Colloque organisé par l'IREDIES, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne...
Colloque organisé par l'Unité propre de recherche CHROME, Université de Nîmes et Juriste sans frontières sous la direction de Patricia Partyka, Maître de conférences à l’Université...
Colloque organisé par l'IRDP, Nantes Université sous la direction scientifique de Vivien Zalewski Sicard...
Colloque organisé sous la direction scientifique de Laurent Abadie, Maître de conférences en droit privé et sciences criminelles – UPPA, Camille Drouiller, Maître de conférences...
Colloque organisé par la faculté de droit, Université de Montpellier sous la direction scientifique de Pierre Yves Gahdoun, Professeur à l’Université de Montpellier et Alexandre...
Colloque organisé par l'ISCJ, Université de Bordeaux sous la responsabilité scientifique d'Amane Gogorza, Professeur de droit privé, et de Thomas Herran, Maître de conférences...
Cette journée d’étude interdisciplinaire organisée par le GRID CRIM aura lieu le vendredi 22 novembre 2024 à Rennes ...
Colloque organisé sous la coordination scientifique de Konstantina Chatzilaou et Maïté Saulier, Maîtresses de conférences, CY Cergy Paris Université...
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L’illicite
6mars2020
7ème journée "Grandes pages du droit international"
Journée d'étude organisée par l'IHEI, Université Panthéon-Assas (Paris 2).
La paix par le droit
10déc.2019
100 ans après le traité de Versailles : quelles leçons pour la coopération internationale ?
Colloque organisé sous la direction scientifique de Sarah Cassella et Lucie Delabie
L’étranger
15fév.2019
Grandes pages du droit international, 6e journée
Sixième journée d’études, consacrée aux Grandes pages du droit international organisée par l'Institut des hautes études internationales (IHEI)
Normer l’oubli
IRJS Editions01 / 2019
The Oxford Handbook of the Sources of International Law
Critically examines the doctrines, practices, discourses, and debates on the sources of international law ; offers insight from well-established...
Oxford University Press10 / 2017
Eric Wyler, Éric Wyler, La règle dite de la continuité de la nationalité dans le contentieux international, Graduate Institute Publications et OpenEdition, 2015
Depuis l’avènement des droits de l’homme sur la scène internationale, la fameuse règle dite de la continuité de la nationalité mérite plus que jamais les critiques qui, dès son apparition, n’ont pas manqué de lui être adressées. Partant de la distinction fondamentale entre continuité de la nationalité proprement dite et continuité de l’identité du titulaire du droit fondant la réclamation internationale, l’auteur procède à une analyse approfondie de la pratique internationale. Celle-ci démontre que la règle en question fait aujourd’hui encore partie du droit positif, en dépit des réactions aux nombreuses injustices engendrées par son application. C’est par un examen des circonstances entourant l’apparition de la règle, en particulier du contexte de la protection diplomatique, qu’il devient possible de comprendre comment on en est venu à adopter et généraliser un principe constamment remis en question. L’ouvrage offre enfin une réflexion critique portant sur la protection diplomatique elle-même, ainsi que sur les théories qui tentent d’en expliquer les fondements. Grâce à un éclairage neuf, il analyse de façon rigoureuse les rapports de droit complexes unissant l’étranger lésé, son Etat national et l’Etat dont la responsabilité internationale se trouve engagée
Eric Wyler, Éric Wyler, Théorie et pratique de la reconnaissance d'État: une approche épistémologique du droit international, Bruylant, 2013, Collection de droit international, 380 p.
La 4e de couverture indique : "À l’heure de la « globale gouvernance » et l’émergence de « nouveaux acteurs » dans les relations internationales et la production du droit international, il peut paraître surprenant de réexaminer le phénomène de la prise en compte de la naissance étatique par la reconnaissance. Pourtant, l’État n’est pas mort, faute probablement d’une alternative crédible, ainsi qu’en témoigne l’incessante quête de reconnaissance des entités étatiques en formation, illustrée par les mutations en ex-Yougoslavie, en ex-URSS ou, plus récemment, au Kosovo et au Soudan. L’ouvrage propose une étude globale de la reconnaissance d’État, institution essentielle dans les relations internationales en raison de l’absence d’une juridiction obligatoire et centralisée appelée à trancher de cas en cas toute controverse juridique, notamment celle liée à la naissance d’un État au sens du droit international. Le point de vue adopté montre que la reconnaissance d’État n’est pas qu’une décision politique des gouvernements, mais a des effets juridiques dépassant la volonté de ses auteurs et déterminés par le droit international lui-même en fonction du contexte spécifique d’émergence d’une nouvelle entité et des interactions entre celle-ci, les organisations internationales et tous les États de la communauté internationale. L’ouvrage servira la pratique des avocats internationalistes, des magistrats, des organisations internationales, des diplomates et hauts fonctionnaires ainsi que des professeurs, chercheurs et étudiants en droit international"
Eric Wyler, Éric Wyler, Théorie et pratique de la reconnaissance d'État, Bruylant, 2013
Eric Wyler, Éric Wyler, Alain Papaux (dir.), L'extranéité ou le dépassement de l'ordre juridique étatique: actes du colloque des 27 et 28 novembre 1997, A. Pedone, 1999, 317 p.
Eric Wyler, Alain Papaux, Éric Wyler, L'éthique du droit international, Presses universitaires de France, 1997, Que sais-je ?, 127 p.
Eric Wyler, Éric Wyler, L'illicite et la condition des personnes privées: la responsabilité internationale en droit coutumier et dans la Convention européenne des droits de l'homme, A. Pedone, 1995, Publication de la "Revue générale de droit international public" ( Nouvelle série ), 361 p.
Eric Wyler, Éric Wyler, La règle dite de la continuité de la nationalité dans le contentieux international, Presses universitaires de France, 1990, Publications de l'Institut universitaire de hautes études internationales, Genève, 295 p.
Eric Wyler, « L’illicite », le 06 mars 2020
Eric Wyler, « La paix par le droit », le 09 décembre 2019
Eric Wyler, « L’étranger », le 15 février 2019
Laure-Marguerite Hong-Rocca, Le déni de justice substantiel en droit international public, thèse soutenue en 2012 à Paris 2 sous la direction de Jean Combacau, membres du jury : Sébastien Touzé (Rapp.), Éric Wyler (Rapp.), Yves Nouvel
La notion de déni de justice substantiel est problématique parce qu'elle suppose la reconnaissance de la responsabilité internationale de l'État pour ses décisions judiciaires nationales souveraines et donc le contrôle, par une juridiction internationale, de l'application discrétionnaire du droit interne par les autorités de justice nationales. Attachée à la notion de déni de justice en droit coutumier et historiquement liée à une conception assez large, et controversée, de la protection due par les États aux étrangers sur leur territoire, la notion de déni de justice substantiel doit encore affirmer son emprise en droit international conventionnel, non seulement dans le domaine de la protection des investissements internationaux mais aussi, et surtout, dans le domaine de la protection des droits de l'homme parce que l’enjeu, dans ce domaine, est particulièrement important et que la question s’y pose avec le plus d'acuité. Outre l'étude de la notion coutumière et son affirmation comme forme de déni de justice, l'intérêt de cette étude est de faire ressortir l'existence d'un droit général et subjectif au jugement raisonnable, dont la définition permet de mettre en avant les limites du pouvoir normatif que la mise en oeuvre d'un standard attribue au juge international lorsqu'il contrôle la régularité interne des jugements nationaux.
Hélène Raspail, Le conflit entre droit interne et obligations internationales de l’Etat, thèse soutenue en 2011 à Paris 2 sous la direction de Jean Combacau, membres du jury : Karine Parrot (Rapp.), Éric Wyler (Rapp.), Geneviève Bastid Burdeau et Carlo Santulli
A première vue, les obligations de l’Etat déterminent les comportements de ce dernier, et l’on ne perçoit pas en quoi le droit interne pourrait leur porter atteinte. Pourtant, la production de certains actes juridiques, entendus par le droit international comme réalisant immédiatement des situations individuelles, pourra être considérée comme une violation de ces obligations. Avant même leur exécution, un fait internationalement illicite pourra être consacré. Certaines règles juridiques, en revanche, apparaîtront plus abstraites au regard du droit international, et ne pourront donner lieu, de leur simple fait, qu’à un risque de violation des obligations de l’Etat. Il faudra alors envisager une autre catégorie d’obligations qui, cette fois, se porteront sur l’état du droit interne général. L’existence de règles dont l’état n’est pas celui requis par ces obligations pourra alors donner lieu à un fait internationalement illicite. Se pose toutefois, dans un second temps, la question de la responsabilité qui peut naître de tels faits, dont les conséquences préjudiciables semblent bien limitées. Plus le droit interne à l’origine de l’illicéité sera abstrait, plus la responsabilité de l’Etat s’éloignera d’une quelconque dimension réparatoire, pour se tourner vers une garantie de la légalité future. Vient alors la problématique de la mise en oeuvre de cette responsabilité. Les conditions classiques de recevabilité des demandes devant les juridictions internationales peuvent en effet s’opposer à ce que puisse être prise en compte une violation du fait du droit interne in abstracto. Alors que ces obstacles pourront aisément être levés dans le cas des actes juridiques individuels, les règles internes en conflit avec les obligations de l’Etat seront, à des degrés divers, plus difficiles à mettre en cause dans un cadre contentieux. Toutefois, certaines juridictions ou quasi-juridictions internationales s’affranchissent aujourd’hui de ce cadre, incitant ainsi fortement les Etats à adapter leur droit interne, selon les nouvelles exigences du droit international.
Pauline Milon, Analyse théorique du statut juridique de la nature, thèse soutenue en 2018 à AixMarseille sous la direction de Sandrine Maljean-Dubois et Alain Papaux, membres du jury : Mathilde Hautereau-Boutonnet (Rapp.), Laurence Boisson de Chazournes (Rapp.), Marie-Angèle Hermitte et Éric Wyler
Cette thèse interroge le statut juridique de la nature à travers une analyse théorique. Réfléchir sur le statut de la nature revient à questionner la singularité du lien qui lie l’homme à la nature : s’agit-il d’une mise en rapport induisant une échelle de valeur avec la hiérarchie qui l’accompagne, ou plutôt d’une mise en relation sans hiérarchie mais avec des liens d’interdépendance ? Finalement l’idée est de sortir d’une logique dualiste séparant l’homme de la nature. La nature est réifiée par le droit. Objet du droit, défini par et pour l’homme, elle est qualifiée de chose, de bien ou encore de patrimoine. Mais cette thèse est avant tout le constat d’une évolution du statut de la nature, qui ne peut plus être considérée aujourd’hui seulement comme un objet. L’évolution socio-politique accompagne un mouvement tendant à sa subjectivisation progressive. S’opère alors un rééquilibrage « désacralisant » l’homme quand il persiste à se couper du reste de la nature
Julie Tavernier, La réparation dans le contentieux international des droits de l’homme, thèse soutenue en 2017 à Paris 2 sous la direction de Sébastien Touzé, membres du jury : Mathias Forteau (Rapp.), Évelyne Lagrange (Rapp.), Laurence Burgorgue-Larsen, Alain Pellet et Éric Wyler
La réparation des dommages causés aux particuliers est une thématique ancienne en droit international. Toutefois, elle a été longuement appréhendée au seul prisme des relations interétatiques, l’individu n’étant perçu que comme un objet du droit international. Le bouleversement introduit par la protection internationale des droits de l’homme quant au statut de l’individu dans cet ordre juridique invite donc à une relecture de cette question. Les obligations substantielles contractées par les Etats en matière de protection internationale des droits de l’homme devraient logiquement trouver un prolongement dans l’existence d’une obligation de ces derniers de réparer les dommages causés aux particuliers. Or, l’identification d’une telle obligation s’avère délicate, tant au regard de ses créanciers que de son étendue. Sa réalisation est quant à elle laissée en grande partie aux mains du juge. Il s’avère donc malaisé de dégager un véritable régime juridique de la réparation des dommages causés par la violation des droits de l’homme.