodiversité au-delà des zones maritimes sous juridiction nationale sont actuellement l’objet d’un important processus de négociations engagé au sein de l’ONU sur le fondement de la résolution de l’Assemblée générale 69/ 292 du 19 juin 2015. L’objectif est de conduire en ce domaine à un futur accord contraignant «se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer », avec pour finalité de combler les lacunes que présente cette dernière en ce qui concerne la protection de la biodiversité en haute mer et dans la Zone (fonds marins internationaux). Au-delà de la nécessité avérée d’un tel accord, reconnue désormais par l’ensemble des États, c’est cependant un mur de complexités juridiques que doit affronter le Comité préparatoire dont les travaux doivent se terminer à l’automne 2017 et auxquelles seront également confrontées un peu plus tard les délégations réunies au sein de la conférence intergouvernementale chargée d’élaborer le texte de l’accord, dont certains voudraient qu’il fût le fondement d’une gouvernance internationale des océans.
Jean-Paul Pancracio, « Zones maritimes et pouvoirs de police », Juristourisme : le mensuel des acteurs du tourisme & des loisirs , 2013, n°155, p. 23
Jean-Paul Pancracio, « Tourisme de croisière et compétence juridictionnelle », Juristourisme : le mensuel des acteurs du tourisme & des loisirs , 2011, n°130, p. 26
Jean-Paul Pancracio, « Les portes de l'Elysée résistent au juge d'instruction », Recueil Dalloz, 2007, n°21, p. 1436
Jean-Paul Pancracio, « L'affaire de l'Achille Lauro et le droit international », 1985, pp. 221-236
Pancracio Jean-Paul. L'affaire de l'Achille Lauro et le droit international. In: Annuaire français de droit international, volume 31, 1985. pp. 221-236.
Jean-Paul Pancracio, « La Turquie et les organes politiques du Conseil de l'Europe », 1984, pp. 161-176
Pancracio Jean-Paul. La Turquie et les organes politiques du Conseil de l'Europe. In: Annuaire français de droit international, volume 30, 1984. pp. 161-176.