Julien Boelaert, Sébastien Michon, Etienne Ollion, Étienne Ollion, Métier: enquête sur la professionnalisation de la politique en France, Raisons d'agir éditions, 2017, 147 p.
Julien Boelaert, A neural network demand system, Centre d'économie de la Sorbonne, 2013, Documents de travail du Centre d'économie de la Sorbonne, 22 p.
Julien Boelaert, François Gardes, Consommation marchande et contraintes non monétaires au Canada (1969-2008), Centre d'économie de la Sorbonne, 2013, Documents de travail du Centre d'économie de la Sorbonne, 22 p.
Julien Boelaert, Etienne Ollion, « Les sommets du palais. Analyser l'espace parlementaire avec des cartes auto-organisatrices », Revue Française de Science Politique, 2020
Julien Boelaert, Sébastien Michon, Etienne Ollion, « Le temps des élites. Ouverture politique et fermeture sociale à l'Assemblée nationale en 2017 », Revue Française de Science Politique, 2018
Julien Boelaert, Étienne Ollion, « The Great Regression. Machine Learning, Econometrics, and the Future of Quantitative Social Sciences », Revue française de sociologie, 2018, n°59, pp. 475-506
Julien Boelaert, François Gardes, Simon Langlois, « Convergence des consommations entre classes socioéconomiques et contraintes non monétaires au Canada », Actualite Economique, 2017
Julien Boelaert, Sébastien Michon, Etienne Ollion, « Le temps long de la politique », Pouvoirs - Revue française d’études constitutionnelles et politiques, 2017, n°2
Julien Boelaert, Hugo Bouvard, Damien Lecomte, Déborah Perez, « Le respect de la boutique L’étiolement de la discipline partisane dans le groupe parlementaire socialiste au cours de la 14e législature (2012-2017) », Politix, 2017, n°1
Julien Boelaert, Étienne Ollion, « Au-delà des big data », 2015
Les big data sont à la mode. Dans les médias comme dans le débat public, le terme est évoqué de manière récurrente. Des entreprises dédiées au traitement de ces masses d’informations sont créées chaque jour, d’autres réorganisent radicalement leurs activités autour de la gestion de ces données. Le domaine semble suffisamment porteur pour que, dans de nombreux pays, les pouvoirs publics investissent massivement dans ce domaine. À la suite d’entreprises privées, les administrations de nombreux ...
Julien Boelaert, « Les aléas de l’interdisciplinarité : Genèses et l’espace des sciences sociales françaises (1990-2014) », Genèses , 2015, n° ° 100-101, pp. 20-49
Curieux destin que celui de l’interdisciplinarité. Sous la pression croisée d’acteurs souvent diamétralement opposés, le terme s’est depuis plusieurs années imposé comme une référence incontournable dans le monde scientifique, tout en désignant des phénomènes de plus en plus différents. Cet article se propose d’étudier la manière dont cette injonction a été mise en œuvre dans une revue qui la revendique comme principe central depuis sa fondation : Genèses. À partir d’une étude bibliométrique menée sur les textes de la revue, l’article étudie en pratique comment cet échange soutenu entre les disciplines a été mis en place. Trois niveaux sont distingués : celui des sciences sociales françaises, à l’intérieur duquel la revue évolue depuis vingt-cinq ans ; celui des auteurs, dont les propriétés évoluent dans le temps et éclairent cette question ; celui des articles enfin, avec une études de l’hybridation qui peut se produire via les citations. À partir de cet observatoire particulier, l’article montre le recul de la pratique de l’interdisciplinarité dans les sciences sociales françaises depuis deux décennies.
Julien Boelaert, Nicolas Mariot, Julie Pagis, Etienne Ollion, « Les aléas de l'interdisciplinarité. Genèses et l’espace des sciences sociales françaises (1990-2014) », Genèses. Sciences sociales et histoire, 2015, n°34, pp. 20-49
Julien Boelaert, « Une seule fonction de demande ? »: Une enquête sur la stabilité des préférences par mélanges discrets de réseaux de neurones, Revue Economique, 2014, n°4, pp. 515-535
Julien Boelaert, « Une seule fonction de demande ? : Une enquête sur la stabilité des préférences par mélanges discrets de réseaux de neurones », Revue économique , 2014, n° 65, pp. 515-535
Nous présentons un nouveau test de stabilité des préférences, construit à partir d’un modèle de mélange discret de réseaux de neurones artificiels, conçu pour détecter des sous-populations caractérisées par des fonctions de consommation différentes. La procédure est testée sur données simulées et appliquée à deux jeux de microdonnées de consommation des ménages canadiens (1969-1986 et 2004-2008). Nous trouvons que chacun de ces jeux de données rejette la stabilité des préférences. Nous trouvons ensuite, à l’aide de données simulées, que les modèles de demande simples suffisent à la plupart des applications pratiques.