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  • THESE

    Protection internationale des droits de l'homme et responsabilité de l'Etat devant la Cour internationale de justice, soutenue en 2014 à Paris 2 sous la direction de Emmanuel Decaux, membres du jury : Pierre Bodeau-Livinec (Rapp.), Christian Tomuschat (Rapp.), Ronny Abraham et Sébastien Touzé  

  • Gesa Dannenberg, Durch flexible Arbeitszeitmodelle zu einer besseren Work-Life Balance, GRIN Verlag, 2021, 12 p. 

    Gesa Dannenberg, Emmanuel Decaux, Pierre Bodeau-Livinec, Christian Tomuschat, Ronny Abraham [et alii], Protection internationale des droits de l'homme et responsabilité de l'Etat devant la Cour internationale de justice,, 2014, 631 p.  

    L’augmentation des moyens relatifs aux droits de l’homme devant la Cour internationale de Justice pose la question de la forme juridique que prend leur application dans le cadre d’un contentieux de la responsabilité interétatique et généraliste. La procédure de la Cour, conçue en vue de la défense d’intérêts étatiques subjectifs, paraît impropre à tenir compte des relations juridiques complexes dans lesquelles s’établit la responsabilité de l’Etat pour violation des droits de l’homme « internationalement garantis », et se limitant aux rapports de responsabilité bilatéraux entre les Etats parties au différend. Pourtant, au lieu de penser les liens juridiques en cause en fonction des seuls Etats parties au litige et dans des termes d’extériorité de l’individu, la Cour raisonne dans une logique de corrélation. Des relations tripartites émergent entre l’Etat auteur de la violation, les autres Etats également créanciers et débiteurs des obligations, et l’individu titulaire de droits. Mais alors qu’elle est prête à préciser ces relations juridiques, voire à les conceptualiser, la Cour n’en dénature pas pour autant sa fonction juridictionnelle traditionnelle. L’individu est certes pris en compte dans l’engagement de la responsabilité entre Etats : il n’en reste pas moins marginalisé au stade de la mise en oeuvre proprement dite de la responsabilité, mise en oeuvre centrée sur l’Etat et définie par le droit international public. Cette conception particulière de la responsabilité de l’Etat pour violation des droits de l’homme souligne que celle-ci ne saurait être réduite à la relation entre l’individu et l’Etat, dont les autres Etats ne seraient au mieux que les garants désintéressés, mais qu’elle détermine aussi et directement les rapports entre Etats.

    Gesa Dannenberg, Emmanuel Decaux, La cour internationale de justice et les droits de l'homme: perspectives récentes,, 2007, 81 p. 

  • Gesa Dannenberg, Saïda El Boudouhi, « Implementation of international human rights decisions in France », in Stefan Kadelbach, Thilo Rensmann, E R Rieter (dir.), Judging international human rights : courts of general jurisdiction as human rights courts, Springer, 2019 

  • Gesa Dannenberg, « Les fonctionnaires et les libertés », le 11 juin 2024  

    Colloque organisé par le C.PJ.P. Sous la direction scientifique de Maxence Chambon, Professeur en droit public, Université d'Artois Gesa Dannenberg, Maître de conférences, CY Paris Cergy Université.

    Gesa Dannenberg, « Quel modèle pour le biodroit de l’Union Européenne ? », le 14 mars 2024  

    Colloque annuel 2024 Chaire EUBioethics organisé par l'IRENEE, Université de Lorraine avec l’UPEC, le laboratoire MIL et la Chaire Jean Monnet IJSEE sous la direction scientifique de Maria Fartunova-Michel, MCF HDR, Université de Lorraine/IRENEE et Béligh Nabli, Professeur de droit public, Université Paris Est-Créteil/MIL

    Gesa Dannenberg, « Weimar », le 13 décembre 2019  

    Colloque international organisé par Aurore Gaillet (IRDEIC-IUF) et Carlos M. Herrera (CPJP).

    Gesa Dannenberg, « L’interdiction de faire grève des fonctionnaires en Allemagne », le 10 mai 2019  

    Organisée par l’Ecole doctorale Droit et science politique, Université de Montpellier